Bois-Colombes

Bois-Colombes est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine, au nord-ouest de Paris, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bois (homonymie) et Bois (communes).

Bois-Colombes

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Boucle Nord de Seine
Maire
Mandat
Yves Révillon
2020-2026
Code postal 92270
Code commune 92009
Démographie
Gentilé Bois-Colombiens
Population
municipale
28 468 hab. (2018 )
Densité 14 827 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 03″ nord, 2° 16′ 06″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 43 m
Superficie 1,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Colombes-2
Législatives 3e circonscription des Hauts-de-Seine
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Bois-Colombes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Bois-Colombes
Géolocalisation sur la carte : France
Bois-Colombes
Géolocalisation sur la carte : France
Bois-Colombes
Liens
Site web bois-colombes.com

    Ville principalement pavillonaire, située près du quartier de La Défense, c'est par sa date de création (1896) une des communes les plus récentes du département des Hauts-de-Seine.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Bois-Colombes est située au nord du département des Hauts-de-Seine, dans un méandre de la Seine (Presqu’île de Gennevilliers). Les communes limitrophes de la ville sont : Asnières-sur-Seine (à l'est et au nord), Colombes (au nord et à l'ouest), La Garenne-Colombes (au sud-ouest) et Courbevoie (au sud).

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 174 hectares (1,74 km2) ; et l'altitude est relativement plate : celle-ci varie de 28 à 43 mètres[1].

    Climat

    Le climat de Bois Colombes n'est pas très différent de celui de Paris et de la petite couronne : celle-ci possède un climat de type océanique dégradé : l'influence océanique est prépondérante et se traduit par des étés relativement frais (19 °C en moyenne), des hivers doux (4 °C en moyenne) avec des pluies fréquentes en toute saison et un temps changeant. Les pluies y sont plus faibles (641 millimètres) que sur les côtes et quelques pointes de température sont à signaler au cours d'un même hiver ou d'un même été. Le climat de la ville connaît par ailleurs une certaine variabilité d'une année sur l'autre, certains hivers ou étés pouvant connaître des pics de température ou de précipitations.

    Voies routières

    Bois-Colombes est assez à l'écart des grands axes routiers du nord des Hauts-de-Seine, mis à part la Route nationale 309.

    On peut rejoindre Paris facilement en une vingtaine de minutes par la porte d'Asnières et par la porte de Champerret, où encore également par la porte de Clichy, mais aussi La Défense et Argenteuil ainsi que des grands axes autoroutiers alentoutrs tels que l'A14 et l'A86.

    La commune est délimitée par quelques axes départementaux : l'avenue de l'Agent-Sarre (D 986) et l'avenue d'Argenteuil (Route nationale 309) au nord, la rue des Bourguignons (D 11) à l'est prolongée vers le sud-ouest par l'avenue Faidherbe. Elle est également traversée par la rue du Général-Leclerc (D 13), la rue Victor-Hugo (D 13bis) ou l'avenue Charles-de-Gaulle. Les nombreux feux tricolores et sens uniques limitent le flux de circulation de transit dans la commune.

    Train

    Bois-Colombes est desservie par trois gares, toutes situées en limite du territoire communal :

    • Bois-Colombes, à l'est et à proximité du centre-ville, est desservie par la ligne J, par les missions reliant Paris Saint-Lazare à Ermont-Eaubonne.
    • Bécon-les-Bruyères, au sud, est desservie par la ligne L par missions reliant Paris Saint-Lazare à Nanterre et Cergy d'une part, et celles vers Saint-Nom-la-Bretèche d'autre part.
    • Les Vallées, à l'ouest est desservie également par la ligne L, mais uniquement par les missions reliant Paris Saint-Lazare à Nanterre et Cergy.

    La ville est à dix minutes de Paris-Saint-Lazare et des Grands Boulevards par la ligne J et sept minutes de La Défense depuis la gare de Bécon-les-Bruyères, par la ligne L.

    Tramway

    Depuis , Bois-Colombes est également desservie par le tramway, T1 à son terminus ouest, qui est implanté au carrefour des Quatre-Routes, à la limite avec Asnières et Colombes.

    Métro

    La station Pont de Levallois - Bécon, terminus de la ligne 3 du métro parisien est à vingt minutes à pied de l'entrée Sud de la commune.

    La ligne 13 du métro parisien dessert le nord de la commune via ses deux dernières stations : Les Agnettes et Les Courtilles qui sont à environ dix minutes à pied respectivement du carrefour des Bourguignons et du carrefour des Quatre-Routes.

    Dans le cadre du Grand Paris Express, deux stations sont prévues sur la commune : Bois-Colombes en correspondance avec la ligne J, et Bécon-les-Bruyères, située sur la limite communale avec Courbevoie, en correspondance avec la ligne L.

    Un projet de prolongement de la ligne 3 du métro parisien est d'ailleurs envisagé à la gare de Bécon pour offrir une correspondance avec la ligne L et la future ligne 15 du métro de Paris.

    Bus

    La ville est desservie par le Réseau de bus RATP et par les lignes suivantes : RATP140165167178278304378

    Ces lignes mènent principalement au gares routières et lieux importants des environs (ex : Portes de Paris, La Défense, Argenteuil, Colombes et etc.)

    Vélo en libre service

    Le réseau Vélib' n'est pas implanté à Bois-Colombes ni dans les communes limitrophes[réf. nécessaire] (excepté Colombes récemment). La station la plus proche se trouve à Colombes, au Parc Pierre-Lagravère.

    Urbanisme

    Typologie

    Bois-Colombes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].

    Morphologie urbaine

    L’Insee découpe la commune en douze îlots regroupés pour l'information statistique soit Lépine-Binet, Glatz-Mivière, Guyot-De Gaulle, Chefson-De Gaulle, Paix-Estienne d'Orves, Hugo-Bel Air, Verdun-Leconte, Déroulède-Leclerc-Albert, Duflos-Geraldy, Jaurès-Vaudreuil, Jaurès-Litolff, Faidherbe-Pasteur[10].

    Occupation des sols en 2003
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 95,89 % 168,06
    Espace urbain non construit 4,11 % 7,93
    Espace rural 0,00 % 0,00
    Source : Iaurif[11]

    Bois-Colombes est divisée en quartiers :

    • les Chambards, près de l'avenue d'Argenteuil (ancienne RN 309) reliant le carrefour des Bourguignons aux Quatre Routes de Colombes. Proche des Hauts d'Asnières (anciennement quartiers nord) d'Asnières-sur-Seine, il est le moins huppé. L'habitat est de petits pavillons et d'immeubles ;
    • le centre avec les services (hôtel de ville, poste principale, école Paul-Bert, marché du centre, bibliothèque, église Notre-Dame-de-Bon-Secours, gare de Bois-Colombes...). Si le centre est bien placé sur l'axe nord-sud, il est décalé sur l'axe est-ouest étant limitrophe d'Asnières-sur-Seine. L'urbanisation ayant commencé près de la gare, l'habitat est plus dense avec des immeubles ;
    • les Vallées, en limite de Colombes et de La Garenne-Colombes, est résidentiel avec un habitat majoritairement constitué de pavillons avec de petits immeubles en coin des rues ;
    • la côte Saint-Thibaut est le pendant un peu plus dense côté Asnières-sur-Seine. S'y trouve le centre nautique qui a remplacé la piscine municipale lorsqu'elle a été privatisée ;

    Les Bruyères (qui a donné son nom à la gare de Bécon-les-Bruyères) était une zone industrielle en limite de Courbevoie et de La Garenne-Colombes. La zone en réaménagement est constituée d'immeubles de bureaux et de logements entourant un parc. La cité scolaire Albert-Camus, scolarisant aussi des élèves de communes voisines, est entre les Vallées et les Bruyères avec un centre sportif (piscine, gymnase et pistes d'athlétisme en tartan).

    Logement

    Principalement des maisons bourgeoises, de grands pavillons et des appartements luxueux d'immeubles haussmanniens. Ont été construits des quartiers, après la guerre des appartements plus modestes.

    La politique, depuis des décennies n'est pas de construire du logement social mais de construire depuis plus de vingt ans des résidences de qualité pour gens modestes[réf. nécessaire]. L'attribution des logements s'effectue par tirage au sort pour éviter le favoritisme.

    Projets d'aménagements

    Sans projet d'extension car très urbanisée la ville soutient les rénovations (particuliers et copropriétés) afin d'embellir et de garder le caractère historique. Elle a acquis un terrain au nord d'Asnières (la Redoute) pour installer le cimetière communal faute de place sur son territoire[Quand ?].

    Si la politique d'embellissement de l'équipe municipale est surtout axée sur le quartier des Bruyères et sur le centre-ville, une action de réhabilitation du quartier nord est entreprise depuis quelques années : travaux place Jean-Mermoz, création d'un nouveau collège, opérations immobilières "renouvellement de l'avenue d'Argenteuil" et "Pompidou - Le Mignon". Cette dernière opération est entrée dans sa phase active mi-2011 avec le début des démolitions de maisons autour de la rue Gramme. Néanmoins certains propriétaires refusent de quitter leurs maisons. Plusieurs associations (Mon Toit Mon Droit[12], ADN-BC[13]) se sont constituées pour dénoncer les conditions d'attribution de cette opération à Bouygues Immobilier et les pressions qui seraient exercées sur les propriétaires des maisons se trouvant dans la zone. De même, l'association Changeons d'èRe[14] milite contre ce projet et intervient régulièrement par l'intermédiaire des conseillers municipaux de la liste du même nom, pour dénoncer officiellement la situation difficile que vivent les familles.

    Toponymie

    En 1851, le recensement de Colombes fait état de 17 habitants au lieu-dit « Bois de Colombes ». Le territoire communal était auparavant une zone boisée (voir la carte de Cassini) située à mi-chemin entre les villages d'Asnières-sur-Seine et de Colombes. La toponymie de la ville viendrait donc de cette époque et de l'ancien empacement de ce bois, près de Colombes, nom ensuite donné à la ville à sa création.

    Histoire

    Le passage à niveau sur la ligne de Saint-Germain. La commune doit son existence à l'arrivée du chemin de fer.
    La rue des Bourguignons marque la limite entre Asnières-sur-Seine et Bois-Colombes.
    • Quartier boisé jusqu'au milieu du XIXe siècle faisant partie du territoire de la commune de Colombes, celui-ci sera occupée, après la chute du premier Empire (1815), par les Cosaques qui y établissent un campement. Les premières habitations seront des guinguettes construites pour accueillir les promeneurs du dimanche, de plus en plus nombreux en raison de l'expansion de la ville voisine d'Asnières-sur-Seine[15].
    •  : Ouverture de la ligne de chemin de fer de Paris à Argenteuil.
    • 1857 - L'écart de « Bois-de-Colombes » nait sous le Second Empire grâce au chemin de fer.
    • 1880 - (vers cette date) Premier projet d'indépendance de la commune pour se détacher de Colombes.
    • 1891 - Inauguration du marché sous les auspices de la ville de Colombes.
    • 1896 - C'est finalement sous la présidence de Félix Faure et après vingt ans de palabres épiques que la commune est enfin créée à partir de la section du "Bois de Colombes" distraite de la commune de Colombes, par la loi du [16]. Les limites de son territoire sont déterminées aux dépens de Colombes, le maire d'Asnières, M. Hector-Gonsalve Fontaine, ayant déclaré avec véhémence « qu'il ne voulait pas céder ni un pouce de terrain, ni un moellon des maisons de sa ville ! ». La commune est rattachée au canton de Courbevoie (arrondissement de Saint-Denis). L'îlot boisé situé près du village de Colombes, anciennement consacré à la chasse puis à la promenade devient un village, déjà relié à Paris par trois lignes de chemin de fer. La proximité de la capitale favorise le développement de l'agglomération et devient rapidement un important village habité par des artistes, des savants, des commerçants et des employés. Au jour de son indépendance elle est déjà dotée d'une église, d'une école (Paul-Bert) et du plus grand marché des environs.
    • 1896 - La commune nouvellement créée fait l'acquisition de l'ancienne redoute de Gennevilliers, située sur le territoire d'Asnières, pour y établir son cimetière, il comporte un carré militaire pour les morts de la Première Guerre mondiale.
    • 1897 - Le , une partie du territoire, en particulier la rue Jean-Jaurès et la gare des Carbonnets, est touchée par une tornade
    • 1901 - Décès de Zénobe Gramme inventeur de la dynamo, le conseil municipal décide de donner le nom de l'électricien au « chemin de la Révolution » allant de l'avenue d'Argenteuil à l'avenue de Gennevilliers (future avenue de l'Agent-Sarre).
    • 1908 - Rattachement de la ville au canton de Colombes.
    • 1910 - À l'instar des communes avoisinantes, Bois-Colombes connaît les inondations liées à la crue de la Seine. Pendant cette crue les sinistrés du quartier des Quatre-Routes trouvent refuge dans le marché de Bois-Colombes.
    • 1935 - Construction de l'actuelle gare dessinée par Urbain Cassan.
    • 1935-1937 - Construction de la nouvelle mairie.
    • 1943
      • Le 9 septembre, la ville et le quartier des vallées sont bombardées par les Alliés. L'usine Hispano-Suiza, sous contrôle de l'occupant, est très certainement visée mais elle ne sera pas touchée. Les dégâts sont importants, une trentaine de bombes explosent, elles feront 13 victimes et en blesseront trente autres. Elles détruiront ou endommageront plus de 70 immeubles d'habitations.
      • Le 15 septembre, la ville sera de nouveau bombardée. Plus de 230 bombes exploseront et feront 41 morts et 93 blessés. Elles détruiront ou endommageront près de 800 immeubles.
      • Le 31 décembre, la ville connaîtra la dernière vague de bombardement de son histoire. Près de 200 bombes exploseront et feront 19 morts et 22 blessés. Elles détruiront ou endommageront près de 400 immeubles.
    • 1957 - La vétusté de l'ancien marché, créé en 1891, justifiera une complète reconstruction, et un élargissement des rues formant accès.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune a été créée en 1896, par détachement de la commune de Colombes.

    Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine et son arrondissement de Nanterre après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1968 de la Troisième circonscription des Hauts-de-Seine.

    La ville était historiquement le chef-lieu du canton de Bois-Colombes. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Colombes-2.

    Intercommunalité

    La ville n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu'en 2016.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[17].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Boucle Nord de Seine[18].

    Tendances politiques et résultats

    La mairie.

    Pour les échéances électorales de 2007 Bois-Colombes fait partie des 82 communes[19],[20] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter.

    Bois-Colombes se donne des maires de droite avec une grande régularité, malgré des querelles internes à ce camp, qui ont pu parfois tourner au règlement de comptes. Émile Tricon, maire pendant 33 ans (sénateur de 1986 à 1988), a laissé en (après son accession au siège de sénateur des Hauts-de-Seine, en réalité pour permettre à Charles Pasqua de reprendre ce siège en 1988) son siège en cours de mandat à son adjoint Jean-François Probst. Les ambitions nationales de celui-ci, il finira conseiller de Jacques Chirac, conduisirent les Bois-Colombiens, peu enthousiasmés par des projets qui semblaient devoir nuire à l'atmosphère provinciale de la ville, à l'éconduire lors des élections suivantes en 1989. Roger Blinière, qui lui succéda, perdra lui aussi son siège à la fin de son mandat au profit d'Yves Révillon, réélu en 2001, qui a également été élu conseiller général.

    Bois-Colombes est totalement équipée de machines de vote électronique lors des élections de 2007. D'ailleurs, trois machines sont tombées en panne le et les temps d'attente ont atteint des records, jusqu'à parfois deux heures[21],[22].

    Liste des maires

    Depuis la Libération, sept maires se sont succédé à Bois-Colombes :

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    aout 1944 mai 1945 Hubert Muelle   Commerçant
    mai 1945 octobre 1947 Marcel Boucheny   Directeur de société
    octobre 1947 mai 1953 Jacques de Meyer   Commerçant
    mai 1953 novembre 1986 Émile Tricon[24] RPF
    puis UNR
    puis UDR
    puis RPR
    Agent de change
    Sénateur des Hauts-de-Seine (1986 → 1988)
    Député de la Seine puis des Hauts-de-Seine (1963 → 1973)
    Conseiller général de Bois-Colombes (1967 → 1994)
    Conseiller régional (1967 → 1982)
    Démissionnaire
    novembre 1986 mars 1989[25] Jean-François Probst[26] RPR Fonctionnaire, conseiller à la mairie de Paris.
    mars 1989 juin 1995[27] Roger Blinière DVD
    puis
    RPR puis MPF
    Agent d'assurances
    Conseiller général de Bois-Colombes (1994 → 2001).
    juin 1995[28] En cours
    (au 26 mai 2020)
    Yves Révillon DVD
    puis
    UMPLR
    Pharmacien
    Conseiller général de Bois-Colombes (2001 → 2015)
    Conseiller départemental de Colombes-2 (2015 → )
    Vice-président du conseil départemental des Hauts-de-Seine (2015 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026,[29],[30]

    Instances judiciaires et administratives

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    La commune de Bois-Colombes s'est dotée d'une police municipale à la fin des années 1990, les effectifs aujourd'hui[Quand ?] sont d'une vingtaine d'agents assurant la sécurité sur la ville[Passage problématique].

    Un commissariat de Police Nationale a ouvert en 2011 rue Adolphe-Guyot, au numéro 75 ter de la rue. Mais la ville disposait d'une Police Nationale bien avant l'ouverture de ce commissariat. Dans les années 1960, le commissariat de Police se situait en sous-sous-sol de la mairie, rue Auguste-Moreau puis déménagea dans un pavillon, au 29 rue Charles-Duflos. Il est à noter que la Police Nationale de Bois-colombes accueilli en son sein une des 12 premières femmes agent de police de France : Mme Simone BIETTE, bien célèbre des Bois-colombiens puis qu'elle officiait à la sécurité des sortie de l'école Paul-Bert, au carrefour de la rue Paul-Déroulède et de la rue Heynen. Puis, le commissariat a successivement été installée dans deux postes de police, près de la place Jean-Mermoz.

    La commune dépend pénalement du tribunal d'Instance de Colombes pour toutes les affaires ordinaires[Quoi ?], et du tribunal de grande instance de Nanterre pour tout le reste.

    Politique environnementale

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    La commune effectue le tri sélectif depuis plusieurs années, mais parfois mal appliqué dans certains quartiers.

    En 1995, l'adjointe au maire, Catherine Brigand, avait institué et mis en place des parkings vélos aux alentours de la gare, mais cela n'a duré qu'un printemps la municipalité n'ayant pas persévéré.

    Jumelages

    Au , Bois-Colombes est jumelée avec :

    En 1965, le docteur Lang (1918-2007), maire de Neu-Ulm (commune de Bavière), membre de l'Union Internationale des maires, propose à Émile Tricon le jumelage de leurs deux communes, cela sera fait officiellement en . Le Dr Lang avait compris, au sortir de la guerre, que les générations devaient apprendre à se connaître pour s’estimer et se respecter. Pour ce faire, les deux municipalités n’ont pas hésité à mettre en place les moyens matériels et humains pour que l’aventure du rapprochement franco-allemand initiée par le général de Gaulle et le chancelier Adenauer aboutisse. Progressivement les échanges se sont faits plus forts, près de 600 personnes se rencontrent chaque année en France ou en Allemagne. Toutes les générations et catégories socio-culturelles seront concernées au travers des associations des deux communes. À chaque réception à Neu-Ulm, le Dr Lang sera présent, se faisant un devoir de perfectionner son Français afin de mieux comprendre et se faire comprendre. À l’initiative de M. Émile Tricon, le Dr Lang sera fait citoyen d’honneur de Bois-Colombes. Sa dernière apparition à Bois-Colombes aura été lors des festivités du 40e anniversaire du jumelage des deux communes en 2006 (quelques mois avant son décès)[32].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1896. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 28 468 habitants[Note 4], en diminution de 0,33 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +1,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    10 50112 72614 69517 24119 88821 92425 89226 56225 754
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    27 89929 93828 93426 65723 78024 41523 88527 15128 927
    2016 2018 - - - - - - -
    28 32328 468-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,55 %[36]) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et inférieur au taux départemental (18,94 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,8 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,7 %, 15 à 29 ans = 20 %, 30 à 44 ans = 24,6 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 14,6 %) ;
    • 53,8 % de femmes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 19,3 %, 30 à 44 ans = 24 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 20,3 %).
    Pyramide des âges à Bois-Colombes en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    1,3 
    4,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    9,6 
    60 à 74 ans
    9,9 
    19,0 
    45 à 59 ans
    18,1 
    24,6 
    30 à 44 ans
    24,0 
    20,0 
    15 à 29 ans
    19,3 
    21,7 
    0 à 14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    4,8 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,0 
    18,5 
    45 à 59 ans
    18,9 
    24,7 
    30 à 44 ans
    23,3 
    21,0 
    15 à 29 ans
    19,9 
    20,6 
    0 à 14 ans
    18,1 

    Enseignement et établissements

    Bois-Colombes dépend de l'académie de Versailles et dispose d'une structure scolaire assez importante pour une commune moyenne :

    • Écoles maternelles
    • Écoles élémentaires
      • Paul-Bert 62 rue Paul-Déroulède
      • Pierre Joigneaux, 110 rue Pierre-Joigneaux
      • Jules-Ferry, 67 rue Charles-Chefson
      • Saint-Exupéry, 89 rue Adolphe-Guyot
      • Françoise-Dolto, 104 rue Henry-Litolff
      • Gramme, 29 rue Gramme
      • La Cigogne, 11 rue du Moulin-Bailly
    • Collèges et lycées
      • Collège Jean-Mermoz, 77 rue Charles-Chefson
      • Collège et lycée Albert-Camus (en), 131 rue Pierre-Joigneaux[40]
      • Lycée professionnel Daniel-Balavoine, 7 rue Marceau-Delorme[41]
    • Opus Dei
      • Collège privé garçon Hautefeuille, 63-65, rue Armand-Silvestre.
      • Lycée privé garçon Hautefeuille, 26 rue Pierre-Joigneaux.

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque année, la fête nationale est célébrée par un feu d'artifice sur la place de l'Hôtel-de-Ville, le .

    Le samedi après la rentrée, la ville célèbre son quartier nord en organisant une fête place Mermoz suivie d'un feu d'artifice. Le forum des associations a lieu ce jour là également[42].

    Sports

    La commune est dotée de trois gymnases, l'un au nord de son territoire, le complexe sportif Albert-Smirlian (couplé au gymnase La Sauvegarde), le second au sud de celui-ci : le complexe sportif Jean-Jaures, qui accueille aussi le concessionnaire de la piscine municipale, et le dernier dans le quartier de la place Mermoz qui accueille les différentes équipes de la section handball. L'équipe senior évolue dans le championnat de France national 3 et a vu passer de nombreux internationaux.

    La cité scolaire Albert-Camus accueille également un complexe sportif réservé aux élèves, comprenant notamment un stade, une piscine, une salle d'escalade et une salle de gymnastique équipée de trampolines.

    Les équipes bois-colombiennes s'illustrent principalement en trampoline, discipline où des ressortissants de la commune remportent régulièrement des titres de champion de France[43].

    La commune possède également un centre aquatique de qualité[44] (bassin de 25 m, centre de bien-être, centre de cardio-training et spa).

    Médias

    La municipalité publie à 16 000 exemplaires et distribue gratuitement le Journal de Bois-Colombes, un bimestriel relatant la vie de la commune et faisant des reportages sur certains commerces, associations, événements ou disciplines sportives.

    On y trouve également les informations utiles (passage des encombrants, programme de la salle de spectacles, etc.), la liste des naissances, mariages et décès, des petites annonces et une tribune réservée aux listes d'opposition du conseil municipal. Certains articles détaillent également les projets et réalisations de la municipalité concernant des rénovations ou des constructions. Le directeur de publication est le maire.

    Cultes

    Les Bois-Colombiens disposent de lieux de culte catholique et protestant.

    Culte catholique

    Depuis , la commune de Bois-Colombes fait partie du doyenné des Trois-Colombes, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[45].

    Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Notre-Dame-de-Bon-Secours[46] qui relève de la paroisse Notre-Dame du Bon Secours[47].

    Culte protestant

    Le « centre 72 » est le lieu de culte de la communauté rattaché à l'Église protestante unie de France[48].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2002, la part des ménages dont le revenu net mensuel excédait 3 511  était de 17,8 % contre 21,1 % pour le département.

    Si Bois-Colombes se situe donc parmi les villes dont le revenu par habitant reste relativement peu élevé, ce chiffre de 17,8 % est un des plus forts au nord du département. De plus, la population de Bois-Colombes est l'une des plus âgées du nord des Hauts-de-Seine.

    Au sein même de la commune on peut distinguer deux zones géographiques assez distinctes dont la séparation, même si elle ne peut être clairement établie, pourrait être la rue Victor-Hugo. Ainsi la population du sud de Bois-Colombes, où se situent la mairie et le centre nautique, est constituée de ménages aux revenus plus importants qu'au nord. On remarquera d'ailleurs que le sud de la ville côtoie des villes plutôt aisées telles que Courbevoie ou La Garenne-Colombes tandis que le nord est très proche des Hauts-d'Asnières (anciennement quartiers nord) d'Asnières-sur-Seine où résident des ménages aux revenus plus modestes.

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 36 166 , ce qui plaçait Bois-Colombes au 5 336e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[49].

    Entreprises et commerces

    Situé dans le nord des Hauts-de-Seine, Bois-Colombes est une ville essentiellement résidentielle. La rue des Bourguignons (l'ancienne RN 309a), limitrophe d'Asnières-sur-Seine est la plus importante rue commerçante du nord de la presqu’île de Gennevilliers. La ville comptait plusieurs entreprises notables dans les cosmétiques (Payot), les roulements à bille (SKF) mais principalement dans l'aéronautique (Hispano-Suiza). L'impossibilité pour les entreprises de s'étendre et la valeur des terrains ont conduit à une désindustrialisation de la commune.

    Le départ d'Hispano-Suiza en 1999[50], qui fournissait le quart des recettes de la ville, a été vécu comme une catastrophe par les habitants. Cependant le site des Bruyères qu'occupait cette entreprise a vu progressivement s'implanter des sièges sociaux qui apportent un nouveau souffle à Bois-Colombes depuis 2004. Les sociétés IBM, Aviva, GRTgaz, Storengy, Elengy (trois entreprises du groupe GDF SUEZ), Coface ainsi que Colgate-Palmolive s'y sont récemment installées.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'ancienne soufflerie de l'usine Hispano-Suiza, aux Bruyères, est classée. Elle a été transformée en école lors de la désindustrialisation du site.
    En dehors de la soufflerie, le monument le plus notable est l'hôtel de ville construit en 1937. Son beffroi vert-de-gris, visible à plusieurs kilomètres à la ronde, sert souvent de point de repère aux Bois-Colombiens.

    Bois-Colombes et le cinéma

    L'hôtel de ville a été utilisé pour des tournages de films et de séries :

    Plusieurs scènes du film Le thé au harem d'Archimède, de Mehdi Charef, ont été tournées dans les rues de Bois-colombes.

    Un épisode de Joséphine, ange gardien, et de Sœur Thérèse.com, deux séries de TF1, ont également été tournés en partie à Bois-Colombes. Une scène du film Les Gamins a également été tournée à Bois-Colombes, dans le quartier des Bruyères.

    Personnalités liées à la commune

    • Esther Duflo, prix Nobel d'économie, responsable d'un groupe scout de la ville et qui a étudié au lycée Albert Camus de Bois-Colombes.
    • Carlito, de Mcfly et Carlito est né à Bois-Colombes.

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de Bois-Colombes ont été adoptées par arrêté du préfet de la Seine, en date du , sur proposition de la commission d'héraldique du département.

    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : De gueules au chêne arraché d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois colombes essorantes d'argent.

    Armes parlantes.

    Le chêne d'or évoque le souvenir des bois disparus. En chef, les colombes établissent une filiation avec la ville voisine de Colombes, qui en porte sur son blason.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Léon Quénéhen, Histoire de Bois-Colombes, Jouve & Cie Éditeurs, 1946
    • Lucienne Jouan, Asnières et Bois-Colombes à la Belle Époque, UNAL Asnières, 1980
    • Daniel Legros, Colombes, Éditions Alan Sutton, 1995
    • Le patrimoine des communes des Hauts-de-Seine, Flohic Éditions, 1994

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 - Bois-Colombes », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. « Fiche communale d'occupation des sols », sur site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de l'Île-de-France, (consulté le ).
    12. Association Mon Toit Mon Droit
    13. ADN-BC
    14. Changeons d'èRe
    15. [PDF] Site municipal - Histoire de Bois-Colombes
    16. « Loi du 13 mars 1896 distrayant de la commune de Colombes (canton de Courbevoie, arrondissement de Saint-Denis, département de la Seine) la section de Bois-Colombes pour l'ériger en municipalité distincte », Journal officiel de la République Française, vol. 1896, no 76, , p. 1530 (lire en ligne).
    17. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    18. Décret n° 2015-1658 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Gennevilliers sur Légifrance.
    19. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
    20. Liste des communes équipée de machines de vote électronique dans le 92
    21. Le vote électronique peu convaincant sur le site de liberation.fr consulté le 23 septembre 2013
    22. L'urne électronique passe mal auprès des électeurs sur le site du parisien.fr consulté le 23 septembre 2013
    23. « Les maires de Bois-Colombes », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    24. « Nécrologie : Émile Tricon, ancien député (UNR, puis UDR), puis sénateur (RPR) des Hauts- de-Seine », Le Monde, (lire en ligne).
    25. « NOMINATION : Premier ministre », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ) « En décembre, il devient directeur du cabinet du secrétaire général du RPR, Jérôme Monod, jusqu'en mars 1978, avant de s'occuper, à partir de l'année suivante, des relations avec le Parlement au cabinet du ministre des affaires étrangères. De 1981 à 1983, Jean-François Probst est chargé de mission à la Lyonnaise des eaux, puis il exerce la fonction de secrétaire général du groupe RPR du Sénat jusqu'en 1992. Elu conseiller municipal de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) en 1983, il en devient maire en 1986 mais il est battu aux municipales de 1989 ».
    26. AFP, « Le chiraquien Jean-François Probst, commentateur acerbe, est mort : Connu pour ses portraits au vitriol de ses amis, ce proche collaborateur de Jacques Chirac au RPR et à la mairie de Paris est mort d'un infarctus à l'âge de 65 ans », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Philippe Lançon, « 92. Les revanchards de 89 attaquent tous azimuts le maire de Bois-Colombes », Libération, (lire en ligne, consulté le ) « Ceux qu'on appelle en mairie les «revanchards de 89», autrement dit les militants RPR qui n'ont jamais pardonné au maire son élection en 1989 contre son prédécesseur, le RPR Jean-François Probst, et encore moins son passage de l'étiquette divers droite au RPR, ont décidé de tout faire pour l'abattre ».
    28. Anne-Sophie Damecour, « Yves Révillon, le maire de Bois-Colombes, brigue un cinquième mandat : Maire (LR) depuis 1995, mais également vice-président du conseil départemental des Hauts-de-Seine, Yves Révillon annonce qu’il sera candidat en mars prochain », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Malgré les bons scores de LREM dans la commune ( 35,26 % aux dernières européennes, 63,24 % au deuxième tour des législatives 2017 face à un candidat LR), le sortant semble peu inquiet à la perspective de voir se monter une liste macroniste ».
    29. : Maxime Gil, « Municipales 2020. Bois-Colombes : Yves Révillon réélu pour un cinquième mandat : Dimanche 15 mars 2020, le maire sortant de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), Yves Révillon, a été réélu comme maire pour un cinquième mandat consécutif. Les résultats en détails », Actu Hauts de Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Yves Révillon repart pour un cinquième mandat à la tête de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine). Élu depuis 1995, le maire sortant a obtenu 56,08% des voix ».
    30. « Les élections municipales & communautaires (15 mars 2020) », sur http://www.bois-colombes.com (consulté le ) « Le 26 mai 2020, Yves Révillon a été réélu maire pour un cinquième mandat lors du conseil d'installation. 13 maires adjoints ont été élus ».
    31. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le ).
    32. Bulletin municipal n° 72 d'octobre 2007
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. http://www.memo-ville.com/ile-de-france/hauts-de-seine/bois-colombes/_demographie/
    37. « Évolution et structure de la population à Bois-Colombes en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population des Hauts-de-Seine en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. après la fermeture du site d'Hispano-Suiza, la soufflerie a été classé aux monuments historiques, l'école a pu voir le jour et s'intégrer dans l'ensemble
    40. L'établissent possède une piscine et sept gymnases, il a vu éclore de nombreux champions de France de trampoline
    41. Auparavant, l'établissement ne portait pas de nom propre, il était désigné par le nom de la rue qui l'hébergeait, le nom de Daniel Balavoine donné au lycée a été voté en conseil municipal par l'ensemble des élus, à noter que c'est le premier établissement qui porte le nom de l'artiste disparu en 1986.
    42. http://www.bois-colombes.com/culture/cultures3.php
    43. https://archive.is/20120604/http://www.bois-colombes-sports-acro.fr/pages/resultats.html
    44. « Carte des doyennés janvier 2010 », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
    45. « Liste des paroisses des Hauts-de-Seine », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
    46. « Page d'accueil », sur le site des paroisses de Bois-Colombes et Saint-Marc des Bruyères d'Asnières-sur-Seine (consulté le ).
    47. « Plan d'accès », sur le site du centre 72 (consulté le ).
    48. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    49. HISTOIRE DE BOIS-COLOMBES
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