The Senses

The Senses (Les Sens) est une série de cinq films canadiens réalisés par Bashar Shbib en 1996 et sortis en 1997.

The Senses
Réalisation Bashar Shbib
Pays d’origine Canada
Sortie 1997


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Origines du projet

Bashar Shbib avait un gros projet, dont la demande de financement a été rejetée par les institutions québécoises (Téléfilm et la SODEC), ce qui a donné à Shbib l’élan de produire ces cinq films successifs à la place, avec un moindre budget. Le réalisateur a appelé des amis à Hollywood qui lui ont envoyé des fins de bobines de pellicule, il a rassemblé une petite équipe et ils ont commencé à tourner[1].

Tournage

Les films ont chacun été tourné en quinze jours maximum [2].

Filmographie de The Senses

Diffusion

Sortie cinéma

Les cinq volets de The Senses sont sortis en même temps au cinéma l’Impérial à Montréal, le [3],[4].

Sortie vidéo

La série est sortie en vidéo le [5].

Sixième opus

En 1999, Bashar Shbib sort un sixième et dernier opus à la série, The Kiss, qui fait échos au premier volet de The Senses, Hot Sauce - il en reprend le personnage principal joué par Bashar Shbib[6].

Style et genre

Au-delà du thème général du sens physiologique, le motif de la confession lie les films de The Senses[7]. Les films de la série peuvent être perçus comme des fables [1].

Réception

Parmi les six films de The Senses, Hot Sauce a été le plus apprécié des critiques [8],[3],[7].

Références

  1. (en) Dimitri Katadotis, « Coming to his senses », Hour, , p. 43
  2. Juliette Ruer, « Sens du spectacle », Voir, , p. 1-2
  3. (en) Bill Brownstein, « Director has drive », The Gazette, , E1
  4. [Canadian Film Online lire en ligne (page consultée le 04 juillet 2014)]
  5. Martin Bourgault, « Les cinq sens pour expliquer les relations humaines », Place Publique,
  6. Marc-André Lussier, « The Kiss, une autre façon de parler de paternité et de mort », La Presse (Montréal),
  7. Élie Castiel, « The Senses, confessions intimes », Séquences (revue), no 191, , p. 51 (lire en ligne)
  8. Martin Bilodeau, « Marathonien de l’ordinaire », Le Devoir,

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