Châteauneuf-de-Gadagne

Châteauneuf-de-Gadagne est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Châteauneuf.

Châteauneuf-de-Gadagne

L'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Avignon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sorgues et des Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Étienne Klein
2020-2026
Code postal 84470
Code commune 84036
Démographie
Gentilé Castelnovins, Castelnovines
Population
municipale
3 328 hab. (2018 )
Densité 247 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 43″ nord, 4° 56′ 49″ est
Altitude 48 m
Min. 41 m
Max. 124 m
Superficie 13,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction Avignon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-sur-la-Sorgue
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Châteauneuf-de-Gadagne
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Châteauneuf-de-Gadagne
Géolocalisation sur la carte : France
Châteauneuf-de-Gadagne
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Châteauneuf-de-Gadagne

    Ses habitants sont appelés les Gadagniens ou les Castelnovins[1].

    Géographie

    Vue depuis le village sur la plaine puis en fond, le petit Luberon à Gauche, la colline Saint-Jacques de Cavaillon au centre et les Alpilles à droite.

    Châteauneuf-de-Gadagne est un village perché, construit en amphithéâtre, sur le versant oriental d'une colline à 13 km d'Avignon[2].

    Communes limitrophes de Châteauneuf-de-Gadagne
    Jonquerettes
    Morières-lès-Avignon Le Thor
    Caumont-sur-Durance

    Transports

    Carte de Brun cadet prévoyant « l'arrosement d'une partie des terres du Comtat Venaissin ».

    La route nationale 100 (D 901) traverse la commune sur un axe est-ouest et la route départementale 6 sur un axe nord-sud. Une voie ferrée passe sur la commune qui dispose d'une gare, pour le réseau TER PACA. La gare TGV la plus proche est la gare d'Avignon TGV. La commune est desservie par les sorties de l'autoroute A7 d'Avignon Sud ou Avignon Nord.

    Relief et géologie

    Le village est posé sur une colline, massif rocheux de calcaire urgonien, séparant la vallée du Rhône du cœur du Comtat Venaissin et de son importante plaine alluviale très favorable à l'agriculture à l'est[2].

    Hydrographie

    De nombreux[évasif] canaux (passage du canal du Moulin) et cours d'eau (La Sorgue, le Sénot, etc.[évasif]) arrosent la plaine à l'est de la commune.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de l'Isle-sur-la-Sorgue auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[3].

    Climat

    La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare.

    Les températures moyennes oscillent entre 0 et 30 ° selon la saison. Le record de température depuis l'existence de la station de l'INRA est de 40,5 °C lors de la canicule européenne de 2003 le 5 août et -12,8 °C le 5 janvier 1985. Les relevés météorologiques ont lieu à l'agroparc d'Avignon, à quelques kilomètres de Châteauneuf-de-Gadagne.

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauneuf-de-Gadagne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[7] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), zones urbanisées (12,9 %), forêts (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Au XIIe siècle, son nom Castèu Nou Destrau changea en mai 1162, quand Giraud Amic, cadet de la maison de Sabran en prit possession. Le village devint désormais Castrum novum Giraudi Amici ou castèu Nou de Moussen Girau[1]. Une des formes les plus courantes est de Castro novo, attestée en 1202[14].

    En 1669, Charles-Félix de Galéan, lieutenant général des armées de Louis XIV acheta ce fief. En novembre de la même année, une bulle pontificale de Clément IX éleva ces terres au rang de duché. La mère du général étant une Guadagni, désormais son nom servit à qualifier Châteauneuf[15]. Jusqu'à cette transaction, le bourg était nommé Châteauneuf-Lamic.[16]

    En occitan-provençal, Frederic Mistral, dans Lou Tresor dóu Felibrige (1878), signale Castèu-Nòu-de-Gadagno (selon norme mistralienne [17]; selon la norme classique cela donne Castèu Nòu de Gadanha).

    Histoire

    Préhistoire et antiquité

    Durant la préhistoire, il n'y eut pas d'habitat fixe sur cette colline dominant la vallée du Rhône. Elle servit uniquement de territoire de chasse comme l'atteste l'outillage lithique et les débris de poterie trouvés sur ce territoire[1].

    La colonisation romaine ne fut pas plus importante. Les fouilles, jusqu'à présent, n'ont livré qu'une stèle funéraire sur le plateau de Campbeaux et un tombeau à mobilier, daté de la fin du IIIe siècle, sur le chemin de Jonqueret[1].

    Moyen Âge

    Ce fut au cours du haut Moyen Âge qu'un vicus s'installa à Campbeaux. Des fouilles anciennes, faites en 1887 et 1912, ont permis d'exhumer, la première fois dix-huit sépultures, la seconde dix-sept. Au Xe siècle, le village fortifié, qui s'est formé sur son emplacement actuel autour d'un castrum, prit une hache comme emblème et elle fut gravée sut le linteau de ses portes. Son nom est attesté comme Castèu Nou Destrau au XIIe siècle[1].

    Vieux château de Châteauneuf-de-Gadagne et sa coquille.

    Ce fief, sous la suzeraineté des comtes de Toulouse, marquis de Provence, fut alors attribué comme mense à l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert. Puis, il échut, en mai 1162, à Giraud Amic, cadet de la maison de Sabran. Il prit désormais comme nom Castrum novum Giraudi Amici ou castèu Nou de Moussen Girau[1]. Mais cette famille dut partager sa seigneurie avec les Templiers.

    En 1274, les Amic, devenus vassaux du pape, en rendirent hommage à Guillaume de Villaret, recteur du Comtat Venaissin[1]. Jean XXII acquit la haute suzeraineté sur ce fief en 1323[15].

    Le , Giraud de Simiane, seigneur de Caseneuve, acheta aux Giraud Amic la terre et la baronnie de Châteauneuf[15]. Il dut alors leur verser la somme de 6 000 florins[1]. Ce Guiran de Simiane (?-v.1385), viguier de Marseille (1351), lieutenant du sénéchal (1382), chevalier, fut baron de Caseneuve, seigneur d'Apt et de Gordes après la mort de son frère aîné, Bertrand-Raimbaud[18]. Il fut le petit-fils de Guiran de Simiane, viguier de Marseille (1314), baile-juge d'Apt (1326), baron de Caseneuve et coseigneur d'Apt. Il épousa Dauphine de Sabran[19]. Le 24 juillet 1371, il acquit la seigneurie de Châteauneuf dans le Comtat Venaissin de Giraud Amic de Sabran[20]. Lors de la guerre de l'Union d'Aix, il prit parti pour le duc d'Anjou, en avril-mai 1382[21].

    Les Templiers

    Une « Maison du Temple » est attestée dès 1170. Ainsi qu'un legs de terres, près des rives de la Sorgue, au lieu-dit Cénot, en 1221[22].

    Celui-ci avait été fait par Giraud Amic III. Peu après sa mort, Tiburge des Baux, sa veuve, et leur fils Giraud Amic IV, contestèrent ce don. Il y eut arbitrage. Les templiers restèrent en possession de leurs terres, mais perdirent leurs droits seigneuriaux sur celles-ci[22].

    Renaissance

    En pleines guerres de religion, au cours du mois d'août 1562, le village et ses terres fut attaqué par le baron des Adrets[15]. Le curé ayant désiré rester pour s'opposer au baron protestant, il fut occis, son presbytère brûlé. Cet incendie mit le feu à tout le village. Puis la peste de 1586 suivit faisant des coupes claires dans la population[22].

    Au XVIIe siècle, ce fief passa entre les mains d'une nouvelle famille. En 1669, Charles-Félix de Galéan, lieutenant général des armées de Louis XIV et compagnon du grand Turenne, appartenant à une puissante famille d'origine génoise, installée à Avignon depuis le milieu de XIVe siècle, acheta ce fief[15]. L'acte fait état d'une transaction qui s'éleva à 68 000 écus[1].

    En novembre de la même année, une bulle pontificale de Clément IX éleva ces terres au rang de duché. La mère du général étant une Guadagni, désormais son nom servit à qualifier Châteauneuf. La famille des Gadagne de Châteauneuf s'est éteinte en 1925[15].

    Période moderne

    En 1720, la commune ne put échapper à la Grande peste et afin qu'un tel fléau ne puisse se renouveler, les habitants firent édifier une chapelle dédiée à saint Roch sur la place de la Pastière[22].

    Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

    Période contemporaine

    Réunion du Félibrige en 1854, au château de Font-Ségugne, à Châteauneuf-de-Gadagne.

    Le , Alphonse Tavan, Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Anselme Mathieu, Paul Giéra et Jean Brunet fondent à Châteauneuf-de-Gadagne, au château de Font-Ségugne, le Félibrige, réunion de poètes provençaux[22].

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    De gueules aux deux pals d'or, à l'écusson d'argent à la bande de sable remplie d'or accompagnée de deux roses de gueules, brochant en abîme sur le tout[23].

    Devise : l'obstacle augmente mon ardeur.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Thomas Respaut    
    1947 1959 Xavier Galzy    
    mars 1959 mars 1971 Raoul Milhaud    
    mars 1971 mars 1977 Charles Roure    
    mars 1977 mars 1983 Pierre Kreitmann   Officier d'artillerie puis industriel
    mars 1983 1985
    (décès)
    Guy Aimadieu    
    1985 2020 Pierre Molland DVG Cadre bancaire retraité
    2020 En cours Etienne Klein   Chercheur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 3 328 habitants[Note 3], en augmentation de 0,76 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8698651 0291 0631 1081 1001 1761 3311 473
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5431 5201 4731 3301 2001 1001 0641 028975
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0029609988518709489981 0461 089
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2221 3491 6782 0212 6192 8383 1573 2703 304
    2018 - - - - - - - -
    3 328--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    La vocation agricole de la commune s'est développée grâce à des moyens performants d'irrigation (Canaux, Sorgue, etc.) qui permettent cultures maraîchères et fruitières de qualité. La culture de la vigne, sur ce terroir classé en côtes-du-rhône (AOC), y est traditionnelle. Sous les papes d'Avignon, la renommée de ses vins éclipsait même celle de Châteauneuf-du-Pape[22].

    Industrie

    La commune accueille l'un des quatre centres d'embouteillage de l'Européenne d'Embouteillage. C'est le siège social de cette entreprise[29]. Elle héberge également le centre d'expédition d'Aroma-Zone[30].

    Tourisme

    Avec sa proximité d'Avignon et de son riche patrimoine, du Luberon, des Alpilles, la présence de la Sorgue, etc. le tourisme occupe directement (camping, restauration, gîtes, etc.) ou indirectement (artisans, etc.) une place importante dans l'économie de la commune.

    Vie locale

    À quelques kilomètres à peine, les zones commerciales à l'est d'Avignon offrent de nombreux commerces, grandes surfaces spécialisées et supermarchés.

    C'est à Châteauneuf-de-Gadagne qu'a eu lieu en 1996, le premier concert de chorales en faveur de la recherche médicale en ophtalmologie menée par l'association Retina France. Ce premier concert qui réunissait 7 chorales fut le catalyseur du plus grand événement de chorales en France appelé « Mille Choeurs pour un Regard » qui mobilise aujourd'hui des milliers de chorales en France. L'idée originale est attribuée à René Sicre habitant du village, malvoyant et adhérent de Retina France[réf. nécessaire].

    Enseignement

    Châteauneuf-de-Gadagne possède une école maternelle, une crèche, une école primaire publique (l'école Pierre-Goujon), ainsi qu'une école privée (Saint-Charles). Collèges, lycées et université sur Avignon. Néanmoins, Châteauneuf-de-Gadagne dépend du collège du pays des Sorgues qui se trouve au Thor.

    Sports

    Deux stades de football : le stade Paul-Mille sur le plateau et le stade de la Galère.

    Jeux de boules, pétanque notamment, sur le plateau.

    Piscine municipale, centre équestre, courts de tennis.

    Santé

    Les hôpitaux les plus proches sont à Avignon.

    Écologie et recyclage

    Depuis 2007, un plan vert est en projet, mis en place par la responsable du recyclage des ordures ménagères à la mairie, Mme Vial. Ce projet vise à mieux gérer l'urbanisme du village et à en reboiser certaines parties.

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement se fait dans le cadre de la communauté de communes du Pays des Sorgues et des Monts de Vaucluse.

    Cultes

    L'église paroissiale, placée sous le vocable de Jean-le-Baptiste, est de type roman, remaniée au XVIIIe siècle. Initialement, elle a été un prieuré des chanoines augustiniens de Saint-Ruf de Montpellier.

    La chapelle Saint-Roch, en l'honneur de ce saint anti-pesteux, a été construite au centre du village[2].

    Lieux et monuments

    Vieux remparts de Châteauneuf-de-Gadagne et porte d'Avignon.
    • Château de Font-Segugne. Lieu de résidence d'Alphonse Tavan et berceau du Félibrige en 1854.
    • Église.
    • Croix.
    • Reste de fortification avec d'anciennes portes.
    • Monument aux morts, Première Guerre mondiale.
    • Une chapelle dédiée à saint Roch.
    • Le Chemin des Gariguettes ayant donné son nom à la fraise Gariguettes où un chercheur castelnovin composait les équipes du Centre Inra d’Avignon fin des années 70[31].
    • Moulin de Blanchefleur, ancien moulin à eau, monument historique[32]

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Châteauneuf-de-Gadagne est le berceau du Félibrige, réunion de poètes provençaux, cofondé par Alphonse Tavan, Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Anselme Mathieu, Paul Giéra et Jean Brunet.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, (1re éd. 1857), 400 p. (lire en ligne)
    • Sylvain Gagnière, Fouilles d'un tombeau gallo-romain à Gadagne, Bulletin de la Société d'Études des Sciences Naturelles de Vaucluse, n° 2, 1950.
    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986 (ISBN 2903044279).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. Robert Bailly, op. cit., p. 149.
      2. Jules Courtet, op. cit., p. 149.
      3. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
      4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      7. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Avignon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
      11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1743.
      15. Jules Courtet, op. cit., p. 150.
      16. Archives Départementales du Vaucluse, 3 E 37 231 f° 412.
      17. Lou tresor dóu Felibrige, F. Mistral, vol. 1 p 492, éditions CPM 1979
      18. Pithon-Curt, Histoire, t.III, p.297
      19. Ibid., pp.297-298
      20. Cortez, Les grands officiers, p.121 et Baron du Roure, Famille de Sabran, p.15
      21. Xhayet, Partisans et adversaires, p.409, note 42
      22. Robert Bailly, op. cit., p. 150.
      23. Armorial des communes du Vaucluse
      24. http://www.chateauneufdegadagne.fr/uploads/journal/bm-04-17-pour-le-site.pdf
      25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      29. L'Européenne d'Embouteillage, sur Journal Du Net
      30. Romain Cantenot, « Vaucluse : la success story d'Aroma-Zone », Fémina Provence, (lire en ligne).
      31. « Histoire de... La Fraise Gariguette, ton goût me fait (...) », sur www.agrobiosciences.org (consulté le ).
      32. Notice no PA84000022, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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