Saint-Georges-d'Orques

Saint-Georges-d'Orques est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Saint-Georges-d'Orques fait partie de Montpellier Méditerranée Métropole.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges, Saint Georges (homonymie) et Georges.

Saint-Georges-d'Orques

L'église Saint-Georges.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Jean-François Audrin
2020-2026
Code postal 34680
Code commune 34259
Démographie
Gentilé Saint-Georgiens
Population
municipale
5 476 hab. (2018 )
Densité 588 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 41″ nord, 3° 46′ 53″ est
Altitude 89 m
Min. 45 m
Max. 183 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Georges-d'Orques
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-d'Orques

    Géographie

    Carte

    Situé à km à l'ouest de Montpellier, Saint-Georges-d'Orques est un village viticole. Le point culminant offre, par beau temps, une vue sur le mont Saint-Clair de Sète jusqu'à la Grande Motte. En arrière-plan se trouve le pic Saint-Loup.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Georges-d'Orques
    Montarnaud Grabels
    Murviel-lès-Montpellier Juvignac
    Pignan Lavérune

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 691 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montarnaud », sur la commune de Montarnaud, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 869,9 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 18 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-d'Orques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-d'Orques, une unité urbaine monocommunale[19] de 5 397 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,7 %), cultures permanentes (22 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), zones urbanisées (19,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les origines de Saint-Georges-d'Orques remontent à la haute antiquité méditerranéenne, comme en témoignent les poteries et bronzes gallo-romains qui y ont été découverts. De ces « orcas » qui sont des grands vases en terre cuite, le village aurait tiré son nom[réf. nécessaire].

    Légende

    Saint Georges vit le jour en Cappadoce, vécut sous l'empereur Dioclétien et mourut en martyr au début du IVe siècle.

    Selon la légende du XIe siècle, Georges qui était un chevalier (devenu le patron des cavaliers) aurait combattu un dragon pour sauver une princesse Lybienne, la fille unique du roi de Silène. Du sang de la bête serait sorti un rosier rouge. Le chevalier aurait alors cueilli une fleur pour l' offrir à la jeune fille qui lui aurait rendu son amour en lui offrant un livre.

    La légende a survécu rappelant cette idée de l' Amour courtois (le Fin'Amor) du Moyen-Age.La Saint Georges (ou Sant Jordi) a été déclarée, en 1996, Journée Mondiale du Livre par l'UNESCO .

    Le dragon représenterait les forces de l' Obscurantisme dont triompheraient les fleurs de la Culture.

    La fête du était aussi très importante, dans une bonne partie de l'Europe rurale, car elle annonçait le retour du printemps autorisant la reprise de certaines coutumes agraires. Enfin, c'est à partir de la St Georges que l'on pouvait s'offrir des bouquets de fleurs coupées et que les premières transhumances pouvaient débuter; les troupeaux redescendaient à partie de la Saint Michel (29/09).

    Sur la commune de Saint-Georges d'Orques, on retrouve des représentations de Saint Georges, symbolisé dans sa victoire - représenté à cheval, en armure, portant un écu et une bannière d'argent à la croix de gueules et terrassant le dragon avec sa lance, sur la façade de la cave coopérative et sur le fronton de l’église.

    Héraldique

    Blason
    « De gueules à Saint Georges contourné d'argent monté sur un cheval d'or harnaché du champ terrassant un dragon d'argent ».
    Détails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Histoire

    Extrait de l'usuel du compoix de Saint-Georges-d'Orques, représentant un arbre (1593).

    Rattaché à l'évêché de Maguelone dès le XIe siècle, le village cerclé de murailles attendra le XVIe siècle pour acquérir son nom moderne : Sant Jòrdi D'Orques (langue d'oc).

    Le fief de Saint-Georges faisait partie, au XIIe siècle de la maison seigneuriale de Murviel.

    En 1199, une vente est consentie au profit de Guilhem VIII, seigneur de Montpellier.

    Saint-Georges sera ensuite apporté à Pierre II, roi d’Aragon, lors de son mariage avec Marie, fille de Guillaume, en 1204. Il sera ensuite vendu, en 1349, à Philippe de Valois. Le fief de Saint-Georges rentre alors dans la fortune des rois de France, jusqu’au XVIe siècle. 1622, le village ceint de remparts, est assiégé et pris par l’armée protestante conduit par le duc de Rohan.

    À cette époque, Saint-Georges-d’Orques est dirigé par deux conseils, un conseil politique ou privé, renouvelé tous les ans, et un conseil général. Le conseil général, qui élit les consuls, est formé par tous les habitants ayant pignon sur rue. La commune était déjà bien organisée, elle maintiendra ces usages, à peu d’exception près, jusqu’en 1756, malgré les divers événements (les guerres de religion). Ensuite, le fief de Saint-Georges-d’Orques dépendra de différentes familles[Lesquelles ?].

    Après l’abolition des droits seigneuriaux, lors de la Révolution, la commune est créée et élit son maire en . Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire régénérée » en l’an II[25].

    En 1793, Saint-Georges d'Orques est chef-lieu d'un canton[26] qui rassemblait les communes de Lavérune[27], Juvignac[28], Murviel-les-Montpellier[29], Montarnaud[30], Saint-Paul-et-Valmalle[31] et Grabels[32].

    Au fil des siècles, l'élevage, ainsi que la culture des céréales et de l'olivier cohabitant avec celle de la vigne, ont peu à peu cédé à cette dernière. Le vin de la région fut exporté à travers toute l'Europe dès le Moyen Âge et entra dans l'histoire en 1807, quand Thomas Jefferson, alors ambassadeur et futur président des États-Unis, rapporta quelques-unes de ces bouteilles de ses séjours français.

    Aujourd'hui[Quand ?] situé en pleine zone d'appellation d'origine contrôlée AOC Languedoc, le terroir Saint-Georges-d'Orques a conservé une activité viticole de qualité qui exporte ses crus sur les tables des restaurants du monde entier. La zone AOC Languedoc Saint-Georges-d'Orques s'étend également sur les communes de Juvignac, Lavérune, Pignan et Murviel-lès-Montpellier.

    La tradition camarguaise est également très présente dans le village. Chaque année le troisième week-end d'août, la fête votive bat son plein, suivit de son revivre qui a lieu le week-end suivant, sans compter les différentes courses camarguaises qui ont lieu tout au long de la saison taurine (trophée Montpellier Méditerranée Métropole, Trophée de l'Avenir et des As et vaches cocardières). Fier de son club taurin Le Trident créé au début des années 50, Saint Georges a su transmettre ses traditions au fil des années à ses habitants.

    Une autre tradition est également maintenue, le jeu de tambourin.

    De nombreux portails et grilles de maisons particulières ou bâtiments communaux, ainsi que celui du cimetière, sont peints de couleur verte et leurs pointes en jaune.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1885 1888 Auguste Saint-Pierre[33]    
    1888 1892 Joseph Cambon[33]    
    1892 1900 Frédéric Saint-Pierre[34]    
    1900   Martial Héral[34]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1977 René Ferlet[35] SFIO puis PS Alpiniste, député suppléant de Gilbert Sénès (1967-1968)
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2008 Gaston Jean-Marie Moralès PS Expert comptable
    mars 2008 En cours Jean-François Audrin UMP puis LR Vétérinaire, Conseiller régional

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 5 476 habitants[Note 5], en augmentation de 2,64 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    464464472568611657643696690
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7948839909729477688421 0171 082
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2131 1421 1091 0581 020974844728877
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0001 0911 7572 7273 5674 3984 9635 3435 421
    2018 - - - - - - - -
    5 476--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Rugby à XIII

    La commune compte un club de rugby à XIII depuis 2013 : les « Dragons de Saint-Georges ». Ce club propose une école de rugby, des équipes de catégorie U7 à U 11 et une section « Loisirs » mixte qui pratique le Touch rugby[39]. C'est presque le hasard qui a fait de la commune un village de rugby à XIII. La fédération cherchait à créer une nouvelle école de rugby dans l'ouest montpelliérain dans les années 2000 ; elle contacte donc plusieurs communes et c'est Saint-Georges d'Orques qui se déclare intéressée. À noter que l'équipe dirigeante se compose en 2019 de Jean-Luc Garcia et de Nicolas Haddadi mais aussi d'anciens joueurs comme l'international Frédéric Zitter et l'ancien joueur de Montpellier Patrick Cobos[40].

    Autres sports

    Le club de balle au tambourin du Sport club Saint-Georges-d'Orques représente la ville dans les compétitions nationales du jeu. Le Sport club compte six titres de champion de France séniors masculins (entre 1965 et 1973) et trois succès en Coupe de France (1953, 1954 et 1969).

    Le club de Horse-ball de Saint-Georges-d'Orques fait partie des 9 clubs de la Région Sud-Est, et est engagé régulièrement dans des compétitions nationales. De plus, le club organise et participe à des compétitions internationales pour jeunes.

    Culture locale et patrimoine

    Expression locale

    Lors de la grande sécheresse du milieu des années 1940, un projet ubuesque avait vu le jour, prévoyant de détourner le Rhône jusqu'aux alentours de Saint-Georges-d'Orques. Aujourd'hui, cette anecdote est devenue expression. On affirme par exemple à un menteur que « le Rhône est en crue à Saint-Georges-d'Orques » lorsqu'on veut mettre en évidence la grossièreté de son mensonge[41].

    Lieux et monuments

    • Atelier du sculpteur Jacques Ars, au 3 rue Pigalle (centre du village)[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Montarnaud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Georges-d'Orques et Montarnaud », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Montarnaud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Georges-d'Orques et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-d'Orques », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, , p. 413 (lire en ligne).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lavérune », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Juvignac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Murviel-lès-Montpellier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montarnaud », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Paul-et-Valmalle », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Grabels », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    33. « 1 MI 696/2 - Délibérations du conseil municipal (12 mai 1878-5 juillet 1894). 1 MI 696/2 - 1878-1894 », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
    34. « 1 MI 696/2 - Délibérations du conseil municipal (13 juillet 1894-2 mai 1913). 1 MI 696/2 - 1894-1913 », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
    35. http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article23733
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Rugby à XIII : la belle passion des Dragons de Saint-Georges », sur midilibre.fr, Midi Libre, (consulté le ).
    40. Hervé Girette, « La conquête de l'ouest montpelliérain », Planète XIII, no 15, , p. 38-40 (ISSN 2647-8323).
    41. Dictionnaire des anecdotes littéraires, Denis Boissier
    42. Inauguration du nouveau Stade de l'Occitanie avec de nombreux officiels et sportifs de hauts niveau, publié sur le site de la mairie de Saint-Georges-d'Orques (consulté le 22 juin 2019)
    43. Martine Biard, « Notice d'autorité », sur Référence sur Catalogue mondial WorldCat.org (consulté en ), P. 1, 2 et 3.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Séverin Deleuze, Saint-Georges-d'Orques aux XVIIe et XVIIIe siècles, Nîmes, C. Lacour, , 69 p.
    • Albert Fabre, Histoire de Saint-Georges-d'Orques, 3e canton de Montpellier, département de l'Hérault, Nîmes, Clavel-Ballivet, , 64 p.
    • Louis Secondy, Entre Coulazou et Mosson : 10 villages, 10 visages, Montpellier, L. Secondy, , 419 p.
    • Maxence Tringale, Topographie funéraire et translations de cimetières de la fin du Moyen-Âge à nos jours, essai d'archéologie des périodes très documentées : l'exemple du canton de Pignan (34), communes de Cournonsec, Cournonterral, Fabrègues, Murviel-lès-Montpellier, Pignan, Saint-Georges-d'Orques et Saussan, Montpellier, Université Montpellier III - Paul Valéry, , 82 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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