Écouflant

Écouflant est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Écouflant

Vue d'Écouflant depuis la rive de la Sarthe.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Denis Chimier
2020-2026
Code postal 49000
Code commune 49129
Démographie
Gentilé Écouflantais
Population
municipale
4 249 hab. (2018 )
Densité 250 hab./km2
Population
agglomération
11 312 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 48″ nord, 0° 31′ 47″ ouest
Altitude 32 m
Min. 12 m
Max. 50 m
Superficie 17,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-5
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Écouflant
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Écouflant
Géolocalisation sur la carte : France
Écouflant
Géolocalisation sur la carte : France
Écouflant

    Géographie

    La commune d'Écouflant est bordée au nord et à l'ouest par la confluence du Loir et de la Sarthe, tout juste au nord d'une autre confluence qui donne naissance à la Maine. C'est cette situation naturelle particulière qui a donné son nom au bourg. Une bonne partie du territoire écouflantais est donc constitué de prairies inondables, notamment au nord ce qui explique que les inondations de 1995 avaient encerclé le bourg. Cette commune est située entre celles de Saint-Sylvain d'Anjou (à l'est), d'Angers (sud), de Cantenay-Épinard (ouest) et de Briollay (nord).

    C'est un territoire qui se situe à la limite nord d'Angers, il fait partie de son agglomération. Si la population écouflantaise se chiffre à plus de 3 700 habitants, ceux-ci se répartissent pour moitié chacun sur deux pôles :

    • le bourg périurbain d'Écouflant (au centre-ouest) bordé par la Sarthe, il est essentiellement résidentiel et à l'écart des grands axes routiers (cadre agréable et paisible) ;
    • le quartier pavillonnaire et urbain d'Éventard (au sud-est) qui est une « excroissance » de la ville d'Angers. Éventard possède une zone d'activités en expansion, un hippodrome renommé et va s'étendre ces prochaines années avec la construction du futur quartier de Provins (autour de l'hippodrome).

    Ces deux pôles sont séparés l'un de l'autre par deux lignes de rupture (l'autoroute A11 et la ligne chemin de fer Angers-Le Mans) et par un espace rural constitué notamment de vergers (pommes) qui représentent la culture spécialisée de la commune et des alentours.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 643 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 76 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Écouflant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[17] et 239 862 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,6 %), zones urbanisées (11,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,4 %), terres arables (4,7 %), cultures permanentes (2,5 %), eaux continentales[Note 6] (1,4 %), forêts (0,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de « Villa conflentis », cité dans un document du Xe siècle (mentionnée vers 996-1010), semble indiquer ensuite un ancien domaine gallo-romain, le XIe siècle paraissant être la période de fondation du bourg, qui s'est successivement appelé Terra ad Conflens, Conflans, Escouflant et enfin Écouflant.

    Du latin confluentes, donc confluent, se trouve en effet sur l'ancien confluent de la Sarthe et la Mayenne, aujourd'hui « Vieille Maine ». Le É- initial est un reste de ès (en les), donc littéralement le nom du bourg signifie : « près des eaux qui s'unissent ».

    Histoire

    Le bourg d'Écouflant

    Le territoire d'Écouflant était déjà occupé à l'époque préhistorique comme l'atteste la découverte d'outils en silex.

    Un établissement agricole gaulois, puis gallo-romain a été identifiée sur le territoire de la commune[24].

    Une chapelle, dédiée à sainte Catherine, est fondée en 1218 sur le domaine de Beuzon ; elle sera reconstruite au XVIe siècle.

    Aux XIIe et XVIIIe siècles, la proximité d'Angers fait sortir de terre nombre de maisons bourgeoises, pêcheurs et laboureurs vivant alors tant bien que mal.

    De fait, il y a 150 ans, Écouflant était un village de pêcheux et de teilleux. Le chanvre est la principale culture, dont on extrait les fibres que l'on vend à l'usine Bessonneau d'Angers.

    Le XIXe siècle voit de nombreux changements : construction de la mairie-école (1847-1849), de l'hospice (1873), de l'église (1877 à 1883) ; création de la gare, de la Poste ; aménagement de routes, levées et ponts ; établissement d'un port au bas du bourg en 1852.

    Pendant la 1re moitié du XXe siècle, l'économie de la commune repose toujours sur l'agriculture, l'industrie étant pratiquement réduite à l'extraction de graves et à l'usine d'assainissement.

    La création du quartier d'Éventard en 1970 provoque un véritable bouleversement humain et sociologique, la petite commune rurale d'Écouflant voyant sa population plus que tripler en deux ans (981 habitants en 1969 et 3 100 en 1971).

    Le quartier d'Éventard

    La réalisation, dans les années 1970, de la ZAC (Zone d'Aménagement Concerté) d'Eventard sur le reste des terrains initialement prévus pour l'industrialisation, bouleverse les données humaines et sociales de la commune.

    Situé pour partie sur Angers, mais pour les 2/3 sur Ecouflant, le quartier d'Eventard crée aussi une situation atypique d'une commune ayant deux pôles d'habitat distincts et distants de 5 km.

    C'est alors un quartier sans écoles, sans services, sans équipements ni transports en commun. Mais l'émergence d'une vie associative très forte, avec un travail militant considérable, permet à ce quartier de s'organiser et de se transformer avec l'ouverture du groupe scolaire George-Sand en 1977 puis l'implantation de commerces et d'équipements, dont le centre socioculturel Simone-Signoret en 1982 et la salle des sports en 1991.

    Son évolution s'est poursuivie ces dernières années :

    • En 2000, la place d'Éventard a été remodelée et une fontaine en schiste créée avec, en son centre, un cheval en inox sculpté par Gérard Garnier (Gari), artiste Écouflantais.
    • En 2001-2003, le quartier a été entièrement requalifié en concertation avec les habitants à l'occasion de l'enfouissement des réseaux (traitement des espaces verts, des voies piétonnes et routières).
    • Enfin, une nouvelle voie composée du boulevard de l'Epervière et de la route de la Confluence relie depuis 2001 le Bourg à Éventard en passant par la zone industrielle de Beuzon (extension du parc d'activités communautaire d'Angers-Écouflant). Cet axe permet aujourd'hui d'accéder directement aux voies structurantes de l'agglomération.

    À noter que depuis 2003, la « Fête d'Éventard » a lieu chaque année le 1er week-end de septembre autour d'amicales rencontres sportives, suivies d'un pique-nique convivial et d'une soirée dansante à la Grange (voir rubrique Culture, sport, loisirs).

    Politique et administration

    Administration municipale

    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1977 Joël Lemercier   Industriel
    1977 2001 Claude Desblancs PS Maître de conférence
    conseiller général
    2001 mars 2014 Dominique Delaunay DVG Horticulteur
    mars 2014 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Denis Chimier[25],[26] DVG Cadre ERDF
    Les données manquantes sont à compléter.
    GroupePrésidentEffectifStatut
    DVGDominique Delaunay22majorité
    PSCatherine Carré4opposition

    Intercommunalité

    La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[27], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[28].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Écouflant fait partie du canton d'Angers-Nord-Est et de l'arrondissement d'Angers[29]. Ce canton compte alors quatre communes et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-5, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[30].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 4 249 habitants[Note 7], en augmentation de 11,87 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0204208169459479399621 0001 024
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0409911 0279411 025941948943936
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    926902862837850901846841906
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    8148883 2093 2333 3613 7033 7383 7473 755
    2013 2018 - - - - - - -
    3 7984 249-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (49,8 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,9 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 18 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 25,9 %) ;
    • 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 16,5 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 22,6 %, plus de 60 ans = 28,2 %).
    Pyramide des âges à Écouflant en 2008 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,8 
    7,1 
    75 à 89 ans
    6,8 
    18,4 
    60 à 74 ans
    20,6 
    21,1 
    45 à 59 ans
    22,6 
    18,0 
    30 à 44 ans
    18,6 
    16,2 
    15 à 29 ans
    14,1 
    18,9 
    0 à 14 ans
    16,5 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,1 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    20,2 
    15 à 29 ans
    18,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,7 

    Économie

    TER en gare d'Écouflant.

    Tissu économique

    Sur 275 établissements présents sur la commune à fin 2010, 6 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 57 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[37].

    La zone industrielle d'Écouflant

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Laura Tanguy, Miss Pays de Loire 2007, 2e dauphine de Miss France 2008, Miss France par intérim, représentante de la France aux élections de Miss Univers et Miss Monde.

    Jules Mougin, facteur-poète.

    Nature

    La commune d'Écouflant est située dans les Basses vallées angevines (BVA) et possède de fait une faune riche et diversifiée. Même la zone industrielle, largement arborée, est habitée d'un nombre non négligeable d'espèce[38].

    Mammifères

    Les mammifères sont bien présents sur la commune. À ce jour 27 espèces ont été recensées dont une partie par l'analyse des pelotes de réjection des rapaces nocturnes (campagnols, lérots…). Le ragondin, espèce invasive, est très présent et facile à observer au contraire du castor, espèce protégée, présent sur la commune mais très discret. Les mustélidés difficiles à observer sont peu représentés bien qu'ils soient certainement présents. Le hérisson est l'espèce la plus représentée parmi les animaux écrasés par les véhicules. Enfin six espèces de chauve-souris ont été détectées par l'enregistrement de leurs ultra-sons[38].

    Oiseaux

    La commune d'Écouflant est un site de nidification, d'hivernage et de passage pour de nombreux oiseaux. Ainsi 190 espèces et sous-espèces y ont été répertoriées. Les ardéidés sont particulièrement présents puisque 8 espèces de "hérons" ont été observées : fréquemment comme le héron cendré, l'aigrette garzette, la grande aigrette, le héron garde-bœufs, plus rarement le héron pourpré et le bihoreau gris, et une fois pour le butor étoilé et le crabier chevelu. Les prairies inondables sont un site de nidification important pour des espèces rares au niveau national comme le râle des genêts, le tarier des prés et la caille des blés. Elles abritent également entre autres espèces le bruant des roseaux, le bruant proyer, le bruant jaune, la bergeronnette printanière, la phragmite des joncs, la rousserolle effarvatte et sont des zones de passages pour les anatidés et d'autres migrateurs l'hiver. Les zones bocagères et les bois abritent de nombreuses autres espèces dont quatre de picidés : pic vert, pic épeiche, pic épeichette, pic noir[38].

    Libellules

    Sur la commune d'Ecouflant 45 espèces de libellules (odonates) ont été répertoriées, les plus rares étant le leste dryade et l'oxycordulie à corps fin[38].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876), 491 p. (notice BnF no FRBNF34649310, lire en ligne), p. 100-101
    • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, la vie dans les années 1930, 1997
    • Municipalité & Pages d'Histoire, Ecouflant, à travers le XXe siècle, 2000
    • Association Pages d'Histoire, Eventard, des Gaulois à nos jours, 2002
    • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, à travers les conflits, 2004
    • Association Pages d'Histoire, Objets d'antan, objets d'Ecouflant, 2008
    • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, Figures, rues et lieux-dits, 2011, 189 pages

    Villes Jumelées

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Écouflant et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Écouflant et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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