Bourecq

Bourecq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Bourecq

La mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain Barrois
2020-2026
Code postal 62190
Code commune 62162
Démographie
Population
municipale
622 hab. (2018 )
Densité 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 34′ 17″ nord, 2° 26′ 10″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 49 m
Superficie 4,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Norrent-Fontes
(banlieue)
Aire d'attraction Aire-sur-la-Lys
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lillers
Législatives 8e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bourecq
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Bourecq
Géolocalisation sur la carte : France
Bourecq
Géolocalisation sur la carte : France
Bourecq

    Géographie

    Communes limitrophes

    Géologie, hydrographie et reliefs

    La Nave à Bourecq

    Géologie

    On distingue, localement, dans la commune[1], quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Aumerval, Burbure, Divion, Fléchin. Ces affleurements du Cénozoïque peuvent abriter une flore originale.

    Hydrographie

    La Nave une rivière française, longue de 21,9 km, traverse le village.

    Elle prend sa source à Fontaine-lès-Hermans, pour se jeter dans la Clarence à hauteur de Gonnehem et est donc un sous-affluent de l'Escaut par la Lys[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Bourecq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Norrent-Fontes, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 2 844 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aire-sur-la-Lys dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (7,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Le site a été parcouru ou même sans doute habité à l'époque gallo-romaine, comme l'a attesté la découverte d'une pièce de monnaie (un antoninien) près de l'église[13].

    En 831, une petite communauté de dix chanoines, relevant de l'abbaye de Saint-Riquier, y était installée et disposait d'une petite bibliothèque ainsi que de divers objets liturgiques d'une certaine valeur, dont un « scyphus » (gobelet) en argent et une dalmatique[14].

    Bourecq avait pour dépendances deux domaines et leur église respective, Thiennes et Nedon[15]. Celle-ci disparut probablement dès la fin du IXe siècle ou au IXe siècle[16].

    Au Moyen Âge, un souterrain (qui existerait toujours, et qui partirait d'une armoire à double fond, encastrée dans le mur du château) aurait été creusé pour relier le manoir aux églises d'Ham-en-Artois et de Thérouanne, et aussi au château de Créminil à Estrée-Blanche[réf. nécessaire].

    Au XIIIe siècle, le château appartenait aux Malaunoy[17]. En 1204, le seigneur de Malanoi, Hugo de Malo-Alneto, fut l'un des garants au nom du roi de France de l'observation de la capitulation de Rouen et, cinq ans plus tard (en 1209), jura à Philippe Auguste de l'aider contre toute personne, sauf la dame de Lillers et le comte de Flandres[18].

    En 1520, cet important château de Malannoy appartenait à Charles de Croy, comte de Chimay, parrain de Charles Quint[19]. Il fut détruit en 1543 par l'armée du duc de Vendôme.

    La seigneurie de Bourecq passe après le décès de Jean d'Isque, écuyer, à son neveu, Jean Lesquevistre, qui en « paie relief » à l'évêque de Thérouanne en janvier 1548[20].

    Au centre du village, près de l'église, le manoir féodal, fortifié au XVIe siècle, fut agrandi et aménagé pour l'une des maîtresses d'Henri IV[réf. nécessaire].

    François Perrochel, évêque de Boulogne-sur-Mer (de 1643 à 1675), après sa visite de la paroisse, refusa l'invitation du châtelain malgré l'orage menaçant, ce qui fut l'occasion d'une anecdote de plus à propos de ce dignitaire estimé de l'Église[21].

    Le duc de Marlborough, général des armées de la coalition anglaise lors de la Guerre de Succession d'Espagne contre la France, y séjourna quelques jours[réf. nécessaire].

    En mars 1790, lors de la Révolution française, « la Communauté de Bourecq-en-Artois annonce que les déclarations patriotiques des habitants s'élèvent à 1192 livres 17 sols, quoiqu'il y en ait à peine trois qui jouissent de 400 livres de revenu. »[22]. Sous la Révolution, Pierre Paul Saligot, « curé jureur » se rendit « fameux pour s'être toujours montré anti-évêque et anti-religieux »[23].

    Vers 1830, les fontaines de Bourecq et des villages environnants sont comparées à « de véritables jets d'eau naturels »[24].

    Vers 1860-1870, l'école primaire de Louis Vendeuse[25] dispose de jardins scolaires, dans le style des jardins ouvriers[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1804   Pigouche[27]    
    vers 1865   M. de Saint-Laurent[28]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995 mars 2008 Francis Hernu    
    mars 2008 mai 2020 Paul-André Défossez[29]   Retraité
    mai 2020[30] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Alain Barrois    

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 622 habitants[Note 3], en augmentation de 3,84 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460412421492518517487505540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    551596599607591576560514515
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    532549539565550544539540556
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    578565607556560517519571604
    2018 - - - - - - - -
    622--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,3 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 23,4 %, plus de 60 ans = 17,7 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 14,7 %, 30 à 44 ans = 22,1 %, 45 à 59 ans = 18,2 %, plus de 60 ans = 23,6 %).
    Pyramide des âges à Bourecq en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,4 
    75 à 89 ans
    11,2 
    11,5 
    60 à 74 ans
    11,6 
    23,4 
    45 à 59 ans
    18,2 
    21,1 
    30 à 44 ans
    22,1 
    17,6 
    15 à 29 ans
    14,7 
    20,3 
    0 à 14 ans
    21,3 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Économie

    L'activité économique est animée par quelques commerces de proximité et artisans ainsi que par des exploitants agricoles (traiteur, menuisier ébéniste, vente directe de produits de la ferme, surface commerciale).

    Le village bénéficie de la facilité d'accès (D 943 (ancienne RN 43) et sortie no 5 de l'autoroute A26).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ancien manoir fortifié du XVIe siècle[37],[38], situé sur la place centrale du village, où demeure le souvenir du duc de Marlborough dans la chambre ronde, à carreaux d'un blanc éclatant dans le donjon seigneurial, où un boulet de canon, et divers objets militaires sont conservés[réf. nécessaire].
    Ce manoir (« avec donjon, meurtrières et mâchicoulis »[39]) a des douves, des écuries, et derrière le bâtiment une immense terre allant jusqu'à la rivière la Nave. Le pont-levis a disparu, mais la porte monumentale, d'époque médiévale, et les grilles de l'entrée précèdent un parc planté de conifères qui protège l'habitation principale. Les murs ont, par endroits, plus de sept mètres d'épaisseur, la salle de garde subsiste avec son imposante cheminée d'époque. La demeure, dont les trois quarts ne sont pas habités et restent en l'état, dispose d'une imposante cour intérieure.
    Une statuette de la Vierge, en bois, qui daterait de l'an 500, subsiste. Altérée par le temps (piquée de vers), elle est protégée et en cours de restauration[réf. nécessaire].
    • Église Saint-Riquier[40], datant de 1723[39]. La paroisse possède des reliques de ce saint, qui y fut invoqué (comme dans bien d'autres paroisses) pour des infirmités infantiles[41]
    • Monument aux morts[42], dont le sommet est orné d'une croix.
    • Le Malannoy, lieu-dit à l'écart (au nord) du village et à l'est de Norrent-Fontes, est aujourd'hui une ferme isolée occupant le site de l'ancien château fort, qui aurait été équipé de douze tours. Il n'en subsiste que le « tronçon » inférieur d'une seule d'entre elles[43]. Une vue aérienne ou par satellite permet de visualiser encore parfaitement le tracé circulaire de cette forteresse qui fut rasée en 1543.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Bourecq blasonnent ainsi :
    parti :au1) de gueules aux trois chevrons d’argent, au 2) de gueules fretté d’argent de quatorze pièces et au franc-quartier aussi d’argent.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. également visible sur la carte géologique
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630) » (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Norrent-Fontes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Aire-sur-la-Lys », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. (page 208) Revue du Nord, Volume 67, Numéros 264 à 267, éd. Université de Lille, 1985
    14. (pages 231 et 267) Émile Lesne, Histoire de la propriété ecclésiastique en France, Volume 3, 1936
    15. (page 258) Charles Mériaux, Gallia irradiata : Saints et sanctuaires dans le nord de la Gaule du haut Moyen Âge, éd. Franz Steiner Verlag, 2006, 428 pages.
    16. (pages 20-21) Revue d'histoire ecclésiastique, Volume 97, Numéro 1, éd. Université catholique de Louvain, 2002
    17. (page 289) C. Klincksieck, Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, 1889
    18. (page 55) Société de l'histoire de France, Volumes 303 à 304, 1901
    19. (page 174) Liber amicorum : Études historiques offertes à Pierre Bougard, Commission départementale d'histoire et d'archéologie du Pas-de-Calais, 1987 - 358 pages
    20. (page 852) Louis Eugène de La Gorgue-Rosny, Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, volume 2, 1875
    21. (p. 134-135) Eugène Van Drival, Histoire des évêques de Boulogne, éd. Berger frères, 1852
    22. (page 17) Procès-verbal de l'Assemblée Nationale Constituante, Volume 15, Séance du 13 mars 1790 au soir
    23. (pages 177 et 387) Augustin Victor Deramecourt, Le clergé du diocèse d'Arras, Boulogne & Saint-Omer pendant la Révolution (1789-1802), 1885
    24. (page 44) Richard, Guide classique du voyageur en France, éd. Audin, 1830-1831
    25. (page 28) Recueil des lois et actes de l'instruction publique, éd. Delalain frères, 1882
    26. (page 706) Bulletin médical, 1904
    27. (page 129) Annuaire statistique du département du Pas-de-Calais pour l'an XII de la République Française (1803-1804)
    28. (colonne 965, page ?) Louis Paris, État présent de la noblesse française, éd. Bachelin-Deflorenne, 1866, 1230 pages
    29. Reno Vatin, « Projet des maires, Bourecq : Paul-André Defossez annonce un city-stade et un jardin d’enfants : Second mandat pour Paul-André Defossez, à Bourecq. Où il sera question d’un city-stade, d’un jardin pour enfants, de l’élargissement du trottoir qui longe l’école, de rénovation du toit de la sacristie et de la salle des fêtes. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    30. Camille Janik, « Bourecq : un nouveau maire en la personne d’Alain Barrois : Le nouveau conseil municipal a été installé samedi 23 mai », L'Écho de la Lys, (lire en ligne, consulté le ) « aul-André Défossez a rendu son écharpe de maire, celui-ci ne se représentant pas aux élections municipales. C’est Alain Barrois, 65 ans, qui prend sa suite et qui a été élu maire ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Évolution et structure de la population à Bourecq en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. Page "tourisme" du site de la communauté de communes
    38. L'Écho du Pas-de-Calais no 110 (juillet/août 2010)
    39. (page 251) Bulletin trimestriel de la Société académique des antiquaires de la Morinie, Volume 11, Partie 1, 1902
    40. Page dédiée de la communauté de communes
    41. (page 552) Société des antiquaires de Picardie, 1883
    42. Page spécifique du site Mémoires de pierre
    43. Page spécifique du site de la communauté de communes
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