Cabrières-d'Avignon

Cabrières-d'Avignon est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Cabrières.

Cabrières-d'Avignon

Enclos en pierre sèche
sommé de lauzes à pointe retournée.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Delphine CRESP
2020-2026
Code postal 84220
Code commune 84025
Démographie
Gentilé Cabriérois, Cabriéroises
Population
municipale
1 833 hab. (2018 )
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 34″ nord, 5° 09′ 00″ est
Altitude 190 m
Min. 105 m
Max. 626 m
Superficie 14,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cheval-Blanc
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Cabrières-d'Avignon
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Cabrières-d'Avignon
Géolocalisation sur la carte : France
Cabrières-d'Avignon
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Cabrières-d'Avignon

    Géographie

    Le village est situé sur les Monts de Vaucluse, placé sur un flanc de montagne en pente douce et face à la montagne du Luberon. Il s'est développé une activité commerciale dans son lieu-dit Coustellet, en bordure de commune et conjointement avec Robion et Maubec. La commune participe à la communauté de communes Luberon Monts de Vaucluse

    Communes limitrophes

    Saumane-de-Vaucluse
    Lagnes N Gordes
    O    Cabrières-d'Avignon    E
    S
    Robion Maubec Oppède

    Accès et transports

    Le chemin des Fileuses.

    L'accès se fait depuis Coustellet par la route départementale 110, en venant d'Avignon par la RN 100 puis la route départementale 147, de Lagnes par la route départementale 100 et de Gordes par la route départementale 2 puis la route départementale 110.

    Les sentiers de grande randonnée no 6 (GR6) et no 97 (GR97) passent sur la commune.

    La gare SNCF la plus proche est à Cavaillon, la gare TGV la plus proche est la gare d'Avignon TGV. La commune est desservie par les sorties de l'autoroute A7 à Avignon sud ou Cavaillon.

    Hydrographie

    Le ruisseau le Valla de la Merderie passe sur la commune.

    La Sénancole passe à l'extrémité sud-est de la commune.

    Relief

    La partie sud de la commune, composée principalement de terres agricoles, se situe sur les hauteurs de la plaine du Calavon (ou vallée nord-Luberon).

    La partie au nord du village, composée principalement de bois et garrigue, est située sur les monts de Vaucluse. Le point le plus haut est situé sur la pointe à l'extrémité nord de la commune.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

    Climat

    La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare.

    Relevé météorologique de Cavaillon
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 3 6 8 12 15 18 18 14 11 6 3 9,6
    Température moyenne (°C) 6 8 11,5 13 17,5 22 24,5 24 19 15 10 6,5 15,1
    Température maximale moyenne (°C) 10 12 16 18 23 27 30 30 24,7 20 13,1 10 20,3
    dont pluie (mm) 36,5 23,3 24,9 47,7 45,6 25,4 20,9 29,1 65,8 59,6 52,8 34 437

    Urbanisme

    Typologie

    Cabrières-d'Avignon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[5] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,3 %), cultures permanentes (33,6 %), zones urbanisées (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    L'origine du nom « Cabrières-d'Avignon » se trouve dans l'occitan cabrièra qui signifie « étable ou parc à chèvres »[12]. Le mot est un prolongement de cabra (cabro en graphie mistralienne), « chèvre », du latin capra.

    Cabrières-d'Avignon est aussi appelée Cabrières du Comtat ou du Comté[13].

    Transcrit en 1180 en « Cabrieras », puis successivement « Capreris », « caprieras » et retour à « Cabrieras ». Le nom francisé Cabrières fait son apparition au XVIe siècle. On lui ajoute ensuite « du Comtat » ou « d'Avignon », car le village était situé dans le Comtat Venaissin. En 1918, Cabrières prend officiellement le nom de Cabrières-d'Avignon[réf. nécessaire], ce qui permet de le différencier de Cabrières-d'Aigues qui est aussi dans le département de Vaucluse.

    Histoire

    Moyen Âge

    • XIe siècle/XIIe siècle, construction du château par la famille des Adhemar (vicomte de Cavaillon, branche cadette des Adhemar, premiers comtes héréditaires d'Orange). La famille devient les Baux-Adhemar à la suite d'une alliance avec les seigneurs des Baux.
    • XIVe siècle, Henri de Chiabeau succède au Baux-Adhemar. Sa fille, Laure de Chiabeau (née le 4 juin 1314), est considéré par certains historiens comme la (l'une des) Laure de Pétrarque.

    Renaissance

    Stèle rappelant le massacre des Vaudois à Cabrières.

    En 1490, par son mariage avec Germaine de Montjoie, Cabrières devient seigneurie de Giraud d'Ancézune, baron de Caderousse. Pour mettre ses terres "en rapport" il fera venir plusieurs familles vaudoises du Piémont.

    Cabrières étant le seul village vaudois fortifié, lors de la persécution de 1545, il servit de refuge. Le siège fut mis le 19 avril par les troupes de Paulin de La Garde, sous la direction du premier président du Parlement d'Aix, Maynier, seigneur d'Oppède. Au bout de quelques jours, la reddition fut acquise après négociation et promesse de vie sauve. Mais les hommes furent fusillés, les femmes combattantes enfermées dans une grange, et brûlées vives. Les autres furent violées et massacrées, les enfants et les vieillards exterminés : le bilan fut de 400 à 500 morts. Les survivants furent vendus comme esclaves à L'Isle-sur-la-Sorgue ou envoyés aux galères. Enfin, le village fut rasé, et une colonne élevée à la mémoire du président Maynier[14].

    Période moderne

    Mur de la Peste.
    • 1695 : les Consuls de la commune font creuser six puits éparpillés sur le territoire pour pallier des problèmes d'eau.
    • 1720 : Une épidémie de peste arrive à Marseille et gagne petit à petit le reste de la Provence. Les paroisses du Comtat Venaissin se protègent alors en construisant un mur de pierre sèche que l'on nommera plus tard le mur de la Peste.
    • Les étés 1724, 1758 et 1761 sont arides et entrainent des problèmes d'eau, c'est pourquoi en 1762 un système de tuyaux est mis en place pour acheminer l'eau au village.
    • 1765, les travaux pour l'acheminement de l'eau vers le village à l'aide de mines, de canaux et de tuyaux s'achèvent... mais un hiver trop rude fait fendre le bassin et tordre les canalisations, les mines, pas assez bien stabilisées s'effondrent. Tout est à refaire.
    • 1767, Cabrières ainsi que toutes les anciennes possessions des Ancézune, devient seigneurie des Grammont-Caderousse. Ils garderont le château jusqu'en 1807.
    • 1801, à la suite de la découverte dans le vallon des Beaumillons d'une réserve naturelle d'eau importante, de nouveau travaux sont entrepris.

    Période contemporaine

    • 1860 : Plantation de cèdres au nord du village.
    • 1872, le nouveau propriétaire du château clôture l'accès à la fontaine privant ainsi les habitants d'un précieux accès à une ressource vitale.

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[15] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 584 000 , soit 889  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 443 000 , soit 810  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 306 000 , soit 172  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 384 000 , soit 216  par habitant.
    • endettement : 746 000 , soit 419  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 9,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des Maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Mars 1792 1800 Jacques Tiran    
    Janvier 1800 1808 Louis Avon    
    Janvier 1808 1803 Dominique Bessière    
    Janvier 1813 1814 Jean Joseph Paget    
    Janvier 1814 1815 Joseph Bonnet    
    Juin 1815 1815 Esprit Avon    
    Août 1815 1816 Joseph Bonnet    
    Juillet 1816 1825 Dominique Bessière    
    Décembre 1825 1830 Jacques Bonnel    
    Septembre 1830 1831 Jean-François Avon    
    avril 1831 1835 Jacques Avon aîné    
    Janvier 1835 1848 Jean Avon    
    Mars 1848 1866 Jacques Avon    
    Mai 1866 1871 Paul Bonnel    
    Mai 1871 1874 Victor Avon    
    Mai 1874 1876 François Villard    
    Mai 1876 1879 Victor Avon    
    Septembre 1879 1881 Pierre Armand    
    Janvier 1881 1884 Anatole Picard    
    Mai 1884 1904 Adrien Joly    
    Mai 1904 1919 Frédéric Armand    
    Novembre 1920 1971 Sully Armand   Maire d'honneur à vie
    Mars 1971 1983 Martial Marreau    
    Mars 1983 1989 Emile Armand    
    Mars 1989 2004 Daniel Chabert    
    Février 2004 2020 Marie-Paule Ghiglione    
    Mai 2020 En cours Delphine Cresp    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

    En 2018, la commune comptait 1 833 habitants[Note 2], en augmentation de 4,74 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    605620649690775802859898904
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    894839792691722641620635636
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    603535523415504554572615624
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6717097801 0041 1421 4221 7051 7441 734
    2017 2018 - - - - - - -
    1 8161 833-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Coustellet, le collège du Calavon et son complexe sportif.

    La commune possède une école primaire publique[20], un collège Vallée-du-Calavon [21], ensuite les élèves sont dirigés vers le lycée Ismael-Dauphin (enseignement général) et le lycée Alexandre-Dumas (enseignements général et techniques) à Cavaillon ou bien vers le lycée Alphonse-Benoit (enseignement général et technologique) de L'Isle-sur-la-Sorgue.

    Sports

    Complexe sportif sur Coustellet (stade, gymnase, etc.), au niveau du collège.

    Un terrain permanent de dirt a été créé, où s'entraine la WRT family et le team Play-Bike. C'est aussi le lieu d'une épreuve du Wall Ride Tour (WRT) [22] qui a eu lieu en 2009 les 13 et 14 juin avec une grande nouveauté : le contest s'est déroulé de nuit.

    Parcours de santé au sein de la forêt des cèdres, au nord du bourg.

    Économie

    La zone commerciale de Coustellet a su attirer beaucoup de commerçants, professions libérales, etc.

    Agriculture

    Culture de cerisiers, amandiers, oliviers, vignes (raisin de table et de cuve)... mais aussi production d'asperges et de truffes (nombreuses chênaies).

    La commune produit des vins AOC Ventoux. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays d'Aigues[23].

    Industrie

    La commune héberge le site de production et de recherche et développement d'Aroma-Zone[24].

    Tourisme

    Comme l'ensemble des communes dites du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.

    On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[25].

    Nombreuses chambres d'hôtes, petit hôtel, circuits pour randonnées... comme pour la plupart des communes du nord Luberon.

    Petits commerces : Boulangerie, boucher-traiteur, alimentation générale au niveau du village, boulangeries, traiteur, pharmacie et vente de matériaux sur Coustellet. À noter que Coustellet est une zone à cheval sur plusieurs communes et qu'il y a donc tous les commerces de base et bien plus sur place (dont mini marché bio, plusieurs traiteurs, restaurant chinois, peinture, décoration, etc.).

    Équipements publics : Salles communes, bureau de poste, école communale et mairie au village, médiathèque (ouverte toute l'année), école maternelle et crèche, collège et complexe sportif au niveau de Coustellet.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Borne indiquant le mur de la Peste.
    L'église paroissiale Saint-Vincent.
    Château de Cabrières.
    • Église paroissiale Saint-Vincent d'origine romane[26].
    • Château du XIIIe siècle (privé), reconstruit à la fin du XVIe siècle après l'épisode vaudois[27].
    • Au nord du village, sur les pentes des Monts de Vaucluse, la « forêt des cèdres »[28] s'étend sur un peu plus de cinq hectares : buvette, espace pique-nique, promenade, parcours de santé.
    • Chapelle Saint-Eusèbe au sud du bourg[29].
    • Oratoire de la Vierge (1968)
    • Vieux lavoirs, citerne-lavoir, fontaines, bories et éguiers.
    • Reste d'une partie du mur de la Peste 1721 au nord du village.
    • Musée de la lavande (attraction touristique) sur Coustellet[30].
    • Moulin à huile[31].
    • Monuments commémoratifs :
      • Colonne commémorant le massacre de 1545.
      • Monument aux morts[32],[33].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique


    'De gueules à la chèvre d'or saillante, accompagnée au premier franc canton d'une étoile de seize rais du même.

    Les armes de Cabrières d'Avignon se blasonnent ainsi :

    De gueules à la chèvre d'or saillante, accompagnée au premier franc canton d'une étoile de seize rais du même.

    La chèvre est les armes parlantes du village, c'est-à-dire d'armes composées avec des éléments dont la consonance est proche de celle du nom du possesseur. L'étoile provient des armoiries des seigneurs des Baux.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Gabriel Audisio, « La prise d’une ville hérétique, Cabrières-d’Avignon (1545) », dans Prendre une ville au XVIe siècle, Presses universitaires de Provence (Collection Le temps de l’histoire), Aix-en-Provence, 2004, p. 33-50 (ISBN 978-2-85399581-8) (lire en ligne)
    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, (ISBN 978-2-903044-27-5)
    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, (1re éd. 1857), 400 p. (lire en ligne)
    • Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Avignon, A. Barthélemy, , 207 p. (ISBN 978-2-87923-041-2)
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Cabrières-d'Avignon, p. 218

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
      2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      12. Louis Alibert, Dictionnaire occitan-français, Toulouse, 1966-1976 - Jacques Astor, Dictionnaire des Noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, éd. du Beffroi, Millau, 2002.
      13. Gabriel Audisio, notice « Cabrières-d'Avignon », Guide historique du Luberon vaudois, Apt : co-édition Les Alpes de lumière/Parc naturel régional du Luberon, 2002, n° 139. (ISSN 0182-4643), (ISBN 2-906162-58-2) (notice BnF no FRBNF38883232), p. 42.
      14. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p 130-131
      15. Les comptes de la commune
      16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      20. Enseignement publique primaire en Vaucluse
      21. Carte scolaire du Vaucluse
      22. Site du WRT
      23. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
      24. Carina Istre, « Cabrières-d'Avignon : nouvelle stratégie pour Aroma-Zone », Le Dauphiné, (lire en ligne).
      25. Voir Massif du Luberon
      26. L'église Saint Vincent
      27. « Château de Cabrières », notice no PA00081987, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      28. Foret de cèdre de Cabrières d\'Avignon
      29. La chapelle Saint Eusèbe
      30. Musée de la lavande
      31. Moulin à huile
      32. Monument aux morts
      33. Photo Monument aux morts
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