Vacquières

Vacquières (en occitan Vaquièiras) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. L'économie de ce village est essentiellement dédiée à la viticulture. Ses habitants sont les Vacquiérois.

Vacquières

L'église de Vacquières.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Jean-Baptiste Panchau
2020-2026
Code postal 34270
Code commune 34318
Démographie
Population
municipale
710 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 42″ nord, 3° 56′ 43″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 206 m
Superficie 14,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Vacquières
Géolocalisation sur la carte : Hérault
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Vacquières

    Géographie

    Carte

    La commune de Vacquières se situe à l'est du département de l'Hérault, en bordure du département du Gard. Le territoire communal comprend une zone de garrigues. Le village est toutefois cerné de vignobles. L'écart de Babara et le camping Parc Le Duc sont en revanche situés en pleine garrigue.

    La commune est traversée par le Brestalou, affluent du Vidourle.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 932 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valflaunes-Plaine », sur la commune de Valflaunès, mise en service en 1990[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de précipitations de 984,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 26 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[15].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du Montpelliérais »[17], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[19] : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Vacquières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), cultures permanentes (30,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1835).

    Attestée sous la forme versus Vaquerias en 1260[27].

    Issue du mot latin vacca « vache » avec le suffixe –aria, vaccaria lieu d'élevage. Du pluriel de l'occitan vaquièro, vacherie, étable à vaches[27].

    Histoire

    De nombreux silex taillés trouvés sur le territoire de la commune montrent une présence humaine au moins depuis l'âge de pierre. La période gallo-romaine voit l'introduction de la culture de la vigne et laisse des traces archéologiques : poteries et villa gallo-romaine notamment.

    La première mention écrite de Vacquières remonte à 1151. Il s'agit d'un acte du vicomte de Nîmes mentionnant le castrum de Vacheriis et indiquant que le seigneur de ce territoire était Raymond de Vacheriis. En 1168, Jean de Montlaur crée l'hôpital de la Sylve Gautier situé près des quatre chemins du Patus. Il se composait d'une église, d'un hôpital et d'un cimetière. Transformé ensuite en bergerie, il n'en reste que quelques pans de murs aujourd'hui.

    Toujours au XIIe siècle, une petite église est érigée sur le site de l'actuelle église communale. Longtemps surnommé le « pont romain », le pont Camaous sur le Brestalou est également construit au XIIe siècle.

    Vacquières possède au moins deux verreries en 1572 : une à Fenouillet et l'autre au Patus. Elles fonctionnent jusqu'au milieu du XVIIe siècle.

    Un second pont sur le Brestalou est construit en 1766, sur la route de Sommières tandis que l'église est agrandie en 1856. Elle ne conserve que quelques éléments de l'église d'origine qui avait connu nombre d'aménagements entre le XIIe et le XIXe siècle. La loi de séparation de l'église et de l'État de 1905 provoque des remous à Vacquières. Le curé se barricade dans l'église avec ses ouailles chantant des cantiques afin d'éviter l'inventaire des biens d'église. On fait alors appel à la force armée : la porte de l'église est détruite à la hache le pour déloger le curé.

    La commune entreprend de conduire l'eau au village en 1897. Un puits municipal alimenté par une éolienne est creusé en 1899. Cette éolienne, toujours debout aujourd'hui, est l'un des symboles de la commune. La construction d'un réservoir municipal est votée en 1904, mais ce projet est retardé en raison de l'opposition du curé qui n'admettait pas l'amputation de son jardin, lieu choisi par le conseil municipal pour édifier ce réservoir. Les travaux s'engagent finalement après l'incident du et la construction est achevée en 1907. Une fontaine sur la place est également érigée.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    19431965Joseph Vezinet
    1965juin 1995Georges Duverdier
    juin 19952006[28]André Panchau
    octobre 20062014Denise Gomez
    mars 2014 En cours Jean-Baptiste Panchau SE Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2018, la commune comptait 710 habitants[Note 7], en augmentation de 51,39 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    182160202204248257291318284
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    308289282292286244294276282
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    260261250241236242217242211
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    187181174191231293390404418
    2013 2018 - - - - - - -
    469710-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Depuis au moins 1690, le village est doté d'une école. À défaut, entre 1793 et 1842, c'est le presbytère de l'église qui fait office d'école. Concernant l'école des filles, on sait qu'elle fut assurée entre 1841 et 1849 par une habitante de la commune qui reçoit l'accord officiel du recteur de l'académie pour tenir ses cours. Les filles sont dotées d'une école flambant neuve en 1874 tandis que les garçons disposent de la leur depuis mars 1849. L'école des filles devient mixte en 1924, puis ferme ses portes en 1926. Garçons et filles se retrouveront à l'ancienne école de garçons, mixte elle aussi depuis 1924. Les cours dispensés dans ces écoles sont d'un niveau élémentaire.

    Une nouvelle école est inaugurée le . Cette école accueille les enfants de Vacquières et de la commune voisine de Sauteyrargues.

    Économie

    La viticulture tient une place essentielle dans le paysage et l'économie de la commune. Citons ici Châteaux-Lascaux et le Domaine de l'Abbaye de Fenouillet, mais précisons que de nombreux vignerons vacquiérois sont membres de la coopérative située à Corconne, commune limitrophe située dans le département du Gard. Cette coopérative fut créée en 1939.

    La vigne est détruite au début du XVIIIe siècle par le gel provoquant une grave crise de subsistance dans la commune dont la population atteint alors seulement 80 habitants. En 1907, le phylloxera détruit à nouveau les vignes provoquant de nombreux départs de viticulteurs et ouvriers agricoles vers la ville. Nouvelle destruction des vignes en 1956 par le gel. Placée en zone inondable, la plaine de Vacquières connaît également de nombreuses inondations, la dernière en 2003.

    Trois verriers[33] perpétuent aujourd'hui la tradition du travail du verre à Vacquières, chacun dans un domaine différent.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    De gueules à une vache d'argent cornée, onglée, colletée et clarinée d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Tourisme

    Ville étape du « Chemin des verriers », la commune comprend sur son territoire un parc résidentiel de loisir « Parc le Duc ». Ce terrain essentiellement fréquenté par des Néerlandais, compte 185 bungalows, chalets et mobil-homes.

    Outre l'église communale, il convient de signaler ici le « pont romain », à l'écart du village, datant en fait du XIIe siècle.

    Sources

    • Le Vacquiérois, bulletin municipal d'information (1998-2006)
    • Catherine Delavet, 300 ans d'école primaire à Vacquières, 2003

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Valflaunes-Plaine - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Vacquières et Valflaunès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Valflaunes-Plaine - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Vacquières et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vacquières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vacquières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2 - Page 1334
    28. Le maire André Panchau est décédé le .
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Verriers d'art possédant un atelier à Vacquières :
      • Guillaume Domise, souffleur, fileur, et sculpteur;
      • Yves Trucchi, verre sablé;
      • Yann verre, thermoformage/fusing et perle.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aug. Cavalier, Les voies romaines sur le territoire de la commune de Vacquières (Hérault) : lettre à M. Roque-Ferrier, président du "Félibrige latin", S.l., s.n., s.d., p. 282-290
    • D. Peyrolle et Maurice Louis, « Quatre stations préhistoriques des environs de Vacquières (Hérault) », Cahiers d'Histoire et d'Archéologie, no 4,
    • D. Peyrolle et Maurice Louis, « Trois stations néolithiques des environs de Vacquières (Hérault) », Cahiers d'Histoire et d'Archéologie, no 42, , p. 160-174
    • Souvenir de l'inventaire de l'église de Vacquières, mercredi 7 mars 1906, Montpellier, Impr. de la manufacture de la Charité, , 15 p.

    Fonds d'archives

    Liens externes

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