Saint-Mayme-de-Péreyrol

Saint-Mayme-de-Péreyrol, précédemment officiellement orthographiée Saint-Maime-de-Péreyrol jusqu'en [1], est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Mayme-de-Péreyrol

Le village de Saint-Mayme-de-Péreyrol.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Denis Chapoul
2020-2026
Code postal 24380
Code commune 24459
Démographie
Gentilé Saint-Maymois
Population
municipale
284 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 52″ nord, 0° 38′ 50″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 220 m
Superficie 10,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Périgord central
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Mayme-de-Péreyrol
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Mayme-de-Péreyrol
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mayme-de-Péreyrol
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mayme-de-Péreyrol
Liens
Site web www.saint-mayme-de-pereyrol.fr

    Géographie

    Généralités

    Le lit du Vern à sec, au nord-est de la commune.

    La commune de Saint-Mayme-de-Péreyrol, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Elle se situe en limites du Périgord central, du Bergeracois et du Landais.

    Elle est arrosée au nord par le Vern, un affluent de l'Isle.

    Le territoire communal, qui s'étend sur 10,75 km2, est desservi par les routes départementales (RD) 21, 42, 42E1 et 43. Il est également limité à l'ouest sur quelques centaines de mètres par la route nationale (RN) 21.

    L'altitude minimale, 109 mètres, se trouve au nord, là où le Vern quitte la commune pour entrer sur celle de Grun-Bordas. L'altitude maximale avec 220 mètres est localisée à l'ouest, à proximité de la RN 21, près du lieu-dit les Trois Frères, en limite de la commune de Douville.

    Établi sur une hauteur, au croisement des RD 42 et 42E1, le village de Saint-Mayme-de-Péreyrol se situe, en distances orthodromiques, cinq kilomètres et demi à l'ouest de Vergt et dix-sept kilomètres au sud-est de Neuvic.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Mayme-de-Péreyrol et des communes avoisinantes.

    Saint-Mayme-de-Péreyrol est limitrophe de six autres communes. Au nord-ouest, son territoire est distant d'environ 330 mètres de celui de Bourrou.

    Communes limitrophes de Saint-Mayme-de-Péreyrol
    Grun-Bordas Vergt
    Douville
    Beauregard-et-Bassac Saint-Amand-de-Vergt,
    Fouleix

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 913 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Mayme-de-Péreyrol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,7 %), zones agricoles hétérogènes (41,3 %), prairies (12,3 %), terres arables (3,7 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Mayme-de-Péreyrol proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[19] :

    • Bancharel
    • le Baragoix
    • Beauviel
    • la Borderie
    • les Bourboux
    • les Bouyssours
    • les Bricas
    • les Captus
    • Castagnol
    • Chanterane
    • la Chauderie
    • les Claveillas
    • la Combe
    • les Coustaudoux
    • Coutel
    • la Jaubertie
    • les Landes
    • Larue
    • Lasfont
    • Lavaure
    • Maison Neuve
    • la Mansène
    • les Martres
    • la Pécoulie
    • le Pigeonier
    • les Places
    • Rabette
    • le Ramonet
    • la Renardie
    • la Salessou
    • Touron
    • la Valade
    • la Vio.

    Toponymie

    L'entrée du village, côté sud.

    Auparavant, le nom officiel de la commune était « Saint-Maime-de-Péreyrol »[20], alors qu'elle était très souvent orthographiée « Saint-Mayme-de-Péreyrol »[21]. Par un décret du , le nom Saint-Mayme-de-Péreyrol' est celui qui est désormais officiellement utilisé[1].

    Le nom de la commune est tiré d'un des nombreux saint Maxime, la seconde partie du nom, Péreyrol, pouvant représenter soit une petite carrière de pierres[22], soit une plantation de poiriers[23].

    En occitan, la commune se nomme Sent Maime de Perairòus[23].

    Les habitants de Saint-Mayme-de-Péreyrol se nomment les Saint-Maymois[24].

    Histoire

    Le territoire comunal fut occupé à l'époque mérovingienne[22]. Cependant, la première mention connue du lieu remonte au XIIIe siècle sous la forme latine Sanctus Maximus de Perols, liée à son église. Perols est remplacé au siècle suivant par Pereyrols[22].

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Pereyrol-la-Montagne[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Mayme-de-Péreyrol a été rattachée au canton de Vergt qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est renommé « canton de Saint-Jean-de-Vergt », dépendant de l'arrondissement de Périgueux, puis ultérieurement reprend son nom initial[25].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord central, dont le bureau centralisateur reste fixé à Vergt.

    Intercommunalité

    Fin 2001, Saint-Mayme-de-Péreyrol intègre dès sa création la communauté de communes du Pays vernois. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et ses communes sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avril 1945 novembre 1954 Raoul Sinsou    
    novembre 1954 février 1963 Honoré Charbonnier[Note 5]   Quincaillier
    février 1963 mars 1965 René Gay   Agriculteur
    mars 1965 décembre 1975 René Ducros[Note 5]   Notaire
    janvier 1976 mars 1983 Pierre Huot   Chef d'entreprise transport et négoce fruits & légumes
    mars 1983 mars 2008 Serge Jaubertie SE Chef d'entreprise transport et négoce fruits & légumes
    mars 2008 mars 2014 Catherine Rouleau SE[29] Retraitée
    mars 2014[30] novembre 2016 Philippe Grard[Note 6]    
    novembre 2016 décembre 2016 Alain Rauzet[31]   Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 2016[32] mai 2020 Alain Rauzet    
    mai 2020 En cours Denis Chapoul SE Chef d'entreprise maintenance aéronautique

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Mayme-de-Péreyrol relève[33] :

    Jumelages

    Les communes du Pays vernois sont jumelées avec la ville canadienne de Saint-Jacques de Montcalm depuis 1996[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 284 habitants[Note 7], en augmentation de 2,9 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    563560634575656648631627661
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    604612632581609544519502449
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    423416411319312293283303250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    284270266276264265257274282
    2018 - - - - - - - -
    284--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Foire à la citrouille chaque année, dans la première quinzaine d'octobre (22e édition en 2018[38]).

    Économie

    Emploi

    En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 125 personnes, soit 44,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (onze) a augmenté par rapport à 2010 (trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-trois établissements[40], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans la construction, et un dans l'industrie[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    ZNIEFF

    La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, concernant la vallée du Vern et les coteaux qui la bordent au sud.

    Au niveau des lieux-dits Castagnol, Maison Neuve, la Pécoulie et le Pigeonnier, les coteaux situés en rive gauche du Vern sont propices à la nidification de deux espèces d'oiseaux, le Bruant ortolan (Emberiza hortulana) et le Pipit rousseline (Anthus campestris)[44],[45].

    Sur une toute petite partie du territoire communal au nord de la route départementale 43, le milieu humide que représente le fond de la vallée du Vern est propice à certaines espèces de plantes, dont deux sont rares : nasturtium asperum et pulicaria vulgaris[46],[45].

    Site remarquable

    Sur cinquante hectares, le site du bourg est inscrit depuis 1983, pour son architecture traditionnelle[47].

    Culture

    Saint-Mayme-de-Péreyrol fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Personnalités liées à la commune

    Antoine Gadaud.
    • Antoine Gadaud (1841-1897), homme politique, est né à Saint-Mayme-de-Péreyrol[48].
    • Christian Swierczinski (1946-2012), ancien international de rugby à XV et joueur de Bègles, club avec lequel il a été champion de France, est né dans la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Décédé en fonction.
    6. Démissionnaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Décret no 2020-175 du 26 février 2020 portant changement du nom de communes
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Mayme-de-Péreyrol et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « St-Maime-de-Péreyrol » sur Géoportail (consulté le 10 février 2015)..
    20. Code officiel géographique de Saint-Maime-de-Péreyrol sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2015.
    21. Saint Mayme de Péreyrol sur le site de l'Union des maires de la Dordogne, consulté le 6 février 2015.
    22. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 340.
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 9 février 2015.
    24. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 9 février 2015.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    29. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 29.
    30. « À Saint-Mayme-de-Péreyrol », Sud Ouest édition Périgueux, 4 avril 2014, p. 19.
    31. « Un nouveau maire pour la commune », Sud Ouest édition Périgueux, 18 novembre 2016, p. 19.
    32. « Saint-Maime-de-Péreyrol a un nouveau maire », Sud Ouest édition Dordogne, 6 décembre 2016, p. 13.
    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. Bernard Vasseur, « Le comité de jumelage du Pays vernois a 20 ans », Sud Ouest édition Périgueux, 14 juin 2016, p. 19.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « La citrouille fait la foire dimanche », Sud Ouest édition Dordogne, 11 octobre 2018, p. 20d.
    39. Dossier complet - Commune de Saint-Maime-de-Péreyrol (24459) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 janvier 2019.
    40. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    41. Dossier complet - Commune de Saint-Maime-de-Péreyrol (24459) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 janvier 2019.
    42. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 206.
    43. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 259.
    44. [PDF] Coteaux de la rive gauche du Vern sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 12 mai 2013.
    45. Cartes des ZNIEFF Coteaux de la rive gauche du Vern et Vallée du Vern de Bordas aux Cinq-Ponts (décocher la case « Photographie IGN ») sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 12 mai 2013.
    46. [PDF] Vallée du Vern de Bordas aux Cinq-Ponts sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 12 mai 2013.
    47. [PDF] Bourg - St-Maime-de-Pereyrol, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 12 mai 2013.
    48. Fiche d'Antoine Gadaud sur le site de l'Assemblée nationale, consulté le 27 décembre 2013.
    • Portail de l'agglomération de Périgueux
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.