Varennes-sur-Seine

Varennes-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Varennes.

Varennes-sur-Seine

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Montereau
Maire
Mandat
José Ruiz
2020-2026
Code postal 77130
Code commune 77482
Démographie
Gentilé Varennois
Population
municipale
3 542 hab. (2018 )
Densité 322 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 30″ nord, 2° 55′ 36″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 83 m
Superficie 11,01 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montereau-Fault-Yonne
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Varennes-sur-Seine
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Varennes-sur-Seine
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Varennes-sur-Seine
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Varennes-sur-Seine
Liens
Site web varennes-sur-seine.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Varennes-sur-Seine dans le département de Seine-et-Marne

    Varennes-sur-Seine est à km au sud-ouest de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Carte orhophotogrammétrique de la commune de Varennes-sur-Seine.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    L'altitude varie de 47 mètres à 83 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 49 mètres d'altitude (mairie) [2].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Varennes-sur-Seine.
    Carte des réseaux hydrographique et routier de la commune de Varennes-sur-Seine.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :

    • la Seine, fleuve long de 774,76 km[3] en limite nord-ouest de la commune, ainsi que :
      • un bras de 0,52 km[4] ;
      • un bras de 0,82 km[5] ;
        • une vidange de 2,77 km[6], qui conflue dans un bras de la Seine ;
          • le ruisseau d'Air, 1,43 km[7], et ;
          • une vidange de 0,89 km[8], qui confluent avec la vidange de la Seine ;
      • une vidange de 0,38 km[9] ;
      • la dérivation de Varennes 0,94 km[10] ;
      • l’Yonne, longue de 292,34 km[11], principal affluent gauche de la Seine.

    La commune est aussi baignée de quelques plans d’eau, lacs et étangs.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,31 km[12].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 702 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[20],[Carte 2] :

    • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[21],[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Varennes-sur-Seine comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[23],[Carte 3], l'« Étang du Grand Marais au Petit Fossard » (66,11 ha)[24]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[23], la « vallée de la Seine entre Vernou et Montereau » (1 626,19 ha), couvrant 8 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Varennes-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montereau-Fault-Yonne, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[29] et 28 903 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32],[33].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 61 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[34] dont La Maison Blanche, le Petit Fossard.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,6% ), zones urbanisées (19,1% ), eaux continentales[Note 7] (15,6% ), zones agricoles hétérogènes (11,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8% ), prairies (6,2% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7% ), mines, décharges et chantiers (2,5 %)[35].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[36],[37],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[38].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[39].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 549 dont 70,3 % de maisons et 28,5 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 91,1 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 61,4 % contre 36,7 % de locataires[40] dont, 24,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,9 % logés gratuitement.

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    et No 15 (Salins - Montereau-Fault-Yonne ) du réseau Procars[45].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Warannes vers 1172[46] ; Decima de Varennis en 1173[47] ; Vaurannes en 1243[48] ; Varannae en 1255[49] ; Varannes en 1265[50] ; Varanes en 1276[51] ; Varainnes en 1289[52] ; Varesnes vers 1332[53] ; Warennes lez Mousterel en 1354[54] ; Les granches et les marais de Varannes en 1463[55] ; Varennes sur Seyne en 1505[56] ; Varene les Montereau fault Yonne en 1564[57].

    Pluriel de l'oïl varenne « terrain où il est défendu de chasser ou de pêcher sans la permission du seigneur »[58].

    Le nom de Varennes-sur-Seine a été substitué à celui de Varennes par décret du .

    La Seine est un fleuve français qui coule dans le Bassin parisien.

    Histoire

    Des fouilles archéologiques ont mis au jour, sur le lieu-dit du « grand marais », une fosse à céréales, contenant les squelettes de six femmes inhumées durant le IVe siècle av. J.-C.

    Le , le roi Louis XI confirma les privilèges de la ville octroyés par Charles VI auparavant, par ses lettres patentes, lors de son séjour à Provins[59].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 octobre 1992
    (démission)
    Jean Séjourné[60] (1922-2013) PCF Agent de maîtrise EDF
    octobre 1992 septembre 2008 Jean Mitot[61] (1935- ) PCF Enseignant, syndicaliste
    Premier adjoint (1971 → 1992)
    Vice-président de la CC des Deux Fleuves (2003 → 2008)
    6 septembre 2008 En cours José Ruiz[62] (1954- ) PCF-FG[63] Ingénieur urbaniste
    Vice-président de la CC du Pays de Montereau
    Réélu en 2014 et 2020
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [64],[65].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Varennes-sur-Seine est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [66],[67],[68].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[69]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[66],[70].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [66],[71].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[72].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[74].

    En 2018, la commune comptait 3 542 habitants[Note 10], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    270265277280378395383429508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    516556560586561509612632762
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8498651 0111 0631 3541 6361 7421 7422 211
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 7933 0693 2902 9003 0553 1533 1593 3553 429
    2018 - - - - - - - -
    3 542--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[75] puis Insee à partir de 2006[76].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Écoles maternelle et primaire, collège et lycée.

    Médias

    Le Varennes info, instauré par José Ruiz, recense toutes les activités, actions et nouvelles de la commune.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 434, représentant 3 560 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 140 euros[77].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 833, occupant 1 291 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 61,1 % contre un taux de chômage de 12,4 %.

    Les 26,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 8,6 % pour les autres inactifs[78].

    Entreprises et commerces

    En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 160 dont 3 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 4 dans l’industrie, 10 dans la construction, 128 dans le commerce-transports-services divers et 15 étaient relatifs au secteur administratif[79].

    Ces établissements ont pourvu 1 666 postes salariés.

    En 2019, 30 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 23 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[80].

    Agriculture

    Varennes-sur-Seine est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[81].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[82]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 86 ha en 1988 à 152 ha en 2010[81]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Varennes-sur-Seine, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Varennes-sur-Seine entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[81],[Note 12]
    Nombre d’exploitations (u) 9 7 4
    Travail (UTA) 21 14 9
    Surface agricole utilisée (ha) 773 1 061 607
    Cultures[83]
    Terres labourables (ha) 763 1 055 596
    Céréales (ha) 470 690 367
    dont blé tendre (ha) 293 465 239
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 111 90 s
    Tournesol (ha) 59 s
    Colza et navette (ha) s s 63
    Élevage[81]
    Cheptel (UGBTA[Note 13]) 595 19 34

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Lambert.
    Parc de la Sauvagerie.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Lambert construite entre les XIIIe et XVe siècles. Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1946[84],[85].
    • Le parc de la Sauvagerie aménagé par Édouard André pour le parfumeur Eugène Rimmel (ancienne orangerie, pavillons exotiques anglo-chinois, roseraie).
    • L'espace naturel du Grand Marais, propriété de Pro Natura Ile-de-France, conservatoire régional d'espaces naturels d'Ile-de-France, et géré par l'Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau[86].
    • Le site archéologique du « Marais du Colombier », Groupe de Villeneuve-Saint-Germain, Néolithique ancien[87].

    Personnalités liées à la commune

    • Eugène Rimmel, parfumeur et homme d'affaires français, est inhumé dans un caveau de l'ancien cimetière communal.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Séverine Huard, La ferme du Colombier à Varennes-sur-Seine, XVIe – XVIIIe siècles, CNRS, , 225 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    11. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    13. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Varennes-sur-Seine, » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2020)..
    2. « Sites Natura2000 de Varennes-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Zones ZNIEFF de Varennes-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    4. « Varennes-sur-Seine - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 9 juin 2020 ».
    2. « Varennes-sur-Seine » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F4006301) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F4006281) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4002000) » (consulté le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau d'Air (F4002500) » (consulté le ).
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4002400) » (consulté le ).
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4005000) » (consulté le ), qui se jette dans La Seine
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Dérivation de Varennes (F4005102) » (consulté le ).
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