Saint-Étienne-de-Valoux

Saint-Étienne-de-Valoux est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Étienne (homonymie).

Saint-Étienne-de-Valoux

Un village qui a gardé une allure traditionnelle.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes Porte de Dromardèche
Maire
Mandat
Marie-Christine Soulhiard
2020-2026
Code postal 07340
Code commune 07234
Démographie
Gentilé Stéphanois
Population
municipale
293 hab. (2018 )
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 52″ nord, 4° 46′ 58″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 388 m
Superficie 2,36 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Annonay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarras
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Étienne-de-Valoux
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Saint-Étienne-de-Valoux
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Saint-Étienne-de-Valoux
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Saint-Étienne-de-Valoux
Liens
Site web http://www.e-ardeche.fr/tourisme/stetiennedevaloux.htm

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Étienne-de-Valoux se situe à proximité du Rhône, en retrait de la commune d'Andance. Sa superficie de 2,36 km2 en fait une des plus petites communes de l'Ardèche. Son territoire s'étage de 155 m à 388 m. Le village s'est construit sur l'emplacement d'un ancien bras du Rhône. Le hameau des Barges est installé un peu plus en hauteur sur le flanc du piémont nord-ardéchois.

    Géologie

    Les sols de la commune se prêtent bien à la culture de la vigne et des arbres fruitiers : sols granitiques sur les hauteurs, argileux avec un lœss profond sur les terrains plus bas. Ce type d'argile provient de l'apport par le vent de particules très fines pendant les périodes glaciaires de l'ère quaternaire[1]. Les gisements d'argile ont permis le fonctionnement de trois briqueteries. La dernière a fermé en 1961[2].

    La commune et le village sont traversés par le ruisseau du Torrenson, qui capte des eaux sur Davézieux, Saint-Cyr et Thorrenc et rejoint le Rhône à Andance. En cas de crues, il est capable de débordements rapides dans sa traversée du village[3].

    Communes limitrophes

    Saint-Étienne-de-Valoux est limitrophe de cinq communes[4], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :

    Saint-Désirat
    Saint-Cyr N Andance
    O    Saint-Étienne-de-Valoux    E
    S
    Thorrenc Talencieux

    Les communes de Saint-Désirat, Saint-Cyr, Saint-Étienne-de-Valoux et Thorrenc se rejoignent en un quadripoint, près du hameau de la Révicolle. L'endroit est matérialisé par une ancienne borne aux armes des religieux célestins.

    Voies de communication et transports

    Une voie ancienne reliait la voie romaine de la rive droite du Rhône au plateau annonéen. Elle suivait apparemment la vallée du Torrenson pour rejoindre Thorrenc puis le hameau de Solore.

    Un itinéraire plus accessible aux charrettes lui a succédé ensuite entre le hameau des Barges et le hameau de la Révicolle.

    Pour la circulation automobile, un itinéraire plus direct a été aménagé pour la RN 82, entre les Barges et Saint-Cyr dans le cadre de la « Route bleue » qui évitait la traversée de Lyon en reliant directement Roanne à Andance. Mais cette « montée ou descente des Barges » reste encore dangereuse et accidentogène. Elle est devenue maintenant la départementale 82[3].

    La voie ferrée Saint-Rambert-d'Albon – Annonay a fonctionné entre 1869 et 1987 sur la partie ouest de la commune, en passant au-dessus du hameau des Barges. Après l'enlèvement des rails, le tronçon est devenu un chemin de terre communal.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Étienne-de-Valoux est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,9 %), forêts (34 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (0,2 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le terme de Valoux ne semble plus correspondre actuellement à un lieu quelconque de la commune[2].

    Histoire

    Exemple de tuiles caractéristiques de l'époque romaine, les tegulae.

    Pour l'époque gallo-romaine, plusieurs traces d'habitat ont été trouvées en divers endroits de la commune[12]. Un domaine de type « villa » a aussi existé au sud-est du village sur la rive droite du Torrenson[13].

    Au Moyen Âge, le territoire est parfois appelé Sanctus Stéphanus infra Mandamentum Thorenci. Mais il semble surtout que Saint-Étienne de Valoux soit resté longtemps une chapelle dépendant de la paroisse d'Andance. Il y avait en tout cas au moins un cimetière en 1228. Le premier lieu de culte pourrait dater de 1478, vu que les habitants obtiennent du prieur d'Andance le droit d'y installer une chapelle. Mais Saint-Étienne n'est devenu paroisse à part entière qu'au XVIIIe siècle[14].

    À la Révolution, la commune a pris un moment le nom de « Torrenson ». Les recensements qui ont suivi montrent pendant longtemps une stabilité à un peu plus de 300 habitants.

    Au XXe siècle, l'exode rural a fait baisser ce nombre jusqu'à 200 habitants en 1999. Ce n'est que récemment que la construction de villas a provoqué une remontée du nombre d'habitants : 287 habitants en 2014. Mais l'évolution restera sans doute lente, dans la mesure où la sauvegarde des terrains agricoles reste une priorité réglementaire[2].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1977 Alphonse Soulhiard SE Agriculteur
    1977 1982 Emile Dorel SE Agriculteur
    1982 1983 Pierre Royer-Manoha SE Agriculteur
    1983 mars 2008 Georges Roche SE cadre
    mars 2008   Elisabeth Bruyère    
        Philippe Barbot    
    2014 En cours
    (au )
    Marie-Christine Soulhiard[15],[16] SE-DVG Cadre retraitée

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

    En 2018, la commune comptait 293 habitants[Note 3], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2013 (Ardèche : +1,94 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    307314268345312344324334366
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    373327343320316328328322304
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    292272246212203205215212225
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    205217218216200200273283287
    2017 2018 - - - - - - -
    294293-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École privée 2 classes, jusqu'à la fin de l'année scolaire 2016-2017. Puis fermeture définitve de l'école.

    Manifestations culturelles et festivités

    De nombreuses festivités animent la vie du village tout au long de l'année, organisées par l'Association "Vivre à Valoux" :

    • Fin mars : fugo pour le Mardi Gras, avec de nombreux déguisements, repas chauds et concert
    • En mai : "Boulangerie d'un Jour" Fête du pain dans l'ancienne boulangerie du village
    • En juillet et août : "Les Estivales de Valoux", ce sont trois rendez-vous pour les villageois, alternativement au centre du village et au hameau des Barges
    • En décembre : concert à l'église et exposition à la bibliothèque.

    Économie

    Agriculture

    Les terrains les plus favorables à la vigne ont été classés en AOC Saint-Joseph. La « Côte Diane », orientée vers l'est au-dessus de Saint-Étienne-de-Valoux et de Saint-Désirat, donne lieu à une cuvée particulière en Saint-Joseph rouge à la cave de Saint-Désirat. Les vignes hors AOC sont peu à peu abandonnées.

    Les terrains argileux plus plats sont utilisés pour la production de cerises et d'abricots, mais aussi pour le maraîchage.

    Guillaume Thoué et Michaël Bonnin proposent une culture traditionnelle de pêches, abricots et cerises avec quelques hectares de vigne. François Meyrand offre aussi une culture traditionnelle, avec une production de quelque 100 tonnes d’abricots et 30 de cerises. Yves Bruyère se consacre entièrement à la culture bio, depuis 1997, de cerises, abricots, pêches et poires[3].

    Deux anciennes tuileries

    Deux briqueteries ont utilisé autrefois les gisements d'argile présents sur la commune.

    La présence de sol argileux a permis le fonctionnement de deux tuileries au hameau des Barges, dont la dernière a fermé en 1959. Deux types d'argiles ont été utilisés: argile rouge de part et d'autre de la RD 82, et argile bleue à la limite de Thorrenc.

    Une tuilerie a fonctionné du côté nord de la route jusqu'en 1909 : la tuilerie Fausse. Des vestiges intéressants ont été maintenus sur ce site par son propriétaire actuel Georges Roche. Les deux bâtiments subsistants se trouvaient en avant du four : l'un abritait le charbon, l'autre donne accès aux trois anciens foyers. Le four lui-même a été comblé. Il s'agissait d'une construction carrée de 5 mètres de côté et de 4 mètres de hauteur. On y empilait les produits à cuire qu'on couvrait par une voûte temporaire. La chaleur devait être contrôlée pour éviter la fusion des produits au-delà d'une certaine température. Georges Roche a conservé aussi des exemplaires de production de diverses époques : tuiles romaines (les tegulae plates avec des rebords), tuiles et briques fabriquées aux Barges…[21]

    Exemplaires de briques fabriquées à la main.
    Les entrées de l'ancien four.

    La tuilerie la plus importante et la plus résistante se trouvait du côté sud de la départementale et ses bâtiments occupaient 1 800 m2. Elle était déjà en activité en 1788, sous le nom de tuilerie Dorel-Grenier. Un contrat de 1897 y programme, pour les enfants et les femmes, des journées de travail de 11 heures entre 5 heures et 19 heures six jours par semaine. En 1909, la tuilerie a été rachetée par la famille Souche. En 1927, elle produisait sous le nom de « Grandes Tuileries Mécaniques de l'Ardèche ». Elle a fermé en 1959[21].

    Sur la place du village, une maison construite entièrement en briques rouges témoigne de cette ancienne activité de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église, dont un angle s'efface pour laisser de la place à la route.

    L'église, de style roman, est difficile à dater en l'absence de documents. Elle apparaît comme une église ancienne mais rénovée. Son plan est simple, avec une nef rectangulaire à murs épais et un plafond horizontal qui dissimule la charpente. À l'extérieur, l'angle sud-est a l'originalité d'avoir été écorné pour laisser un peu plus de passage à la route. Le clocher a été construit à l'extérieur, mais en s'appuyant sur le mur de la façade sud. Une de ses pierres d'angle, gravée, rappelle sans doute le nom de son constructeur : « André C »[3].

    La chapelle, construite en 1902.
    Une source aménagée le long de l'ancienne voie ferrée.

    Une chapelle a été construite en 1902 au-dessus du village, sur la colline du Châtelet par des fonds privés et avec l'aide de la paroisse. Elle a été consacrée à Notre-Dame de Toutes Grâces. Elle appartient maintenant à l'association « Les Amis de la Chapelle ». Son site panoramique est volontiers fréquenté par les promeneurs. On peut y accéder par un sentier au départ de la départementale[3].

    Le tronçon abandonné de la ligne de chemin de fer entre Firminy, Bourg-Argental, Annonay et Saint-Rambert-d'Albon a été racheté par la commune. Il est devenu un chemin de terre accessible aux véhicules et aux piétons. Quelques panneaux indiquent des curiosités qu'on peut rencontrer : l'emplacement du passage à niveau, une ancienne fontaine, la voûte d'un passage sous la voie[3]... 

    Associations

    Les Amis de la Chapelle ont pris en charge ce bâtiment construit en 1902. L'association Vivre à Valoux gère la bibliothèque, et organise les différentes manifestations et animations. Un groupe de gospel domicilié à Saint-Étienne-de-Valoux. L'association Bedos Bastards Racing Team s'est formée autour de Christophe Engelmann, champion de France 2014 de vitesse sur motos anciennes en 900 classic. Il a été aussi en 1991 champion de France de gymnastique UGSEL. Professionnellement, il est dirigeant de la société annonéenne Engelmann Mécanique Générale, créée par son père en 1978[2].

    Patrimoine naturel

    Un village agricole, dans un ancien bras du Rhône.

    Des itinéraires balisés passent sur la commune en liaison avec les communes voisines de Talencieux, Thorrenc, Saint-Désirat, Andance… D'autres sentiers sont praticables et sont notamment utilisés pour la randonnée pédestre organisée par l'école au printemps au milieu des arbres en fleurs.

    La montée à la chapelle fait partie des parcours les plus appréciables. On peut poursuivre plus haut sur cette colline du Châtelet pour découvrir la crête qui domine le Rhône ou les paysages de Saint-Désirat. Sur la façade sud, se trouve par endroits une liliacée rare et protégée, la Gagée des Rochers. C'est une très petite plante bulbeuse de 3 à 10 cm de hauteur, à fleur jaune qui fleurit entre janvier et mars. Les abords du Torrenson ont reçu quelques aménagements agréables au centre village[3].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albin Mazon, Voyage autour d'Annonay, 1901.
    • Joëlle Dupraz et Christel Fraisse, Carte archéologique de la Gaule. L'Ardèche.
    • Jean-Claude Béal, Le sanctuaire antique du Châtelet, 1994.
    • Maryse Aymes et Jean-Pierre Esteban, Guides géologiques. Ardèche.
    • articles de François Bassaget dans le Dauphiné libéré du 13 juillet 2015.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Maryse Aymes et Jean-Pierre Esteban, Guides géologiques. Ardèche.
    2. Sources municipales.
    3. Articles de François Bassaget dans le Dauphiné libéré du 13 juillet 2015.
    4. Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), « Communes - Géoportail », sur http://www.geoportail.gouv.fr, (consulté le ).
    5. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Joëlle Dupraz et Christel Fraisse, Carte archéologique de la Gaule. L'Ardèche.
    13. Jean-Claude Béal, Le sanctuaire antique du Châtelet, 1994.
    14. Albin Mazon, Voyage autour d'Annonay, 1901.
    15. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    16. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. Documentation recueillie par Georges Roche, ancien maire.
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