Économie de la Nouvelle-Zélande

L’économie de la Nouvelle-Zélande, pays développé prospère, repose essentiellement sur le secteur tertiaire notamment le tourisme (on a recensé plus de 2 millions de touristes en 2012[1]) même si le secteur primaire, via l'agriculture et le secteur minier, y joue un rôle plus important que dans les autres pays développés. Le pays est fortement dépendant du commerce international, notamment avec l'Australie, l'Union européenne, les États-Unis, la Chine, la Corée du Sud et le Japon. Les réformes de libéralisation des dernières décennies ont supprimé les barrières empêchant l'investissement étranger. En 2005, la Banque mondiale déclare que la Nouvelle-Zélande est le pays le plus accueillant pour faire des affaires, avant Singapour[2],[3].
Le pays est la 64e puissance économique mondiale selon la Central Intelligence Agency en 2012[4].

Économie de la Nouvelle-Zélande

Auckland Central Business District, centre financier de la Nouvelle-Zélande.

Monnaie Dollar néo-zélandais (NZD)
Année fiscale 1er juillet – 30 juin
Organisations internationales APEC, OMC, OCDE
Statistiques
Croissance du PIB + 4 % (2016)
PIB par habitant en PPA 38 278 $ (2016)
PIB par secteur agriculture : 4,2 % (2016)
industrie : 26,5 % (2016)
services : 69,2 % (2016)
Inflation (IPC) 0,6 % (2016)
Pop. sous le seuil de pauvreté 30 % (2002)
Indice de développement humain (IDH) 0,915 (2016)
Population active 2,562 millions (2016)
Population active par secteur agriculture : 7 % (2006)
industrie : 19 % (2006)
services : 74 % (2006)
Taux de chômage 4,9 % (Mars 2017)
Principales industries Industrie agroalimentaire, textile, machine-outil, finance, tourisme, mine
Commerce extérieur
Exportations 31,96 milliards $ (2016)
Biens exportés Produits laitiers, Viande, bois, poisson, machine-outil
Principaux clients Chine (19,4 %), Australie (17,1 %), États-Unis (10,9 %), Japon (6,2 %) (2016)
Importations 34,83 milliards $ (2016)
Biens importés Pétrole, machine-outil, véhicules, produits électroniques, textiles
Principaux fournisseurs Chine (19,9 %), Australie (12,6 %), États-Unis (11,3 %), Japon (7,1 %), Allemagne (4,8 %), Thaïlande (4,5 %), Corée du Sud (4,2 %) (2016)
Finances publiques
Dette publique 34 % du PIB (2016)
Dette extérieure 81,39 milliards $ (44.7 % du PIB, 2016)
Recettes publiques 46,54 milliards $ (2009)
Dépenses publiques 53,56 milliards $ (2009)
Sources :
cia.gov

Les réformes économiques lancées en Nouvelle-Zélande depuis le début des années 1980, notamment par l'ancien ministre des finances Roger Douglas ont permis la libéralisation du pays, autrefois tourné vers le protectionnisme économique[5].

Selon le Fonds monétaire international, la Nouvelle-Zélande a un produit intérieur brut par habitant en parité de pouvoir d'achat de 29 730 dollars américains, ce qui place le pays au 32e rang mondial[2].

L'économie est fortement à la hausse depuis les années 2000, avec l'apparition de plusieurs industries très importantes. Le taux de chômage y est relativement bas (6 % en 2013 contre 11,5 % en 1991)[6].

La Nouvelle-Zélande fait partie de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC), de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et Organisation mondiale du commerce (OMC).

Historique

L'économie néo-zélandaise s'est historiquement construite sur une gamme étroite de matières premières telles que la laine, la viande et les produits laitiers. Par exemple, les exportations de produits laitiers représentaient 22 % des exportations totales de la Nouvelle-Zélande en 1920 tandis qu'elles avaient augmenté jusqu'à 42 % des exportations totales en 1930[7]. La Nouvelle-Zélande est un pays à la tradition protectionniste en interventionniste. Des réformes conséquentes de libéralisation économique dans les années 1980 et le début des années 1990 ont inversé cette situation et ont fait de la Nouvelle-Zélande un des pays les plus libéraux au monde, considéré comme un modèle de libre-échange[8]. La qualité de vie néo-zélandaise a fortement progressé pendant l'après-guerre, période durant laquelle les demandes en matières premières explosèrent. L'un des exemples les plus marquants de cette demande internationale de matières premières en faveur de la Nouvelle-Zélande est le boom de la laine (wool boom en anglais).

1950 : le wool boom

Le wool boom boom de la laine ») en 1951 est l'un des booms économiques les plus importants de l'histoire néo-zélandaise, et le résultat direct de la politique américaine durant la guerre de Corée. En 1950, les États-Unis cherchent à acheter d'importantes quantités de laine afin de compléter leurs stocks stratégiques. Cette demande mène à la hausse la plus importante du prix de la laine en Nouvelle-Zélande. Les prix triplent du jour au lendemain[9]. Cet événement, bien que relativement court, a permis aux fermiers néo-zélandais de fortement prospérer[10].

Entrée du Royaume-Uni dans la CEE

L'entrée du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne marque en 1973 un profond changement dans l'économie néo-zélandaise. La Nouvelle-Zélande, ancien dominion se tournait alors majoritairement vers son ancienne métropole pour ses exportations. En 1910, les exportations en direction du Royaume-Uni représentent 84 % des exportations totales. De 1910 à 1972, les exportations vers le Royaume-Uni descendent à 30,5 % des exportations totales. On observe dès lors une chute libre de la part des exportations vers le Royaume-Uni. En 1973, année de l'intégration du Royaume-Uni à la CEE, la part des exportations a déjà chuté pour atteindre 26,8 %, 20,6 % en 1974, 18,9 % en 1975. À l'orée des années 1990, les exportations vers le Royaume-Uni ne représentent plus que 6,5 % des exportations totales néo-zélandaises[11]. En partie à cause de l'intégration du Royaume-Uni dans la CEE, la Nouvelle-Zélande fait face à un déclin de ses performances économiques. Le produit intérieur brut par habitant en parité de pouvoir d'achat, qui représente en 1970 115 % de la moyenne de l'OCDE décline à 80 % en 1990[12]. À partir de 1973, la Nouvelle-Zélande est forcée de se tourner vers d'autres secteurs d'exportation, notamment les États-Unis, l'Australie et le Japon[11].

Régulation et État-Providence

L'économie-zélandaise a une histoire marquée par la régulation, le protectionnisme et les subventions. Cette politique interventionniste débute dans la première moitié du XXe siècle, quand le premier gouvernement conservateur, puis le premier gouvernement travailliste introduisent un système de sécurité sociale qui a pour l'époque un champ d'application très large (des pensions de retraite aux assurances chômages en passant par la gratuité scolaire et l'assurance maladie couverte par l'État, tout en réglementant l'industrie et les importations et obligeant l'appartenance à un syndicat. Cette tendance à la régulation est acceptée par les deux principaux partis politiques (Labour, parti travailliste et le National, parti conservateur) jusque dans les années 1950, bien que des critiques pointent les effets négatifs de ces politiques sur l'économie générale et prétendent qu'elles sont la source de l'émigration des néo-zélandais[13].

Dans les années 1960, la Nouvelle-Zélande subit des difficultés économiques. Fortement dépendante du commerce vers son ancienne métropole, le Royaume-Uni, la part des exportations totales vers ce dernier chute de 39 % entre 1955 et 1973.(voir plus haut)

La plupart des restrictions économiques mises en place pendant le règne de l'État-Providence s'étendent jusqu'au début de la deuxième moitié du XXe siècle. Cependant, les réformes menées dans les années 1980 et le début des années 1990 inverseront cette situation. Il faut attendre les années 1980 et le début des années 1990 pour observer un changement total des politiques économiques gouvernementales.

De 1975 à 1984 : le déclin économique

Marquée par l'abandon du commerce extérieur avec le Royaume-Uni, la Nouvelle-Zélande subit aussi de plein fouet les chocs pétroliers de 1973 et de 1979. Même si la Nouvelle-Zélande dispose de petites réserves d'hydrocarbures, elle est confrontée à un anéantissement de sa croissance économique. Des mesures draconiennes d'économie d'énergie sont prises : suspension de vente d'essence les week-ends, les journées sans automobile ou la limitation de la vitesse à 80 km/h[14]. Le taux d'inflation atteint 18 % en 1976[15]. Le système de retraites est modifié, entraînant un mécontentement populaire. La balance commerciale est largement déficitaire en 1975. Le gouvernement en place, mené par Bill Rowling tente de combler ce déficit et de subventionner l'économie par la dette[14].
Face aux échecs successifs des deux gouvernements travaillistes de Norman Kirk et Bill Rowling pour redresser l'économie, Robert Muldoon, conservateur, est élu en 1975. Au début des années 1980, Muldoon lance la politique interventionniste du Think Big. Le Think Big ("Penser grand") est un plan de relance visant à financer des grands travaux (transformation du gaz naturel en essence synthétique, construction de barrage hydroélectrique et d'usines afin de diversifier l'économie néo-zélandaise par l'émergence du secteur secondaire[16]. Souhaitant réduire l'inflation, le gouvernement Muldoon gèle les salaires, établit le contrôle des prix malgré le scepticisme régnant chez les économistes[17],[14]. Afin d'équilibrer le commerce extérieur néo-zélandais, il augmente les taxes sur les importations. Il refuse jusqu'à la fin de son mandat de dévaluer le dollar néo-zélandais, ce qui mènera à la crise constitutionnelle néo-zélandaise de 1984[5]. Si le Think Big permet la création d'infrastructures énergétiques durables et encore utilisées aujourd'hui, la politique économique de Muldoon est un échec et la situation du pays n'est pas améliorée à son départ, en 1984 : 130,000 chômeurs, baisse de la croissance économique et inflation atteignant 12 %[14],[18].

De 1984 à 1990 : la libéralisation

David Lange, premier ministre travailliste de 1984 à 1987

C'est dans ce cadre de difficultés économiques que les travaillistes prennent le pouvoir avec une large majorité en 1984[19]. Le premier ministre David Lange s'entoure de jeunes politiciens, dont Roger Douglas en tant que ministre des Finances. Peu compétent en économie et principalement préoccupé par les sujets de société, le nouveau gouvernement délègue l'essentiel de ses décisions économiques aux hauts fonctionnaires du ministère des Finances, souvent formés par l’OCDE, la Banque mondiale et les universités américaines, et désireux d'orienter le pays vers une société de marché. Le gouvernement lance une politique de libéralisation de l'économie dans un pays où l'implication de l'État est habituellement plus importante que dans d'autres pays occidentaux[20]. Le contexte international est alors très favorable à ce type de réformes : « À la fin de 1984, les ministres des finances de six pays de l’OCDE - la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Espagne, la France, la Suède et le Royaume-Uni - étaient des porte-parole actifs de la libéralisation »[21].

Le premier budget proposé par le gouvernement Lange inclut notamment une baisse significative de l'impôt sur le revenu. Le poids des impôts directs sur la masse salariale passe de 66 à 33 %[14]. La baisse des impôts directs est contrebalancée par la création d'un impôt (de 12,5 %) sur la consommation. Les taxes à l'importation protégeant les agriculteurs néo-zélandais de la concurrence sont supprimées, de même que les subventions aux agriculteurs. Des entreprises publiques sont privatisées (c'est notamment le cas de la compagnie aérienne Air New Zealand en 1989[22]) ainsi que les télécommunications, les banques, les chemins de fer et les forêts. Des emplois sont supprimés, le droit du travail est abaissé et l'âge de départ à la retraite recule de cinq ans. Un accord de libre-échange est signé avec l'Australie en 1990. Des économies sont faites en remodelant la sécurité sociale néo-zélandaise à l'aide de coupes budgétaires substantielles (réduction de 5 % à 27 %, selon les cas, des prestations sociales : allocations chômage, retraites, pensions d’invalidité et de veuvage)[21]. La gratuité de la santé et de l’éducation supérieure est abandonnée[23],[14]. Les subventions dans plusieurs domaines sont entièrement supprimées et des missions ministérielles sont sous-traitées par des entreprises privées[14]. Le droit de grève est restreint et le nombre des syndiqués chute de 45 % en quatre ans. Cette libéralisation massive fait aujourd'hui de la Nouvelle-Zélande l'un des pays les plus libéraux au monde[8]. Ces mesures orientent la Nouvelle-Zélande d'une économie agraire dépendant du marché britannique vers une économie de marché libre.

De 1984 à 1990, l'inflation passe de 12 % à 3 %[18], mais le PIB par habitant recule de 10 % par rapport à la moyenne de l’OCDE[21]. Ces mesures seront appelées Rogernomics et Ruthanasia. Par la suite, des systèmes de chèques éducation sont créés, les effectifs de l'administration publique sont réduits de 66 %. La part de l'État dans le PIB passe de 44 % à 27 %. La productivité augmente, le déficit budgétaire est réduit (9 % à 2 % du PIB)[14]. En dépit du dynamisme de la région Asie-Pacifique, la croissance économique reste relativement faible et le chômage est élevé à cause de faillites courantes d'entreprises trop fragiles ou dépendantes des subventions. Si le gouvernement travailliste de David Lange est désavoué aux élections de 1987, donnant la place à un gouvernement conservateur mené par Jim Bolger, ce dernier continue à privatiser les entreprises publiques et à réduire la sécurité sociale[14]. Il est aisé de rapprocher et de comparer les politiques similaires de Roger Douglas et Margaret Thatcher au Royaume-Uni[24]. Plusieurs des hauts-fonctionnaires ayant conduit cette libéralisation deviennent par la suite des dirigeants d'entreprises privatisées[21].

Entre 1984 et 1999, les mesures économiques sont à l'origine de problèmes sociaux majeurs : le taux de suicide des jeunes augmente brusquement jusqu'à devenir l'un des plus hauts au monde[25], le nombre de banques alimentaires augmente, le nombre estimé de néo-zélandais vivant dans la pauvreté augmente d'au moins 35 % entre 1989 et 1992[26], et les soins de santé se détériorent, menant à une baisse significative des standards de santé parmi les ouvriers et les néo-zélandais de la classe moyenne[27]. En 1997, Donald Brash, ancien gouverneur de la Banque centrale reconnait que « les Néo-Zélandais restent ambivalents, voire hostiles aux tourbillons des douze dernières années »[21].

Profil

Commerce extérieur

Une usine de la coopérative multinationale néo-zélandaise Fonterra à Dennington, Australie.

Aujourd'hui, l'économie néo-zélandaise est toujours tournée vers le commerce extérieur. Depuis 1983, le pays signe de nombreux traités de libre-échange :

D'autres traités sont en négociation, notamment avec les États-Unis, le Pérou et le Vietnam en prolongement du Trans-Pacific Strategic Economic Partnership, le Japon, la Corée du Sud, l'Inde, la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie. Depuis 2006, les gouvernements successifs négocient avec le Conseil de coopération du Golfe.
Le pays exporte essentiellement les produits de son agriculture, son horticulture, sa pêche, et ses forêts. En 2012, la Nouvelle-Zélande exporte près de 38 milliards de dollars américains, ce qui représente 23 % de son produit intérieur brut de la même année[28]. Les produits laitiers sont la première source de revenus dans les exportations néo-zélandaises et représentent 26 % des exportations totales. 95 % de la production laitière nationale est exportée sous forme de lait en poudre, fromage, beurre et caséine[29]. La plus grande entreprise néo-zélandaise, Fonterra, est une coopérative multinationale représentant 30 % des exportations mondiales de produits laitiers et génère 20 milliards de dollars néo-zélandais de bénéfices[30],[31]. Le pays voit aussi ses exportations de vin augmenter à une vitesse fulgurante (en moyenne 24 % chaque année). La production viticole représente 1,5 milliard de dollar néo-zélandais et 16,500 emplois à plein temps[32]. En l'absence totale de subventions gouvernementales, la Nouvelle-Zélande reste un leader du marché mondial de la viande. Les industries de ce secteur, notamment ovines et bovines, génèrent 8 milliards de dollars néo-zélandais en 2012[33],[34]. Le pays exporte aussi 3,2 milliards de dollars néo-zélandais de bois, ce qui représente le troisième domaine d'exportations du pays[35].

Plus récemment, grâce à Peter Jackson, réalisateur néo-zélandais de la trilogie cinématographique Le Seigneur des Anneaux, le tourisme et l'industrie cinématographique néo-zélandaise ont connu une légère croissance d'activité.

Agriculture

En 2018, la Nouvelle-Zélande a produit 414 000 tonnes de kiwi (c'était le 3e producteur mondial). En outre, la même année, elle a produit 511 000 tonnes de pomme de terre, 453 000 tonnes de pomme, 426 000 tonnes de raisin, 379 000 tonnes de orge, 371 000 tonnes de blé, 265 000 tonnes de maïs, 246 000 tonnes de oignon, en plus de rendements plus faibles d'autres produits agricoles, tels que citrouille, tomate et carotte.

Immobilier

Depuis aout 2018, les autorités néo-zélandaises interdisent aux étrangers d'acheter des biens immobiliers. Cette mesure vise à faire face à la crise du logement auquel le pays est confronté depuis plusieurs années et ayant rendu l'accès à la propriété difficile pour de nombreux Néo-Zélandais. Le prix de l'immobilier a augmenté de plus de 60% au cours des dix dernières années[36].

Annexes

Notes et références

  1. Nouvelle-Zélande sur populationdata.net
  2. (en) Matt McCarten, « Foreign owners muscle in as New Zealand sells off all its assets », The New Zealand Herald,
  3. (en) Edmund L Andrews, « New Zealand rated most business-friendly », New York Times,
  4. (en) « Country comparison : GDP (Purchasing Power Parity) »
  5. « Rapport du Sénat Français sur la Nouvelle-Zélande », sur site du Sénat
  6. (en) « Reserve Bank of New Zealand, Employment stats »
  7. (en) « Story: Dairying and dairy products » : « Despite a period of agricultural recession, dairy exports increased to 7% of total exports by 1890. By 1920 this had risen to 22%, and in 1930 to 42%. »
  8. (en) « 2010 Index of Economic Freedom », sur www.heritage.org.
  9. (en) « Impact of the War - NZ in the Korean War », sur nzhistory.net
  10. (en) « The wool boom, 1950 »
  11. (en) « New Zealand Trade and Entreprise : Video New Zealand Exports 1910-2010 »
  12. (en) « New Zealand - GDP per capita growth »
  13. (en) « NEW ZEALAND: Revolt of the Guinea Pigs, éditeur=Time »
  14. Lextreyt, Michel. Nouvelle-Zélande, Aotearoa, le pays au long nuage blanc, 2006, édition Au vent des Îles, page 84-90. (ISBN 2-909790-19-3)
  15. (en) Andrew Tod Carter, « Unit 9 – Money, Inflation and Interest Rates, Graphique provenant de la Reserve Bank of New Zealand », Reserve Bank of New Zealand
  16. (en) « Think Big », Te Ara, Encyclopedia of New Zealand
  17. (en) « The wage and price freeze, 1982–1984 », Te Ara, The Encyclopedia of New Zealand
  18. (en) « What is inflation ? », Reserve Bank of New Zealand
  19. (en) « New Zealand Election results and consequences », NZ Cults
  20. (en) « Roger Douglas, July 1984 », Te Ara, Encyclopedia of New Zealand
  21. « La Nouvelle-Zélande éprouvette du capitalisme total », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le )
  22. (en) « Air New Zealand History », webjet.co.nz
  23. (en) « The legacy of Sir Roger Douglas », The Most Revolutionary Act
  24. Scott R, Bruce. Capitalism: Its Origins and Evolution As a System of Governance, p.370 (2011)
  25. (en) Wasserman, Danuta, Cheng, Qi; Jiang, Guo-Xin, « Global suicide rates among young people aged 15-19 », World Psychiatry Association, 1414751/ PMC 1414751 PMID 16633527.
  26. (en) Jane Kelsey, « New Zealand "experiment" a colossal failure »
  27. (en) « The New Zealand Health Care System »
  28. (en) « The world factbook, New Zealand economy », Central Intelligence Agency
  29. (en) « Dairying today », Dairy companies association of New Zealand
  30. (en) « Fonterra annual report (2010) », Fonterra
  31. (en) « Fonterra annual report (2012) », Fonterra
  32. (en) « New Zealand wine industry », www.newzealand.com
  33. (en) « Statistiques », New Zealand Meat Board
  34. (en) « Statistiques », Meat Export NZ
  35. (en) « Statistiques », Wood Processors Association of New Zealand (WPA)
  36. « La Nouvelle-Zélande interdit la vente de maisons aux étrangers », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )

Articles connexes

Liens externes

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