Saint-Juéry (Tarn)

Saint-Juéry est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Juéry.

Saint-Juéry

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté d'agglomération de l'Albigeois
Maire
Mandat
David Donnez
2020-2026
Code postal 81160
Code commune 81257
Démographie
Gentilé Saint-Juériens, Saint-Juériennes
Population
municipale
6 760 hab. (2018 )
Densité 734 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 59″ nord, 2° 12′ 37″ est
Altitude 174 m
Min. 157 m
Max. 332 m
Superficie 9,21 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Albi
(banlieue)
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Juéry
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Juéry
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine d'Albi située dans de son unité urbaine, au nord-est de la ville d'Albi sur le Tarn, dans l'Albigeois.

    Communes limitrophes

    Saint-Juéry est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Saint-Juéry et de ses proches communes.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 921 hectares ; son altitude varie de 157 à 332 mètres[2].

    Hydrographie

    La commune est longée par le Tarn dans sa partie nord en lui servant de frontière naturelle avec trois communes Lescure-d'Albigeois, Arthès et Saint-Grégoire.

    Une gorge caillouteuse d'une vingtaine de mètres de hauteur provoque une chute spectaculaire du cours du fleuve que l'on appelle Saut du Tarn. Elle a été utilisée dès le Moyen-Âge pour actionner des meules à blé, des foulons à papier ainsi que des martinets à cuivre mais a connu un essor durant l'âge industriel.

    Saint-Juéry est également traversée par les ruisseaux du Caussels et de Cunac.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 827 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976[8]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 730,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 10 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[12] à 13,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Juéry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Albi, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[17] et 73 005 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (31 %), prairies (20,2 %), terres arables (18,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), forêts (10,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), eaux continentales[Note 5] (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune est une des formes occitanes de Saint Georges  [23],[24],[25].

    Histoire

    Une forteresse (ou un fortin) était édifiée à « Saint-Juéry-le-Haut » dont il demeure quelques vestiges (étals de marchand). Ce « castelnau » a été bâti vers 1160 « en paréage entre les Trencavel et le monastère de Castres »[26].

    Les fortifications ont été détruites au XVIIe siècle.

    Au début du XVIIIe siècle, le seigneur de Saint-Juéry est Antoine de Gontier, habitant de Lautrec : le , il nomme Pierre de Bordoncle, juge royal de Castres, son procureur dans un procès qui l'oppose à mademoiselle de Saint-Amans.

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'or à la barre de gueules chargée de trois fleurs de lys du champ, accompagnée en chef de deux marteaux de sable passés en sautoir, surmontés d'une enclume du même, et en pointe d'une tour d'azur.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[27],[28].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté d'agglomération de l'Albigeois et du canton de Saint-Juéry (Bureau centralisateur).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1904 1919 Alban Rossignol Rad. Propriétaire
    Conseiller général du canton de Villefranche-d'Albigeois (1901 → 1919)
    1919 1927 Germain Téqui    
    1927 1935 Alphonse Pacifique    
    1935 1941 Émile Andrieu    
    1941 1944 Eugène Espinasse    
    1944 1945 Alphonse Pacique    
    1945 1978 Émile Albet SFIO puis DVG Instituteur
    Conseiller général du canton de Villefranche-d'Albigeois (1945 → 1982)
    Président du conseil général du Tarn (1961 → 1976)
    1978 mars 2001 Jean Polisset PS Professeur
    Conseiller général du canton de Villefranche-d'Albigeois (1982 → 2008)
    mars 2001 mars 2014 Jacques Lasserre PS Inspecteur URSSAF
    mars 2014 2020 Jean-Paul Raynaud[29] DVG Technicien de laboratoire retraité
    Conseiller général du canton de Villefranche-d'Albigeois (2008 → 2015)
    Conseiller départemental du canton de Saint-Juéry (2015 → 2021)
    mai 2020 En cours David Donnez DVG Sous-officier au Service Départemental d'Incendie et de Secours du Tarn (SDIS 81)
    Conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 6 760 habitants[Note 6], en augmentation de 0,16 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0601 0341 0951 2291 4251 1411 1791 3501 380
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3621 4031 2231 3391 4541 7631 8372 0332 167
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7483 1523 1823 1683 3703 2913 0943 5123 589
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    3 9135 0175 9436 7386 7306 6356 9256 7976 835
    2018 - - - - - - - -
    6 760--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 11 9 9 9 9 9 9 9
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Économie

    Société des Hauts-Fourneaux, forges et aciéries du Saut-du-Tarn

    Enseignement

    Saint-Juéry fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune possède 3 groupes scolaires maternelle et primaire[38].

    Culture et festivités

    Médiathèque, une cinquantaine d’associations y sont présentes[39], salle polyvalente, musée du Saut du Tarn[40],

    Sports

    Saint-Juéry Olympique (SJO) (football, tennis), Saint-Juéry - Arthès Olympique XV (SJAO XV) - rugby à XV, Saint-Juéry XIII Scorpion - rugby à XIII,

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Musée du Saut du Tarn : situé dans l'ancienne centrale hydroélectrique, aujourd'hui classée Monument Historique, le Musée du Saut du Tarn retrace 200 ans d'aventure industrielle et sociale (Société des Hauts-Fourneaux, forges et aciéries du Saut-du-Tarn). Spécialisée dès l'origine dans la production d'acier et la fabrication d'outils (limes, râpes, faux...), l'usine du Saut du Tarn était l'une des rares entreprises en France à avoir expérimenté la plupart des techniques sidérurgiques. Ses produits, connus pour la plupart sous la marque Talabot, ont acquis une renommée mondiale.

    Toutefois, l'usine n'a pas résisté à la crise sidérurgique : elle a fermé ses portes en 1983, provoquant le licenciement de plus de 1 000 personnes.

    En 1995, grâce à l'initiative et à la motivation d'anciens employés, le Musée du Saut du Tarn devient un lieu culturel incontournable de la vallée du Tarn.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Albi - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Juéry et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météofrance Albi - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Juéry et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Albi », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984
    24. Bénédicte Boyrie-Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays occitans, éditions Sud-Ouest, 2007
    25. Google Books Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident, par Jacques Baudoin.
    26. « Le Tarn », dans Encyclopédie illustrée, Éditions Privat, , p. 17.
    27. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    29. Le Tarn libre, 11 avril 2014, p. 25
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. http://www.ville-saint-juery.fr/article/groupes-scolaires.html
    39. http://www.ville-saint-juery.fr/article/presentation-71.html
    40. http://www.ville-saint-juery.fr/article/musee-du-saut-du-tarn.html
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