Vittorio Santoro

Vittorio Santoro (né le ) est un artiste italo-suisse qui vit et travaille entre Paris et Zurich. Sa pratique le conduit à utiliser différents médias, sculptures, pièces sonores, œuvres sur papier, installations et performances[1].

Biographie et œuvre

Essentiellement autodidacte, Santoro a suivi des enseignements au Centre international de la photographie à New-York et au Watermill Center[2] de Long Island sous l’égide de Bob Wilson.

Santoro a d’abord développé une pratique littéraire en italien, la langue natale de ses parents qui ont émigré de Sicile en Suisse avant sa naissance. En 1985, il publie un recueil de poèmes intitulé La Voce e le Mani, Progetto per una poesia inumana (Lalli Editore, Poggibonsi).

Au milieu des années 1990, il se tourne davantage vers la photographie. En 1995, en étroite collaboration avec Paul Bowles, il publie The Time of Friendship / Ten Photographs (Memory/Cage Editions, Zurich)[3].

F. Dostoyevsky, C. and P., Page 67 (Penguin Popular Classics), Divided Vertically, 2007—2011, installation. Collection du Centre Pompidou, Paris.

Il élargit progressivement sa pratique artistique vers d’autres supports comme la sculpture et la vidéo, les collages, les néons ou les œuvres sur papier. Images, espaces, caractères, sons, mots et paroles sont intimement combinés dans des œuvres comme, F. Dostoïevski : C. and P., page 67 (Penguin Popular Classics), divided vertically, 2007/2011[4], Reciprocal Scrutiny (bordereau), 2009[5], Man Leaving Harbour on a Ship (in a Room), 2009-2010[6], Gagarin, I-III, 2012, Good-bye Darkness, I-IV[7], 2013, et In/Voluntary Movement Diagram (Josef K.), 2014[8].

Son goût pour la littérature transparaît dans toute son œuvre. On l'observe dans ces pièces néons destinées à l'espace public comme Monologism As Poetry[9] présentée à Berlin en 2009 ou An/Ästhesie, Teil I[10] montrée à Berlin en 2006 et en 2016 à Zurich, une pièce qui joue sur la césure possible des mots. L'artiste produit aussi régulièrement ce qu'il nomme « time-based text works », textes sur papier réécrits au graphite chaque jour pendant une période de temps déterminé – souvent six mois, (Dependent Participation, March – September 2007, 2007, A Meditation On The Inevitable, September 2007 – March 2008, 2007-2008, Until Nothing Happens, I - V, December 2008 – June 2009, 2008-2009[11])

Depuis la fin des années 2000 et notamment la présentation de la pièce Untitled (Mask) en 2007 au 12e Art Forum à Berlin, Santoro a plus axé sa pratique vers des installations où, selon Monica Marczuk[12], « s'exprime une fascination pour les objets, pour leurs formes et textures, mais aussi pour ce qu'ils évoquent selon le contexte, l'époque et la personne... ». « Les pièces sont composées d'objets (masques, échiquiers, bougies, textes) et de leurs conducteurs (cuivre, argent, aluminium, lumière, poulies, cordes etc) ». (Untitled (Mask), 2007[13], Pulleys, I, 2016[14], Mirror of the Sea (African Mask (Dogon)/Fi: Black Paint Can), II, 2016[14]…).

En 2017, il est nommé pour le prix Marcel Duchamp[15]. Il propose la pièce Une porte doit être ouverte ou non fermée, 2017, sorte de parcours initiatique en deux volets, un au musée l'autre dans la ville. Le spectateur est invité à expérimenter la pièce dans une forme de quête de son rapport au monde et à lui-même.

En , il expose une sélection d’œuvres sur papier à la Librairie/Project Room Yvon Lambert à Paris, occasion de rappeler l'attachement de l'artiste à certaines formes graphiques, des « time-based text works » aux collages.

Son travail est représenté par Counter Space à Zürich.

Démarche

Dans sa démarche créatrice Santoro s’inspire largement du quotidien et de ses références littéraires, qu’il choisit de confronter ou de rapprocher à travers ses œuvres.[style à revoir] . Il fait notamment référence à Crime et Châtiment[16], En attendant Godot[17], Le Procès[18]ou Le Désert des Tartares[19], anthropologiques (masques africains[20]), scientifiques (Pulsar CP1919[19]), philosophiques et éthiques, ou historiques et politiques (Alfred Dreyfus[21], Youri Gagarine[22]). Même si sa démarche est articulée avec un vocabulaire qui pourrait être qualifié de (post)conceptuel, ses œuvres sont émotionnellement chargées et évoquent des dilemmes éthiques[style à revoir][source insuffisante][23]. Elles sont activées par le mouvement de l'observateur, qu'il soit physique ou mental, révélant ainsi leur caractère performatif sous-jacent[24].

Sélection d'œuvres

The World Was Full Of Objects And Events And Sounds That Are Known To Be Real…, II", 2014, Collage.
Beginning/Conclusion", 2016, Sculpture.
  • Plate (for Paul), 2000/2003 – Sculpture
  • How Can I / Make It Right, March-August 2005, 2005 – Diptyque, Work on paper
  • Good-bye Darkness, II, 2005 – Sculpture
  • Untitled (Mask), 2007 – Installation
  • Visionaries&Voyeurs, II, 2009 – Single video projection
  • Monologism As Poetry, 2009 – Neon-Installation
  • Reciprocal Scrutiny (bordereau), 2009 – Installation
  • Good-bye Darkness, IV – Elephants Don't Play Chess (A Loose Conversation on Some Aspects of BWV 1001-1006 with Kerwin Rolland), 2010 – Installation
  • Opening Moves (Valuable Qualities of the Mind to be Acquired As to Become Habits), 2011 – Sculpture
  • F. Dostoyevsky: C. and P., Page 67 (Penguin Popular Classics), Divided Vertically, 2007/2011 – Installation (Collection Musée national d'art moderne, Centre Georges-Pompidou, Paris)[25]
  • Opening Moves (Valuable Qualities of the Mind to be Acquired as to Become Habits), 2011 – Sculpture
  • This Impact Leads Into..., February-July 2011 (Origami/Sphinx), 2011 – Installation (Collection Kunsthaus Zurich)
  • How Could ‘Godot’ End?, II (Spinning Top/Toupie), 2012 – Work on paper
  • Gagarin II (Sphinx/31 January 1962), 2012 – Sculpture
  • Searching For... (One Day and Night in Amsterdam), 2012 – Photographies (Burger Collection, Hong Kong)[26]
  • 00:00:1.20s, 2012 – Sculpture (Collection Fonds national d'art contemporain, France)[27]
  • Une certaine idée de l’histoire de mon père, I-IV, 2013 – Installation
  • Untitled (Pier Paolo Pasolini), 2013-14 – Installation
  • In/Voluntary Movement Diagram (Josef K.), 2014 – Installation
  • „Avant“ se trouve apres „après“, 2016 – Sculpture
  • Giovanni Drogo’s Surreal Delay (Pulsar CP19191), I-IV, 2016 – Photographies
  • Plateau (Antiméridian/Postméridian), 2016 – Sculpture
  • Beginning/Conclusion, 2016 – Sculpture
  • We Stare, We Talk…October 2018–March 2019, 2018-2019 – Time-based text work
  • Expire (Josef K.’s Relation Diagram to 17 of the Characters in The Trial), 2019 – Sculpture

Sélection d'expositions

  • It's All In Your Mind / C'est tout dans ma tête, Yvon Lambert, Project Room, Paris, 2003 (individuelle)
  • Learn to Read, Tate Modern[28], Londres, 2006 (collective)
  • The Truth About Your Own Tolerance for Cruelty, Cortex Athletico, Bordeaux, 2007 (individuelle)
  • Shifting Identity, Kunsthaus Zurich/ CAC, Vilnius, 2008 (collective)
  • La chambre de Marlow, Galerie Xippas, Paris, 2009 (individuelle)
  • Conflicting Tales, Burger Collection, Berlin, 2009 (collective)
  • Visionaries & Voyeurs, Irish Museum of Modern Art, Dublin, 2011 (individuelle)
  • Que tout le monde vive comme si personne "ne savait" : some script works, Rosascape[29], Paris, 2011 (individuelle)
  • Les vingt-quatre heures, Galerie Campagne Première, Berlin, 2011 (individuelle)
  • Le Nouveau Festival, Centre Georges-Pompidou, Paris, 2012 (collective)
  • Owls Move Their Entire Head to Change Views, Fondation d’Entreprise Ricard[30], Paris, 2012 (individuelle)
  • Vittorio Santoro Filmic Works (screening), Centre Georges-Pompidou, Paris, 2012 (individuelle)
  • Correspondances, Espace culturel Louis Vuitton, Paris, 2013 (collective)
  • Quadrilogy 2: I Think It Rains, 1a space and Burger Collection[31], Hong Kong, 2013 (collective)
  • 3 July 1913: Unexpectedly Arrested By Two Unidentified Agents, From An Unspecified Agency, On Unspecified Charges, Counter Space[32], Zurich, 2014 (individuelle)
  • Le grand paysage (pour un jour), Galerie Jérôme Poggi, Paris, 2014 (individuelle)
  • In/Voluntary Movement Diagram (Josef K.) And Other Works, Oonagh Young Gallery, Dublin, 2015 (individuelle)
  • Europa? The Future of History, Kunsthaus Zurich, 2015 (collective)
  • 108 Minutes A Day (Gagarin), Museum of Contemporary Art, Pavilion, Shanghai, 2015 (individuelle)
  • Pulleys, I & The Supposed Half of a Day &..., Galerie Thomas Bernard-Cortex Athletico[33], Paris, 2016 (individuelle)
  • Travaux sur Papier, 2008-2019, Yvon Lambert, Project Room, Paris, 2019 (individuelle)
  • Vittorio Santoro chez Florence Loewy/Books : une sélection de livres d'artiste et d'éditions, Florence Loewy/Books, Paris, 2020 (individuelle)
  • Four Speakers' Corners (For Twenty-Four Hours), Yvon Lambert, Project Room, Paris, 2020 (individuelle)

Sélection de collections

Publications

  • Vittorio Santoro, Juste avant ou juste après, Yvon Lambert, Paris & Stolen Books, Lisbonne, 2019. Boite en carton (sérigraphie en 3 couleurs) contenant un catalogue en 48 pages; textes de Daniel Kurjakovic, F/E, et divers.
  • Vittorio Santoro, Pulleys, I & The Supposed Half of a Day &..., Galerie Thomas Bernard-Cortex Athletico, Paris, 2016. 82 pages, photos couleur, textes by Monika Marczuk, Manuel Cirauqui et Vittorio Santoro; F/E (monographie)
  • Vittorio Santoro, Until Nothing Happens, I-V. Text by Pierre Vialle, Out Of The Dark, Zurich/Maison des Arts de Malakoff, Paris, 2016. 8 pages avec 5 illustrations insert. Texte F/E (brochure d’artiste)
  • Vittorio Santoro, 108 Minutes A Day (Gagarin), MoCA Shanghai, Shanghai. Texte Ch/E (catalogue d’artiste)
  • Vittorio Santoro, In/Voluntary Movement Diagram (Josef K) And Related Works, Out Of The Dark, Zurich/Dublin, 2015. Texte E (catalogue d’artiste)
  • Vittorio Santoro, D(a)edalus, My Father’s Horse, Taken From The Mill, A Tourné En Round Autour D’une Statue de..., Les presses du réel[36], Dijon, 2012. Textes F/E (monographie)
  • Vittorio Santoro, Silence Destroys Consequences[37], limited edition, Yvon Lambert, Paris, 2012. 120 pages. Textes F (artist book)
  • Vittorio Santoro, Everything’s Not Lost[38], Revolver Verlag, Frankfurt a. Main, 2006. Textes D/F/E (monograph)
  • Vittorio Santoro, It’s all in your mind/C’est tout dans ma tête, Memory/Cage Editions, Zurich, 2003. Textes F/E/D (artist book)
  • Vittorio Santoro, Imagine. You are Landing. Memory/Cage Editions, Zurich, 2000. Texte E (artist book)
  • RWWM[39], Robert Wilson, Vittorio Santoro, Memory/Cage Editions, Zurich, 1997. Textes E (artist book)
  • The Time of Friendship/Ten Photographs[40], Paul Bowles, Vittorio Santoro, Memory/Cage Editions, Zurich, 1995. Textes E (artist book)

Notes et références

  1. Nicolas Fourgeaud, « La lenteur de l'esprit », art21, no 25, hiver 2009/2010, p. 9-17 (lire en ligne[archive du ]).
  2. (en) « Site du Watermill Center », sur www.watermillcenter.org.
  3. (en) Ulrike Groos, « Between "Merely" Seeing and "Already" Reading », dans : Vittorio Santoro, Everything’s Not Lost, Frankfort-sur-le-Main : Revolver, 2006, p. 61-65.
  4. Voir l'œuvre dans la collection du Centre Pompidou de Paris.
  5. Manuel Cirauqui, « Eclipse (Vittorio Santoro) », 20/27, no 4, , p. 96-113 (ISBN 978-2-9157-5413-1, lire en ligne).
  6. (fr + en) Daniel Kurjaković, « Voice Puller », Volume, revue d'art contemporain sur le son, , p. 30-41 (ISBN 978-2-919217-01-4, lire en ligne).
  7. « Paris : Vittorio Santoro, « Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs » », sur http://www.artcotedazur.fr.
  8. (de) Gabriel Flückiger, « Vittorio Santoro », dans Kunstbulletin, vol. 5, n°14, Zurich, 2014, p. 73.
  9. Cirauqui, Manuel: „Eclipse (Vittorio Santoro)“ dans : 20/27, revue de textes critiques sur l’art, N°4, pp. 97-113, Paris 2010, Edition M19. "La grande pièce murale en néon Monologism As Poetry, installée temporairement sur une façade dans le quartier Mitte, à Berlin, mettait d'une manière particulièrement agressive l'accent sur le fonctionnement totalisant et affirmatif de la culture contemporaine"
  10. (de) « annex14 exhibitions »
  11. Jusqu'à ce que rien n'arrive, Maison des Arts de Malokoff, Malakoff, décembre 2015 - février 2016 - site
  12. Marczuk, Monika: ...And the Time, Even Longer, Incomparably Longer, dans : Vittorio Santoro Pulleys, I & The Supposed Half of a Day &..., pp. 9-10, Galerie Thomas Bernard-Cortex Athletico, Paris, 2016
  13. Phoenix vs Babel, Fondation d'Entreprise Ricard, Paris, décembre 2008-janvier 2009, site et Collection Kunstmuseum Bern
  14. Pulleys, Counter Space, Zurich juin-juillet 2016 - site
  15. « Prix Marcel Duchamp 2017 - Les nommés », sur Centre Pompidou (consulté le )
  16. F. Dostoyevsky: C. and P., Page 67 (Penguin Popular Classics), Divided Vertically, 2007/2011 – Installation (Collection Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris)
  17. How Could ‘Godot’ End?, II (Spinning Top/Toupie), 2012 – Work on paper
  18. In/Voluntary Movement Diagram (Josef K.), 2014 – Installation
  19. Giovanni Drogo’s Surreal Delay (Pulsar CP19191), I-IV, 2016 – Photographies
  20. Untitled (Mask), 2007 – Installation, Kunstmuseum Bern
  21. Reciprocal Scrutiny (bordereau), 2009 – Installation, collection privée
  22. Notamment, Gagarin II (Sphinx/31 January 1962), 2012 – Sculpture
  23. Notamment dans l'installation Untitled (Pier Paolo Pasolini), 2013-14. Santoro en parle ainsi dans une interview donnée en 2014 à Théodora Domenech à l'occasion de l'exposition Le grand paysage (pour un jour) et publié à compte d'auteur à cette occasion dans le catalogue Four Speaker's Corners, I : "l’installation murale présentée comme un hommage à P.P. Pasolini pose justement cette question. Pasolini, convaincu du potentiel « révolutionnaire » de l’art, est pour moi un des derniers artistes véritablement engagé politiquement ; il était très impliqué dans la société italienne. Mais la figure d’un artiste comme Pasolini est-elle encore possible, appropriée, ou même souhaitée dans notre société aujourd'hui ? J’ai trouvé un numéro de la revue Télérama dont la une est « Que reste-t-il de Pier Paolo Pasolini ? ». La revue est toujours dans son emballage, comme si la personne à qui cette revue était adressée n’était même pas intéressée par le fait de la lire. C’est une métaphore du désintérêt que je ressens aujourd’hui pour cette figure spécifique de l’artiste engagé idéologiquement."
  24. Dans l'installation In/Voluntary Movement Diagram (Josef K.), 2014 par exemple le spectateur est confronté aux tracés au sol des mouvements des protagonistes du Procès dans l'appartement de Joseph K, au moment de son arrestation (chap I). Il peut expérimenter ces tracés. Dans la pièce sonore You Are Still Here, 2008, présentée pendant Le Nouveau Festival, Centre Pompidou en 2012, le phrase "you are still here" émise alternativement par cinq enceintes, poursuit le spectateur dans l'espace d'exposition. Il doit se déplacer pour l'appréhender. Dans la sculpture Beginning/Conclusion, 2016, l'effet d'infini des deux miroirs placés face à face entre en résonance avec le titre et suggère une réflexion à mesure que le spectateur expérimente la pièce en tournant autour. Les textes "beginning" et "conclusion", appliqués sur les tranches des planches en chêne qui supportent les miroirs, se révèlent lors du déplacement du spectateur.
  25. « Collection Musée national d'art moderne, Centre Pompidou - F. Dostoyevsky: C. and P., Page 67 (Penguin Popular Classics), Divided Vertically »
  26. « Burger Collection - Vittorio Santoro »
  27. « Collection Fonds National d'Art Contemporain - Vittorio Santoro 00:00:1.20s 2012 »
  28. « Tate - Level 2 Gallery: Learn to Read du 19 juin au 2 septembre 2007 »
  29. « Rosascape - Que tout le monde vive comme si personne « ne savait » : some script works - Une exposition de Vittorio Santoro du 10 juin au 29 juillet 2011 »
  30. « Vittorio Santoro, «Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs» - Exposition du mardi 6 mars 2012 au samedi 31 mars 2012 - Daniel Kurjaković, commissaire. »
  31. « 1a Space and Burger Collection - I Think It Rains »
  32. « Counter Space, Zurich - Exhibition 3 July 1913: Unexpectedly Arrested By Two Unidentified Agents From An Unspecified Agency On Unnamed Charges Vittorio Santoro »
  33. « Galerie Thomas Bernard - Vittorio Santoro - Pulleys, I & The Supposed Half of a Day &... »
  34. « CAPC Vittorio SANTORO Zurich (Suisse), 1962 Untitled (Perceptible Erosion) 2005 - 2006 », sur navigart.fr
  35. « FRAC Aquitaine Vittorio SANTORO Zurich (Suisse), 1962 Anticipation 2004 - 2005 », sur navigart.fr
  36. « Vittorio Santoro  : D[a]edalus, my father’s horse, taken from the mill, a tourné en rond autour d’une statue de... – Les presses du réel (livre) », sur www.lespressesdureel.com
  37. « Vittorio Santoro - Silence Destroys Consequences by Yvon Lambert Bookshop », sur Yvon Lambert Bookshop
  38. « Revolver Publishing », sur www.revolver-publishing.com
  39. « Memory Cage - Publikationen », sur www.memorycage.com
  40. « Memory Cage - Publikationen », sur www.memorycage.com

Annexes

Bibliographie sélective

  • Kurjakovic, Daniel : Scellé à l’intérieur, dans Vittorio Santoro: Juste avant ou juste après, Yvon Lambert, Paris & Stolen Books, Lisbonne, 2019, 48 pages, u.p.
  • Marczuk, Monika: ...And the Time, Even Longer, Incomparably Longer, dans : Vittorio Santoro Pulleys, I & The Supposed Half of a Day &..., pp. 9-10, Galerie Thomas Bernard-Cortex Athletico, Paris, 2016
  • Long, Declan: Vittorio Santoro at Oonagh Young Gallery, Dublin, dans : ARTFORUM, Sept. 2015, vol. 54, n°1, p. 397
  • Domenech, Théodora: Le grand paysage (pour un jour)–Interview with Vittorio Santoro, dans : Four Speakers’ Corners, I, catalogue, édition de l’artiste, Paris, 2014
  • Kurjakovic, Daniel: Speaking to the Desert, dans : Vittorio Santoro’s Une certaine idée de l’histoire de mon père, I-IV, in: ANNUAL Magazine, n°6, pp. 174-183, Paris, 2013
  • Geldard, Rebecca: Synaptic Events (In Slow Motion), dans : Vittorio Santoro D(a)edalus, My Fathers’s Horse, Taken From The Mill, A tourné en rond autour d’une statue de..., Exhibition catalogue, pp.7-11, Les presses du réel, Dijon/ Fondation d’Entreprise Ricard, Paris, 2012
  • (fr + en) Audrey Illouz, « Vittorio Santoro », Artpress, n°390, , p. 58-60 (lire en ligne).
  • Khazam, Rahma: 500 Words–Vittorio Santoro interviewed by Rahma Khazam, ARTFORUM online (lire en ligne).
  • Kurjakovic, Daniel: Voice Puller, dans : VOLUME-A contemporary Art Journal About Sound, N°2, Paris, Jan. 2011, pp. 30-41.
  • Cirauqui, Manuel: „Eclipse (Vittorio Santoro)“ dans : 20/27, revue de textes critiques sur l’art, N°4, Paris 2010, Edition M19, pp. 97-113.
  • Lebovici, Elisabeth: A Few Words About Words... Une conversation avec Vittorio Santoro, in: Le-beau-vice, blog, .
  • Groot, Paul: The Ambiguitiy of The Radio in „The Radio“, dans : Vittorio Santoro, Everything’s Not Lost, Revolver Verlag, pp.61-65, Frankfurt a. Main, 2006
  • Marzo, Alan. 2020. Le temps de l’esprit face à l’esprit du temps – Vittorio Santoro ou le Sisyphe du monde du monde de l’art, in Les Cahiers du MNAM, Paris, N° 150, hiver 2019/2020, pp. 66-77 (lire en ligne).

Liens externes

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