Technicolor (entreprise française)

Technicolor, anciennement Thomson ou Thomson Multimedia, est une entreprise française spécialisée dans la conception et la fabrication de systèmes de vidéo et d'image numérique destinés aux professionnels des médias, tels que les producteurs de films et les chaînes de télévision, mais aussi les opérateurs de réseaux et autres distributeurs de contenu[2].

« L'entreprise Thomson » redirige ici. Pour la marque Thomson, voir Thomson (marque).

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Ne doit pas être confondu avec Technicolor Motion Picture Corporation.

Technicolor

Logo de Technicolor.

Création 1883
Dates clés Thomson SARL (1893–1914)
Thomson Multimedia (1910–2010)
1996 : privatisation de Thomson
2010 : changement de nom en Technicolor
2012 : recapitalisation du groupe par Vector Capital
2013 : refinancement de la dette
Fondateurs Thomson
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : TCH
Siège social Paris
 France
Direction Richard Moat ] ] Tim Spence
Activité Technologies vidéo numériques
Filiales MPC Film

MPC Episodic Mr. X Animation Mikros Animation Technicolor Games The Mill MPC

SIREN 333773174[1]
Site web www.technicolor.com

Dette 773 millions d'euros en 2018 (consolidé)
Chiffre d'affaires 3 988 millions d'euros en 2018 (consolidé)
Résultat net 68 millions d'euros (perte) consolidé 2018

Technicolor est l'héritière du groupe Thomson en France. Au début du XXe siècle filiale française d'un groupe américain et spécialisée dans les équipements de production et de distribution d'électricité, Thomson a évolué au fil de multiples rachats et fusions pour s'orienter vers la fabrication de matériels électroniques et audiovisuels et couper dans les années 1950 les liens qui la rattachaient aux États-Unis. Connu notamment pour ses téléviseurs à partir des années 1960, Thomson partage dans les années 1980 ses activités entre deux grands secteurs : l'électronique grand public et les équipements professionnels à vocation militaire. Cette dernière branche est rattachée à sa propre entité Thomson-CSF (nom issu d'une fusion réalisée en 1968) et deviendra en 2000 un groupe indépendant dénommé Thales. L'autre branche, rebaptisée Thomson Multimédia en 1995, produit initialement du matériel électronique grand public, mais les difficultés rencontrées l'éloignent par la suite de ce secteur. À partir de 2005, elle se recentre uniquement sur les services et les équipements électroniques professionnels destinés au secteur des médias et du divertissement. En 2010, l'entité prend le nom Technicolor, ce qui marque la rupture avec l'ancienne marque à vocation grand public.

Histoire

En 1883, Elihu Thomson et Edwin Houston s'associent pour créer une importante société d’électricité spécialisée dans un premier temps dans la construction de dynamos et de moteurs à courant continu puis alternatif par la suite, la Thomson-Houston Electric Company, basée aux États-Unis et disposant de filiales internationales.

En 1892, la fusion de Thomson-Houston et Edison General Electric Company donne naissance à General Electric.

En 1893, la Compagnie française pour l'exploitation des procédés Thomson Houston (CFTH) est créée. Elle est chargée d'exploiter en France les brevets de la Thomson-Houston Electric Corporation dans le domaine alors émergeant de la production et du transport de l'électricité.

En 1919, Radio Corporation of America (RCA) et, en France, la Compagnie générale de la télégraphie sans fil (CSF) sont créées[réf. nécessaire].

En 1922, Thomson rachète à la famille de Fenoyl la Société nouvelle de la Manufacture de porcelaine de Sainte-Foy-l'Argentière laquelle disposait d'un brevet sur les isolateurs électriques en porcelaine[réf. nécessaire].

En 1928, Thomson-Houston fusionne avec une partie de la SACM pour former une nouvelle entreprise. Ce sera Als-Thom, contraction d'ALSace-THOMson, société de construction électro-mécanique[réf. nécessaire]. En 1932, création de la marque Ducretet Thomson, par intégration de Ducretet-Roger[3].

En 1955, la CFTH devient française, puis change de nom en 1966 pour devenir Thomson-Brandt, à la suite de sa fusion avec la compagnie Hotchkiss-Brandt[réf. nécessaire].

En 1966, RCA ouvre une usine de tubes cathodiques[réf. nécessaire].

En 1967, Thomson-Brandt fusionne l'ensemble de ses activités d'électronique professionnelle avec la CSF. La nouvelle entité est baptisée Thomson-CSF en 1968, et Thomson-Brandt se focalise uniquement sur l'électronique grand public (téléviseurs, électroménager sous marques Brandt et Thomson). En 1976, Thomson-CSF prend le contrôle des sociétés téléphoniques Ericsson et Le Matériel Téléphonique (LMT).

Nationalisation

En 1982, Thomson-Brandt et Thomson-CSF sont nationalisés par le gouvernement français. En 1983, les deux entreprises sont regroupées sous le nom de Thomson. Le conglomérat qui fabrique aussi bien des lampes, des téléviseurs, de l'électroménager, des systèmes militaires, qui emploie alors plus de 100 000 employés, est proche de la faillite avant sa nationalisation en 1982. À cette époque, le groupe s'organise autour de deux pôles :

  • Le pôle orienté électronique grand public, qui deviendra Thomson Consumer Electronic Company (TCE) en 1987 (rebaptisé Thomson Multimedia en 1995), sera dissocié du groupe en 1999 et rebaptisé simplement Thomson en 2002.
  • Thomson CSF, spécialisé dans l'électronique professionnelle à vocation essentiellement militaire.

En 1986, General Electric cède à Thomson les droits d'exploitation de sa marque RCA. Le PDG Alain Gomez désengage Thomson des télécoms, de l'électroménager et autres activités trop périphériques pour racheter le fabricant de télévisions américains RCA. Les États-Unis sont alors le premier pays de ventes de téléviseurs et RCA est détenteur d'un riche amas de brevets, mais l'État n'ayant pas recapitalisé l'entreprise, celle-ci est très endettée et compte 14 milliards de francs de dettes quand Alain Gomez est licencié en 1996.

En 1992, le secteur électroménager est cédé à l'italien El.Fi, filiale du groupe italien Elettro Finanziaria (connu par sa marque Zanussi).

En 1995, Thomson Consumer Electronics est rebaptisé Thomson Multimedia (TMM)[4].

Privatisation

En 1996, le Premier ministre français Alain Juppé souhaite vendre au groupe Daewoo, l'entreprise publique Thomson Multimédia, officiellement « très endettée » contre 1 franc symbolique après sa recapitalisation par l'État à hauteur de 11 milliards de francs[5]. Toutefois, cette vente n'aura pas lieu[6].

En octobre 1997, le gouvernement décide de regrouper autour de Thomson CSF, dans le cadre d'un partenariat stratégique avec Alcatel, les activités d'électronique spatiale et de défense et les activités de communications militaires d'Alcatel, les activités d'électronique professionnelle et de défense de Dassault Électronique, ainsi que les activités satellitaires d'Aérospatiale.

Après une recapitalisation de 1,7 milliard en 1997 et sa séparation d'avec Thomson-CSF, le duo Thierry Breton - Frank E. Dangeard rachète des sociétés audiovisuelles professionnelles (Technicolor, Grass Valley…), mais les entités restent indépendantes et ne dégagent pas de synergies. Le groupe abandonne l'électronique grand public voyant avec raison la fin du tube cathodique, mais sans exploiter ses technologies très avancées dans les écrans plats OLED et les écrans plasma. De même, il abandonne trop vite en 1998 l'expérience du Lyra, baladeur numérique lancé trois ans avant les iPod. Le désengagement de la filière cathodique n'est pas total en raison de la faillite du repreneur chinois.

En 1999, Thomson Multimedia ouvre son capital. En décembre 2000, Thomson-CSF devient Thales.

En 2003, l’État français vend ses dernières participations dans Thomson. L'accumulation des difficultés et de fortes pertes mène le groupe au bord du gouffre[7].

En 2004, Thomson rachète au groupe de télévision privé ITV le studio de postproduction Moving Picture Company (MPC) spécialisé dans les effets visuels pour le cinéma et le film publicitaire.

En 2005, Thomson cède ses activités téléviseurs au groupe chinois TCL, processus engagé dès 2004, et ses activités tubes cathodiques au groupe indien Videocon. Ses activités audio/vidéo et accessoires ont été cédées en 2007.

En 2006, le groupe Thomson a racheté Thales Broadcast & Multimedia[8] et Nextamp[9], une start-up spécialisée dans le tatouage numérique.

En 2007, Thomson ferme les activités Solutions Silicium. En novembre 2008, le groupe décide de fermer ses activités de téléphonie résidentielle en Amérique du Nord[10].

Technicolor

Fin , Frédéric Rose annonce au Figaro sa volonté de vendre des actifs non stratégiques, comme l'activité Grass Valley (en), PRN consacrée aux réseaux de diffusion de publicité dans la grande distribution, et Screenvision, l'activité de téléphonie résidentielle.

En , certaines analyses font état d'un possible dépôt de bilan devant les difficultés que l'entreprise rencontre à négocier sa dette avec certains de ses créanciers[11]. En juillet, un accord avec les principaux créanciers, en vue de la recapitalisation du groupe, intervient et les perspectives de dépôt de bilan semblent s'éloigner. Le Thomson entend conclure la restructuration de sa dette d’ici grâce à une procédure de sauvegarde[12]qui est acceptée le , et rendu publique le [13] qui opte pour une procédure de sauvegarde afin de renégocier la dette plus tranquillement[14]. Ce plan est approuvé le par le Comité des Fournisseurs et le Comité des créanciers bancaires[15] et le par l’ensemble des Comités de créanciers[16].

Fin 2009, l'activité européenne de téléphonie résidentielle est cédée sous forme d'un MBO à ATLINKS Group, soutenu par le fonds Verdoso Industries.

En 2010, après 10 mois de discussions avec ses créanciers, le directeur général, Frédéric Rose, provoque une assemblée générale mixte des actionnaires de la société Thomson, le mercredi [17] qui outre la restructuration financière propose dans la 16e résolution une nouvelle dénomination. Thomson devenant Technicolor[18] sans changement de la gouvernance d'entreprise.

En 2012, Ericsson acquiert la branche de service de diffusion TNSF. Cette activité avait été acquise par Thomson-Technicolor auprès de VCF[19].

En , Thomson Angers SAS est mis en liquidation judiciaire, il fabriquait des décodeurs de type modem-routeur ADSL ou des décodeurs de télévision Internet pour les opérateurs de télécommunication[20]. 351 salariés perdent leur emploi. Il s'agit de la fermeture du dernier site de production en Europe de Technicolor[21], une usine créée en 1957.

Courant 2012, l'activité SmartVision (IPTV) est cédée à la société Devoteam qui l'intègre à sa division Telecom & Media rachetée ensuite par le groupe Ericsson.

Le , l'activité Cirpack (VoIP) est vendue à un fonds d'investissement The Martland Group.

En 2014, l'entreprise Technicolor dépose 745 brevets dans le domaine du son et de l'image[22]. Le de la même année, Technicolor annonce l'acquisition de Mr. X Inc, l'un des principaux studio d'effets visuels basé à Toronto.

Le , le groupe annonce l'acquisition du studio d'animation indépendant OuiDo! Productions.

Le , Technicolor réalise l'acquisition de Mikros Image.[23]

En , Technicolor acquiert pour 550 millions d'euros les activités de Cisco dans les équipements de maisons audiovisuels[24].

En , Technicolor acquiert l'entreprise britannique The Mill, spécialisée dans les effets spéciaux pour la publicité, pour 259 millions d'euros[25].

Début , un plan social prend forme chez Technicolor : 110 postes devraient être supprimés sur le site de Rennes avant la fin de l'année 2020, sur un effectif qui comprend 283 salariés[26]. Une décision qui provoque la colère des salariés qui avaient déjà accepté des baisses de rémunération lors de crise générée par l'épidémie de Covid-19[27].

Le , un plan social est signé par les syndicats représentants de salariés et la direction[28]. L'accord prévoit la suppression de 35 % des effectifs du site de Cesson-Sévigné, soit 102 postes sur 286[29]. Les activités de recherche et de développement seront délocalisées en Inde[30].

Activités

Thomson R & D, Cesson-Sévigné.

Thomson est le fruit de la consolidation d'un certain nombre d'activités issues de sociétés importantes : Thomson elle-même, Technicolor, Grass Valley, DSL Alcatel, Atlinks, Thales Broadcast & Multimedia, Cirpack et Inventel.

Le groupe Thomson est sorti des activités de l’électronique grand public, après plusieurs cessions de ces activités dans les années 2000. L'activité principale de Thomson est désormais de concevoir et fabriquer les systèmes nécessaires à la création, la diffusion, et la sécurité des contenus audiovisuels des acteurs des médias et du divertissement.

En 2007, Thomson réalise environ 95 % de son chiffre d’affaires dans ses activités Média et Divertissement. Dans le cadre de ces activités, il vend des équipements, des produits, des systèmes et des services pour les métiers de l'audio-visuel.

Le groupe s'organise autour de 3 divisions opérationnelles + 2 autres segments :

  • Technicolor : 2 055 millions d'euros soit 43 % du chiffre d'affaires net consolidé du groupe.
  • Thomson Grass Valley : 2 381 millions d'euros soit 49 % du chiffre d'affaires net consolidé du groupe.
  • Technologie : 392 millions d'euros soit 8 % du chiffre d'affaires net consolidé du groupe.
  • Fonctions centrales du groupe : 4 millions d'euros de chiffre d'affaires.
  • Autres activités : 8 millions d'euros de chiffre d'affaires.

Les clients et les utilisateurs

  • Les créateurs de contenus : l'entreprise fournit notamment aux sociétés spécialisées dans la création de contenu des caméras de télévision professionnelles, des solutions de postproduction.
  • Les diffuseurs et les transporteurs de contenus : Thomson fournit par exemple aux chaînes de télévision et aux câblo-opérateurs, ainsi qu'à tous les opérateurs capables de diffuser du contenu audiovisuel, des serveurs de vidéo à la demande pour l'IPTV.
  • Les particuliers fournis par les clients de Thomson : les opérateurs peuvent fournir à leurs abonnés des décodeurs numériques fabriqués par Thomson.

Le groupe Thomson s'est engagé après un accord à densifier les équipements de la Radiodiffusion-Télévision ivoirienne (équipement, satellite, numérique, qualité d'image…)[31].

Résultats financiers

Après plusieurs années de pertes l'entreprise dégage, enfin, un bénéfice après impôts, amortissement et provision pour l'exercice 2012[32]

Année[32] Bénéfices
(Pertes)
2008 (2 326 697 461)
2009 (571 982 207)
2010 (499 508 008)
2011 (337 613 744)
2012 2 103 924 138

Actionnariat

Liste des actionnaires au [33].

Nom Actions %
Rwc Asset Management 42 000 000 10,1%
Oppenheimer Funds 29 700 924 7,17%
Jo Hambro Capital Management 25 047 689 6,04%
Kinney Asset Management 22 928 815 5,53%
Bpifrance Participations 21 853 869 5,27%
Dnca Finance 21 489 718 5,19%
Cisco Systems 20 440 793 4,93%
Sycomore Asset Management 20 289 777 4,90%
Syz Asset Management 14 023 565 3,38%
Caisse Des Dépôts & Consignations 11 129 059 2,69%
Données financières en millions d'euros[34]
Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Chiffre d'affaires 10 187 8 459 6 036 5 691 5 854 5 630 4 840 3 529
Résultat opérationnel 718 508 −419 −465 479 349 −1303 136

Direction du groupe

Le directeur général est Richard Moat. Il anime le comité exécutif et rend des comptes au conseil d'administration présidé par Rémy Sautter.

Comité exécutif

  • Richard Moat - directeur général
  • Sarnoff Tim - directeur général adjoint - président, services production
  • Brunet Fabienne - ressources humaines
  • Carvalho Sandra - marketing & communication
  • Carozzi Laurent - directeur financier
  • Hibbens Simon - services home entertainment
  • Lilly Quentin - président, services home entertainment
  • Martinez-Amago Luis - président, maison connectée
  • Pizzica Vince - partenariats d’entreprise & technologie
  • Wappet Nathan - COO, services production

Conseil d'administration

Présidé par le président, le conseil d'administration définit les orientations stratégiques du groupe, contrôle les comptes et nomme les dirigeants. Il est assisté par trois comités : le comité d’audit, qui veille à la qualité des documents comptables et financiers ainsi qu’au respect des procédures de contrôle ; le comité nominations, rémunérations et gouvernance, qui se concentre sur le fonctionnement du conseil d’administration, la mise en œuvre des principes de gouvernement d'entreprise, la rémunération des cadres dirigeants et l’intéressement des salariés, et le comité technologique.

En , le conseil d’administration se composait de[35] :

Président

  • Didier Lombard, président du conseil de surveillance de STMicroelectronics

Administrateurs

  • Virginie Calmels, directeur d'Iliad
  • Nicolas Grelier, salarié
  • Bruce Hack, anciennement directeur général de Vivendi Games et vice-président du conseil d'Activision Blizzard
  • Hugues Lepic, directeur général d'Aleph Capital
  • Laura Quatela, présidente d'Eastman Kodak Company
  • Hilton Romanski, CSO Cisco
  • Richard Moat, directeur général de Technicolor
  • BPI France, représenté par Bertrand Finet

Censeurs

  • Loïc Desmouceaux, vice-président Market Business Intelligence de Technicolor
  • Béatrix de Russé

Partenaires sociaux

Les syndicats représentatifs au sein du groupe Technicolor en France sont les suivants : CFDT, CFE-CGC, SUD Industrie, UNSA. Ils sont par ailleurs organisés en intersyndicale au niveau du groupe. Un comité de groupe composé de membres nommés par les différentes organisations syndicales représentatives existe, ainsi qu'un comité d'entreprise européen.

Notes et références

  1. Global LEI index, (base de données web), consulté le
  2. À Hollywood, l'autre visage de Technicolor, Le Point, le 3 juillet 2012
  3. La marque Ducretet-Thomson, sur doctsf.com.
  4. « Technicolor »
  5. (fr) « Alain Juppé veut scinder Thomson en deux parties », L'Humanité,
  6. (fr) « Thomson : le pouvoir battu », L'Humanité,
  7. « Thomson, une malédiction française », Le Monde, 16 juin 2009, page 3.
  8. « Communiqué de presse du partenariat avec Thales Broadcast & Multimedia »
  9. « Le communiqué de presse du rachat de Nextamp »
  10. Convocation assemblée générale annuelle de 2009 page 5
  11. « Info Bourse et Actualité Financière - Boursorama », sur www.boursorama.com
  12. « Communiqués de Presse Thomson entend conclure la restructuration de sa dette d’ici février 2010 grâce à une procédure de sauvegarde »
  13. « Communiqués de presse : Thomson rend public son plan de sauvegarde »
  14. Thomson, suspendu en Bourse, opterait pour un "plan de sauvegarde". Le Monde, 30 novembre 2009
  15. « Communiqués de presse Thomson : Plan de Restructuration approuvé par le Comité des Fournisseurs et le Comité des créanciers bancaires »
  16. http://www.thomson.net/French/Corporate/News/PressReleases/Pages/Thomson-plan-de-restructuration-approuve-par-l-ensemble-des-Comites-de-creanciers.aspx Communiqués de presse Thomson : plan de restructuration approuvé par l’ensemble des Comités de créanciers
  17. « Assemblée générale mixte des actionnaires de la société Thomson SA le mercredi 27 janvier 2010 à 11 heures au palais des congrès de Paris »
  18. « L'AXE FABIUS-CHEVENEMENT », sur L'Humanité,
  19. « Technicolor : Ericsson va reprendre son activité services diffuseurs de contenu », sur BFM Bourse,
  20. Chez Usine nouvelle.
  21. « Technicolor liquidé à Angers, 350 salariés sur le carreau », sur Le Parisien, (consulté le )
  22. Technicolor, deuxième déposant français de brevets, le Monde, 26 février 2015
  23. « Technicolor : Réalise l'acquisition de Mikros Image », sur BFM Bourse, (consulté le )
  24. France's Technicolor to buy Cisco's connected devices unit for $602 million, Reuters, 23 juillet 2015
  25. Technicolor s'impose dans les effets visuels pour la publicité, Elsa Bembaron, Le Figaro, 15 septembre 2015
  26. Le Figaro avec AFP, « Plan social à Technicolor, 110 postes menacés dans la métropole rennaise », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  27. BFM BUSINESS, « Plan social à Technicolor, 110 postes menacés dans la métropole rennaise », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  28. « Technicolor : 102 emplois supprimés et « une délocalisation massive des activités rennaises vers l’Inde » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  29. « 102 postes supprimés chez Technicolor », sur Ouest France,
  30. « Technicolor à Cesson-Sévigné : 102 emplois supprimés, la délocalisation d'emplois en Inde aura bien lieu », sur France 3 Bretagne (consulté le )
  31. séance de travail entre la RTI et Thomson « Copie archivée » (version du 8 novembre 2018 sur l'Internet Archive)
  32. Convocation à l'AG du 23 mai 2013 page 38
  33. Zone Bourse, « Bourse : Cours de bourse en temps réel sur Actions, Indices, Forex, Matieres Premieres - Zonebourse.com », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  34. Source Boursorama
  35. « Gouvernance »

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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