Beauregard-de-Terrasson

Beauregard-de-Terrasson est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Beauregard.

Beauregard-de-Terrasson

La mairie de Beauregard-de-Terrasson.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Lionel Armaghanian
2020-2026
Code postal 24120
Code commune 24030
Démographie
Gentilé Beauregardiens
Population
municipale
690 hab. (2018 )
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 53″ nord, 1° 13′ 43″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 291 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Lardin-Saint-Lazare (banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Haut-Périgord noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beauregard-de-Terrasson
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Beauregard-de-Terrasson
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-de-Terrasson
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-de-Terrasson
Liens
Site web beauregard-de-terrasson.fr

    Géographie

    Généralités

    Vue vers le nord-est depuis le village de Beauregard-de-Terrasson.

    Localisée en limites du Périgord central et du Périgord noir, à l'est du département de la Dordogne, la commune de Beauregard-de-Terrasson est arrosée à l'est par l'Elle, un affluent de la Vézère. Elle est incluse dans l'unité urbaine du Lardin-Saint-Lazare.

    L'altitude minimale, 112 mètres, se situe à l'est, au sud-est de lieu-dit Serre Bru, là ou l'Elle quitte la commune pour servir de limite entre celles de Terrasson-Lavilledieu et Le Lardin-Saint-Lazare. Le point culminant avec 291 mètres se trouve à l'extrême nord du territoire communal, près du lieu-dit Renaufie[1].

    En bordure de la route départementale (RD) 62, le village de Beauregard-de-Terrasson est situé, en distances orthodromiques, deux kilomètres au nord du Lardin-Saint-Lazare et cinq kilomètres et demi à l'ouest-nord-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

    À l'est, la commune est également desservie le long de la vallée de l'Elle par la RD 64. Au nord, l'autoroute A89 traverse le territoire communal sur environ trois kilomètres et demi, dont 355 mètres en souterrain par le tunnel de la Crête[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Beauregard-de-Terrasson est limitrophe de cinq autres communes, dont Cublac à l'est, par un simple quadripoint, dans le département de la Corrèze.

    Communes limitrophes de Beauregard-de-Terrasson
    Villac
    Peyrignac Cublac
    (Corrèze),
    Terrasson-Lavilledieu
    Le Lardin-Saint-Lazare

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 008 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[9] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauregard-de-Terrasson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Lardin-Saint-Lazare, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 3 338 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,1 %), forêts (33,2 %), prairies (19,5 %), zones urbanisées (9,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Beauregard-de-Terrasson proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[23] :

    • Bancharel
    • le Bois
    • les Bois Verts
    • Cafourche
    • la Chabanne
    • la Chalucie
    • les Combarelles
    • la Combe Souillac
    • les Gannelets
    • les Gannes
    • la Geoffrenie
    • les Grattes-Chats
    • les Guillaumaux
    • Marsoli
    • Mellet
    • Peuch de Cheyrat
    • Peyredaille
    • les Poucaux
    • Renaufie
    • les Rouverolles
    • la Sautellerie
    • Serre Bru
    • Serre Marsal.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bellus Regardus en 1346, Bel Regart et Bellus Respectus en 1359.

    Le nom de la commune est la francisation de l'occitan bèl regart, correspondant à un lieu bien exposé[24], disposant d'une belle vue. La seconde partie du nom s'explique par la proximité de la ville de Terrasson.

    En occitan, la commune porte le nom de Beuregard de Terrasson[25].

    Histoire

    Préhistoire

    Le site de Badegoule[26],[27],[28],[29],[30],[31],[32] est éponyme pour le Badegoulien.

    Temps modernes

    En 1793, l'ancienne commune de Bersac a fusionné et a intégré celle de Beauregard-de-Terrasson avant d'être rétablie en 1906[33].

    XXe siècle

    La commune a servi de décor à la mini-série télévisée Des grives aux loups tournée en 1984 d'après le roman de Claude Michelet[34].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Beauregard-de-Terrasson a, dès 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[35].

    Intercommunalité

    Fin 2003, Beauregard-de-Terrasson intègre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[36],[37].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1938 1940 André Desmond[38] SFIC  
    1944 1977 André Desmond PCF  
             
    avant 1995 1995 Robert Bouissou    
    1995 2001 Mireille Grandchamp    
    mars 2001
    (réélu en mai 2020)
    En cours Lionel Armaghanian SE[39] Enseignant

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Beauregard-de-Terrasson relève[40] :

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[41].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[42].

    Démographie

    Les habitants de Beauregard-de-Terrasson se nomment les Beauregardiens[43].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

    En 2018, la commune comptait 690 habitants[Note 5], en diminution de 3,63 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0201 0681 0531 2351 3151 2631 2681 3471 312
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3971 3221 3351 3001 3681 4261 3511 2521 341
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 288587555532498467445414379
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    406436533575653654685690694
    2013 2018 - - - - - - -
    716690-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Au début du XXe siècle, la brutale chute démographique s'explique par la séparation de Bersac qui devient une commune indépendante en 1906, commune qui prendra le nom de Le Lardin en 1922.

    Économie

    Emploi

    En 2015[47], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 317 personnes, soit 43,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-quatre) a presque doublé par rapport à 2010 (vingt-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-quatre établissements[48], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans l'industrie, trois dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[49].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Antoine[52], avec son clocher-peigne.
    • La chapelle Saint-Roch[52].
    • La chapelle privée de la famille Boissarie.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la croix pattée d'or ; sur le tout, d'azur au chevronnel alésé, sommé d'un oiseau stylisé becquetant une palme posée en bande et mouvant du chevronnel, et au croissant en pointe, le tout d'argent[53].
    Devise
    Voir plus loin
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « 291 » sur Géoportail (consulté le 31 janvier 2013)..
    2. Tunnel de la Crête sur la base de données Structurae, consultée le 31 janvier 2013.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Beauregard-de-Terrasson et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Lardin-Saint-Lazare », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Beauregard-de-Terrasson » sur Géoportail (consulté le 25 février 2021)..
    24. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 45-46.
    25. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 5 février 2014.
    26. [Cheynier 1934] Dr André Cheynier, « Les lamelles à bord abattu et pièces microlithiques dans le Solutréen final de Badegoule », Bulletin de la Société préhistorique française, , p. 291-305.
    27. [Cheynier 1939] Dr André Cheynier, « Le Magdalénien primitif de Badegoule et les niveaux à raclettes », Bulletin de la Société Préhistorique Française, t. 36, , p. 334-396 (lire en ligne [sur persee]).
    28. [Cheynier 1950] André Cheynier (préf. chanoine Jean Bouyssonie), Badegoule, station solutréenne et proto-magdalénienne, Paris, Masson & Cie, coll. « Mémoires de l'IPH » (no 23), , iii + 230 p. (présentation en ligne).
    29. [Pradel 1948] Dr L. Pradel, « Stratigraphie de Badegoule », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 45, nos 8-10, , p. 229-230 (lire en ligne [sur persee]).
    30. [Pradel 1957] D L. Pradel, « Le Solutréen de Badegoule. Documentation complémentaire », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 54, no 10, , p. 600-605 (lire en ligne [sur persee]).
    31. [Cheynier, Bouchud & Guillien 1952] Dr André Cheynier, Jean Bouchud et Yves Guillien, « Les bois de Renne de Badegoule », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 49, nos 1-2, , p. 53-55 (lire en ligne [sur persee]).
    32. [Bouchud, Cheynier & Guillien 1953] Jean Bouchud, Dr André Cheynier et Yves Guillien, « Dents de Renne et migrations », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 50, no 3, , p. 127-132 (lire en ligne [sur persee]).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Lardin-Saint-Lazare », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. « Des grives aux loups » sur cinema.cg24.fr, Dordogne Cinéma, consulté le 3 janvier 2013.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
    37. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
    38. https://maitron.fr/spip.php?article22502, notice DESMOND André, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 25 octobre 2008.
    39. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 27.
    40. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    41. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Beauregard-de-Terrasson, consultée le 27 octobre 2017
    42. Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
    43. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Dossier complet - Commune de Beauregard-de-Terrasson (24030) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 août 2018.
    48. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
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    50. « Château de Mellet », notice no PA00083073, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 janvier 2013.
    51. Château de Mellet sur le site Châteaux de France, consulté le 31 janvier 2013.
    52. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 137-138.
    53. « 24030 Beauregard-de-Terrasson (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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