Chouzé-sur-Loire

Chouzé-sur-Loire est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Chouzé-sur-Loire

Le Quai de la Loire
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire
Maire
Mandat
Gilles Thibault
2020-2026
Code postal 37140
Code commune 37074
Démographie
Gentilé Chouzéens
Population
municipale
2 083 hab. (2018 )
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 14′ 14″ nord, 0° 07′ 40″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 36 m
Superficie 28,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Chouzé-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Chouzé-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Chouzé-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Chouzé-sur-Loire
Liens
Site web chouze-sur-loire.fr/

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans la Touraine angevine, anciennement province d'Anjou jusqu'à la Révolution française.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Chouzé-sur-Loire.

    La commune est bordée par la Loire sur son flanc sud sur une longueur de 4,186 km. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 37,82 km, comprend trois autres cours d'eau notables, l'Authion sur une toute petite section (0,358 km) au nord-ouest du territoire communal, le Lane (5,247 km) et le Petit Lane, et neuf petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

    Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'août à 753 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 4,89 m le [4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 27 septembre 1856 avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

    L'Authion, d'une longueur totale de 99,8 km, prend sa source à 86 m d'altitude près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie[8] et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à 15 m d'altitude[9], après avoir traversé 29 communes[10]. Sur le plan piscicole, l'Authion est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].

    Le Lane, d'une longueur totale de 27,8 km, prend sa source dans la commune de Coteaux sur Loire et se jette dans l'Authion à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire), après avoir traversé 10 communes[11]. Sur le plan piscicole, le Lane est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].

    Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la prairies humides du Lane » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[12],[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Chouzé-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,4 %), prairies (25,9 %), terres arables (8 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,8 %), forêts (3,3 %), cultures permanentes (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    En 1003, « Chozacius » indiquait une idée de sélection, ici « Terre de Choix ».

    En 1050, les frères Lovo et Rahier firent don à l'abbaye de Bourgueil de Chozacum et ses dépendances ; la justice qui appartenait également à l'abbaye, avait son siège dans le prieuré du Plessis-aux-Moines. Elle était rendue par un sénéchal nommé par l'abbé de Bourgueil[21]

    À la fondation de l'abbaye de Fontevraud, Maison-mère de l’ Ordre de Fontevraud des terres sont données à Robert d'Arbrissel (mort en 1116).

    François Rabelais (1483-1553) mentionne déjà « Chozé » dans le chapitre 47 de Gargantua.

    Ce fut François Ier qui, par lettres patentes, donna à Chozacius le titre et les privilèges de ville. Le nom de « Chouzé » apparaît dans la carte de France de Cassini (XVIIIe siècle).

    Avant la Révolution, Chouzé dépendait du tribunal de Saumur (querelles liées aux impôts), du diocèse d'Angers, et de la généralité de Tours pour la levée des impôts.

    Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, Chouzé et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) furent rattachées en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.

    En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.

    Le 24 mai 1589, Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil.

    Chouzé et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendront de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française.

    Lors de la création des départements, Chouzé fut rattaché au district de Langeais.

    La batellerie et la meunerie ont joué un rôle très important dans le développement de la commune, par ailleurs bourg agricole aux multiples cultures. Vers 1830, la commune comptait de nombreux navigateurs, pêcheurs et mariniers. le trafic était important : voyageurs sur des embarcations légères, coches de Loire, et marchandises sur chalands.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1812 1815 M Armand François Hudault de La Haye[21]   Notaire
    1815 1816 M Gastien Lemesle    
    1816 1816 M Archambault    
    1816 1821 M Lejau    
    1821 1830 M Confex-Neuilly    
    1830 1832 M Urbain-Aimé Allain   Notaire
    1832 1840 M Henri Guimas   Chirurgien
    1840 1849 M Guespin-Breton    
    1849 1869 M Brayer   Notaire
    1871 1873 M Godard-Deniau    
    1875 1886 M Anthaume   Notaire
    1886 1888 M Moreau    
    1888 1900 M Sendrier    
    1900 1912 Joseph David   Vétérinaire
    1912 1919 Prosper Benon    
    1919 1927 Arsene Juvigny   Docteur
    1927 1935 Alfred Thibault    
    1935 1941 Georges Thouet    
    1944 1945 Alfred Thibault    
    1945 1947 Alfred Thibault-Péan    
    1947 1977 Pierre Fievre    
    1977 1983 Georges Memin    
    1983 2001 Robert Lefevre    
    2001 2008 Yves Lemogne    
    2008 En cours Gilles Thibault DVD Agriculteur retraité

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[22].

    Population et société

    Ses habitants sont appelés les Chouzéens et Chouzéennes[23].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 2 083 habitants[Note 4], en augmentation de 0,05 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 3143 4473 9163 6603 8903 8473 8523 8163 690
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5713 4103 3233 1042 9022 7312 6432 5242 419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1962 2022 1392 0042 0041 9311 8821 9332 006
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 4542 2552 1472 0702 1242 0932 0762 0792 081
    2013 2018 - - - - - - -
    2 0822 083-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Chouzé-sur-Loire se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

    L'école primaire Des Moulins et l'école primaire privée Notre-Dame de Lourdes accueillent les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les Quais de la Loire : ancien port important, très connu à l’époque de la marine de Loire, Chouzé-sur-Loire a conservé son quai de 800 m de long. Agrandi au XIXe siècle, il a été restauré en 1999. Ce quai dessert une route de randonnée qui vous mène au fil de la Loire jusqu’au port de Varennes avec sa vue imprenable sur la confluence, sur le château de Montsoreau, et sur la collégiale de Candes-Saint-Martin.
    • L'église Saint-Pierre[28]. imposante par ses dimensions, cette église s'inspire des basiliques paléochrétiennes (VIe siècle), avec sa vaste nef plafonnée bénéficiant d'un éclairage direct, ses arcades retombant sur de simples piliers rectangulaires et l'austérité de ses lignes. À l'extérieur, les deux éléments notables sont la rose de la façade principale, allégeant le caractère massif du parement nu, apparaillé avec soin, et le clocher, dont l'implantation à l'est du chœur est assez inattendue. Il s'agit d'une des rares églises de style "classique" élevée en Touraine au début du XIXe siècle, correspondant au renouveau de la foi catholique apparu sous les règnes de Louis XVIII et de Charles X.Les importantes dimensions de cette église évoquent l'intense activités des mariniers de Loire, transitant par le port et transportant diverses marchandises sur leurs gabarres: denré de bouche (vin, etc.) mais aussi matériaux de constructions (ardoises d'Angers, pierre de taille de Saumur, etc.), tissus, etc.
    • Six constructions sont inscrites aux monuments historiques : une maison à tourelles, le moulin de Lecé, le moulin à vent des Pelouses, les moulins-caviers, le prieuré du Plessis-aux-Moines et
    L'entrée du château des Réaux.
      • Le château des Réaux[29] : classé monument historique en 1930, il a appartenu, au XIVe siècle, à Amaury Péau, puis à Jeanne de Montejean, comtesse de Sancerre, Antoine de Bueil et à Gilles de Brye en 1455[30]. En ruine au XVe siècle[31],[32], il est acquis par le grand-père Jean Briçonnet, premier maire de Tours[33]. Le château actuel a été construit sur l'emplacement de l'ancien château fort par le petit-fils Jean Briçonnet, fils de Guillaume Briçonnet, seigneurs des lieux[34] appelés alors Plessis-Rideau. Il fut également habité par Thibaut de Longuejoue[Note 5], puis leurs descendants, la famille Taveau[35]. Un mariage en 1595 apporte dans la famille La Béraudière le domaine, dont François de La Béraudière hérite[31], et vend cent quinze mille livres[36], vers 1650, à l'écrivain et poète Tallemant des Réaux, dont le château devient sa demeure et porte désormais son nom[37] le , par autorisation sur lettres-patentes du roi[38].
      • La maison à Tourelles ou Maison du Bailli : élégante demeure du XVIe siècle, ornée de deux tourelles coiffées de poivrières. C'est dans cette maison que mourut le 1er septembre 1464 Marie d'Harcourt, épouse de Dunois, le "bâtard" d'Orléans, compagnon de Jeanne d'Arc et artisan du rapprochement de la Normandie et de l'Aquitaine.
      • Les moulins caviers de la rue des pelouses et de lecé : Les moulins à vent de types caviers sont une spécificité du Val de Loire. Dans cette région viticole, le moulin cavier permettait de stocker le vin et d'éviter les incendies dus au réchauffement des meules.Ils ont été construits vers la fin du XVIIe siècle pour le plus ancien et vers 1860 pour le plus récent.
    Plessis aux Moines
      • L'ancien prieuré du plessis-aux-moines : Ce prieuré appartenait à l'abbaye de Bourgueil. Il fut fondé au XIe siècle. Il était entouré de douves dont l’une subsiste encore. Le logis du prieur présente, sur la cour, une porte surmontée d'armoiries qui ont été bûchées et, au premier étage, deux fenêtres dont l'une a son encadrement mouluré et décoré d'angelots. Il possède une chapelle à l'angle. Au sud du couvent subsiste la grange à dîmes.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Fils de Mathieu de Longuejoue, et marié à Madeleine Briçonnet, fille de Jean.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Chouzé-sur-Loire », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    4. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    5. « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
    7. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Source de l'Authion » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
    9. « Confluence de l'Authion dans la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
    10. « Fiche Sandre - l'Authion », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    11. « Fiche Sandre - le Lane », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    12. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    13. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904), Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t.2, p.289.
    22. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
    23. habitants.fr, « Indre-et-Loire > Chouzé-sur-Loire (37140) » (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. clochers.org, « Église Saint-Pierre - 37074 - Chouzé-sur-Loire » (consulté le ).
    29. « Le Château des Réaux » (consulté le ).
    30. Mémoires de la Société archéologique de Touraine Société archéologique de Touraine. Série in 80, Volumes 31 à 32, 1883. (p. 268)
    31. Tallemant au château des Réaux
    32. L'intermédiaire des chercheurs et curieux Volume 87, 1924. (p. 603)
    33. Les Réaux sur Histoire de France, 1996
    34. Châteaux "brique et pierre" en France Par Josiane Sartre (p. 82)
    35. Le Grand dictionnaire historique Par Louis Moréri, vol. 6, 1759. (p. 383)
    36. Les historiettes de Tallemant des Réaux, mémoires pour servir à l'histoire du XVIIe siècle Par Gédéon Tallemant des Réaux, Louis-Jean-Nicolas de Monmerqué, Hippolyte de Châteaugiron. Vol. 1, 1834. (p. XXV)
    37. [PDF] Étude des paysages d'Indre et Loire Direction régionale de l'Environnement. Décembre 2000, p. 12 (43)
    38. Manoirs et gentilshommes d'Anjou André Sarazin, 1965. (p. 85)
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