Saint-Martin-l'Astier

Saint-Martin-l'Astier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.

Saint-Martin-l'Astier

L'église Saint-Martin de Saint-Martin-l'Astier.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Jean-Luc Tomski
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24457
Démographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
138 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 22″ nord, 0° 19′ 45″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 147 m
Superficie 9,40 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mussidan
(banlieue)
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Martin-l'Astier
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Martin-l'Astier
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-l'Astier
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-l'Astier
Liens
Site web saintmartinlastier.fr/

    Géographie

    Généralités

    L'Isle en amont de la Roche.

    Localisée à l'ouest du département de la Dordogne et incluse dans l'unité urbaine de Mussidan[1], la commune de Saint-Martin-l'Astier est arrosée au sud par l'Isle qui la sépare de Saint-Médard-de-Mussidan. À l'ouest, la commune est bordée par un petit affluent de l'Isle, le Grolet, qui sert de limite naturelle entre Saint-Martin-l'Astier et successivement, Saint-Michel-de-Double et Saint-Laurent-des-Hommes. Le nord du territoire communal fait partie de la forêt de la Double.

    L'altitude minimale, 39 mètres, se situe au sud-ouest, là où l'Isle quitte la commune et sert de limite entre Saint-Laurent-des-Hommes et Saint-Médard-de-Mussidan, juste en amont du barrage de Chandos[2]. Le point culminant avec 147 mètres se trouve à l'extrême nord-est, en forêt de la Double au lieu-dit les Chaumes[3].

    Le minuscule village de Saint-Martin-l'Astier, traversé par la route départementale 3, est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres au nord-ouest de Mussidan et quatorze kilomètres à l'est-nord-est de Montpon-Ménestérol.

    La commune est également desservie à l'est et au nord par la route départementale 38. Au nord, le sentier de grande randonnée GR 646 parcourt le territoire communal en forêt de la Double.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martin-l'Astier et des communes avoisinantes.

    Saint-Martin-l'Astier est limitrophe de cinq autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 870 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[10] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-l'Astier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mussidan, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[20] et 7 131 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), terres arables (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), prairies (0,7 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2009 pour l'Isle dans le Mussidanais, impactant ses rives jusqu'à un kilomètre de largeur sur le territoire communal au sud de la Mouthe, ainsi que la partie aval de son affluent le Grolet, sur ses 1 200 derniers mètres[26],[27].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Martin, évêque de Tours au IVe siècle, et à l'abbaye de Saint-Astier dont dépendait l'église au XIIe siècle[28]. Le terme Astier pourrait également désigner le bras secondaire d'une rivière, une zone inondable ou marécageuse[29].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Martin l'Astier[30].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte à l'an 1144, sous la forme Sanctus Martinus de Laster. Le nom évolue ensuite en Sanctus Martinus subtus Moissida Saint Martin sous Mussidan »), tenant compte de la proximité de Mussidan, avant de se fixer à la graphie actuelle dès le XIVe siècle[28].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de « Saint Martin Lastier »[31].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Martin-l'Astier intègre dès sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1836 (1848 ou 1849) Guillaume Dufourgt    
    1849 1865 Louis Montillaud    
    1865 1871 Léonard Durant    
    1871 1872 Mathieu Bergerie    
    1872 1876 Léonard Durand    
    1876 (1876 ou 1877) Jean Casset    
    (1876 ou 1877) 1878 E. Tavernier    
    1878 1892 Jean Malmoustier    
    1892 mai 1904 Michel Petit    
    mai 1904 1912 Henri Faure    
    mai 1912 1944 Henri Picard    
    novembre 1944 mars 1959 Jean Clerc (père) SE Agriculteur
    mars 1959 juin 1995 Jean Clerc (fils) SE, proche du PCF[Note 6]  
    juin 1995
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Luc Tomski SE[34] Électrotechnicien

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martin-l'Astier relève[35] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Martin-l'Astier se nomment les Saint-Martinois[36].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 138 habitants[Note 7], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    232234322323386401341334311
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    313309290262263255274234199
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    218217188159152149152125145
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    119128120140152137138126138
    2018 - - - - - - - -
    138--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[41], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent soixante-sept personnes, soit 48,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (six) a diminué par rapport à 2010 (huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quatorze établissements[42], dont quatre au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans l'industrie, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans la construction[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Située au sud de la forêt de la Double et bordée par l'Isle, la commune représente un grand intérêt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc délimitées.

    Natura 2000

    Le Grolet en période de sécheresse.

    Deux sites Natura 2000 sont présents sur le territoire communal.

    La vallée du Grolet fait partie des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000 pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[48],[49]. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri) [48].

    Depuis Périgueux jusqu'à sa confluence avec la Dordogne, l'Isle et sa vallée, ensemble de prairies et de cultures, représentent un site très important pour le vison d'Europe ainsi que pour une libellule : le gomphe de Graslin (Gomphus gaslinii). Outre la cistude d'Europe et l'écrevisse à pattes blanches, on y trouve également des aires de reproduction de six espèces de poissons dont des lamproies et des aloses[50].

    ZNIEFF

    Sur toute sa bordure sud, la commune présente une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 qui comprend la totalité de la vallée de l'Isle : la « vallée de l'Isle de Saint-Médard-de-Mussidan à Montpon ». Ce site de prairies alluviales humides est favorable à une flore spécifique ainsi qu'à une avifaune diversifiée qui y passe l'hiver (vanneaux, pluviers, hérons cendrés) ou qui y niche (chouettes chevêches, pies-grièches)[51],[52].

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er d'azur à trois pattes de griffon d'argent, au 2e d'or à trois bandes de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Jean Clerc a parrainé la candidature de Georges Marchais à l'élection présidentielle de 1981 (Journal officiel du ).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Unité urbaine 2010 de Mussidan (24204) selon le zonage de 2010, Insee, consulté le 23 août 2016.
    2. « Bge 39 » sur Géoportail (consulté le 19 avril 2011)..
    3. « altitude 147 » sur Géoportail (consulté le 19 avril 2011)..
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Martin-l'Astier et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Martin-l'Astier et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Mussidan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. PPR inondation - 24DDT20070003 - Mussidanais - Isle, DREAL Aquitaine, consulté le 27 mars 2019.
    27. [PDF] Vallée de l'Isle - Saint-Martin-l'Astier - Plan de prévention du risque inondation p. 8, DREAL Aquitaine, consulté le 27 mars 2019.
    28. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 347.
    29. Karine Vieilleville et Hubert Guillaumard, Saint-Martin-l'Astier, Périgueux, , 164 p., p. 11.
    30. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 novembre 2013.
    31. « St Martin Lastier » sur Géoportail (consulté le 20 novembre 2013)..
    32. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    33. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    34. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 16.
    35. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    36. Fiche commune Saint-Martin-l'Astier, Union des maires de la Dordogne, consultée le 24 novembre 2016.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. Dossier complet - Commune de Saint-Martin-l'Astier (24457) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 janvier 2019.
    42. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    43. Dossier complet - Commune de Saint-Martin-l'Astier (24457) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 janvier 2019.
    44. Église de Saint-Martin-l'Astier, document rédigé par l'« Association accueil et patrimoine à Saint-Martin-l'Astier », disponible à l'intérieur de l'église, consulté le 17 avril 2011.
    45. Information d'un nouveau panneau de signalisation touristique, à la suite d'une opération archéologique : Gaillard Hervé et Gensbeitel Christian, « Saint-Martin-l'Astier. Église Saint-Martin », Bulletin scientifique régional Aquitaine, 2013, p. 59-60.
    46. « Église », notice no PA00082870, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 avril 2011.
    47. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 240, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    48. Vallées de la Double sur le réseau Natura 2000, consulté le 19 avril 2011.
    49. Carte des vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 19 avril 2011.
    50. Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne sur le réseau Natura 2000, consulté le 19 avril 2011
    51. [PDF] DIREN Aquitaine - Vallée de l'Isle de Saint-Médard-de-Mussidan à Montpon, consulté le 19 avril 2011.
    52. Carte de la ZNIEFF 2667 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 19 avril 2011.
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