Saint-Privat-de-Champclos

Saint-Privat-de-Champclos est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Privat.

Saint-Privat-de-Champclos

Église Saint-Privat

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Jean-François Flandin
2020-2026
Code postal 30430
Code commune 30293
Démographie
Population
municipale
347 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 17′ 09″ nord, 4° 21′ 31″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 279 m
Superficie 11,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Privat-de-Champclos
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Privat-de-Champclos
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Privat-de-Champclos
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Privat-de-Champclos

    Géographie

    Située dans le Gard Provençal à la limite nord du département, la commune est sise dans des collines calcaires à une altitude moyenne de 180 m. Le paysage est très vallonné et est traversé par les gorges de la Cèze. Les collines laissent place à l'ouest à une plaine. Du village, on peut observer à 360° les Cévennes, le Massif central ainsi que le mont Ventoux. Le village est aux confins des Cévennes dans le Gard rhodanien.

    Carte de la commune.

    Hameaux

    La commune de Saint-Privat-de-Champclos se compose de dix hameaux. La plupart des hameaux ont une chapelle, un cimetière, un puits, un lavoir ou un four à pain.

    Cavène

    Le hameau de Cavène comporte une chapelle (Notre-Dame des Lumières) et son cimetière ainsi que 8 habitations. La mairie a réhabilité le presbytère en 2007-2008 pour en faire un logement. De plus, les habitants fleurissent le village ce qui en fait une véritable carte postale.

    Cabiac

    Cabiac constitue le plus grand hameau en termes de bâti, il se compose de près de 50 maisons. C'est également un lieu de villégiature pour Stéphane Sarrazin et Jofroi, auteur, compositeur et interprète belge. Le nom du hameau viendrait de la famille de Cabiac dont les descendants vivent à Russargues et aux États-Unis.

    Russargues

    Russargues est le second hameau en superficie. Il compte une quarantaine de maisons. Longtemps rattaché à la commune de Barjac, il est aujourd'hui la limite nord-ouest de la commune.

    Le Serras

    La création de ce hameau est récente. La municipalité y a fait construire des logements sociaux. Il compte également quelques villas et résidences secondaires.

    Vivantony

    Ce hameau est composé de deux anciennes fermes et d'une dizaine de villas. Une carrière de pierres pour le bâtiment y était jadis exploitée, aujourd'hui on peut encore voir les bureaux de la carrière récemment réhabilités en logement. La chapelle Saint-Sébastien est située à proximité.

    Le Mas

    C'est le hameau où vit la majorité de la population de la commune. On y trouve un camping appelé "Le Clos des Capitelles[1] référence aux nombreuses cabanes de bergers. Le hameau est entouré de champs de lavande et de tournesol. Le four à pain du village se situe dans la rue principale et l'une des maisons était l'ancienne perception au Moyen Âge. C'est la limite sud de la commune.

    Les Taulelles

    Les Taulelles est un hameau jouxtant Signargues et qui est situé au centre de la commune. Il accueille de nombreuses résidences secondaires. On y trouve l'ancienne cave coopérative construite à partir de 1890.

    Signargues

    Signargues est le hameau où se trouve la mairie, l'office de tourisme, la salle des fêtes et le garage automobile. "Cœur" de la commune, on y trouve bibliothèque et borne interactive pour les touristes de passage.

    Lende

    C'est le plus excentré des hameaux de la commune. Il n'y a pas d'orthographe fixe pour écrire son nom. Ainsi, il est possible de le voir écrit L'Inde, Landes ou encore Lende (option retenue par la DDE).

    Saint-Privat

    C'est le hameau le plus élevé. Il donne son nom à la commune et on y trouve la plus grande église du village, un four à pain ainsi que deux restaurants. Il est entouré de champs de lavande.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 005 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montclus », sur la commune de Montclus, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 917,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Privat-de-Champclos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,3 %), cultures permanentes (19,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le nom de la commune vient de champs clos (champs + clos = Champclos).

    La commune est riche d'un passé historique et préhistorique dont les découvertes sont présentées au musée du Colombier d'Alès.

    Les ruines du château médiéval des ducs de Bannes présentent de l'intérêt. À l'origine, le village s'est développé grâce au château qui était une place forte protégeant le secteur et grâce à la proximité immédiate du village de Barjac, importante cité fortifiée au Moyen Âge.

    Le village compte deux églises ainsi que deux chapelles. L'ermitage de Saint-Ferréol est une chapelle de style roman. C'était le lieu de prière et de méditation d'une petite communauté de deux à trois ermites de l'ordre des frères mendiants.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Champclos[20].

    Les capitelles sont des cabanes en pierre sèche à voûte d'encorbellement qui servaient d'abris aux paysans pour serrer le matériel agricole ou abriter l'âne. Il en existe une trentaine sur la commune. Une capitelle rénovée orne le Camping dit le Clos des Capitelles.

    Dans les années 1950, on comptait un troupeau de près de 1 000 têtes. Aujourd'hui, il n'y a plus qu'une chèvrerie.

    Héraldique

    Blason
    D'argent à la bande losangée d'or et de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Bernard Raoux DVD Conseiller général de 1998 à 2004
    mars 2014 En cours Jean-François Flandin SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 347 habitants[Note 4], en augmentation de 3,27 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    506398476496530575585602630
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    622608579540525492480424403
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    390384354273289266268247220
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    210173173189212203282294305
    2013 2018 - - - - - - -
    336347-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population locale est en forte augmentation ces dernières années, car le secteur est très attractif au niveau touristique et de nombreux retraités viennent s'installer sur la commune. De plus en plus de familles s'implantent sur le secteur alors que les parents travaillent entre 5 et 35 km de là. En saison la population est estimée à 5 000 personnes.

    Lieux et monuments

    • Le château de Ferreyroles d'époque médiévale, se situe au cœur des gorges de la Cèze (équivalent des gorges de l'Ardèche voisines). Le château fut édifié sur un piton rocheux entre le XIIe et le XIIIe siècle, par les ducs de Bannes.
    • Un moulin médiéval a été détruit au cours du XXe siècle.
    • La commune est construite sur des collines calcaires ce qui explique la présence de nombreuses grottes et avens.
    • Les bergers ont laissé dans le paysage des centaines de bories ou capitelles (abris).

    Dans le hameau du Mas, il subsiste la maison du percepteur de taxes affilié au château. Dans l'Antiquité, les Gallo-Romains érigèrent sur le point culminant de la commune un oppidum circulaire dont subsiste le mur d'enceinte.

    • Enfin chaque hameau comprend un four à pain, ainsi que plusieurs puits et calvaires.
    Église Notre-Dame-des-Lumières de Cavène

    Édifices religieux

    Sur le plan religieux, la commune compte deux églises XVIIIe/XXe siècles, ainsi que trois chapelles et un ermitage +-XVIIe siècle, autour duquel des fouilles ont mis au jour des sarcophages.

    Économie

    Tourisme

    L'économie repose essentiellement sur le tourisme.

    Bénéficiant d'un ensoleillement exceptionnel, Saint-Privat-de-Champclos s'est tourné résolument vers l'accueil d'un public estival avec l'installation de campings dans la tranquillité et la beauté sauvage des gorges de la Cèze ; nature encore vierge qu'il convient de protéger.

    On compte de nombreux musées dont le Haribo, le musée de la préhistoire et le musée de la grotte Chauvet. Pour les amateurs de musique, il y a le festival de la Chanson de Parole berse à Barjac pendant la moitié de juillet, la fête de la Lavande, les marchés bio, nocturnes, artisanaux ont lieu tous les jours en saison. Et pour les chineurs, la foire aux antiquités et à la brocante a lieu deux fois par année (Pâques et ). Un cinéma et une médiathèque sont à la disposition des touristes. L'office de tourisme présente un large choix d'activités possibles dans le canton.

    • Pour l'accueil des vacanciers : 4 campings dont 2 naturistes, 1 Parc Résidentiel de Loisirs ouvert à l'année et un libertin[26]. ainsi qu'un hôtel[27] et 16 gîtes ruraux et meublés de tourisme[28]

    Ressources agricoles

    L'agriculture est diversifiée mais la lavande[29] et les vignobles des Côtes-du-vivarais (AOC)[30] concentrent la majorité de la surface cultivée.

    Commerces

    On compte un menuisier, un plombier et un électricien, une entreprise de maçonnerie et deux restaurants.

    Personnalités liées à la commune

    • Gérard Victor, comédien.
    • Stéphane Sarrazin, pilote de rallye (champion de France).
    • Jofroi, auteur, chanteur, compositeur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Domaine mettant en valeur et veillant à la préservation du patrimoine vernaculaire de la commune
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Montclus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Privat-de-Champclos et Montclus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Montclus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Privat-de-Champclos et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « La chapelle Notre-Dame-des-Lumières bien entretenue depuis des années », sur midilibre.fr (consulté le )
    25. Saint-Privat-de-Champclos - Eglises et patrimoine religieux
    26. Campings de la commune
    27. http://www.tourisme-saintprivatdechampclos.fr/annuaire.asp?categorie=8&niveau=2
    28. http://www.tourisme-saintprivatdechampclos.fr/annuaire.asp?categorie=9&niveau=2
    29. Site consacré à la culture de la lavande sur la commune
    30. Site de la cave des vignerons

    Sources

    • Archives municipales
    • Office de tourisme de Saint-Privat-de-Champclos
    • Journaux du midi
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.