Andilly (Val-d'Oise)

Andilly est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Andillois.

Pour les articles homonymes, voir Andilly.

Andilly

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité Communauté d'agglomération Plaine Vallée
Maire
Mandat
Daniel Fargeot
2020-2026
Code postal 95580
Code commune 95014
Démographie
Gentilé Andillois
Population
municipale
2 581 hab. (2018 )
Densité 945 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 00″ nord, 2° 18′ 00″ est
Altitude 120 m
Min. 63 m
Max. 180 m
Superficie 2,73 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montmorency
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Andilly
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Andilly
Géolocalisation sur la carte : France
Andilly
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Andilly
Liens
Site web ville-andilly-95.fr

    Géographie

    L'entrée d'Andilly sur la D 144.

    La commune a gardé un aspect villageois, malgré la proximité de Paris, à moins de 20 kilomètres au sud. Situé à flanc de coteau dominant la vallée de Montmorency et la capitale, le village est couronné par la forêt de Montmorency. Elle est limitrophe de Montmorency, Soisy-sous-Montmorency, Eaubonne, Margency et Montlignon.

    Communes limitrophes d’Andilly (Val-d'Oise)[1]
    Montlignon Domont Montmorency
    Margency Soisy-sous-Montmorency

    Hydrographie

    Le territoire communal est traversé par un petit cours d'eau : le ruisseau d'Andilly.
    D'une longueur de 3,2 kilomètres, il naît au centre de la commune à hauteur du village et se jette dans le ru d'Enghien, affluent du lac d'Enghien puis de la Seine, après avoir traversé le sud de la commune et le territoire de Soisy-sous-Montmorency, en souterrain pour l'essentiel. Il alimente une petite pièce d'eau à la limite d'Andilly et Soisy[3].

    La commune est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable à Montmorency est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[4]. L'eau distribuée est d'origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[5],[6].

    Voies de communication et transports

    Les voies les plus importantes qui traversent la commune sont trois routes départementales.

    La route départementale 144 relie Montmorency à Saint-Leu-la-Forêt. Elle traverse la partie méridionale de la commune et se poursuit vers l'ouest à travers Margency et le nord de la vallée de Montmorency.

    La route départementale 109 relie Argenteuil à Soisy puis devient la D 109 prolongée jusqu'au nord d'Andilly sur le plateau des Champeaux où elle rejoint la D 124e, antenne de la route départementale 124 reliant Montmorency à Domont. La D 109p traverse la commune dans toute sa longueur du sud au nord, à partir de la limite avec Soisy-sous-Montmorency.

    Ces différentes infrastructures terrestres ont un impact assez limité en termes de pollution sonore selon la réglementation[7]. Les principales voies routières sont classées de catégorie 4, de niveau modéré, seule une section de la D 124 au nord, en zone non bâtie, est classée de catégorie 3, de nuisance moyenne. Le centre du village est hors classement, voyant transiter moins de cinq-mille véhicules par jour, seuil minimal de classification[8].

    Aucune gare ne dessert la commune. Des lignes de bus des TVO (réseau "Valmy") permettent de relier la commune aux gares les plus proches : ligne 10 du réseau de bus Valmy vers les gares du Champ de courses d'Enghien et d'Ermont-Eaubonne, ligne 11 du réseau de bus Valmy vers les gares d'Enghien-les-Bains , d'Épinay-sur-Seine et la gare de Saint-Gratien.

    La commune se situe dans l'axe des pistes de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, situé à une quinzaine de kilomètres à l'est, dont les avions en survol provoquent d'importantes nuisances acoustiques comme dans la quasi-totalité des communes du sud du Val-d'Oise.

    Climat

    Andilly comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de 2° en moyenne mais qui peut atteindre 8° par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière)[9].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[10]

    Urbanisme

    Typologie

    Andilly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[14] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Toponymie

    Le nom du village apparaît pour la première fois dans l'histoire sous la forme Andiliacum en 1174 dans un acte mentionnant le seigneur du lieu, Baudoin d'Andiliacum, Andeliacum en 1193, Andeli en 1125, Andilli en 1151[19].

    Le nom d'Andilly provient peut-être de l'anthroponyme gallo-romain Andillius et du suffixe gallo-romain -acum qui signifie "domaine de". Homonymie avec Andillac et peut-être aussi avec Andely.

    Histoire

    Il est fait mention d'Andilly, pour la première fois, en 1125 dans une charte qui indique : « Balduinus de Andeli meus est de feodo quod tenet apud Garges »[20]. Le premier seigneur, connu, d'Andilly est donc Baudoin d'Andilly qui sera suivi de Radulphus de Andeli puis du chevalier Thibaud de Bruyères qui avait une seigneurie à Andilly[20]. En 1426, la terre appartient à Jean Fromont seigneur de Boissy, clerc du Roi en la chambre des comptes. Guillaume de Fromont lui succéda, puis Claude et Guillaume II qui se partagèrent le territoire. Claude de Fromont eut Andilly-le-Haut et Guillaume II Andilly-le-Bas.

    Le fief fut acquis au XVIe siècle par Antoine Arnauld, avocat général au Parlement de Paris et docteur en théologie à la Sorbonne.

    Son fils Robert Arnauld d'Andilly fut un des fondateurs du jansénisme, persécuté par Louis XIV. Le village accueillit sous la Restauration Mme de Duras, l'auteur d'« Ourika » et amie de Chateaubriand qu'elle hébergea.

    Le village, éloigné des grandes voies de communications et de toute gare est resté agricole jusque dans les années 1960, période à laquelle il connut comme les villages voisins une urbanisation essentiellement pavillonnaire. Une zone d'activité, dite des "Cures", a été créée au sud de la commune, en limite de Soisy-sous-Montmorency.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription du Val-d'Oise.

    La commune a fait partie de 1793 à 1967 du canton de Montmorency de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est intégrée en 1967 dans le nouveau canton de Soisy-sous-Montmorency[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est à nouveau membre du canton de Montmorency, dont la composition est très différente de celui qu'il était autrefois.

    Andilly fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[23],[24].

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), créée en 2002.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine le pour former la communauté d'agglomération Plaine Vallée (CAPV, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 mars 1971 Pierre Théodore    
    mars 1971 mars 1989 Lucien Vauzelle    
    mars 1989 mars 2008[25] Henri Flavigny DVD Retraité
    Vice-président de la CAVAM (? → 2008)
    mars 2008 En cours
    (au 18 mai 2021)
    Daniel Fargeot UMPLR[26] Expert-comptable
    Vice-président de la CAVAM (? → 2016)
    Vice-président de la CAPV (2017 → )
    Président de l'Union des maires du Val-d'Oise[27]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

    Habitat - Loi SRU

    Andilly est une commune dont la population est particulièrement aisée, et aurait été, en 2008, la 22e commune de France des villes préférées des gros salaires[30]. Contrairement aux dispositions de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains, la commune ne dispose en 2015 que de 15,78 % de logements sociaux, et n'en a construit aucun durant la période 2011-2013. En conséquence, elle est astreinte au paiement d'une compensation de 65 000 euros pour l'année 2015[31].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2018, la commune comptait 2 581 habitants[Note 3], en augmentation de 0,94 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    351342345320364389396390403
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    412447477507685663647654633
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8289347076538241 0178488631 141
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2771 5191 6521 5892 1162 0132 4022 5202 604
    2018 - - - - - - - -
    2 581--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Un centre nautique a été construit en limite d'Andilly et de Soisy-sous-Montmorency. Il comprend trois bassins (un bassin de compétition de 25 m à 8 couloirs, un bassin de perfectionnement et un d'initiation et un « espace forme »). Les travaux ont été lancés en 2010. Le coût du bâtiment est évalué à 11,5 millions d'euros, et a été notamment financé dans le cadre d'un contrat de territoire passé avec l'État, le Département et la Région.

    La mise en service de l'équipement a été réalisée mi-2011[35].

    Économie

    Une zone d'activités se situe au sud de la commune, à la limite de Soisy-sous-Montmorency et Eaubonne.

    D'après le numéro de fin 2009 du magazine Capital, 5,6 % de contribuables au-dessus de 97 500 € de revenus annuels après abattement, avec des revenus annuels moyens de 292 407 € habiteraient Andilly, la plaçant à la vingt-deuxième place du palmarès national des villes préférées des gros salaires (établi d’après les statistiques de l’impôt sur le revenu 2008), derrière le XVIe arrondissement de Paris, Neuilly-sur-Seine, Le Vésinet, Ramatuelle, mais devant Saint-Tropez. La ville abriterait ainsi des professions libérales aisées et des chefs d'entreprises[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Colombier.
    Église Saint-Médard.
    Château de Belmont.

    Monument historique

    Andilly ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Le Colombier, 7 rue Charles-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrêté du [37]) : Il représente le seul vestige du château de la famille Arnauld. De forme cylindrique, il comporte une colonne centrale en pierre. La paroi intérieure est divisée en niches à pigeons (ou boulins) en argile. Les façades sont dépourvues d'ornementations, à l'exception d'une double rangée de moulures toriques en haut du mur. Le toit en poivrière est couronné par un clocheton[38].

    Autres éléments du patrimoine

    • Le Château de Belmont, 4 rue Aristide-Briand : Il a été édifié à la fin du XVIe siècle et largement remanié depuis. Quand il sert de résidence à la duchesse de Duras entre 1817 et 1824, François-René de Chateaubriand y séjourne plusieurs fois. Ensuite, le château est vendu à Talleyrand, qui y installe sa nièce et maîtresse, Dorothée de Courlande. À la fin du XIXe siècle, le château est occupé par Jules Rostand, banquier, maire d'Andilly et parent d'Edmond Rostand. Ce n'est que par la suite que l'étage en comble brisé est ajouté[38]. Laissé à l'abandon pendant plus de six ans, il est devenu un hôtel de luxe, puis, récemment, a été restauré et transformé en appartements de standing, puis est devenu un centre de cures.
    • Le Château du Gaz, rue Aristide-Briand : Appelé ainsi car devenu maison de retraite des employés de Gaz de France, il fut bâti par le financier Rodocanachi dans la seconde moitié du XIXe siècle. Après la Seconde Guerre mondiale, le château sert un temps d'orphelinat. Son style avec alternance de la brique rouge et de la pierre de taille pour les chaînages et ornementations est caractéristique du Second Empire, mais le château se distingue par les deux pavillons polygonaux qui le flanquent à deux angles. L'un est couvert par une coupole[38].
    • Le Fort de Montlignon, au nord-est du village, à cheval sur la commune d'Andilly : Bâti entre 1874 et 1879 sous la direction du futur maréchal Joffre, il était destiné, avec les forts de Domont et de Montmorency, à assurer la défense nord de Paris, renforcée par la batterie de Blémur à Domont, en forêt de Montmorency. Eugène Villetel, entrepreneur à Montmorency, obtint le marché de la construction du fort. D'un coût de 2 439 546 francs, il pouvait abriter une garnison théorique 794 hommes[38]. Il est occupé aujourd'hui par le Centre national de tir de la police nationale.
    • « La terrasse », route de la Croix-Blanche : ce terrain communal planté de châtaigniers centenaires offre un très beau panorama sur Paris et la banlieue Nord.

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Arnauld d'Andilly (1589-1674) obtient la seigneurie à son mariage en 1613. Il la revend mais en porte le nom toute sa vie.
    • Claire Louisa Rose Bonne, duchesse de Duras (1777-1828), écrivaine, est propriétaire du château de Belmont entre 1817 et 1824.
    • Dorothée de Courlande (1793-1862), la duchesse de Dino, habite le château de Belmont à partir de 1824, mis à sa disposition par Talleyrand.
    • Talleyrand, Chateaubriand et Stendhal ont séjourné à Andilly.
    • Jean Finot a résidé à Andilly. Son fils Louis-Jean né en 1898 en devient le maire en 1929 et le reste jusqu'à sa mort en 1957.
    • Stendhal (1783-1842). Andilly représente un lieu privilégié dans l'œuvre et dans la vie de Stendhal. Depuis son premier roman Armance, jusqu'à la réalisation le 22 septembre 2012 d'un vœu exprimé dans le livre Souvenirs d'égotisme écrit en 1832[réf. nécessaire]. Par ailleurs, Stendhal dans son testament du , souhaite être inhumé à Andilly [40].

    Héraldique

    Les armes d'Andilly se blasonnent ainsi :

    D'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux palmes adossées du même et en pointe d'une montagne de six coupeaux aussi d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Marie Vijoux, À la découverte d'Andilly, Corlet éditions, (ISBN 2-913328-07-5), 2000, 120 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Communes limitrophes d'Andilly » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Andilly » sur Géoportail..
    3. SANDRE - Cours d'eau : ruisseau d'Andilly
    4. Site de la DDASS95
    5. Voir l'Atlas de l'eau en Val d'Oise
    6. SEDIF - Méry-sur-Oise
    7. Prévention du bruit des infrastructures de transports terrestres - Législation et réglementation
    8. Classement sonore des infrastructures terrestres du Val-d'Oise
    9. Météo France - Climatologie
    10. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 15 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
    20. Jean Lebeuf : Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris Volume 3 page 403
    21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    24. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    25. Daniel Pestel, « Le maire d’Andilly soutient sa fille contre son adjoint », Le Parisien - Municipales 2008, (lire en ligne, consulté le ).
    26. C. L., « Daniel Fargeot, chargé de mission auprès des républicains du Val-d’Oise : Celui-ci fera office de secrétaire fédéral en attendant la nomination d’un nouveau secrétaire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    27. 6/12/2020, « Maire d'Andilly, Daniel Fargeot réélu président de l'Union des maires du Val-d'Oise : Daniel Fargeot, maire (Lr) d'Andilly, a été réélu président de l'Union des maires du Val-d'Oise jeudi 3 décembre 2020 », La Gazette du Val-d'Oise, julien ducouret (lire en ligne, consulté le ).
    28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Votre équipe municipale », Andilly & Vous - Le magazine de votre commune, no 16, , p. 3-5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    29. « Procès-verbal - séance ordinaire du conseil municipal d'Andilly - Samedi 23 mai 2020 » [PDF], Les compte-rendus, sur https://www.ville-andilly-95.fr (consulté le ).
    30. « Andilly, nouvel eldorado des riches : Cette petite ville du département est au 22e rang des villes préférées des gros revenus, après Neuilly, mais avant Saint-Tropez ! », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    31. Alexandre Boucher, « Le maire d'Andilly dénonce « le racket fiscal » de l'Etat », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Rapport d'activité 2005 de la CAVAM
    36. « Andilly, nouvel eldorado des riches », Le Parisien, (consulté le ).
    37. Notice no PA00079976, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Amélie Marty et Toussainte Bendiba, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Andilly », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 829-830 (ISBN 2-84234-056-6).
    39. Mathieu Lours, « Andilly - Saint-Médard », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 36-37 (ISBN 9782953155402).
    40. dédié à l’œuvre de Stendhal par Olivier Hertoux.
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