Beaulieu-lès-Loches

Beaulieu-lès-Loches est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Beaulieu et Loches (homonymie).

Beaulieu-lès-Loches

L'hôtel de ville.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Sophie Métadier
2020-2026
Code postal 37600
Code commune 37020
Démographie
Gentilé Bellilociens
Population
municipale
1 764 hab. (2018 )
Densité 455 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 45″ nord, 1° 00′ 58″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 121 m
Superficie 3,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Loches
(banlieue)
Aire d'attraction Loches
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Loches
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Beaulieu-lès-Loches
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Beaulieu-lès-Loches
Géolocalisation sur la carte : France
Beaulieu-lès-Loches
Géolocalisation sur la carte : France
Beaulieu-lès-Loches
Liens
Site web beaulieulesloches.eu/

    Géographie

    Localisation

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[1].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Beaulieu-lès-Loches.

    La commune est traversée par l'Indre sur son flanc ouest. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 3,94 km, comprend en outre trois petits cours d'eau[2],[3].

    L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[4]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[6], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Perrusson. La hauteur maximale historique a été atteinte en novembre 1770. La hauteur maximale mesurée s'établit à 3,30 et a été observée le 21 décembre 1982 [7]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant [8],[9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

    Trois zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : de la prairie d'Oizay aux Anglées », « la vallée de l'Indre : environs de Loches », « Perrusson à l'Ile Auger » et « la vallée du Ruisseau de Boutineau »[11],[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaulieu-lès-Loches est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Loches, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[16] et 10 264 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,1 %), terres arables (39,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), prairies (5,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Beaulieu vient du latin bellus locus, « lieu beau », endroit agréable à habiter.
    De nombreuses communes portent ce nom unique. Pour éviter les confusions, on indique le département entre parenthèses : ce sont Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation : Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sous-Parthenay.
    La gentilé des habitants de Beaulieu est très varié : Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien.

    Histoire

    Le comte d'Anjou Foulques Nerra a fondé vers l'an 1007 une abbaye, confiée aux Bénédictins, au lieu-dit « Belli loci » pour se racheter de ses péchés. Foulques Nerra est enterré dans l'abbatiale. Autour de l'abbaye, une ville s'est développée. Elle bénéficia, chose rare à cette époque et dans cette région, d'une charte de fondation avec des droits de marché et de foire ; et pour l'abbaye celui de battre monnaie.

    Pendant la guerre de Cent Ans, la ville mal protégée fut occupée par les Anglais en 1359 et 1412. L'appellation de la rue Brûlée vient du souvenir de ce deuxième sac. Plus tard, en 1562, à l'époque des guerres de Religion, ce sont les Huguenots qui pillent les biens de l'Église[23].

    L’édit de Beaulieu est signé par Henri III de France et met fin à la cinquième guerre de Religion française, le . Très libéral envers les protestants qui voient leurs revendications satisfaites, il obtempère également aux demandes financières exorbitantes des princes. Il déclenche immédiatement la sixième guerre de Religion.

    Beaulieu avait une économie dynamique, au XIXe siècle, on considérait le Bellilocien comme plus entreprenant, plus apte au commerce que le Lochois son voisin[24]. La commune a fortement décliné à la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, elle est avant tout une cité dortoir.

    Selon l'Encyclopédie Universalis (2010), la charte de fondation de la ville utilisait pour la première fois (en l'an 1007) le mot « bourgeois » pour qualifier les habitants des villes.

    Politique et administration

    Beaulieu a été renommée Beaulieu-lès-Loches le 1er mars 1957.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1801 Gallicher    
    1801 1812 Gangneux    
    27 avril 1812 1826 Turrault-Cochard    
    1826 1830 Louis Allouard    
    6 novembre 1830 1834 Isaac-Roger Ricard    
    22 novembre 1834 1840 Bigot-Mendès    
    juin 1840 1843 Gallicher-Pescherard    
    1846 Denis Maugis-Pillet    
    12 août 1846 1852 Charles Janin    
    1852 1852 Pillaut de La Boissière    
    1852 1865 Suzor-Segaud    
    1865 1866 Hutteau-Bougrier    
    1866 1876 Goujon-Laville    
    1876 1877 Guicestre    
    mars 2001 mars 2008 Pierre Renard PS  
    mars 2008 En cours Sophie Métadier UDI Urbaniste
    Députée (2021-)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[25].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 1 764 habitants[Note 7], en diminution de 2,76 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0122 1532 1342 1272 2221 9861 8871 9451 980
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8301 7731 7401 5861 6421 5911 6741 5941 640
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5931 5621 4431 2751 3421 3621 4431 6621 613
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 8271 7561 7691 7681 8641 7201 6901 6861 787
    2017 2018 - - - - - - -
    1 7671 764-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Beaulieu-lès-Loches se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B). Une école maternelle publique et une école élémentaire publique accueillent les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Dans la ville

    L'abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

    Trois églises ont été bâties dans la ville : Saint-Pierre, Saint-Laurent et Saint-André ; aujourd'hui seules les deux premières sont encore debout, Saint-Laurent n'est plus utilisée pour le culte, mais pour des manifestations culturelles.

    Foulque Nerra a entrepris la construction de l'abbaye de la Trinité à son retour de croisade, vers 1010. L'abbatiale de la Trinité est construite par son fils Geoffroy Martel. La restauration du clocher entreprise à partir de 2016 a permis de trouver deux poutres datées par de 1163 et 1164, ce qui permet d'estimer sa réalisation dans la décennie 1160-1170[30]. Foulque Nerra y a été inhumé. L'abbatiale a été partiellement détruite au cours de la guerre de Cent Ans, elle a été partiellement reconstruite sous l'abbatiat de Guillaume III Moreau de Beauregard (1442-1458), puis de l'abbé Hugues III de Fumée (1485-1494) et de son neveu et successeur Hardouin de Fumée (1494-1521). Seules quatre travées de la nef ont été reconstruites. L'église est devenue paroissiale sous la dédicace à Saint-Pierre-Saint-Paul. La façade actuelle de la nef n'a été construite qu'en 1902-1906. Des bâtiments conventuels, il reste le bâtiment qui est occupé par la mairie dont la première pierre a été posée le 3 février 1700, et des arcades du cloître dans les jardins entourant l'abbaye.

    Rue Georges-Patry, il subsiste l'ancienne maladrerie.

    Il existait aussi un quartier aristocratique avec plusieurs hôtels dont la maison du Grenier à sel, la tour Chevaleau (aménagé autour de 1300, conserve des décors peints) et la Maison des Templiers. Cette dernière a conservé une partie de ses dispositions d'origines, dont une grande salle originellement couverte d'un grand berceau de pierre. Le départ d'une hôte de cheminée à la riche mouluration est encore visible.[31]

    Le couvent des Viantaises, aujourd'hui disparu, a été fondé en 1643, par Catherine-Angélique et Rénée-Thérèse de Boursault, filles du marquis de Viantais, le seigneur de Bridoré. Les nonnes qui y vivaient étaient les chanoinesses régulières de l'Ordre de Saint-Augustin, filles de la mère de Dieu et elles étaient issues des plus grandes familles de la région. Isolé du monde par un mur de cinq mètres de haut, toujours visible, le couvent était situé dans une zone marécageuse, néfaste à la santé des religieuses dont un certain nombre mourait de fièvre, malgré leur jeune âge. Ce monastère a été dissous en 1791, à la suite de l'opposition des nonnes à la réorganisation de l'Église amenée par la Révolution française[32].

    Hors la ville

    Une léproserie, bâtie au XIIe siècle, est encore visible hors les murs de la ville. De la maladrerie de la Madeleine ne subsiste que la chapelle. Le canal de Beaulieu était commandé par les moines pour drainer les eaux de l'Indre et faciliter la construction des moulins. Les remparts sont encore visibles mais les portes ont disparu à la fin du XVIIIe siècle car elles gênaient le transport du bois. Dans le bâti remarquable de la ville, vous avez la tour Chevaleau[31] datant du XIIe siècle. Un petit donjon sur la route de Jérusalem.

    Durant la Guerre de Cent Ans, la ville est assiégée, mise à sac et sert de quartier général aux troupes assiégeant la forteresse de Loches. De cette période difficile, la ville de Beaulieu ne se relève pas. Malgré le retour des rois en Touraine (Charles VII ayant vécu à Loches) et des installations de familles nobles dans la ville (maison d'Agnès Sorel), la situation ne s'améliore pas. Les guerres de religion ramènent les troubles dans la ville qui s'endort doucement.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Beaulieu-lès-Loches se blasonnent ainsi :

    D'argent à une fleur de lys de gueules, au chef d'azur chargé de trois étoiles du champ[33].

    Notes et références

    Notes

    1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[5].
    2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
    2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    3. « Carte hydrologique de Beaulieu-lès-Loches », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    5. « Les inondations lentes », sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
    6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    7. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    12. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Loches », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Loches et la Touraine du Sud, Bernard Briais, CLD
    24. Histoire de l'abbaye de la ville de Beaulieu, L. Archambault
    25. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Beaulieu-lès-Loches, consultée le 27 octobre 2017
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Gérard Fleury, Indre-et-Loire. Beaulieu-lès-Loches. Restauration du grand clocher ouest de l'abbatiale, dans Bulletin monumental, 2019, tome 177, no 2, p. 168-171, (ISBN 978-2-901837-78-7).
    31. Gaël Carré, « Trois exemples d'habitat aristocratique en Tourraine (XIIe-XIVe siècles) », in Bulletin Monumental, 1999-1, p. 43-62, (lire en ligne).
    32. Découvrir la Touraine, la vallée de l'Indre, Bernard Brias, CLD
    33. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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