Canet-de-Salars

Canet-de-Salars est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Canet.

Canet-de-Salars
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes de Lévézou Pareloup
Maire
Mandat
Francis Bertrand
2020-2026
Code postal 12290
Code commune 12050
Démographie
Gentilé Canetols
Population
municipale
436 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 14′ 11″ nord, 2° 45′ 18″ est
Altitude Min. 713 m
Max. 870 m
Superficie 29,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Raspes et Lévezou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Canet-de-Salars
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Canet-de-Salars
Géolocalisation sur la carte : France
Canet-de-Salars
Géolocalisation sur la carte : France
Canet-de-Salars

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Canet-de-Salars se trouve au centre du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Lévézou[1].

    Elle se situe à 27 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 46 km de Millau[3], sous-préfecture, et à km de Pont-de-Salars[4], bureau centralisateur du canton de Raspes et Lévezou dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pont-de-Salars[5].

    Les communes les plus proches sont[6],[Note 2] : Prades-Salars (3,9 km), Pont-de-Salars (5,5 km), Salles-Curan (6,5 km), Trémouilles (8,8 km), Le Vibal (8,8 km), Curan (8,9 km), Arvieu (8,9 km), Ségur (9,0 km), Arques (9,8 km).

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Canet-de-Salars.
    Le lac de Pareloup vers Le Caussanel.

    La commune est drainée par le Vioulou, le Rieutord, le Ruisseau de Bage, le ruisseau de Buscaylet, le ruisseau de Sauganne, le ruisseau de la Gourde, le ruisseau de Lestang, le ruisseau de Vernhières, le ruisseau du Malpas, le ruisseau du Roucan et par divers petits cours d'eau[7].

    Le Vioulou, d'une longueur totale de 33,1 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-Pégayrols et se jette dans le Viaur à Trémouilles, après avoir arrosé 9 communes[8].

    Le Rieutord, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Salles-curan et se jette dans le Vioulou à Canet-de-Salars, après avoir arrosé 4 communes[9].

    Le Ruisseau de Bage, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Prades-Salars et se jette dans lale Viaur à Pont-de-Salars, après avoir arrosé 3 communes[10].

    Deux lacs complètent le réseau hydrographique :

    • Le lac de Pareloup fait partie de l'ensemble dit des lacs du Lévézou et est la 5e plus grande retenue d'eau artificielle de France et la deuxième du sud de la France. Il présente deux plages aménagées, la plage de Pareloup et la plage des Vernhes[11],[12].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[14].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[15],[16]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[17],[18].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 9,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 083 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[20]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[19]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[21]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau de la commune[22], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[23], à 10,7 °C pour 1981-2010[24], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[25].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27]. Les « Tourbières du Lévezou », d'une superficie de 487 ha, sont un ensemble de hauts plateaux qui, avec l'Aubrac et les grands causses, fait partie des hautes terres de l'Aveyron. Il est bordé à l'ouest par le Ségala, à l'Est par les grands causses, au Sud par le pays de Roquefort et au Nord par le pays Ruthénois et la vallée de l'Aveyron. Il a toutefois aujourd'hui en partie été détruit[28].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Canet-de-Salars comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 4],[29] :

    • le « Bocage de Trappes » (63,10 ha, couvrant 2 communes du département[30])
    • la « Tourbière du viala du frontin » (3,3 ha[31]);
    • la « Tourbière et zone humide de Douach » (33 ha[32]);
    • la « Zone tourbeuse des Pendaries » (24,4 ha[33]).

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[29], le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » (1 684 ha), qui s'étend sur 6 communes de l'Aveyron[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Canet-de-Salars est une commune rurale[Note 6],[35]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[36],[37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Pareloup, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[40]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[41],[42].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Canet-de-Salars.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38 %), zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (10,8 %), eaux continentales (10,8 %), terres arables (3,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), zones urbanisées (0,8 %)[43].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Lévézou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du Lévézou, qui associe deux communautés de communes, notamment la communauté de communes de Lévézou Pareloup, dont la commune est membre[44]

    La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[45].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Canet-de-Salars est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[46],[47].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[48].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[49].

    Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[50].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Canet-de-Salars est classée à risque moyen à élevé[51].

    Histoire

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Canet-de-Salars est membre de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[52], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Salles-Curan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[53].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[52]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[52], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[54].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Canet-de-Salars, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[55] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[56]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[57] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 69,7 %[58]. Francis Bertrand, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [59].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[60]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[61].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1970 1995 Louis Fontes    
    1995 2014 Patrick Geraud    
    avril 2014 en cours Francis Bertrand[62],[63]   Ancien agriculteur exploitant

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[65].

    En 2018, la commune comptait 436 habitants[Note 8], en augmentation de 3,81 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4875081 3951 219576427704652831
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    803777749707725763749798784
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    785822801725739748724684631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    601510485440440379394421431
    2018 - - - - - - - -
    436--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[66] puis Insee à partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre et son oratoire  Inscrit MH (1976)[68], considérée comme la cathédrale du Lévézou.
    • Près du Caussanel existe un alignement mégalithique.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Alain Pichon), Lo Pònt : Agenh, Arcas, Canet, Flavinh, Pradas, Tremolhas, Lo Vibal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton del Pònt, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36688567)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
    2. Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    2. « Distance entre "Canet-de-Salars" et "Rodez" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre "Canet-de-Salars" et "Millau" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Distance entre "Canet-de-Salars" et "Pont-de-Salars" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Métadonnées de la commune de Canet-de-Salars », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Canet-de-Salars », sur https://www.villorama.com (consulté le ).
    7. « Fiche communale de Canet-de-Salars », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « le Vioulou »
    9. Sandre, « le Rieutord »
    10. Sandre, « le ruisseau de Bage »
    11. « Monts et lacs du Lévézou - guide des plages », sur https://www.tourisme-aveyron.com/ (consulté le )
    12. « Barrage de Pareloup », sur https://www.barrages-cfbr.eu/ (consulté le )
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