Blesle
Blesle (Blèila en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Blesle | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Brioude Sud Auvergne | ||||
Maire Mandat |
Pascal Gibelin 2020-2026 |
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Code postal | 43450 | ||||
Code commune | 43033 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bleslois(es) | ||||
Population municipale |
635 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 19′ 11″ nord, 3° 10′ 17″ est | ||||
Altitude | 504 m Min. 472 m Max. 875 m |
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Superficie | 29,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Sainte-Florine | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.blesle.fr/ | ||||
Elle est classée parmi les plus beaux villages de France[2].
Ses habitants sont les Bleslois et les Blesloises.
Géographie
Localisation
Blesle est situé non loin des départements du Cantal et du Puy-de-Dôme. Il est traversé du nord au sud par l'autoroute A75 (Clermont-Ferrand / Béziers).
La commune est distante (en voiture) de 22 km de Brioude, 74 km de Clermont-Ferrand, 80 km du Puy-en-Velay et 92 km d'Aurillac.
Communes limitrophes
Climat
Blesle possède un climat océanique chaud sans saison sèche[3] (Cfb) selon la classification de Köppen-Geiger.
Sur l'année, la température moyenne à Blesle est de 11,5 °C et les précipitations sont en moyenne de 605,7 mm.
Urbanisme
Typologie
Blesle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), prairies (21,1 %), terres arables (11,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones urbanisées (1,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 583, alors qu'il était de 565 en 2013 et de 531 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 54,6 % étaient des résidences principales, 26,1 % des résidences secondaires et 19,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,5 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blesle en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,1 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Blesle[I 1] | Haute-Loire[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 54,6 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 26,1 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 19,3 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
Blesle est mentionnée sous la forme Blasilla au XIe siècle, Bleele en 1321[11].
L'onomastique communale a emprunté à la religion chrétienne un grand nombre de vocables, dont les uns appartiennent à des noms communs et les autres à des noms de saints (…). Les noms de saints entrent dans la composition de soixante-huit vocables communaux de la Haute-Loire : Saint-André, Sanctus Andreas ; Saint-Arcons (2), Sanctus Arconcius (…). M. Augustin Chassaing inclut dans cette catégorie les communes de Blesle, Blesilla, dont l'adjectif Sancta aurait disparu, et Sambadel, forme altérée d'un ancien *Sanctus Baudelius[12]. Cependant, il n'y a aucune trace d'un *Sancta Blesilla dans la documentation du haut Moyen Âge relative au toponyme Blesle et la forme la plus anciennement attestée, Blasilla, n'est pas *Blesilla.
Le nom de Blesle est issu d'un hypothétique *Blasilla villa[11], nom d'un fundum gallo-romain, basé sur l'anthroponyme gallo-romain *Blasillus, non attesté, dérivé du nom de personne gaulois Blasius[11].
Histoire
Origines et situation
Le village bleslois se situe dans une vallée dominée par une falaise basaltique (composée entre autres par les « orgues basaltiques ») à la confluence de la Voireuze et du Merdan[13], ce premier rejoignant l’Alagnon plus bas. Situé sur le site néolithique de Chadecol, ce site fut aménagé il y a 4 000 ans. Ensuite, la présence d’un siège paroissial mérovingien suggère un peuplement gallo-romain. Enfin, son essor débute lors de la fondation du monastère à la fin du IXe siècle, complété par la construction d’un château au XIe siècle[13].
Fondation de l’abbaye Saint-Pierre de Blesle à la fin du IXe siècle
La première mention de la fondation de l’abbaye bénédictine Saint-Pierre[14],[15],[16],[17] est révélée par une lettre écrite en 1095 et faisant état de sa construction entre 849 et 885[18]. Sa fondatrice est Ermengarde d’Auvergne[19], mère de Guillaume le Pieux, duc d’Aquitaine et fondateur de l’abbaye de Cluny. Les possessions de l’abbaye sont alors placées sous la protection pontificale permettant d’accroître le territoire et incitant les religieuses à créer des prieurés à Autrac, Saint-Étienne-sur-Blesle, Bousselargues, Leyvaux ou Molèdes. À Blesle, l’abbesse était seigneur de la ville.
Arrivée des barons de Mercœur à la fin du XIe siècle
À la fin du XIe siècle, les puissants barons de Mercœur décidèrent de s’installer à Blesle[19] et provoquent ainsi une lutte féodale entre eux et les abbesses, ces dernières combattant leurs empiétements sur les droits de l’abbaye. Tout d’abord les barons essayeront de s’emparer de l’abbaye en vain à la fin du XIe siècle, ce n’est qu’au début du XIIIe siècle avec l’appui du pouvoir royal qu’ils s’emparèrent des pouvoirs de justice sur Blesle et devinrent co-seigneurs[13].
Pour concilier les deux camps, les barons disposent de nombreux terrains dans la ville pour bâtir leur château, en échange ils assureront la défense du monastère et rendront hommage pour ce fief relevant de l’abbaye. Malgré tout, les barons, par leurs poids, arrivèrent à édifier une tour imposante renforcée de deux contreforts par face[19] (actuelle tour aux vingt angles) malgré les protestations des abbesses.
En même temps, l’église abbatiale Saint-Pierre est refaite, en effet la majeure partie de son édifice date du XIIe siècle, avec la construction de deux absidioles méridionales et du chœur, enfin étant donné des différentes étapes de sa construction dans le temps, son originalité tient à l’abside et le chœur qui sont plus vastes que la nef[18]. Les moniales vivaient quant à elles dans des maisons donnant sur la cour intérieure du couvent. Au XIVe siècle, une seconde église est construite en raison de l'accroissement de la population[13] : l'église Saint-Martin.
Lent déclin à partir du XVe siècle
Sans devenir des chanoinesses, les religieuses décident d’abandonner la vie commune pour des maisons individuelles en deux endroits, l’un derrière le chevet de l’église, l’autre dans la cour de l’abbaye à l’ouest de l’église. L’abbaye est à cette époque agrégée à l’Ordre de Cluny. Ce n’est qu’en 1789 que l’abbaye est transformée en collège de chanoinesses, avant sa suppression durant la Révolution[13].
De leur côté, les seigneurs de Mercœur voient leur château tomber en ruine, il sera repris à la fin du XVIIIe siècle par les Chavagnac (famille blesloise) qui le remettent en état en le modifiant profondément[13].
À côté de cela, les villageois sont pour la plupart abrités par des maisons en pan de bois[19], architecture originale reflétant les fonctions commerciales et artisanales du bourg. Cette architecture s’est maintenue jusqu’au XIXe siècle. Autre événement de cette période se situe en 1558, quand Blesle fut retenu comme l’une des « treize bonnes villes » d’Auvergne, marquant la consécration de l’importance du village[13].
Révolution française
Sous la Révolution française, le village est nettement modifié, tout d’abord l’église Saint-Pierre, retenue comme église paroissiale, perd son clocher, en revanche l’autre église du village de Saint-Martin est complètement détruite après avoir été vendue comme bien national, à l’exception de son clocher qui est conservé afin d’y loger l’horloge communale[19].
Long déclin et exode rural
Ville prospère jusqu’au XVIIe siècle en raison de l’artisanat et des nombreuses industries locales (élevage, tannage, tissage de toile de chanvre), l’arrivée du chemin de fer à Blesle a pour conséquence l’exode rural vers les grandes villes, seule l’exploitation de l’antimoine résiste mais son extraction se stoppera en 1925, les usines continueront de tourner jusqu’en 1958 avec l’importation de minerais étrangers avant leurs destructions[13]. De plus, le village perdra de nombreux jeunes en raison de la guerre, notamment la Première Guerre mondiale, envoyés sur le front (un monument aux morts y est installé).
Dans les années 1850, une épidémie de fièvre typhoïde opère une coupe sévère dans la population : entre 1851 et 1856 (source : recensements de population), Blesle perd 8,4 % de sa population. Les plus touchés sont les enfants (–10,4 % d'enfants mâles, –10,55 % d'enfants filles) ce qui aura un impact important sur les décennies suivantes.
L'époque de l'antimoine
Emmanuel Chatillon créa une fonderie au Babory-de-Blesle dans les années 1880. Pour l’alimenter, il inventa le procédé de traitement de l’antimoine par grillage volatilisant et prit la propriété des mines de la région :
Développement du tourisme à la fin du XXe siècle
Pour faire face à cela, la politique de la commune est tournée vers le développement du tourisme en s’appuyant sur la richesse culturelle du village et de ses vestiges, soutenue par le conseil départemental pour restaurer les fondations (église Saint-Pierre, clocher Saint-Martin, tour aux Vingt-Angles…).
Le village a servi de lieu de tournage pour La Nouvelle Guerre des boutons de Christophe Barratier sorti en 2011.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2018, la commune comptait 635 habitants[Note 2], en augmentation de 3,25 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Festivités
Depuis 2002 ont lieu en août, les Apéros Musique, festival de musique éclectique[25].
Culture locale et patrimoine
En auvergnat, la commune se nomme Bleira (prononcé « Bleïra »).
Lieux et monuments
- La tour aux vingt angles
- L’église Saint-Pierre. Le trésor abrite Notre-Dame du Cheylat, Vierge en majesté du XIIIe siècle
- L'église Saint-Sébastien de Bousselargues et ses peintures murales romanes dans le cul de four de l'abside inscrite aux monuments historiques depuis le 21 décembre 1984[26]
- La chapelle de la Chaigne
- Le clocher Saint-Martin classé aux monuments historiques depuis le 12 mars 1970[27]
- La tour de guet du Massadou inscrit aux monuments historiques depuis le 16 mars 1976[28]
- Le vieil hôpital
- Château du Bos inscrit aux monuments historiques le 28 octobre 1993 et le 2 juillet 2010[29]
- Maison romane inscrite aux monuments historiques le 7 octobre 1935 possédant une fenêtre classée aux monuments historiques le 2 décembre 1924[30]
- Ancien château de Mercœur classé aux monuments historiques le 20 janvier 1925[31]
Personnalités liées à la commune
- La famille de Chavagnac, seigneurs de Blesle. Plusieurs membres illustres de cette famille sont nés à Blesle : Gaspard de Chavagnac (1624-1695), Henri-Louis de Chavagnac (1664-1743).
- Jean-Baptiste Barrès (1784-1849), officier de la Grande Armée et auteur des Souvenirs d'un officier de la grande armée, ouvrage de référence sur l'épopée napoléonienne[32], y est né.
- Comte François Jacques Léo de Molen de Saint-Poncy, né à Blesle le 13 mars 1825, préfet de la Haute-Loire (1870), écrivain, auteur d'une importante Histoire de Marguerite de Valois, reine de France et de Navarre (1887). Il a aussi publié Les fruits de la Révolution (1893) et une Notice historique sur Blesle et l'abbaye de Saint-Pierre de Blesle (1869)[33].
- Édouard Onslow (1830-1904), peintre né dans la commune[34],[35],[36],[37].
- Emmanuel Chatillon (1843-1919), industriel qui inventa et fit breveter le procédé de traitement de l’antimoine par « grillage volatilisant » et développa l'extraction de ce métal à Blesle, le long de la petite vallée de la Sianne[38].
- Marcel Chalet (1922, Blesle - 2011, Saint-Cloud) est un haut fonctionnaire français, directeur de la Direction de la surveillance du territoire (DST) durant 7 ans.
- Gérard Klein (1942-), acteur, a été aubergiste et éleveur de vaches Salers sur la commune.
Blesle au cinéma
- Deux épisodes de la série L'Instit avec Gérard Klein ont été tournés à Blesle.
- Le film de Christophe Barratier La Nouvelle Guerre des boutons (2011) a été tourné en partie dans le village.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Paul Leclercq, Jean-François Luneau, Bruno Ythier, Canton de Blesle, Étude du Patrimoine Auvergnat, Clermont-Ferrand, 1994 (ISBN 2-905554-08-8)
- Noël Dursapt, Les abbesses de Blesle de la famille de Langhac : in Cahiers de la Haute-Loire 1965, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Marie-Pascale Gounon, La vie religieuse féminine en Haute-Loire à la fin du XVIIIe siècle et pendant la Révolution (1789-1816) : in Cahiers de la Haute-Loire 1997, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Gabriel Segret, Blesle, essai de statistique et d'histoire - la valeur des terres, du bétail et des grains au XVIIe siècle et XVIIIe siècle : in Almanach de Brioude 1924, Brioude, Almanach de Brioude, (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blesle » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blesle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blesle - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7 et 2700503198).
- Les Plus Beaux Villages de France
- Planificateur, « Météo et climat : Blesle (France) - Quand partir à Blesle ? », Le planificateur de voyages, (lire en ligne, consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 88b.
- On trouve dans le DICTIONNAIRE TOPOGRAPHIQUE DU DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-LOIRE comprenant LES NOMS DE LIEU ANCIENS ET MODERNES, rédigé par M. Augustin CHASSAING, archiviste paléographe, juge au Tribunal civil du Puy, complété et publié par M. Antoine JACOTIN, archiviste du département de la Haute-Loire, correspondant du Ministère de l'Instruction publique pour les travaux historiques, lauréat de l'Institut. PARIS. Imprimerie Nationale. MDCCCCVII. », ouvrage consultable sur le site de la Bibliothèque Nationale de France https://gallica.bnf.fr/)
- Laissez-vous conter le village de Blesle, Office du tourisme de Blesle, LM communiquer
- « Église Saint-Pierre », notice no PA00092608, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Abbaye de bénédictines, puis de chanoinesses Saint-Pierre », notice no IA43000448, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Fédération des sites clunisiens : Blesle - abbaye Saint-Pierre.
- Bernard Crapet - Auvergne romane (4e édition) - p. 287-290 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 2) - La Pierre-qui-Vire - 1972.
- Guides Gallimard - Auvergne, Haute-Loire, Éditions Nouveaux-Loisirs, 1998 (ISBN 2-7424-0449-X).
- Manufacture Française des pneumatiques Michelin, Guide de Tourisme - Auvergne Bourbonnais, Michelin et Cie, 1996 (ISBN 2-06-030403-2).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Chloé Guyot, « Apéros musique : 15 000 festivaliers attendus pour la 18e édition », Le Progrès, (lire en ligne).
- « Église de Bousselargues », notice no PA00092609, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- « Clocher Saint-Martin », notice no PA00092607, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- « Tour du Massadou », notice no PA00092611, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- « Château du Bos », notice no PA00125279, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- « Maison romane », notice no PA00092610, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- « Ancien château de Mercœur », notice no PA00092606, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 19 avril 2012
- Jean-Baptiste-Auguste Barrès, Souvenirs d'un officier de la Grande Armée (11e éd.) / [Jean Baptiste Auguste Barrès] ; publiés par Maurice Barrès, son petit-fils, Plon, Nourrit (Paris), (lire en ligne).
- Voir le Dictionnaire biographique de la Haute-Loire de Gaston Joubert (2004).
- Édouard Onslow : un peintre en Auvergne au XIXe siècle, Catalogue des expositions de Blesle et Saint-Flour 2004, Clermont-Ferrand, Un Deux...Quatre Éditions, 2004.
- Josanne Pothier, Les attaches blesloises du peintre Édouard Onslow, Almanach de Brioude, 1975, p. 133-156.
- Françoise Daude, Édouard Onslow : peintre auvergnat, Bulletin de l’Association George Onslow, n°2, 1995-96.
- Pierre Balme, Une famille d’artistes en Auvergne : Les Onslow, L'Auvergne littéraire, artistique et historique, XII/7, 1er cahier, 1935, p. 5-14.
- Portrait d'Emmanuel Chatillon
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