Sémalens
Sémalens est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.
Sémalens | ||
Mairie de Sémalens. | ||
Blason |
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Administration | ||
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Pays | France | |
Région | Occitanie | |
Département | Tarn | |
Arrondissement | Castres | |
Intercommunalité | Communauté de communes du Sor et de l'Agout | |
Maire Mandat |
Annette Veith 2020-2026 |
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Code postal | 81570 | |
Code commune | 81281 | |
Démographie | ||
Gentilé | Sémalensois(e)s | |
Population municipale |
2 066 hab. (2020) | |
Densité | 186 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 43° 35′ 32″ nord, 2° 06′ 42″ est | |
Altitude | 160 m Min. 146 m Max. 280 m |
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Superficie | 11,12 km2 | |
Type | Commune rurale | |
Aire d'attraction | Castres (commune de la couronne) |
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Élections | ||
Départementales | Canton de Plaine de l'Agoût (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont les Sémalensois(es).
Géographie
Localisation
La commune de Sémalens est située au cœur d'un triangle délimité par les villes de Castres (12 km), Vielmur-sur-Agout (4 km) et Soual (5 km).
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune de Sémalens est située à la limite occidentale du bassin sédimentaire de Castres, une dépression d'orientation est-ouest axée sur la basse vallée de l'Agout, entre les monts du Sidobre à l'est, le môle de Réalmont au nord, et la montagne Noire au sud.
Le sol est composé de terrains tendres de composition molassique, sableuse ou argilo-sableuse, d'âge Éocène supérieur, avec des reliefs collinaires émoussés, parfois armés par des bancs plus durs de grès dans les monts de Saïx et de poudingues dans les collines du Puylaurentais. À l'ouest, des couches alternativement gréseuses et calcaires se traduisent, dans la topographie, par un relief en cuesta dont l'abrupt relatif domine la plaine de l'Agout à l'est[2].
Hydrographie
La commune de Sémalens est bordée à l'est par l'Agout et traversée par son affluent le Sor qui passe au cœur du village.
Accès et transports
La commune de Sémalens est traversée par la D 51 (de Puylaurens à La Crémade), et par la D 14 (de Vielmur-sur-Agout à Soual). Elle est desservie par la ligne 768 - Aussillon - Soual - Sėmalens du rėseau TarnBus.
La gare de Sémalens sur la ligne Toulouse - Castres est désaffectée. Les gares les plus proches de Sémalens se trouvent à Vielmur-sur-Agout et à Castres.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castres », sur la commune de Castres, mise en service en 1992[8]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 849,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 36 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[12] à 13,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Sémalens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,9 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), zones urbanisées (14,9 %), prairies (6,4 %), forêts (5,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Sémalens est un nom d'origine germanique, formé de Semela ou Sémélé, du grec Ζεμελώ, nom de divinité phrygienne, et du suffixe germanique ing, indiquant une propriété, soit « le Domaine de Sémélé ». Semelingus était cité dès le début du IXe siècle, puis Semalenx en 1277[20],[21].
En occitan, un semal ou semàou est le nom de la cuve en bois (la comporte) servant à transporter le raisin de la vigne au pressoir. Un lien entre cet usage linguistique et le choix du blasonnement du village est probable.
Histoire
Un peuplement primitif semble s’être établi au confluent du Sor et de l’Agoût (lieu-dit Agulhon) en raison de la découverte de haches néolithiques.
Le premier document sur l’existence du village date du VIIe siècle où Semelingus fut donné à St Didier, évêque de Cahors.
De 1261 à 1284 le fief appartenait à Raimundus Berenganus, abbé de la puissante abbaye St Benoît de Castres.
En 1277 Semelingus est devenu Semalenx. En 1328 le fief passa à la vicomté de Lautrec. En 1477 les principaux taillables (imposables) étaient : Peyre Berenguier, Mme de Vielmur, le vénérable chapitre de Lavaur et Johan Bastard de la Bastardié.
La famille Berenguier posséda Sémalens du Xe siècle jusqu’en 1722. D’après les coutumes de Sémalens chaque année, le jour de la St Barthélémy, le seigneur choisissait 3 consuls parmi les 6 candidats proposés par les 3 consuls précédents. Ils géraient les affaires courantes.
Pendant les guerres de religion le village était une place forte catholique. Le vicomte de Paulin, protestant, à la tête de soldats de Vielmur et Puylaurens, fit mettre le siège devant le village en . Les soldats de Sémalens sortirent des fortifications et il y eut 45 tués. Les 23 et les protestants prirent à nouveau le château de Sémalens.
En 1631 et 1652 une épidémie de peste toucha le village. L’église, en ruine après les guerres de religion, fut reconstruite en 1655-1656.
Les seigneurs Bérenguier (ou Brenguier) dans la misère ont vendu leur seigneurie au comte de Belle Isle qui la cèda en 1741 à l’abbesse de Vielmur. En 1770 on construisit un pont sur les fossés. Le village comptait environ 500 à 600 habitants au début du XVIIIe siècle pour atteindre 700 en 1789 lors de la création de la commune. Une épidémie de suette qui fit 70 morts la ravagea entre 1852 et 1856. Vers 1860 le village comptait de nombreux ateliers de tissage, une filature et s'est spécialisé dans la production de castraise (tissu grossier). À la fin du XIXe siècle Sémalens était réputé aussi pour la culture de céréales de toutes espèces, de légumes, de fruits et de son vin de bonne qualité. En 1883, l’école publique fut créée. Le pont Antoinette ou pont de l Aiguillou bâti par Paul Séjourne , magnifique ouvrage sur l’Agoût, fut inauguré en 1888 par la Compagnie du Midi. En 1894 inauguration du superbe bâtiment de la mairie et des écoles. Pendant la guerre 14-18 le village perdra 31 soldats, 2 furent tués en 39-45. L’électrification du village fut votée en 1923. En 1948 le blason de Sémalens est déposé[22].
Politique et administration
Sémalens fait partie de la Communauté de communes Sor et Agout.
Liste des maires
Jumelages
Sémalens n'est jumelée avec aucune autre ville.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2018, la commune comptait 2 011 habitants[Note 5], en diminution de 0,59 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Selon La Dépêche, en 2020, dans l'annuaire des Maires du Tarn, Sémalens compte 2066 habitants, soit 55 de plus en deux ans.[28]
Manifestations culturelles et festivités
La fête de Sémalens a lieu chaque année lors du week-end de la Saint-Michel (le 29 septembre).
Équipements culturels
Sémalens dispose d'une MJC, d'une bibliothèque municipale et d'un cinéma.
Sport
Il existe une association sportive à Sémalens, Les Amis du Semal. On peut y pratiquer du Volley-ball, du Badminton, du VTT...Les sports qui se pratiquent en intérieur s'exerce dans la salle polyvalente de Sémalens
Économie
Emploi
En 2012, le nombre total d'actifs sur la commune de Sémalens était de 716, se répartissant dans les divers secteurs économiques comme suit :
Tertiaire | Industrie | Construction | Agriculture | |
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Sémalens | 52,5 % | 26,6 % | 16,8 % | 4,2 % |
Moyenne nationale | 71,5 % | 18,3 % | 6,1 % | 4,1 % |
Le taux de chômage était de 12,2 % en 2006, et de 10,6 % en 2011[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le pont Antoinette, dit pont de l'Aiguillou, construit par Paul Séjourné en 1884 sur l'Agout pour la ligne de chemin de fer Montauban - Castres.
- Église Saint-Michel de Sémalens en partie gothique, datant du XVe siècle, avec bénitier Renaissance, objet classé Monument historique[31] en 1911. Ce bénitier, frappé du blason royal, serait l’œuvre en 1546 du sculpteur italien Benvenuto Cellini attiré à la cour du roi François 1er. Une vouivre sur l'un des chapiteaux de la nef est appelée « la pierre du diable »[32]. L'église a été remaniée en 1610-1613 et reconstruite en partie à la fin du XVIIe siècle après les guerres de religion, puis agrandie en 1843. Le clocher a été élevé en 1708. Pointu à l'origine, sa toiture a été refaite en 1905[33].
- Les Promenades : place à platanes construite autour du cœur de l'ancien village fortifié.
- L'église Saint-Michel.
- Pont de l'Aiguillou.
Patrimoine naturel
Près de Sémalens se trouve une importante réserve ornithologique naturelle, avec de nombreux points d'observation de la faune, ainsi que le centre de loisirs des étangs, qui propose autour de plusieurs plans d'eau diverses activités (camping, voile, canoë, centre équestre).
Spécialités culinaires ou gastronomiques
Le pompet de Sémalens (ou poumpet selon la prononciation occitane) est un gâteau à base de pâte feuilletée et sucrée, au citron et à la graisse d'oie. Il se mange froid ou tiède.
Personnalités liées à la commune
Rose-Alexandrine « Liberté » Barreau (1773-1843), originaire de Sémalens, femme-soldat de l'an II, grenadier volontaire de l'armée des Pyrénées orientales à l'âge de 19 ans sous le commandement de Théophile-Malo de La Tour d'Auvergne-Corret[34]. Elle s'illustra notamment pour son rôle au sein du 2e bataillon du Tarn dans les actions de Bera-Vera de Bidasoa et de Biriatou.
Héraldique
[réf. souhaitée]
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Son blasonnement est : De gueules à une comporte de vendange au naturel, contenant une grappe de raisin feuillée et tigée au naturel, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- « Géomorphologie du bassin de Castres », sur asnat.fr, Revue du Tarn, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Castres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sémalens et Castres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météofrance Castres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sémalens et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Communes du Tarn – Archives et Patrimoine, Conseil Général du Tarn - Archives départementales
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : 2 - Formations non romanes, formations dialectales, vol. 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 801.
- Ecole Publique de Sémalens, Regards sur un village d'hier et d'aujourd'hui, .
- Liste affichée en mairie.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- La Dépêche, « Résultats des élections municipales », sur La Dépêche.
- Population par sexe et âge en 2011 sur le site de l'Insee, consulté le 26 mai 2015
- Site de l'INSEE, consulté le 26 mai 2015.
- Voir fiche n°PM81000539 sur la base Palissy
- Monts et piémont pyrénéens - Fédération des sociétés académiques et savantes Languedoc-Pyrénées-Gascogne, Actes du 48e congrès d'études tenu à Lannemezan et Saint-Plancard les 24, 25 et 26 juin 1994.
- Ecole publique, Regards sur un village d'hier et d'aujourd'hui SEMALENS, .
- « La confusion des sexes », sur lexpress.fr, (consulté le ).
Voir aussi
Liens externes
- Site officiel
- À propos de Rose-Liberté Barreau : Revue Clio, article De la guerrière à la citoyenne. Porter les armes pendant l’Ancien Régime et la Révolution française
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