Pinsac

Pinsac est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie. Elle fait partie du pays de la Vallée de la Dordogne lotoise.

Pinsac
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Régis Villepontoux
2020-2026
Code postal 46200
Code commune 46220
Démographie
Gentilé Pinsaguais, Pinsaguaises
Population
municipale
782 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 23″ nord, 1° 30′ 53″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 329 m
Superficie 19,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Souillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Souillac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pinsac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Pinsac
Géolocalisation sur la carte : France
Pinsac
Géolocalisation sur la carte : France
Pinsac
Liens
Site web http://www.pinsac.fr

    Géographie

    La commune de Pinsac, dans l'aire urbaine de Souillac, est baignée par la Dordogne. Le bourg et la plus grande partie de la commune se trouvent sur la rive droite de la rivière, mais la limite communale déborde en rive gauche en face de Blanzaguet (île de la Borgne), près de Lacave, et surtout au village du Bastit.

    L'autoroute A20 traverse la commune entre le bourg et Terregaie par le viaduc de la Dordogne mis en service en 2000.

    Hameaux et lieux-dits

    Les principaux hameaux de la commune sont :

    Autres lieux habités : Pomarède, Gabalès, Bournet, Mas del Pech, Mas Lacroix, etc.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pinsac[2]
    Souillac Mayrac
    (sur 15 m)
    Lanzac Saint-Sozy
    Loupiac Calès Lacave

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 873 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[8]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].

    Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[23], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[25] : « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 26 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 21 dans le Lot[26] et le « pech et pentes forestières de Pinsac » (169 ha)[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[25] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 30 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 25 dans le Lot[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Pinsac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,9 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), prairies (9,7 %), eaux continentales[Note 8] (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Pinsac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Pincius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1794 Antoine Maure    
    1795 1796 Pierre Delmas    
    1797 1826 Guillaume Bordes    
    1826 1830 Jean Pierre Cardaillac (de)    
    1830 1836 Pierre Dufour    
    1836 1848 Jean Pierre Gardette    
    1848 1858 Marc Parry    
    1858 1871 Antoine Mouraud    
    1871 1876 Etienne Roche    
    1876 1880 Antoine Mouraud    
    1880 1884 Martin Delpech    
    1884 1886 Pierre Bordes    
    1886 1892 Bertrand Jarrige    
    1892 1896 René Bordes    
    1896 1903 Martin Bordes    
    avant 1981  ? Gabriel Arliguié    
    1995 juillet 2017 Philippe Mouraud MDC-PS  
    juillet 2017 En cours Régis Villepontoux[37] PS conseiller départemental
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2018, la commune comptait 782 habitants[Note 9], en augmentation de 3,71 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5576351 0691 1301 1371 0871 0961 1341 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2121 1501 0451 0501 045816777789761
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    750730706574537513502476394
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    375344339384581710720744765
    2018 - - - - - - - -
    782--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Pinsac comptait 761 habitants[42].

    Économie

    L'équipement en services et commerces de Pinsac est sommaire, appartenant à la gamme minimale et de proximité (alimentation générale, dépôt de pain, café, hôtel, restaurant). La commune est dépendante de son chef-lieu de canton, Souillac.

    Elle dispose d'une école maternelle et d'une école primaire, avec 80 élèves environ.

    Pinsac compte 32 exploitations agricoles, pour un territoire agricole communal de 598 hectares[43]. La commune fait partie de deux aires d'AOC : Noix du Périgord et Cabécou de Rocamadour.

    Une carrière, sur le site du Roc de la Dame, exploite des terrains de l'Oxfordien (Jurassique supérieur).

    La commune compte trois campings, participant à l'offre touristique de la vallée de la Dordogne.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Pinsac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[44].
    • Église Saint-Germain de Blanzaguet. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[45].
    • Église Saint-Hilaire du Bastit. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[46].
    • Ruines du château de Beauregard, incendié vers la fin du XIVe siècle[47].
    • Grotte du Bourgnetou, dans laquelle se trouve une très fine gravure de renne du Magdalénien moyen[48].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Références

    1. Wikicaves, « Barthas (Grotte du) », sur grottocenter.org le site Grottocenter, (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Prats de Carlux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pinsac et Prats-de-Carlux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Prats de Carlux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Pinsac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    18. « Bassin de la Dordogne - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le « cours lotois de la Dordogne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « l'« îlôt de Combe Negre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pinsac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300898 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pinsac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF « la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « pech et pentes forestières de Pinsac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « vallée de la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 118.
    36. « Les maires de Pinsac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    37. Thibaut Souperbie, « Un nouveau maire à Pinsac » sur medialot.fr, 11 juillet 2017
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. Le Lot partie Centres d'excursions p.222 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
    43. Rapport de présentation du P.L.U., Commune de Pinsac p. 49 - 2011.
    44. « Église paroissiale Saint-Pierre-Saint-Paul », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    45. « Église paroissiale Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    46. « Église paroissiale Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    47. La paroisse de Saint-Hilaire du Bastit. Commune de Pinsac. Article de Guy Maynard, sur le site quercy.net.
    48. M. Lorblanchet, « Nouvelles figures pariétales paléolithiques en Quercy », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 68, , p. 293–310 (DOI 10.3406/bspf.1971.4273, lire en ligne, consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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