Aunay-sous-Crécy

Aunay-sous-Crécy est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Les habitants d'Aunay-sous-Crécy se nomment les Aunaisiens et les Aunaisiennes.

Pour les articles homonymes, voir Aunay et Crécy.

Aunay-sous-Crécy

Église Saint-Martin d'Aunay-sous-Crécy.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Jacques Rivière
2020-2026
Code postal 28500
Code commune 28014
Démographie
Gentilé Aunaisiens
Population
municipale
643 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 15″ nord, 1° 18′ 20″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 172 m
Superficie 8,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dreux-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Aunay-sous-Crécy
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Aunay-sous-Crécy
Géolocalisation sur la carte : France
Aunay-sous-Crécy
Géolocalisation sur la carte : France
Aunay-sous-Crécy
Liens
Site web www.aunay-sous-crecy.fr

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 610 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marville - Man », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 581,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Aunay-sous-Crécy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), forêts (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (5,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latine Alnetum vers 1080, Alaretum vers 1110[21], Altum et Covetum en 1250, puis sous la forme Alnetum juxta Covetum en 1310[22] et Saint-Martin d’Aunay-sous-Couvé en 1736[23].

    L'aune est un arbre des lieux humides.
    Le terme « aulne » est assez récent : l'arbre s'appelait auparavant verne ou vergne.
    • Crécy est une commune limitrophe.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    .... 1815 André Girard    
    1815 1818 Odilon de Bellanger    
    1818 1831 Nicolas Luzurier    
    1831 1865 Etienne Jumelle    
    1865 1876 Pierre Charles Hoddé    
    1876 1888 Eugène Nicourt    
    1888 1896 Emile Blin    
    1896 1904 Aimé Hurel    
    1904 1908 Paul Hurel    
    1908 1920 Edgard Jumelle    
    1920 1922 Paul Poussin    
    1922 1925 Zéphir Brière    
    1925 1941 Ernest Lefèvre    
    1941 1976 Marcel Desdoigts    
    1976 1977 Pierre Hurel    
    1977 2008 Jean-Pierre Sirdey    
    2008 En cours Jacques Rivière[24],[25]   Technicien

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 643 habitants[Note 6], en augmentation de 12,41 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    202223256211247308369431396
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    335335267306276251268249242
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    261298304285320339318380349
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    437444566666673644578569575
    2017 2018 - - - - - - -
    637643-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Ancien château d'Aunay, propriété du groupe Soufflet.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Martin

    L'édifice actuel daterait de la fin du XVe siècle.

    • Trois de ses verrières (baies 3 à 5) sont classées monuments historiques en tant qu'objet depuis 1908[33]. Elles figurent notamment l'ange de l'Annonciation, saint Nicolas de Bari, sainte Barbe, l'Arbre de Jessé et la Vierge à l'Enfant.
    En 1946, une verrière des ateliers Lorin de Chartres est réalisée pour orner une baie du mur sud. Elle met en scène l’apparition de Marie à Bernadette Soubirous [34].
    • Deux écussons sont sculptés : le premier (de gueules au croissant d'or, au chef d'argent chargé d'hermines), qui se trouve dans la partie supérieure du vitrail donnant sur la sacristie, côté de l’Évangile, à l'intersection des nervures des meneaux, porte les armoiries de Philippe de Gauville, possesseur de la terre du Nouvet ; le second (de gueules fretté d'argent au franc quartier d'or chargé d'un lion contourné de sable), qui se trouve à l'extérieur de l'église, adossé au premier, est celui de l'épouse de Philippe de Gauville : Jacqueline de Ligneris[35],[Note 7].

    Ancien château d'Aunay

    Le château est construit au XVIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles de La Rivière du Pré d'Auge, chevalier, seigneur de Millouet, puis de Silly (Calvados), né le 26 janvier 1655 au Pré-d'Auge (Calvados), capitaine au régiment de la Marine en 1676. Veuf, il épousa, vers 1692, en secondes noces Marguerite Flory de Lessart, veuve de Philippe de la Vergne, seigneur d'Aunay-sous-Crécy. Il mourut à l'âge de 55 ans, à Aunay-sous-Crécy et il fut inhumé dans l'église le [36].
    • Louise Françoise Pauline de Montmorency (1734-1818), épouse en premières noces d'Anne François de Montmorency-Luxembourg (1735-1761) et en secondes noces de Louis François Joseph de Montmorency (1737-1781), elle possédait plusieurs hectares sur la commune d'Aunay-sous-Crécy, dont une partie plantée de marronniers[37].
    • Alphonse Pain (1801-1878), né à Boos (Haute-Marne), père d'Olivier Pain (1845-1884) qui était le secrétaire du pamphlétaire Henri Rochefort et fut déporté avec lui en 1873 en Nouvelle-Calédonie, avec lequel il parvint à s'évader de la presqu'île Ducos en mars 1874. Alphonse Pain s'est associé avec Charles Berthier pour la confection de machines à coudre à Aunay-sous-Crécy, mais l'entreprise périclita et il mourut dans la misère à Tréon le 15 décembre 1878[38] où il fut inhumé[39].
    • Émile Perrin (1814-1885), peintre, critique d'art, décorateur de théâtre, directeur de l'opéra-comique de 1848 à 1857, puis en 1862, administrateur général de la Comédie-Française de 1871 à sa mort, membre de l'Académie des beaux-arts. Alors jeune peintre, il a vécu à Aunay-sous-Crécy chez un de ses très proches parents[40].
    • Henri Jumelle (1866-1935), membre correspondant de l'Institut de France, professeur à la Faculté des Sciences de Marseille, directeur du musée colonial et directeur du Jardin botanique de Marseille, membre correspondant de l'Académie d'agriculture, membre du comité consultatif de l'Enseignement supérieur, officier de la Légion d'honneur. Né à Dreux, ses parents sont enterrés à Aunay-sous-Crécy[41].
    • Célestine Reiter (1872-1967), épouse de Jean Reiter, fils naturel du compositeur Georges Bizet (1838-1875). Elle a vécu à Aunay-sous-Crécy[42].
    • Damien Caceres (1993-), habitant à Aunay-sous-Crécy, est gardien de but de l'équipe réserve de l'ESTAC Troyes, puis au FC drouais depuis 2012[43],[44]. En septembre 2020, outre son métier de vendeur chez Décathlon, il devient entraîneur-joueur à Tréon au troisième échelon départemental[45].

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'argent à l'aulne, au chef échiqueté d'or et d'azur chargé de trois tours d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aunay-sous-Crécy, monographie communale. Les usines d'engrais chimiques, de Charles Maillier, chez l'auteur 1 rue Chénevotte à Dreux, 1964, 52 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. À Chartres, l'hôtel particulier qui abrite la préfecture se nomme l'hôtel de Ligneris.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marville - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Aunay-sous-Crécy et Marville-Moutiers-Brûlé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marville - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Aunay-sous-Crécy et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Dans une charte de l’abbaye Saint-Père-en-Vallée.
    22. Dans une charte de l’abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois à Saint-Maixme-Hauterive.
    23. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier, .
    24. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Ministère de la transition écologique et solidaire - Inspection des installations classées., « Fiche de l'établissement », sur http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    31. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, 2 juillet 1971 : "La ligne de chemin de fer Dreux-Chartres qui sera fermée aux voyageurs lundi avait été inaugurée le 28 juillet 1873"
    32. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, août 1971
    33. « 3 verrières figurées : l'ange de l'Annonciation, saint Nicolas de Bari, sainte Barbe, l'Arbre de Jessé, Vierge à l'Enfant, motifs décoratifs (baies 3 à 5) », notice no PM28000018, base Palissy, ministère français de la Culture.
    34. [PDF] Églises ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saint-Martin d'Aunay-sous-Crécy », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
    35. Procès-verbal de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, bilan des années 1926-1929. Identification des écussons faite par l'Abbé Boudet le 4 février 1926 et mentionnée dans le compte-rendu de l'assemblée générale du 6 février 1930. (Procès-verbaux de la SAEL- Tome XIV - pages 277 et 278)
    36. Généalogie de la Rivière Pré d'Auge, Richard de la Rivière, 1970, Archives Nationales
    37. Acte contenant dépôt de deux actes, reçu par Maître Jean Baptiste Levassor, notaire à Chartres, le 21 floréal an XIII (11 mai 1805), archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2 E 4 603.
    38. Registre de l'état civil de Tréon, année 1878, acte numéro 16.
    39. Procès-verbal de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, séance du 3 février 1938. Recherches effectuées par l'abbé Boudet.
    40. Journal Vert-Vert, 30 octobre 1885, p.2 : "Vers 1842 ou 1844, si nous avons bonne mémoire, M. Perrin se trouvait à Aunay-sous-Crécy, près de Dreux, chez un de ses très proches parents ; aux prises avec les dures nécessités de l'existence, on peut le dire à son honneur, il chercha dans notre ville (Dreux) à vivre de son jeune talent comme peintre."
    41. L'Action républicaine, 11 décembre 1935.
    42. L'Echo Républicain de la Beauce et du Perche du samedi 7 janvier 1967 : "Mort, à Dreux, de la veuve du fils de Georges Bizet" Extrait de l'article : "sa veuve termina son existence à Garancières-en-Drouais, puis à Aunay-sous-Crécy, auprès de sa fille, Mme Reiter, conseiller municipal et filleule de Jacques Bizet, fils du compositeur"
    43. « Entretien avec Damien Caceres », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).
    44. [source insuffisante]« Damien Caceres », sur facebook.com (consulté le ).
    45. Gaël Trévien, « Football/Départemental - L'ancien gardien du FC drouais Damien Cacérès est devenu entraîneur-joueur à Tréon (D3) », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
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