Argelliers

Argelliers [aʁ.ʒə.ljɛs] (en occitan Argelièrs [ar.d͡ʒe.'ljɛs]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Argeliers.

Argelliers

La plaine de Saugras vue depuis le roc de Pampelune.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Pierre Amalou
2020-2026
Code postal 34380
Code commune 34012
Démographie
Gentilé Argelliérains
Population
municipale
993 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 55″ nord, 3° 40′ 29″ est
Altitude 230 m
Min. 80 m
Max. 531 m
Superficie 50,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Argelliers
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Argelliers
Géolocalisation sur la carte : France
Argelliers
Géolocalisation sur la carte : France
Argelliers

    Géographie

    Carte

    Hydrographie

    Le ruisseau des Corbières prend sa source dans la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 866 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montarnaud », sur la commune de Montarnaud, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 869,9 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 28 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Un espace protégé est présent sur la commune : les « gorges de l'Hérault », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 451,2 ha[15].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[17] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[18]

    et un au titre de la directive oiseaux[17] :

    • les « hautes Garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[20] : les « bois dolomitiques des Matelettes » (243 ha), couvrant 2 communes du département[21] et les « gorges de l'Hérault au bois de Fontanilles » (1 805 ha), couvrant 4 communes du département[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[20] :

    • les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[23] ;
    • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Argelliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (70,2 %), forêts (19,5 %), cultures permanentes (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), zones urbanisées (2 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Argeleriis en 1154[31],[32], dans le cartulaire d'Aniane où il apparaît dans une phrase citant l'église dédiée à Saint Stéphane « Sanctus Stephanus de Argillariis ».

    Argelièrs en occitan.

    Ce toponyme est très proche du mot occitan argiala désignant l'argile et dérivé du latin argillia (« terre glaise »). Le toponyme signifie « terrain argileux », « lieu où abonde l'argile »[31]. Quelques dictionnaires anciens écrivent Argille avec un ll mouillé.

    La présence d'argile et son emploi pour la poterie auront sans doute influé sur la naissance de ce toponyme[33].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Georges Pierrugues SE  
    mai 2020 En cours
    (au 18 mai 2020)
    Pierre Amalou[34],[35] SE Ancien cadre[36]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 993 habitants[Note 8], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    390360398407404347332368389
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    414386381356395338296270294
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    292310273242239226190196137
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    153155196255534731773878998
    2018 - - - - - - - -
    993--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Abside de l'église Saint-Étienne d'Argelliers

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armoiries de Argelliers se blasonnent ainsi :

    De gueules à saint Étienne, vêtu en diacre d'argent, la dalmatique d'azur bordée d'or, tenant dans sa main dextre une palme du même et dans sa senestre trois cailloux d'argent ensanglantés de gueules.

    Personnalités liées à la commune

    Max Rouquette, écrivain occitan, est inhumé au cimetière d'Argelliers

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Montarnaud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Argelliers et Montarnaud », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Montarnaud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Argelliers et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Argelliers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Argelliers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « bois dolomitiques des Matelettes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « gorges de l'Hérault au bois de Fontanilles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1282 - (ISBN 2600001336).
    32. Eugène Thomas, Dictionnaire topographique du département de l'Hérault : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, , 278 p. (lire en ligne), p. 6-7.
    33. Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux de la France, Éditions du Beffroi, 2002, p. 82 : « Le terrain argileux ou la carrière d'argile sont couramment représentés en toponymie par le dérivé argilièr/argelièr de argila / argela. ».
    34. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 d'Argelliers, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    35. Pierre Amalou et sa nouvelle équipe municipale ont été installés, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    36. Fiche de la mairie d'Argelliers, mise à jour le sur le site la-mairie.com (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Vestiges de l'ancienne chapelle », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    42. « Eglise Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Paul Scot, Quatre églises rurales romanes à Aniane et Argelliers, S.l., s.n., , 21 p.
    • Jean Lesaffre, Deux villages languedociens, Roquebrun et Argelliers, Montpellier, Impr. Mari-Lavit,
    • Jean Fournel, Avec ceux d'Argelliers : un acte de l'énergie méridionale, Montpellier, Éd. Languedociennes, , 193 p.
    • Alphonse Capion, Argelliers, Nîmes, Éd. Lacour, coll. « Rediviva », , 90 p.
    • Christian Pioch, « Quatre siècles au Mas Andrieu (Argelliers, Hérault) », Cercle généalogique de Languedoc, no 145, , p. 38-60
    • Paul Baque, « Le vin et la vie. Mort d'un village : Argelliers », Cévenne & Méditerranée, no 2,
    • Centre de recherches archéologiques des chênes verts, « La grotte sépulcrale de Rabassié (commune d'Argelliers - Hérault) : note préliminaire », Cahiers ligures de préhistoire et d'archéologie, Bordighera, Institut international d'études ligures, t. 10, , p. 121-127
    • Marcel Durliat, « Une construction de l'époque de saint Benoît d'Aniane à Argelliers (Hérault) », Revue archéologique de Narbonnaise, t. 1, , p. 233-247
    • H. Breicher, Lucie Chabal et Nolwenn Lecuyer, « Artisanat potier et exploitation du bois dans les chênaies du nord de Montpellier au XVIIIe siècle (Hérault, Argelliers, Mas-Viel) », Archéologie du Midi médiéval, no 20, , p. 57-106

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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