Aincourt

Aincourt est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Incourt.

Aincourt

L'église Saint-Martin et le monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité Communauté de communes Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Emmanuel Couesnon
2020-2026
Code postal 95510
Code commune 95008
Démographie
Gentilé Aincourtois, Aincourtoises
Population
municipale
901 hab. (2018 )
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 00″ nord, 1° 47′ 00″ est
Altitude 140 m
Min. 107 m
Max. 201 m
Superficie 10,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Aincourt
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
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Aincourt
Liens
Site web http://www.aincourt.fr

    Géographie

    Localisation

    Vue générale.

    Hameaux et écarts

    Les lieux-dits et hameaux de la commune subsistant de nos jours sont Lesseville et la ferme de Brunel[réf. nécessaire].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Aincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6],[7].

    Habitat

    Logements[8]Nombre en 2016 % en 2016nombre en 2011 % en 2011
    Total380100 %366100 %
    Résidences principales33588,2 %32789,4 %
    → Dont HLM329,4 %309,2 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    174,5 %236,2 %
    Logements vacants[Note 3]277,2 %164,5 %
    Dont :
    → maisons28675,2 %27173,9 %
    → appartements9424,8 %9325,5 %

    Projets

    La municipalité souhaite en 2019 voir réaliser un important projet de reconversion de l'ancien sanatorium abandonné de longue date, qui permettrait l'aménagement de 124 logements de luxe, soit un projet évalué à 30 millions d'euros[9],[10].

    Toponymie

    Aincurtis, Ayencort, Laëncourt, Aincort en 1249[11] et suivant les époques, il apparaît dans les textes sous les formes Ayencourt, Laencourt et Incourt[réf. nécessaire].

    Le toponyme Aincourt proviendrait du germanique agin et du latin cortem (domaine).

    Histoire

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    Aincourt ne possède aucun monument datant de l’époque gauloise ou gallo-romaine. Il est toutefois possible qu'un camp ait existé à la Bucaille, un aqueduc y ayant été retrouvé, laissant supposé qu'il conduisait l'eau de Lesseville à ce camp.

    Aincourt est né de la réunion des fiefs de Brunel et Boran qui dépendaient d'Arthies et relevait de la châtellenie de la Roche-Guyon.

    Conquête de l'Angleterre

    Monument à Gauthier d'Aincourt.

    Le premier seigneur d'Aincourt connu est Gauthier d'Aincourt, chevalier sans fortune, sans terre et sans prestige qui vivait dans la domesticité des grands seigneurs de la région, qui se met en 1047 au service de Guillaume le Bâtard à la bataille du Val-ès-Dunes. Les barons furent battus. Guillaume régnant sur la région, Gauthier reçoit en gage de remerciement Aincourt qui en 1050 fait partie du diocèse de Rouen. En 1066, il embarque à Dives-sur-Mer pour la conquête normande de l'Angleterre[Note 4] et débarque avec Guillaume le Conquérant sur la plage de Pevensey dans le Sussex à proximité d'Hastings.

    Harold II d'Angleterre arrive à sa rencontre avec ses troupes, au total 7 000 à 8 000 hommes, dont environ 2 000 Housecarls. Le , la bataille d'Hastings débute. Après un début de combat indécis, le duc de Normandie lance les 3 000 hommes de sa chevalerie à l'assaut des lignes anglaises qui résistent tant bien que mal. À la fin de la journée, Guillaume ordonne à ses archers d'abandonner le tir en cloche pour adopter le tir tendu. C'est ainsi qu'Harold est blessé à l'œil par une flèche. Aussitôt, un groupe de chevaliers, dont Gauthier d'Aincourt haranguant ses hommes par un En avant ! …En avant !, se rue sur lui et l'achève. En avant ! …En avant ! reste actuellement la devise d'Aincourt.

    Récompensant ses valeureux compagnons Guillaume de Normandie, devenu roi d'Angleterre leur donne[12] des terres. Gauthier maintenant appelé Walter d'Aincourt ou d'Ayencourt prend possession du comté du Lincolnshire. Ainsi prend naissance la dynastie de Gauthier (ou plutôt Walter) dont descend notamment Charles Tennyson d'Eyncourt (en), ancien membre du parlement britannique et propriétaire à Aincourt au XIXe siècle.

    À la mort d'Héloïse de Coulombs [13], ses propriétés de Lesseville revinrent à l'abbaye Notre-Dame de Coulombs.

    Ancien régime

    En 1490 Jehan de Fontenay, écuyer, est seigneur de la terre d'Aincourt et de celle de Fontenay-Mauvoisin.

    Vers 1500, le domaine est cédé à Bertin de Silly[Note 5], seigneur de la Houlette et de Longray, conseiller et chambellan du roi Louis XI, seigneur de la Roche-Guyon, Auneau et Rochefort.

    De 1574 jusqu'au milieu du XVIIe siècle, le domaine appartient à la famille de Guiry.

    En 1677, François-Charles de Nocey est qualifié de seigneur d'Aincourt.

    En 1730, le fermier général René Jean Rémy Hénault de Cantobre, vend le fief d'Aincourt à Louis Bille, secrétaire du roi, qui le cède à Élie Randon de Massane[14], receveur général des finances, secrétaire du roi et seigneur d'Hanneucourt[15] et de Gargenville.

    Le député aux États Généraux et à la Convention Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau fut le dernier possesseur de ce fief.

    Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Gouvernement de Vichy crée à Aincourt le , le premier camp d'internement en zone occupée pour accueillir des internés communistes, dont les députés Pierre Dadot[16] et Fernand Grenier[17],[18]. 1 600 hommes, femmes et enfants y furent internés, dont 175 firent partie du « convoi des 45 000 » pour Auschwitz Birkenau[19].

    Ce camp occupait le Pavillon des hommes (Pavillon Adrien Bonnefoy-Sibour) de l'ancien sanatorium d'Aincourt, sur le site de la Bucaille. Ce site était lors de sa création l’un des plus vastes centres de cure spécialisé dans le traitement de la tuberculose en France, puis devint après-guerre un centre de rééducation appartenant au groupement hospitalier intercommunal du Vexin, et est aujourd'hui abandonné[20],[10].

    Un monument, situé devant le bâtiment de la direction du Centre hospitalier du Vexin, rappelle la mémoire de ceux qui, internés à Aincourt, sont partis en déportation pour ne plus en revenir, résistants, syndicalistes, souvent communistes, juifs, arrêtés par les polices allemande et française.

    Politique et administration

    Plaque Michelin d'entrée d'agglomération, mentionnant le département de Seine-et-Oise.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Magny-en-Vexin[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton de Vauréal.

    Intercommunalité

    La commune n'était jusqu'en 2013 membre d'aucune intercommunalité.

    Conformément aux prescriptions de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (Loi MAPAM) du , qui prévoit que l'ensemble des communes française doit faire partie d'une intercommunalité à fiscalité propre, la commune intègre le la communauté de communes Vexin - Val de Seine dont elle est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1879 1908 Anatole Hermand    
    1908 1929 Paul Duroyaume    
    1929 1935 Gabriel Alphaud    
    1935 1939 Paul Duroyaume    
    1939 1945 Félix Thevenin    
    1945 1945 Pauline Richardot    
    1945 1947 Alexis Tilly    
    1947 1953 Anatole Deguiry    
    1953 1977 Charles Vincent    
    1977 1989 Jean Ester    
    mars 1989 2014 Claude Cadrot SE  
    avril 2014[24],[25] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Emmanuel Couesnon SE Ouvrier
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2018, la commune comptait 901 habitants[Note 6], en diminution de 4,05 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    380376376330336368362379367
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    383390418413425391381404409
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4043232922302463207653571 016
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    567595530709622657876967925
    2018 - - - - - - - -
    901--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Mur en pierre meulière à Aincourt.
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    Commune agricole, Aincourt connut jusqu'au début du XXe siècle une activité industrielle grâce à l'exploitation de la pierre meulière dans les bois de Lesseville.

    Le principal employeur du village d'Aincourt est le Centre hospitalier du Vexin. Le site d'Aincourt de cet établissement hospitalier est spécialisé dans la rééducation neurologique, neuro-orthopédique et respiratoire. Il est reconstruit en grande partie en 1999-2001.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Aincourt compte trois monument historiques sur son territoire :

    • Maison forte de la ferme du vieux Colombier (inscrite monument historique par arrêté du [30]) :
    Cette maison fortifiée a été bâtie entre 1197 et 1205. Ses murs, épais de 1,85 m, sont construits en blocage. Il a été suggéré que cette construction soit l'œuvre des Templiers et qu'elle ait accueilli des prisonniers[31], mais cette hypothèse n'a pas été attestée par des recherches ultérieures. L'immeuble, appelé en 1835 « La grande ferme » possédait un colombier selon un manuscrit notarié de la même année, dont il tire son nom actuel (quelquefois remplacé par « ferme des champs verts »). Il était alors entouré de fermes et bâtiments agricoles. En 1934, il disposait encore de meurtrières.
    Son rez-de-chaussée était occupé par un cellier et une écurie², les pièces d'habitation se situant en étage. Le bâtiment a été endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale, et une partie de son second étage a été détruit. Il était initialement doté d'un escalier sur sa façade sud, menant au premier étage, et d'un second, toujours présent sur sa façade nord, menant au deuxième étage à une salle décorée de fresques représentant des chevaliers, dont il reste des vestiges[32]. La ferme appartient toujours à des exploitants agricoles. Il ne se visite pas.
    • Sanatorium de la Bucaille (inscrit monument historique en 1999, y compris la station d'épuration[33]) : Sur le site de la colline de la Bucaille, un immense sanatorium composé notamment de trois grands bâtiments de cure de 120 m chacun, fut édifié de 1931 à 1933, sur les plans des architectes Edouard Crevel et Paul-Jean Decaux. Il constitue un des plus vastes et plus beaux exemples d'architecture hospitalière de style fonctionnaliste du XXe siècle[32].
    Il a été utilisé comme comme camp d'internement pendant la Deuxième Guerre mondiale par le gouvernement de Vichy et l'occupant nazi. Entre 1940 et 1942, environ 1 500 femmes et hommes y ont été détenus et parmi eux, des centaines ont été déportées vers des camps de concentration[10]
    On peut également y observer un remarquable jardin japonais, aménagé dans les années 1950 et retenu pour le pré-inventaire des jardins remarquables[34].

    On peut également noter :

    • Chapelle Saint-Sauveur, rue de la Chapelle-Saint-Sauveur
    • Château d'Aincourt, place de l'Église - Privé
    • Lavoir et la fontaine Saint-Leu-et-Saint-Gilles, Lesseville
    • Le Monument aux morts

    Aincourt au cinéma et à la télévision

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1) d’azur à la fasce vivrée d’or accompagnée de neuf billettes du même, quatre rangées en chef et cinq en pointe ordonnées 3 et 2, au 2) d’azur à la lettre capitale antique A d’or, au 3) d’azur au heaume de tournoi d’argent taré de profil et au panache d’or, au 4) d’azur à la fasce vivrée d’or accompagnée de dix billettes du même, quatre rangées en chef et six en pointe ordonnées 3, 2 et 1[37].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Yvette Sémard, En souvenir de l'avenir. Au jour le jour dans les camps de Vichy 1942-1944 : La Petite Roquette, les camps des Tourelles, d'Aincourt, de Gaillon, de La Lande et de Mérignac, Montreuil, L'Arbre verdoyant, , 197 p. (ISBN 978-2-86718-022-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    4. Le nom de Gauthier d'Aincourt figure sous la forme Gauthier d'Incourt sur une plaque située à l'intérieur de l'église de Dives-sur-Mer, qui commémore le départ des compagnons de Guillaume vers l'Angleterre depuis le port de Dives.
    5. Bertin de Silly meurt après le .
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Communes limitrophes d'Aincourt » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Aincourt » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
    9. Frédéric Naizot, « Aincourt : le projet immobilier de l’ancien sanatorium sur les rails : Le chantier de l’ancien sanatorium d’Aincourt, en partie transformé en camp d’internement durant l’Occupation, est bien lancé. Reste l’obstacle du PLU que la commune doit modifier », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    10. Julie Ménard, « Aincourt : la mémoire du camp d’internement honorée : À l’occasion de la cérémonie annuelle Mémoire d’Aincourt, toutes les générations se sont réunies devant une pièce de théâtre évoquant le triste passé du sanatorium », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    11. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874
    12. Liste des compagnons de Guillaume à la bataille de Hastings
    13. après 1066
    14. 1701-1771
    15. Hanneucourt est hameau de Gargenville avec un château.
    16. [PDF] Assemblée nationale - Biographies des députés de la IVe République
    17. Assemblée nationale - Biographies des députés de la IVe République
    18. Synthèses des rapports des préfets, Direction Générale des Territoires Occupés (DGTO), 28 octobre 1940, consulté le 17 décembre 2008
    19. Marjorie Lenhardt, « Camp d’internement d’Aincourt : l’hommage des écoliers et lycéens : Ils ont collecté de la terre pour la porter au mémorial de Châteaubriant », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    20. Marjorie Lenhardt, « Plus aucun avenir ne se dessine pour l’ancien sanatorium d’Aincourt : Les bâtiments sont toujours à vendre mais la difficulté pour y accéder ne facilite pas sa reconversion », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Les maires de Aincourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    24. « Aincourt : Couesnon élu, pas Bouard », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Tête de liste soutenu par le maire sortant, Claude Cadrot, qui ne se représente pas, Patrick Bouard a atteint 43,46% des suffrages, alors qu’Emmanuel Couesnon, l’autre tête de liste, est élu avec 58,52%. Dimanche prochain, il y aura un second tour puisque seulement 13 des 15 sièges ont été pourvus. Patrick Bouard ne se représentera ».
    25. « L'équipe municipale (élections d'avril 2014) », sur http://www.aincourt.fr, (consulté le ).
    26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Maison forte de la ferme du Colombier », notice no PA95000014, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Léon Plancouard, « La dernière Maison forte du Vexin Français : Aincourt », Bulletin de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, no XLIII, , p. 67-72 (ISSN 1148-8107, lire en ligne, consulté le ).
    32. Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Aincourt », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 521-524 (ISBN 2-84234-056-6).
    33. « Ancien sanatorium, faisant partie du centre hospitalier du Vexin, sis dans le parc de la Bucaille », notice no PA95000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Parc de la Bucaille », notice no IA95000010, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Église Saint-Martin », notice no PA00079973, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Tourné au Sanatorium d'Aincourt
    37. http://www.aincourt.fr/
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