Corbeny

Corbeny[1] est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Corbeny

Hôtel de ville de Corbeny.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes du Chemin des Dames
Maire
Mandat
Dany Vandois
2020-2026
Code postal 02820
Code commune 02215
Démographie
Gentilé Corbéniens
Population
municipale
834 hab. (2018 )
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 46″ nord, 3° 49′ 28″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 134 m
Superficie 15,23 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-sur-Aisne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : France
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : France
Corbeny
Liens
Site web http://www.corbeny.fr/

    Ses habitants sont appelés les Corbéniens[2].

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Localisation

    Corbeny est située dans la région Hauts-de-France, au centre du département de l'Aisne. La commune appartient au canton de Villeneuve-sur-Aisne et à la communauté de communes du Chemin des Dames.

    La commune se trouve à 3,7 km au nord-est de l'ancien chef-lieu du canton, Craonne[3], à 18,5 km au sud-est de la ville préfecture, Laon[4], et à 126,5 km au nord-est de la capitale, Paris[5].

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Son territoire, sablonneux et argileux, se prête à toutes les cultures. Il n'est arrosé par aucun cours d'eau. La rivière Aisne se situe à un peu moins de neuf kilomètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 714 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Martigny-Courpierre », sur la commune de Martigny-Courpierre, mise en service en 1987[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 744,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 58 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,3 °C pour 1981-2010[17], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Corbeny est une commune rurale[Note 5],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,7 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (4,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Entrée de Corbeny.

    L'origine de Corbeny est très ancienne et on peut supposer qu'elle soit celtique, deux triens (tiers de sou) ont été identifiés dans un recueil du numismate Guillaume Combrouse et frappés Carbnacum ou Corbnacum (Corbeny), la terminaison -acum signifiant, domaine[26].

    Au IXe siècle, Corbeny s'est appelé Corbanacum ou Corbanacum palatinium sous Charles II le Chauve[réf. nécessaire]. On trouve Corbonacum ou Corbonacum Villa sous la plume de Jean Mabillon[réf. nécessaire], Corbennacum sous celles de Hincmar de Reims et Flodoard[réf. nécessaire], Corbiniacus ou Corbiniacus Fiscus sous Charles le Simple en 908, et aussi Corbeniacum ou Corbeniacum-Sancti-Marculphi[réf. nécessaire].

    À partir du XIIe siècle, on ne trouve plus que Corbigny, Corbeny chez les écrivains français ou encore Corbény (accent encore visible sur la mosaïque du bâtiment de la poste).

    Histoire

    Corbeny est un bourg construit à l'intersection de la vieille chaussée gauloise allant de Fismes à Dizy-le-Gros avec la voie romaine allant de Reims à Arras.

    Intérieur de l'oratoire Saint-Macoult, avec sa statue et les plaques commémorant l'abbaye disparue et les pélérinages.
    Intérieur du prieuré avec Henri II pratiquant le toucher thaumaturgique, Livre d'heures de Henri II, BnF.

    C'est à Corbeny qu'en 776, après la mort de Carloman, Charlemagne fut reconnu roi par les Francs d'Austrasie[27].

    Sous les Carolingiens, Corbeny possédait une résidence royale. Pépin le Bref[28] et son fils Charlemagne y séjournèrent et Charles III le Simple y résida en 900 lors des invasions normandes. Ce dernier accorda asile aux religieux de Nanteuil, près de Coutances en Normandie, qui apportèrent avec eux les reliques de saint Marcoul (ou Marculf). Il leur fit construire un prieuré en ce bourg[29],[30]. Dans ce prieuré[31], maintenant détruit, reposaient les reliques de saint Marcoul. Les rois de France venaient s'y recueillir au lendemain de leur sacre à Reims, avant de se livrer dans l'église ou la cour du palais à la pratique des pouvoirs thaumaturges qu'ils avaient en commun avec les reliques du saint[32]. À partir de Louis XIV, le roi ne se rendit plus en pèlerinage à Corbeny comme cela se pratiquait depuis Louis X, les reliques de saint Marcoul venaient à la basilique Saint-Rémi et le toucher se fit dans le jardin[33].

    Corbeny fut offert en avril 907 à Frédérune lors de son mariage[34] avec Charles III le Simple, et elle le donna à sa mort aux moines du prieuré de Saint-Marcoul de Corbeny qui dépendait de l'abbaye Saint-Remi de Reims.

    L'époque florissante de Corbeny eut lieu au XIVe siècle (avant les invasions anglaises). On dénombra à cette époque entre 600 et 700 feux (entre 2 000 et 2 500 habitants). Au milieu du siècle suivant, Louis XI exempta les habitants de Corbeny de tailles, aides, subsides[35].

    Plaque sur la mairie commémorant le passage de Jeanne d'Arc à Corbeny.

    Lors de l'offensive du Chemin des Dames au cours de la Première Guerre mondiale, Corbeny fut complètement rasée et perdit son prieuré et son église du XIe siècle[36].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Corbeny est membre de la communauté de communes du Chemin des Dames, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Craonne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[38]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuve-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[38], et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Yvonne Curtil SFIO Négociante en vin
    Conseillère générale du canton de Craonne (1945-1967)
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995  ? Pierrette Curtil PS Proviseur, suppléante du député Robert Aumont
    Conseillère générale du canton de Craonne (1979-1998)
    mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Sebirot PRG  
    mars 2008 mai 2020 Philippe Deboudt DVG Retraité Fonction publique
    Réélu pour le mandat 2014-2020[40]
    mai 2020 En cours
    (au 12 juillet 2020)
    Dany Vandois    

    Services publics

    La poste de Corbeny.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

    En 2018, la commune comptait 834 habitants[Note 7], en augmentation de 11,2 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    681731739699925903926929980
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    971959950895822798800843804
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    787819808337509555527489518
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    540517495578591633693702710
    2013 2018 - - - - - - -
    750834-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école de Corbeny.

    Manifestations culturelles et festivités

    « L'autre chemin des dames », dans la salle polyvalente.

    Santé

    Hospice fondation A. Matra.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Quentin, reconstruite après la guerre 1914-1918, elle conserve les reliques de saint Marcoul.
    • Oratoire Saint-Marcoul, souvenir du prieuré Saint-Marcoult. On y a inséré un relief provenant de l'abbaye.
    • Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur au chevron d'or[45].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Insee

      Autres références

      1. « Fiche communale », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      2. David Malescourt, « Aisne > Corbeny (02820) », sur le site habitants.fr d'une société commerciale (consulté le ).
      3. « Orthodromie entre Corbeny et Craonne », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
      4. « Orthodromie entre Corbeny et Laon », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
      5. « Orthodromie entre Corbeny et Paris », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
      6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
      12. « Station Météo-France Martigny-Courpierre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      13. « Orthodromie entre Corbeny et Martigny-Courpierre », sur fr.distance.to (consulté le ).
      14. « Station Météo-France Martigny-Courpierre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      15. « Orthodromie entre Corbeny et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
      16. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      17. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      18. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      19. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
      20. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
      21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
      22. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
      23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      26. Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens 1842, p. 13.
      27. Page 186 et 187 dans Dictionnaire historique, généalogique et géographique du département de l'Aisne (1857) de Maximilien Melleville, géologue, archéologue et historien
      28. Guillaume Marlot, Metropolis remensis historia, 1666, p. 531
      29. Jean-François M. Lequeux, chanoine de Paris, Antiquités religieuses du diocèse de Soissons et Laon(1859), pages 184 et suivantes
      30. Le prieuré de Corbeny page 608 dans Histoire de la ville, cité et université de Reims métropolitaine de la Gaule de Guillaume Marbt(1845)
      31. Histoire du prieuré Saint-Marcoul de Corbeny, et la guérison des écrouelles par Mme Suzanne Martinet, ancienne bibliothécaire de Laon, p.  99-100
      32. Patrick Demouy, Le sacre du roi, Strasbourg, 2016, éd. La Nuée Bleue, p. 92-93.
      33. Page 473 dans Dots et douaires dans le haut Moyen Âge (2002) de François Bougard, Laurent Feller, Régine Le Jan
      34. Page 177 dans Du sacre des rois de France, de son origine et de la Sainte-Ampoule de Félix Lacointa (1825)
      35. Nicolas Offenstadt éd., Le chemin des Dames de l'événement à la mémoire, Stock, 2004
      36. « communauté de communes du Chemin des Dames - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
      37. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Corbeny », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      38. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
      39. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
      40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      44. « 02215 Corbeny (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
      • Portail des communes de France
      • Portail de l’Aisne
      Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.