Teyran

Teyran [tej.ʁɑ̃] (en occitan Teiran [tej.'ran]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Teyran

Vue sur la colline de Teyran.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Éric Bascou
2020-2026
Code postal 34820
Code commune 34309
Démographie
Gentilé Teyrannais
Population
municipale
4 585 hab. (2018 )
Densité 457 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 07″ nord, 3° 55′ 44″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 122 m
Superficie 10,04 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gély-du-Fesc
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Teyran
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Teyran
Géolocalisation sur la carte : France
Teyran
Géolocalisation sur la carte : France
Teyran

    Ses habitants sont appelés les Teyrannais.

    Géographie

    Carte.

    Situation

    La ville de Teyran se situe à 10 km au nord-est de Montpellier, sur la route départementale 21 reliant le littoral à Carnas dans le Gard.

    Elle se trouve à mi-chemin entre la mer Méditerranée et les premiers contreforts des Cévennes. Entourée de garrigue, elle présente une vue sur le Pic Saint-Loup.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Le territoire communal présente une pente générale descendant vers le sud jusqu'à la vallée du Salaison et de ses ruisseaux affluents.

    Hydrographie

    La rivière du Salaison et la rivière la Cadoule sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 755 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prades Le Lez », sur la commune de Prades-le-Lez, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 852,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 10 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Description générale

    Le climat de Teyran est un climat méditerranéen aux étés chauds humides.

    Données

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Teyran 2687699,12,523,318,8
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Données climatiques à Teyran
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,2 3,3 4,9 7,8 11,2 14,6 17,1 16,7 14,2 10,6 5,9 2,8 9,3
    Température moyenne (°C) 6,6 7,8 9,8 12,6 16,1 19,9 22,8 22,2 19,4 15,4 10,3 7,2 14,2
    Température maximale moyenne (°C) 11,1 12,4 14,7 17,5 21,1 25,3 28,4 27,7 24,7 20,2 14,7 11,7 19,1
    Ensoleillement (h) 147 153 208 230 271 310 350 310 237 187 146 137 2 687
    Précipitations (mm) 72,3 72,3 55 54,9 52,1 33 20 41,7 62,3 109,5 62,8 63,3 699,1
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Montpellier de 1961 à 1990[13].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du Montpelliérais »[15], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[17] : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Teyran est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[22] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45 %), zones urbanisées (23,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,2 %), forêts (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune a été connue sous les variantes : ecclesia de Terano (XIIe siècle), montem de Teyrano (1200), castrum de Tayrano (1202), villa et forcia de Teirano (1228), de Teyrano (1321), prior de Tayrano alias de Albaterra (1391), Teyran (1626).

    Le nom de Teyran vient d'un domaine gallo-romain : gentilice latin Terius + suffixe -anum[28].

    Histoire

    Héraldique

    Teyran D'azur au sautoir d'or chargé d'un croissant de gueules[29]

    Le village initial : Saint André d'Aubeterre

    Le cartulaire de Maguelone cite plusieurs fois Teyran : de Albaterra, id est de Tairano[30] ; de Teyrano[31]; ecclesia de Terano[32].

    La colline de Teyran.

    Le Mont de Teyran en 1200

    Au XIIIe siècle, on trouve toujours dans le cartulaire de Maguelone : montem de Teyrano, 1200[33] ; castrum de Tayrano, 1202[34] ; villa et forcia de Teirano, 1228[35].

    Révolution française

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire en floréal an II[36].

    De la Révolution à nos jours

    De 1793 (120 habitants) à 1900 (450 habitants), le chiffre de la population va suivre une progression constante pour connaître au début du XXe siècle une période stationnaire.

    Les principales activités sont liées à l’agriculture avec des cultures de céréales en abondance, de vignes mais aussi d’oliviers. L’élevage des moutons est important avec 2035 bêtes à laine recensées en 1836. On assiste à plusieurs tentatives d’industries liées essentiellement à l’extraction minière (houille, manganèse, sable) à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle.

    Le château de Teyran voit son prestige s’atténuer en raison de l’agrandissement de la chapelle en église en 1817 et de la fondation du presbytère en 1846.

    Le , le Marquis Thomas de Masclavy décède, obligeant, quelques années après, ses héritiers à mettre le château en vente. La municipalité voit là l’occasion propice de procurer aux Teyrannais, par l’achat de cet immeuble, un presbytère, des maisons d’école et une salle de mairie. L’acquisition se fera le .

    En 1866, une nouvelle église sera construite sur une partie du château.

    Plan d'un projet d'adduction d'eau (1888)

    L’accroissement de la population et l’augmentation de la production agricole vont rendre nécessaire la création de nouvelles routes et l’amélioration des anciennes. Ainsi, le , le conseil va demander au préfet d’établir sur le chemin de grande communication n021, partant de St-Mathieu-de-Tréviers et allant jusqu’à Sommières et Lunel, un embranchement entre Montaud et St-Drézéry, passant à Teyran, Jacou, Castelnau et Montpellier. Les travaux débutèrent en 1856 pour s’achever en 1868. En 1887, la décision est prise d’amener l’eau par un système de canalisations dans toutes les parties du village, mais n’aboutit pas. Le télégraphe est installé en 1902 et l’éclairage électrique en 1909.

    Politique et administration

    La mairie de Teyran.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 mars 2001 Marcel Gibily UDF-PR Conseiller général du canton de Castries (1985-1998)
    mars 2001 2014 Jean-Pierre Mollet UMP  
    mars 2014 En cours Eric Bascou SE Cadre dans le secteur médical

    Intercommunalité

    Cette commune a appartenu à la communauté d'agglomération de Montpellier du au .

    Cette sortie correspondait au souhait du conseil municipal qui n'avait pas accepté l'intégration initiale. Elle a alors intégré la communauté de communes du Grand Pic Saint Loup.

    Jumelages

    Teyran est jumelée avec la ville italienne de Montelibretti.

    Économie

    En 2013, le groupe Ultimate Energy a subventionné l’équipement de certaines habitations de panneaux photovoltaïques sans aucun investissement de la part de leurs propriétaires, ces maisons seront alors des maisons témoins dans un but publicitaire.[réf. nécessaire]

    Population et société

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2018, la commune comptait 4 585 habitants[Note 7], en diminution de 0,46 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    190125216233237240256279330
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    355382419428344292403406408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    422447434428436465425393431
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4775559182 0163 4694 2394 2904 4964 607
    2018 - - - - - - - -
    4 585--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Teyran en 2007[41] en pourcentage.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    Avant 1917
    1,5 
    5,0 
    1918-1932
    6,1 
    14,6 
    1933–1947
    14,2 
    27,5 
    1948-1962
    27,9 
    17,0 
    1963-1977
    18,9 
    17,8 
    1978-1992
    13,9 
    17,8 
    1993-2007
    17,6 

    Enseignement

    La commune dispose d'une crèche - halte garderie ainsi que d'une école dénommée groupe Jules-Ferry comprenant 5 classes de maternelle et 10 classes de primaire.

    Les enfants allant au collège sont accueillis à Jacou.

    Santé

    On trouve des professionnels de la santé sur la commune : médecins généralistes, dentistes, infirmiers, kinésithérapeutes, un neurologue, un nutritionniste, un orthophoniste, un ostéopathe et un psychothérapeute[42]. Deux pharmacies sont également présentes. La commune dispose par ailleurs d'une maison de retraite.

    Équipements sportifs

    Tennis

    Associations

    Associations culturelles, de loisirs ou sportives[43].

    Lieux et monuments

    En 1786, le pont vieux, qui était seul, s'appelait : «le pont de Teyran, à l'approche dudit lieu sur le chemin de Montpellier», et le commentaire du contrôle dudit pont est ainsi rédigé «les fondations de ce pont sont sur le rocher apparent, ce qui fait que, quoique d'une construction à ne pas imiter  

    Patrimoine culturel

    La médiathèque

    Une médiathèque municipale : ouverte en 1994, la médiathèque municipale de Teyran propose des collections multisupports (livres, périodiques, cédéroms, CD audio, DVD) sur deux niveaux. Service de proximité pour les Teyrannais, la médiathèque accueille également les publics provenant des communes alentour. Outre ses collections, elle propose un espace multimédia et des animations tout au long de l'année (exemple : forums sur les gratuiciels).

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête votive le dernier week-end du mois d'août
    • Semi-marathon des vendanges au mois de septembre
    • Teyrannaise des arts au mois de novembre

    Galerie

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Prades Le Lez - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Teyran et Prades-le-Lez », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Prades Le Lez - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Teyran et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Climatologie mensuelle à Montpellier Fréjorgues », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Teyran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Teyran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Montpellier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 395
    29. Banque du Blason
    30. Cartulaire de Maguelone tome I p. 54.
    31. Cartulaire de Maguelone tome I p. 59.
    32. Cartulaire de Maguelone tome I p. 63.
    33. Cartulaire de Maguelone tome I p. 449.
    34. Cartulaire de Maguelone tome I p. 485.
    35. Cartulaire de Maguelone tome II p. 311.
    36. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 413.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. Pyramide des âges de Teyran, Recensement 2007 sur le site de l'INSEE
    42. les professionnels de santé sur le site de la commune
    43. les associations sur le site de la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gaston-Bernard Arnal et Michel Sahuc, « L'agglomération de Montbeyre-La-Cadoule (Teyran, Hérault) : le secteur de "l'Harmassou", contexte général et bilan de la fouille 1990-1991 », Archéologie en Languedoc, no 17, , p. 23-31
    • Gaston-Bernard Arnal et Jean Clopes, « Apport général des recherches sur les sites préhistoriques de la source de la Cadoule à Teyran (Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 18, , p. 31-48
    • Gaston-Bernard Arnal et Jean Clopes, Teyran (Hérault), première agglomération préhistorique à structures en pierres sèches : approche chronologique du Chasséen méridional, Lodève, Centre de recherche archéologique du Haut-Languedoc, coll. « Mémoire du Centre de recherche archéologique du Haut-Languedoc » (no 6), , 94 p.
    • Claude Bracq, Teyran, une page d'histoire : 1664-1809, Castries, Les Éditions du Mistral, coll. « Terres du Sud », , 71 p.
    • Louis-Henri Escuret, Préhistoire à Teyran-Montbeyre (Hérault) : étude d'un village du néolithique moyen, Lodève, éd. Impr. des beaux-Arts, , 120 p.
    • Augustin Villemagne, Histoire de Teyran, Hérault, Montpellier, L. Valat, , 312 p. (lire en ligne)
    • Augustin Villemagne, Paroisse de Teyran, inventaire de l'église, Teyran, s.n., , 31 p.
    • Augustin Villemagne, « Teyran (982-1905), livre second : du protestantisme à la Révolution », Revue historique du diocèse de Montpellier, 1911-1912
    • Augustin Villemagne, « Teyran (982-1905), livre premier : de l'origine au protestantisme », Revue historique du diocèse de Montpellier, 1910-1911

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