Sus (Pyrénées-Atlantiques)

Sus [sys] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

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Sus

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Émilie Camguilhem
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64529
Démographie
Population
municipale
376 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 26″ nord, 0° 45′ 55″ ouest
Altitude Min. 118 m
Max. 263 m
Superficie 11,50 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Navarrenx
(banlieue)
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sus
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Sus
Géolocalisation sur la carte : France
Sus
Géolocalisation sur la carte : France
Sus

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 43 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 20 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 17 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Susmiou (1,3 km), Jasses (1,6 km), Navarrenx (1,8 km), Gurs (2,4 km), Castetnau-Camblong (2,6 km), Dognen (2,6 km), Méritein (3,2 km), Lay-Lamidou (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sus fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Sus.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, l’arrec de la Mouline, le Geronis, le Hauga, le ruisseau Coumetch, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 232 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lagor », sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[16]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 111,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 29 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Sus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Navarrenx, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[31] et 2 666 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,1 %), prairies (19,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), terres arables (12,3 %), zones urbanisées (4,3 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Sus apparaît[37] sous les formes Sus-Maiour (XIIe siècle, d'après Pierre de Marca[38]), Sancte-Cataline Dessus et Sent-Saubador Dessus (respectivement 1384 et 1396, notaires de Navarrenx[39]), Suus (1548, réformation de Béarn[40]) et Sent-Johan de Sus (1608, insinuations du diocèse d'Oloron[41]).

    Graphie béarnais

    Son nom béarnais est Sus.

    Histoire

    Paul Raymond[37] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
    En 1385, Sus comptait 30 feux et dépendait du bailliage de Navarrenx.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 François Contou-Carrère    
    2001 2014 Jean-Maurice Mestrot    
    2014 En cours Marie-France Lassalle    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de huit structures intercommunales[42] :

    • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
    • le SIVU d'assainissement de Navarrenx ;
    • le syndicat AEP de Navarrenx ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
    • le syndicat de regroupement pédagogique de Castetnau-Camblong et Sus ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
    • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 376 habitants[Note 9], en diminution de 2,59 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    364366555435481485489484513
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    493484452433466422425420442
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    428437373378364344344298346
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    277284299303312387329377383
    2018 - - - - - - - -
    376--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Sauveur date[47] du XIXe siècle.

    La secte Tabitha's place est présente sur le territoire de la commune[48],[49].

    Équipements

    La commune dispose d'une école élémentaire et d'un fronton.

    Personnalités liées à la commune

    Le comte Pierre de Saint-Cricq, pair de France a été propriétaire de 1826 à 1835 du château féodal ; sa fille Caroline Louise épouse Dartigaux, en héritera à la mort de sa mère. Caroline a été très proche de Franz Liszt.[réf. nécessaire]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Sus » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sus », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Sus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sus et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sus et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Sus et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Sus », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Sus », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    10. Sandre, « le Lausset ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lagor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sus et Lagor », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Lagor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Sus et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Unité urbaine 2020 de Navarrenx », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    32. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    33. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    34. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    37. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    38. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    39. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    41. Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
    42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Sauveur
    48. La commission sur les sectes découvre 18 enfants coupés du monde, paru dans Le Monde, 21 novembre 2006
    49. Lire l'article du journal Sud-Ouest, aujourd'hui disponible sur http://forum.doctissimo.fr/psychologie/sectes/tabitha-place-crois-sujet_329_1.htm

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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