Auvillar

Auvillar [ovilaʁ] est une commune française du département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie, située à la limite de la Lomagne et au bord de la Garonne.

Auvillar

La tour de l'Horloge.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Rives
Maire
Mandat
Olivier Renaud
2020-2026
Code postal 82340
Code commune 82008
Démographie
Gentilé Auvillarais
Population
municipale
916 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 13″ nord, 0° 54′ 02″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 166 m
Superficie 15,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Auvillar
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Auvillar
Géolocalisation sur la carte : France
Auvillar
Géolocalisation sur la carte : France
Auvillar
Liens
Site web auvillar.fr

    Auvillar est depuis 1994 l'un des « plus beaux villages de France » avec son quartier du port et des monuments remarquables comme la halle circulaire, la tour de l'Horloge et l'église Saint-Pierre. Auvillar est une étape pour les touristes et les pèlerins du chemin de Compostelle.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Auvillar est située sur la Garonne, entre les villes d'Agen et de Montauban, sur un éperon rocheux dominant le fleuve. Elle est limitrophe du département du Gers.

    La vue s'étend des portes de la Nouvelle-Aquitaine aux côtes du Quercy. Au bout de la longue plaine, un pont suspendu franchit la Garonne entre Espalais et le port d'Auvillar.

    Situation de la commune

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Hydrographie

    Panorama sur la vallée de la Garonne avec en arrière-plan la centrale nucléaire de Golfech.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 768 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence », sur la commune de Valence, mise en service en 1994[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 740,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Auvillar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,4 %), forêts (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones urbanisées (4,2 %), eaux continentales[Note 5] (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Altivillaris en 1204[20].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur l'ancien occitan villar « ferme » précédé de l'adjectif aut « haut » (occitan naut).

    Remarque : villar est issu du latin vīllāre, forme substantivée et neutre de l'adjectif vīllāris appartenant, relatif à la villa (rustica) « domaine rural ». Dans le domaine d'oïl, les formes rancontrées sont plutôt villier(s), viller(s), d'où les nombreux Auvilliers[20]

    Histoire

    D'abord connue comme cité gallo-romaine (Alta Villa), Auvillar était un oppidum fixé sur un éperon rocheux. Elle fut victime de nombreuses invasions, particulièrement celle des Normands, jusqu'au XIe siècle.

    Au XIIe siècle, la ville devient chef-lieu d'une vicomté unie à la vicomté de Lomagne, puis propriété des comtes d'Armagnac aux XIVe et XVe siècles avant de devenir, au XVIe siècle, fief des rois de Navarre. Auvillar est rattachée à la couronne de France à l'avènement d'Henri IV en 1589. Sa situation de place forte soumet la cité à tous les conflits qui ravagent la région, depuis la croisade contre les Albigeois, la guerre de Cent Ans, les guerres de religion puis la Ligue.

    Du XVIIe au XIXe siècle, Auvillar doit sa prospérité à deux industries, la faïence, dont une usine était située au lieu-dit Lance, et la préparation des plumes d'oie utilisées en calligraphie, ainsi qu'au transport fluvial. Au début du XIXe siècle, le trafic batelier atteignait 3 000 bateaux par an.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, au sein du secteur de cache d'Auvilard de l'organisation juive clandestine Réseau Sixième-EIF dirigé par le docteur Sigismond Hirsch (vraisemblablement couvert par la gendarmerie d’Auvillar) qui répartit les enfants juifs dans les fermes et couvent de la région, les religieuses installées par Mgr Pierre-Marie Théas dans le couvent d'Auvillar, sous l'impulsion de leur supérieure Mère Marie Placide, accueillent les réfugiés et notamment une quarantaine d'enfants juifs. Anne-Marie et Antoinette de Caunes (sœur Didier et sœur Claire) reçoivent à ce titre la médaille des « Justes parmi les nations »[21],[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie
    place de la Halle.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 2008 Alain Sautedé    
    mars 2008 mars 2014 Michel Delrieu    
    mars 2014 En cours
    (au avril 2014)
    Olivier Renaud DVG Cadre

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Auvillarais.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2018, la commune comptait 916 habitants[Note 6], en diminution de 2,76 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2201 9002 1692 5082 3022 2752 1782 1891 969
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0801 8631 8051 7441 7061 6421 4551 3191 220
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1421 0761 015825870841832824884
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    806837873807921876994959935
    2018 - - - - - - - -
    916--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'éducation est assurée sur la commune d'Auvillar de l'école maternelle à l'école élémentaire[27].

    Manifestations culturelles et festivités

    Une fois par an, un spectacle mouvant est présenté dans les anciennes rues de la ville, avec un thème varié. Le rôle principal est souvent tenu par Vincent Madoll, avec Claire Garrigou Grandchamp et d'autres bénévoles en costume de l'époque.

    Sports

    Auvillar est une étape du Chemin de Saint Jacques de Compostelle (voir plus bas).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Grâce à avec son quartier du port et ses monuments remarquables, Auvillar est depuis 1994 l'un des « plus beaux villages de France ».

    Centre historique

    Par une ruelle, bordée de vieilles maisons du XVe au XVIIIe siècle, dont celles des Consuls et de la chapelle, désaffectée, des Carmes, on arrive sur une place à couverts où trône une halle circulaire sur colonnes, construite en 1830 sur les restes d’une ancienne halle quadrangulaire, et véritable leçon d'architecture et d'urbanisme.

    Monuments historiques

    La tour de l'Horloge surplombe la porte Arnaud Othon, du nom d'un vicomte d'Auvillar. Elle marque aussi l'entrée de la vieille ville. La construction de l'époque de Louis XIV est en pierre et briques. Les portes et les fenêtres sont en plein cintre et chaque étage est agrémenté de moulures fouillées dans la brique. La place de la halle est constituée de nombreuses demeures des XVIIe et XVIIIe siècles

    Édifices religieux

    Musée

    Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

    Auvillar est située sur le trajet de la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. L'étape précédente est la ville de Moissac et la suivante est la commune de Saint-Antoine-sur-l'Arrats.

    Personnalités notoires

    • Marcabru (v. 1110-v. 1150) : écrivain et un troubadour gascon né à Auvillar ;
    • Mathieu Rigal : peintre sur faïences et tableaux : né à Fontanes (Lot) le 21 septembre 1719 et mort le 3 décembre 1800 (12 frimaire an 9) à Miradoux (Gers). Mathieu Rigal était un peintre de grand talent, travaillant d'abord à Ardus, puis à Auvillar vers 1755 et a laissé des pièces remarquables avec des décors très élaborés. Plusieurs de ses faïences sont exposées au musée d'Auvillar.
    • Vincent Contenson, né à Auvillar le 13 janvier 1641 de Jean Contenson, docteur en droit, lieutenant en la juridiction royale d'Auvillar et de Perrette Vilatte, fille d'un consul d'Auvillar, il était neveu de Philippe Contenson, prévôt du chapitre de Montauban et vicaire-général de Jean de Berlier, évêque de cette ville. En 1655, il entre comme novice chez les dominicains du couvent de Montauban et, deux ans plus tard, fait profession à Toulouse. À 24 ans, il est professeur de philosophie à Albi, puis à Toulouse, enfin à Paris. Prédicateur de grand renom, il prêche avec succès à Toulouse, Rennes, Bordeaux, Beauvais. Il reste de Contenson un seul ouvrage : Theologia mentis et cordis, en deux gros in-folio, théologie affective contenant des méditations de pensée très élevée, mais de doctrine rigoriste[30]. ;
    • Antoine de Beauquesne (1724-1811) : capitoul de Toulouse, né à Auvillar ;
    • Jacques Ducros, né le 1er juillet 1772 à Auvillars (Lot-et-Garonne), entra comme caporal, le 1er octobre 1792, dans le 23e bataillon de volontaires, incorporé dans la 36e demi-brigade de ligne. Tambour-major le 1er novembre suivant, il fit les guerres de 1792 à l'an IV à l'armée du Nord. Sergent-major le 1er floréal an V, il servit de cette époque à l'an IX aux armées de Sambre-et-Meuse, d'Allemagne, du Danube et du Rhin. Sous-lieutenant sur le champ de bataille le 22 messidor an VII, il délivra, à l'affaire de Molis (Helvétie), le 12 thermidor, une compagnie de son corps qui avait été coupée par l'ennemi. Le 11 floréal an VIII, il passa le Rhin à la tête d'un détachement sous le feu le plus meurtrier, et se maintint assez de temps pour faciliter l'établissement d'un pont de bateaux sur lequel devait passer le corps d'armée dont il faisait partie. Lieutenant le 1er pluviôse an IX, membre de la Légion-d'Honneur le 25 prairial an XII, il fit les campagnes des ans XII et XIII au camp de Saint-Omer, celles de l'an XIV à 1807 à la grande armée, en Autriche, en Prusse et en Pologne, se signala à la bataille d'Austerlitz le 11 frimaire an XIV, et nommé capitaine le 1er février 1806, il reçut à Eylau un coup de feu qui lui fractura la main droite et l'avant-bras. Admis à la retraite par suite de ces blessures le 27 juillet 1808, il fut remis en activité dans la garde nationale active du département de Tarn-et-Garonne en 1814, et rentra dans la position de retraite le 19 août 1814. [réf. nécessaire]
    • Jean-Baptiste de Bressoles de Sisce (1753-1838) : général français de la Révolution et de l’Empire, né et mort à Auvillar ;
    • Maurice Mességué, (1921-2017) : herboriste et écrivain français ayant vécu et mort à Auvillar ;
    • Serge Lapébie : (1948-1991) : coureur cycliste mort à Auvillar ;
    • Nicolas Durand (1982-) : joueur de rugby originaire d'Auvillar.

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules à deux tours ouvertes et ajourées de sable, les créneaux de même, essorées chacune de trois pièces pointues aussi de sable et girouettées, celle du milieu plus haute ; la tour de dextre d’or crénelée de sept pièces et girouettée du même, celle de senestre d’argent crénelée de six pièces et girouettée du même[31].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Adrien Lagrèze-Fossat, La ville, les vicomtes et la coutume d'Auvillar, Paris, A. Claudin, , 254 p. (lire en ligne)
    • Jean-François Bladé, Notice sur la vicomté de Bezaume, le comté de Benauges, les vicomtés de Bruilhois et d'Auvillars et les pays de Villandraut et de Cayran, p. 67-71, Bordeaux, C. Lefebvre, 1878 (lire en ligne)
    • François Moulenq, « La justice au XVIIe siècle, un épisode de l'histoire de la ville d'Auvillars », dans Recueil des travaux de la Société d'agriculture, sciences et arts d'Agen, 1875, deuxième série, tome 4, p. 1-90 (lire en ligne)
    • Georges Passerat, « Célébrités d'Auvillar », dans Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1993, tome 118, p. 253-258 (lire en ligne)
    • Andrée Capgras, « Histoire d'Auvillar », dans Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1993, tome 118, p. 297-304 (lire en ligne)
    • Anna-Laure Napoléone, Pierre Garrigou Grandchamp, « Une maison à façade en pans de bois des années 1476-1479 à Auvillar (Tarn-et-Garonne) », dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 2011, tome 71, p. 163-180 (lire en ligne)
    • Jean Darrouy, La faïence et la terre vernissée d'Auvillar, catalogue accompagnant l'exposition des faïences d'Auvillar à l'Abbaye de Belleperche en 2015.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Plan séisme » (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Valence - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Auvillar et Valence », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Valence - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Auvillar et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valence », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 31a.
    21. « Caunes, Anne-Marie de (sœur Didier) ; Caunes, Antoinette de (sœur Claire) », dans Israel Gutman, Lucien Lazare, Dictionnaire des Justes de France, Jérusalem et Paris, Yad Vashem et Arthème Fayard, (ISBN 2-213-61435-0), p. 144.
    22. « De Caunes, Anne-Marie », sur yadvashem-france.org, Comité français pour Yad Vashem (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Les écoles d'Auvillar
    28. « Eglise Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    29. « Eglise du Port », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    30. Sources : Abbé Paul Lasserre en 1947
    31. Armoiries d'Auvillar sur le site auvillar.com
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