Catus

Catus est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Catus

Église Saint-Astier.
Ancien prieuré Saint-Jean.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Olivier Liard
2020-2026
Code postal 46150
Code commune 46064
Démographie
Gentilé Catusiens, catusiennes[1]
Population
municipale
878 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 26″ nord, 1° 20′ 16″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 341 m
Superficie 21,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Bouriane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Catus
Géolocalisation sur la carte : Lot
Catus
Géolocalisation sur la carte : France
Catus
Géolocalisation sur la carte : France
Catus
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    La commune est traversée par la rivière Vert, à moins de 20 km au nord-ouest de Cahors.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 856 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[8]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[19] : le « vallon du ruisseau du Rieutord » (50 ha), couvrant 3 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[19] : la « vallée du Vert » (4 238 ha), couvrant 17 communes du département[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Catus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), zones agricoles hétérogènes (37,4 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Selon Gaston Bazalgues[28], le toponyme Catus pourrait être basé sur :

    • le nom d'une plante : l'euphorbe, la catapuça en occitan qui est devenu catuça pour donner enfin La Catusse ;
    • ou plutôt, l'anthroponyme gallo-romain Catius qui est devenu Catus (l'évolution phonétique est difficile à admettre : en effet, *Catus > *Cado > *Cad > *Cat, non Catus).

    Pour Dauzat et Rostaing, on pourrait penser au nom d'homme gaulois *Cattusius, variante intensive de Catusius[29].

    Pour d'autres[Qui ?], Catus doit son nom à l'installation de Romains dès 250 apr. J.-C. En effet, cattus "chat" en latin et langue romaine, animal, qui, selon la légende, aurait indiqué où se trouvait la source d'eau qui a permis l'expansion du village[réf. nécessaire]. Cette source, est toujours visible au-dessus du village et alimente principalement le lac artificiel du même nom.

    L'origine Catusse est de loin la plus probable car elle est confirmée par des patronymes locaux et un toponyme dans le Tarn alors qu'aucun patronyme Catus n'existe.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au premier d'azur au lion léopardé d'argent, accompagné de trois étoiles du même rangées en chef, au deuxième de gueules à la croix tréflée d'or, au troisième d'azur à la bande d'or accompagnée de six flanchis du même, trois en chef 2 et 1, trois en pointe 1 et 2, au quatrième d'argent à trois merlettes de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Hôtel de ville.
    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953 1959 Jean Marinot    
    1959 1971 Antoine Lafon    
    1971 1983 Lucien Andral    
    1983 2020 Claude Taillardas    
    2020 En cours Olivier Liard    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32]. En 2018, la commune comptait 878 habitants[Note 7], en diminution de 2,34 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1341 2441 2651 3871 4381 4781 4611 5101 534
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5111 6111 6211 5951 5841 7041 4571 3281 209
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1281 1001 036834813778752706654
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    685653647775807906911920881
    2018 - - - - - - - -
    878--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Astier. Ancien prieuré Saint-Jean.
    • Lac Vert
    • Gouffre de Laberrie
    • Église paroissiale Saint-Astier, ancien prieuré Saint-Jean[35],[36], il est mentionné pour la première fois en 1095 comme dépendance de l'abbaye Saint-Michel de Cluse (Italie). Les bâtiments sont construits au XIIe siècle. Après les destructions de la guerre de Cent Ans, des restaurations sont faites. L'église construite au XIe siècle est restaurée au XVe siècle et XVIe siècles. Le prieuré est vendu comme bien national à la Révolution.
      Les différentes parties du prieuré ont été classées ou inscrites au titre des monuments historiques : la salle capitulaire a été classée le 4 mars 1891, l'église, le 10 juin 1908, les façades et toitures des immeubles bordant la place de l'église, inscrites le 20 novembre 1942, les vestiges des bâtiments conventuels de la parcelle 185 ont été inscrites le 30 août 1995, les vestiges des bâtiments conventuels de l'aile est abritant la salle capitulaire et ceux de l'aile nord, à l'exception des aménagements modernes de la parcelle 186, et l'ancienne aire du cloître ont été classés le 20 novembre 1998[37].
    • Église Saint-Hilaire de Salvezou avec ses peintures murales, ancienne chapelle castrale datant du XIIe siècle et modifiée au XIXe siècle, a été inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques le 17 septembre 1990[38]. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[38].
    Hameau de Salvezou et l'église Saint-Hilaire
    Église Saint-Hilaire de Salvezou
    • Tour Dépétrat, ou tour des Anglais, ancienne demeure de notable, rue de la République.
    • Maison du Prieur, impasse de la Tour, avec une tour d'escalier, construite après la sécularisation du prieuré.

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Colette Chantraine, La Bouriane, Gourdon - Souillac. Sarlat et la vallée de la Dordogne, p. 26-29, Les éditions du Laquet, Martel, 1996 (ISBN 2-910333-17-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/catus/banque
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Cazals - Dde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Catus et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Cazals - Dde - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Catus et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    18. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Catus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « vallon du ruisseau du Rieutord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF la « vallée du Vert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, notice BnF no FRBNF40220401), p. 78.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, .
    30. « Les maires de Catus », sur francegenweb.org, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Mireille Bénéjeam-Lère - Le prieuré Saint-Jean de Catus - pp.205-230, dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1993
    36. Marguerite Vidal, Jean Maury et Jean Porcher, Quercy roman, La Pierre-qui-vire, Éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 3e éd. (1re éd. 1959), 336 p. (ISBN 2-7369-0143-6, ISSN 0768-0937, OCLC 489892065, SUDOC 011528664), p. 25-26.
    37. « Ancien prieuré Saint-Jean », notice no PA00095053, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Église de Salvezou », notice no PA00095286, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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