Sommereux

Sommereux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Sommereux

La mairie datée de 1911.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jean-Claude Mercier
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60622
Démographie
Population
municipale
482 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 46″ nord, 1° 59′ 35″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 190 m
Superficie 12,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : Oise
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : France
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : France
Sommereux

    Géographie

    Description

    Village agricole du plateau picard, située à mi-distance de Beauvais et d'Amiens, limitrophe du département de la Somme, sur la route reliant Grandvilliers à Conty.

    Le point culminant de la commune au calvaire du lieu-dit le Moulin de Sommereux atteint 186 m. Sept éoliennes sont construites sur le plateau à l'ouest du village.

    En 2019, le village est desservi par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 814 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Sommereux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,1 %), prairies (15,5 %), forêts (6,2 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Les formes les plus anciennes attestées du nom sont Sommereulx vers 1135 [22] et Sommerues en 1150 [23]. Elles proviennent de l'ancien français som « le sommet, le haut »[22],[24], issu du latin summum « point le plus élevé » avec le double suffixe -ar-eolum [22],[23] ou -erel / -ereau au pluriel à valeur diminutive [22].

    La prononciation locale dialectale picarde est en API [sõmʁø] [25]

    Histoire

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Sommereux était le siège de la commanderie générale du nord de la France de l'ordre du Temple, sous le nom de Commanderie de Saint-Barnabé. Le village était alors connu sous le nom de Domus Templi de Somoreus ou Sommerues.

    La commanderie des Templiers, fondée sans doute avant 1150, ne cesse de s’accroître à la suite de donations de biens et de droits[26],[27]. Sa prospérité s’arrête avec le concile de Vienne en 1312, avec la dissolution de l’ordre des Templiers par le pape Clément V. le dernier des dix-sept commandeurs de Sommereux, Raoul de Gisy, frère sergent, déposera lors du procès de l'ordre du Temple, les pratiques sacrilèges et immorales des Templiers

    La commanderie est dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Les bâtiments, vastes et nombreux furent en partie détruits par les Anglais lors de la guerre de Cent Ans, au cours de laquelle, selon l’historien Alain Decaux, les milices picardes repoussèrent les Anglais à Sommereux[28],[Note 7]. La maison conventuelle fut restaurée au XVIe siècle et reconstruite au XVIIIe. C'est le petit manoir qui subsiste.

    Le domaine est confisqué, divisé et vendu comme bien national après la Révolution française de 1789. Dès 1830, seul le bâtiment actuel subsiste, et la municipalité l’acquiert en 1993. Aujourd’hui, il est aménagé en gîtes ruraux et salle de réunion.

    À partir du XIXe siècle

    La commune absorba Laverrière en 1827, qui redevint autonome en 1833[29].

    L'épicerie-café, située au carrefoiur des routes de Beaudéduit et de Grez, a été exploitée dans ce bâtiment jusque dans les années 1990.
    En ruines, le bâtiment est démoli en 2015/2016.

    À la fin de la Première Guerre mondiale, un aérodrome militaire est aménagé en 1918 à la limite de Grandvilliers, sensiblement à l'emplacement des éoliennes actuelles. Il accueille début avril les 5e et 141e escadrilles, équipées de Sopwith, la 207e équipée de Breguet 16, sans doute dans le cadre de la Bataille d'Amiens. À la fin du même mois, le terrain voit passer la 237e escadrille équipée de Sopwith 1½ Strutter puis de Breguet 16, la 286e équipée de SPAD S.XVI, la 21e équipée de 10 Dorand AR.1 puis de SPAD bi-places. La 45e escadrille séjourne au terrain de Grandvilliers/Sommereux du au , avec ses Breguet 14 A-2, suivie de la 102e, du au , avec ses SPAD puis Breguet XIV. D'autres escadrilles stationnent également, plus ou moins longuement, sur ce terrain[30].

    Circonscriptions d'Ancien Régime[31]

    Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime : Paroisse : Saint-Jean-AubinDoyenné : GrandvilliersArchidiaconé : AmiensDiocèse : Amiens.

    Circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime : Intendance (1789) : AmiensÉlection (1789) : AmiensGrenier à sel (1789) : GrandvilliersCoutume : Amiens et ClermontParlement : Paris Bailliage : Amiens et ClermontPrévôté : Prévôté royale du BeauvaisisGouvernement : Picardie.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Grandvilliers[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune est toujours intégrée, s'agrandit et passe de 23 à 101 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre depuis 1997 de la communauté de communes de la Picardie verte, qui succède à plusieurs SIVOM, dont celui de Grandvilliers où la commune était déjà adhérente.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1965 Jean d'Hermy[32]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Jean Pierre Heu[33] UMP  
    2014[34] En cours
    (au 5 juin 2020)
    Jean-Claude Mercier   Réélu pour le manadt 2020-2026[35]

    Politique de développement durable

    La commune s'est dotée en 2018 d'un système d'assainissement collectif des eaux usées, raccordé à une station d'épuration utilisant des roseaux comme dispositif actif. Cette installation a coûté 2,5 millions d'euros, largement financés par l'agence de bassinet du conseil départemental[36]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2018, la commune comptait 482 habitants[Note 8], en augmentation de 10,55 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    750638761621827703721680649
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    615551534479490471448432408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    364370376359355305341351362
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    385358333338322408385398472
    2018 - - - - - - - -
    482--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 23 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 25,1 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 11,6 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 18 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 20,1 %).
    Pyramide des âges à Sommereux en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    3,7 
    75 à 89 ans
    8,8 
    7,9 
    60 à 74 ans
    11,3 
    22,0 
    45 à 59 ans
    18,0 
    25,1 
    30 à 44 ans
    23,2 
    18,3 
    15 à 29 ans
    18,0 
    23,0 
    0 à 14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Économie

    Si le village a essentiellement une activité agricole, il faut signaler que la briqueterie historique de la commune a rouvert après une liquidation judiciaire. Les briques rouges de pays fabriquées à la presse et autres poteries sont cuites dans un four Hoffmann.

    Culture locale et patrimoine

    L'église paroissiale Saint-Aubin de Sommereux fut la chapelle de la commanderie de l'ordre du Temple.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Aubin, construite au XIIIe siècle et remaniée au XIVe siècle par le commandeur Jean de Varrines, est l'ancienne chapelle de la commanderie. L'abside et son transept datent du XIIIe siècle, mais la nef, incendiée durant la guerre de Cent Ans, a été reconstruite au XVIIe siècle dans un style classique qui épargna la corniche romane[28],[42].
    Ses fonts baptismaux datent du XIIIe siècle[43].
    • La commanderie, grande maison près de l’église où étaient installés les Templiers puis les Hospitaliers, acquise par la municipalité en 1993 et désormais utilisée comme gîtes ruraux et salle de réunion[28].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. La rue des Anglais rappelle ce fait d'armes
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sommereux et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , 234 p. (ISBN 2-9508260-0-8), p. 201.
    23. Alber Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., p. 660.
    24. « D. Godefroy », sur micmap.org (consulté le ).
    25. F. Carton et M. Lebègue, Atlas linguistique et ethnographique picard, t. I, .
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    27. Jack Bocar, « Introduction au cartulaire de la commanderie de Sommereux », Les cartulaires de certaines commanderies de france, Les Templiers et les Croisades, (consulté le ).
    28. ,Matthias Schweisguth, « Une voûte du choeur doit être réparée : Construite au XIIIe siècle, l’église Saint-Aubin est une des rares églises des Templiers encore debout au Nord de la France », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3537, , p. 7.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Alain Lefebvre, L'aviation militaire à l'ouest et au sud d'Amiens : pendant la Grande guerre, Hornoy-le-Bourg, éditions Aurea Vallis, , 318 p. (ISBN 978-2-9541941-7-2), p. 221-233.
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    32. « Une plaque en mémoire de l'ancien maire Jean d'Hermy », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 2557, , p. 20.
    33. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Bonhomme picard du 26 mars 2008
    34. Matthias Schweisguth, « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 8.
    35. Pierre-Emmanuel Reger, « A Sommereux, Jean-Claude Mercier réélu maire pour un second mandat », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Sylvie Godin, « Des filtres plantés de roseaux : Une station d'épuration idéale pour le village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3501, , p. 6.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. « Évolution et structure de la population à Sommereux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    41. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. « L'église », notice no PA00114914, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Fonts baptismaux », notice no PM60001583, base Palissy, ministère français de la Culture.
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