Saint-Maur (Oise)

Saint-Maur est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Maur.

Saint-Maur

L'église, vue depuis la place derrière la mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Daniel Brument
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60588
Démographie
Population
municipale
379 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 00″ nord, 1° 55′ 07″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 198 m
Superficie 7,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Maur
Géolocalisation sur la carte : Oise
Saint-Maur
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Maur
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Maur

    Géographie

    Localisation

    Saint-Maur est un village-rue rural de la Picardie Verte, qui correspond à la partie occidentale du Plateau picard.

    Il est situé à 26 km au nord-ouest de Beauvais et à km au sud-ouest de Grandvilliers, facilement accessible depuis le tracé initial de l'ex-RN 1 (actuelle RD 901).

    Le territoire communal comprend à l'est la vallée sèche du fonds d'Écorchevache; qui descend vers la vallée du Petit Thérain.

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    La commune comprend deux hameaux : Ecatelet et Écorchevache. Ce dernier nom rappellerait qu'autrefois, les bêtes malades y étaient tuées[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 823 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Maur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), forêts (18,7 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (4,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Saint-Maur a été dénomméSanctus Maurus in calceya en 1362, Calceia Sancti-Mauri, Saint-Maur-en-Chaussée, Saint-Mor, La Chaussée-Saint-Maur, Mor-la-Chaussée durant la Révolution en 1794[22],[23].

    Histoire

    Saint-Maur est certainement d'origine très ancienne, car on y a découvert fortuitement en 1984 au lieu-dit Mon Plaisir une statuette de dieu guerrier gaulois en tôle de laiton martelé du début du Ier siècle apr. J.-C., préservé au MUDO - Musée de l'Oise[24]. Les traces d'une voie romaine reliant Beauvais à la Manche y ont été trouvées, ainsi que d'un temple gallo romain[25]

    En 1134 est fondé à Écorchevache une abbaye, transférée trois ans plus tard sur la terre de Vieux-moulins à Roy-Boissy, donnée à cet effet par Mathieu, seigneur du Ply, et qui portait le nom de l'Abbaye de Lannoy[25].

    Louis Graves indiquait en 1840 « Simon de Bertelincourt et Nanteuil de Gaudechart donnèrent en 1138 la moitié de ce lieu , avec Thieuloy qui en dépendait, à l'abbaye de Lannoy nouvellement fondée. Ce monastère acquit le reste en 1153 , par échange avec l'abbaye de Beaupré , contre la terre d'Hétomesnil.

    Il n'y eut pas de curé jusqu'au quatorzième siècle, mais le pays s'étant accru , Jean de Marigny évêque de Beauvais l'institua en paroisse le trente mai 1362, laissant à l'abbaye de Lannoy la présentation au nouveau bénéfice qui comprit dans son étendue les villages de Thieuloy et d'Écorchevache. (...)

    L'abbaye do Lannoy échangea la seigneurie d'Écorchevache avec l'abbaye de Saint-Lucien contre les dixmes du Mesnil-Valeran. Les Templiers y eurent, dit-on , un domaine[23] ».

    La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe fugacement de 1826 à 1832 celle de Thieuloy-Saint-Antoine[22].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Grandvilliers[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 101 communes.

    Intercommunalité

    Blargies fait partie de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond à l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille- en-Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.

    Politique locale

    Le village est le seul du département de l'Oise a ne pas avoir présenté de candidats pour le premier tour des élections municipales de 2014[26]. Des candidats s'étant présentés pour le second tour, un conseil municipal a pu être élu le , et Valérie Fournier élue maire le [27]. Celle-ci a toutefois démissionné en , occasionnant l'organisation d'élections municipales complémentaires[28],[29], qui ont abouti à l'élection, le , de Franck Pré[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 avril 2014 Jean-Claude Bieloff[31]    
    avril 2014[32] mai 2019[29] Valérie Fournier   Démissionnaire
    juillet 2019[30] mai 2020 Franck Pré   Représentant d'entreprises
    mai 2020[33] En cours
    (au 4 juin 2020)
    Daniel Brument   Retraité de l’industrie.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2018, la commune comptait 379 habitants[Note 7], en diminution de 1,56 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    692569664584945596597601553
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    554512474451421382359363342
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    339333328279269314270262297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    303331302250308355385389390
    2017 2018 - - - - - - -
    383379-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,7 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 20,6 %, 30 à 44 ans = 22,8 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 16,1 %) ;
    • 53,7 % de femmes (0 à 14 ans = 23,4 %, 15 à 29 ans = 21,1 %, 30 à 44 ans = 17,2 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 18,6 %).
    Pyramide des âges à Saint-Maur en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    4,4 
    75 à 89 ans
    8,6 
    11,7 
    60 à 74 ans
    10,0 
    21,1 
    45 à 59 ans
    19,6 
    22,8 
    30 à 44 ans
    17,2 
    20,6 
    15 à 29 ans
    21,1 
    19,4 
    0 à 14 ans
    23,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.
    • L'église Saint-Maur, en damier de silex et de grès, du XVe siècle, et dont la légende prétend que certains rois de France y auraient été baptisés[1].
    Elle contient des fonts baptismaux du XI e ou du XIIe siècle, et son maître-autel en marbre d’époque Louis XV est réputé provenir de l'Abbaye de Lannoy [39].

    Personnalités liées à la commune

    Philippe Deblois, officier de la Légion d'honneur[Quand ?], inhumé au cimetière municipal[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er de sable (d'azur) à la statuette de guerrier gaulois d'or, au 2e de sinople au sanglier passant de sable, défendu et allumé d'argent, au 3e de sinople à deux monnaies romaines de sable rangées en bande, au 4e de sable (d'azur) à la branche de gui de sinople et à l'épi de blé tigé et feuillé d'or rangés en barre ; à la voie romaine pavée d'argent, jointée d'azur, posée en fasce et brochant sur le coupé; sur le tout, écartelé aux I et IV d'azur à trois fleurs de lis d'or et aux II et III d'argent à trois lions de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Abbé C. Renet : Notice historique sur le village de Saint Maur, Beauvais, 1907.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le livre de la Picardie verte : l'émergence d'un territoire, 1997-2006, éd. Sync city international, p. 152-153.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Maur et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Maur et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 57-59.
    24. « Dieu guerrier gaulois », Collections, Musée départemental de l'Oise (consulté le ).
    25. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 261.
    26. Mathias Schweisguth, « Pas de candidat, pas de premier tour », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3280, , p. 9.
    27. Mathias Schweisguth, « Valérie Fournier: « On ne voulait pas que le village soit mis sous tutelle : Il y a quelques semaines, Valérie Fournier ne pensait pas devenir maire. L’absence de candidats au premier tour l’a convaincue de se lancer avec l’appui de Jean Carouge. », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3288, , p. 8.
    28. Benjamin Merieau, « Le ras-le-bol des maires des petites communes de l’Oise : Entre la charge de travail et la perte de nombreuses prérogatives, les maires des petites communes de l’Oise se démotivent. Trente d’entre eux ont démissionné depuis 2014 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Et quand il n’y a pas de candidat, il faut toujours un bon samaritain pour se dévouer. C’est ce qui est arrivé à Valérie Fournier, devenue maire de Saint-Maur, près de Grandvilliers, en 2014. (...) L’Oisienne a alors pu mesurer toute la difficulté du poste. « On nous en demande beaucoup. Il faut un peu de culture générale et beaucoup de temps. Nous devons nous occuper de choses sans avoir été formés et ça fait des grosses semaines avec toujours beaucoup de choses auxquelles il faut penser ». (...) « Pour le moment, je n’envisage pas de me représenter en 2020, car j’ai aussi beaucoup de chose à faire par rapport à mon entreprise et à ma famille ».
    29. Pierre-Emmanuel Reger, « Près de Grandvilliers, un maire démissionne : Valérie Fournier, maire de Saint-Maur (Oise) a démissionné. Son premier adjoint, Jean Carouge, assure l'intérim », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    30. Kévin Héliès, « Un maire élu à moins d'un an des municipales : Alors que les élections municipales approchent à grand pas, un tout nouveaumaire a été élu à Saint-Maur pour huit mois de mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3558, , p. 8.
    31. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Bonhomme picard du 26 mars 2008
    32. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 6.
    33. Pierre-Emmanuel Reger, « Daniel Brument est le nouveau maire de Saint-Maur : Daniel Brument a été élu maire fin mai à la salle des fêtes de Saint-Maur. Il succède à Franck Plé à la tête du village », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu à l’unanimité par les 11 membres du conseil lundi 25 mai 2020 ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Évolution et structure de la population à Saint-Maur en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Saint-Maur, église Saint-Maur », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
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