Sère-Rustaing
Sère-Rustaing est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Sère-Rustaing | |||||
Paysage dans les environs du village de Sère-Rustaing | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac | ||||
Maire Mandat |
Régine Fourcaud 2020-2026 |
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Code postal | 65220 | ||||
Code commune | 65423 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sérais | ||||
Population municipale |
129 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 15′ 47″ nord, 0° 17′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 330 m Max. 456 m |
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Superficie | 5,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Sérais.
Géographie
Localisation
La commune de Sère-Rustaing se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 18 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 9 km de Trie-sur-Baïse[3], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Trie-sur-Baïse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Bugard (1,7 km), Lamarque-Rustaing (1,9 km), Villembits (2,6 km), Peyriguère (2,8 km), Mun (3,1 km), Orieux (3,3 km), Lustar (3,4 km), Luby-Betmont (3,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Sère-Rustaing fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].
Hydrographie
La Chella, affluent droit de l'Arros, arrose les terres de la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Peyriguère.
Le ruisseau de Bouès arrose les terres de la commune du sud au nord et forme une partie de la limite est avec la commune de Bugard.
La partie sud du lac de Sère-Rustaing se situe sur la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelvieilh », sur la commune de Castelvieilh, mise en service en 1988[12]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 931,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 27 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] : le « cours amont du Bouès » (162 ha), couvrant 9 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[19] : les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[21].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Sère-Rustaing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46,9 %), forêts (27,2 %), terres arables (15,1 %), prairies (6,6 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 54[28].
Parmi ces logements, 80,8 % sont des résidences principales, 19,2 % des résidences secondaires et 0,0 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par les routes départementales D 11 et D 21.
Toponymie
Le toponyme est attesté sous les formes anciennes :
- De Sera (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé de Tarbes) ;
- De Serra (1379, procuration Tarbes) ;
- Sere (1429, censier de Bigorre) ;
- Sére en Rustain (1773, registres paroissiaux) ;
- Sere (1790, Département 1 et 2) ;
- Sere-Rustain (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini) ;
- Sère-Rustan (1806, Laboulinière).
Sère transcrit le gascon cèra, qui vient du latin cella 'cellier' avec le sens d'ermitage, petit monastère[29].
Rustaing réfère à la région naturelle d'Arroustang. Noter l'élision du Ar- initial analysé à tort comme prothétique.
Nom occitan : Cèra d'Arrostanh.
Histoire
Monographie
I
La commune de Sère-Rustaing dépend de la région des collines : c'est de là qu'elle tire son nom, elle est située dans l'étroit vallon du Boués, petit cours d'eau qui a sa source dans les landes de Bernadets-Dessus et qui, après un parcours de 27 kilomètres, sort du département pour pénétrer dans le Gers, où il grossit beaucoup, et faire jonction à l'Arros près de Marciac ; ce petit cours d'eau, quoique de peu d'importance d'abord, subit des crues, assez fréquentes et cause de nombreux dégâts sur les terres labourables et les prairies.
Les limites de la commune sont : au nord, Lamarque Rustaing et Mun ; au levant, Bugard ; au couchant, Peyriguère ; au sud, Orieux.
La distance au chef-lieu de canton, Trie, est de 11 kilomètres. La distance, au chef lieu d'arrondissement de département, Tarbes, est de 20 kilomètres. C'est sur les coteaux qui se trouvent au levant et au couchant du village, que sont situés de beaux vignobles ; le terrain se prête généralement à cette culture et le philoxera n'y a pas encore fait son apparition ; mais l'oïdum et le mildess font néanmoins le désespoir des vignerons.
Le climat de la localité est tempéré, il ne ressent ni chaleurs excessives, ni froids intenses, ni vents secs ou humides d'une trop longue durée ou périodiques mais des variations atmosphériques y sont en revanche aussi capricieux que fréquentes. Son altitude est d'environ 420 mètres ; les vents d'Ouest y dominent et y apportent la pluie, plus fréquente en hiver qu'en été. Il tombe par an une quantité d'eau qui représente environ 800 mm en hauteur. Le pays est néanmoins salubre, la nature du sol est en général argileux ou caillouteux.
II
D'après le recensement de 1886, le chiffre de la population se porte à 327. Ce chiffre tend à diminuer plutôt qu'à augmenter, attendu que le travail manquant, la classe ouvrière se porte vers les grands centres.
Soixante dix sept feux seulement composent ce petit village qui se divise en deux parties bien distinctes :
- village proprement dit.
- quartier des Barraqués.
Ce dernier quartier ne comprend que quatre maisons de résident seulement 15 personnes et se trouve au Sud-Ouest sur les confins de la commune de Peyriguère si renommé par ses vins blancs. Les biens de la commune sont administrés par un Conseil Municipal composé de 10 membres dont un maire et son adjoint. Les principaux revenus se composent du produit de certaines ventes annuelles faites sur le terrain soumis au régime forestier. La superficie totale des biens communaux est de 100 hectares 97 ares 41 centiares. La plus grande partie, soit 76 hectares 27 ares, est soumise au régime forestier. Ces revenus sont déposés entre les mains d'un préeacute;cepteur résidant à Vidou.
Pour la religion, la commune est desservie par un pasteur catholique résidant dans la paroisse de Sère et faisant également le service d'une annexe voisine : Lamarque-Rustaing.
Un bureau des Postes et télégraphes situé au chef-lieu de canton dessert la commune.
La valeur du centime est de 0,51769 frs.
III
Les productions agricoles sont de deux sortes : végétales et animales. En première ligne se placent les céréales principalement cultivés pour la nourriture de l'homme et aussi pour celle des animaux. Ce sont : le froment, le seigle, le méteil, l'orge, l'avoine, la maïs, le millet, les fèves, les haricots, les pois, le trèfle et le lin.
La superficie totale de la commune est de 479 hectares 67 ares, et se répartit ainsi :
- Céréales, 140 hectares 92 ares
- Prairies artificielles, 4 hectares
- Vignes, 80 hectares
- Jachères, 12 hectares
- Prairies naturelles, 75 hectares
- Bois et forêts, 109 hectares
- Jardins, 3 hectares
- Vergers, 3 hectares 80 ares
- Landes, 46 hectares
- Marécages, 2 hectares
- Propriétés bâties, 8 hectares 95 ares.
Les arbres à fruits sont très nombreux. Le premier rang est dévolu à la vigne, en raison de l'étendue qu'elle occupe et de l'importance de son revenu. La culture en est très ancienne dans le pays, elle s'y développe tous les jours davantage. Les vins récoltés sont toujours de qualité ordinaire et ne se consomment que sur les lieux où la région montagneuse. Le châtaignier est commun dans les collines ; son fruits constitue une ressource alimentaire assez importante pour les mois d'hiver. Les arbres d'essence forestier sont nombreux. En première ligne, le chê;ne, le hê;tre et le sapin ; en deuxième ligne le frêne et l'orme.
L'élevage des taureaux, des bœufs, des vaches, des veaux, des génisses est général mais la race chevaline est de peu d'importance ; les bêtes à laine sont aussi assez répandues, mais l'animal le plus commun dans le contrée est le porc.
Le pays est assez giboyeux. La chasse au lièvre et à la perdrix sont les plus communs ; le chien courant seul est mis en usage ; la pêche est de peu d'importance, on trouve cependant au Boués, le poisson blanc et le goujon.
Les voies de communications sont assez difficiles. Une voiture publique seulement fait trois fois par semaine le service de Bonnefont au chef-lieu de département. La gare de chemin de fer la plus proche est Lespouey Laslades, distante de 12 kilomètres environ. On trouve dans la localité un chemin vicinal de grande communication dressé depuis 1846 et trois chemins vicinaux ordinaires. C'est sur le Nº1 de ces derniers que se trouve un pont sur le Boués, construit en bois vers l'an 1836 et reconstruit en maçonnerie depuis 1886, à 200 mètres environ de ce pont est situé un moulin à farine.
IV
L'étymologie probable de la commune est : "Serré" par les collines de "Rustan" et de Bigorre ; ces dernières forment la ligne de partage des eaux entre le bassin de la Garonne et de l'Adour.
Enseignement
Une maison d'école double est présentement en voie de construction ; elle sera située dans un endroit central à une centaine de mètres de l'église et sur l'abord du chemin vicinal de grandes communications.
Il y a un siècle et demi environ, l'instruction était donnée à Sère par un curé qui avait plusieurs élèves étrangers ; plus tard, un instituteur venait faire la classe deux ou trois fois par semaine et était payé par les particuliers. De nos jours, la science est beaucoup plus propagée. On ne rencontre pas de jeunes gens illettrés. Néanmoins, durant la belle saison, la fréquentation de l'école laisse beaucoup à désirer : les parents occupent alors leurs enfants.
On trouve aussi dans la commune une bibliothèque scolaire fondée par les souscriptions volontaires de l'institutrice, l'instituteur et les élèves. L'élan donné, le Conseil Municipal a aussi voté 20 frs à cet effet.
Quarante quatre petits volumes seulement la composent. Le nombre des prêts est de dix.
A diverses reprises, le Conseil Municipal a exprimé le regret où il était de ne pouvoir continuer son œuvre ; la construction de la maison d'école a épuisé les fonds.
Traitement de l'instituteur : 900 frs.
Cadastre napoléonien de Sère-Rustaing
Le plan cadastral napoléonien de Sère-Rustaing est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[31].
Politique et administration
Liste des maires
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Rabastens, canton de Tournay, d'Aubarède (1790), de Trie (depuis 1801)[32].
Intercommunalité
Sère-Rustaing appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.
Services publics
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35]. En 2018, la commune comptait 129 habitants[Note 8], en diminution de 1,53 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[38].
Culture locale et patrimoine
Héraldique
Blasonnement :
D'azur à la croix latine d'argent posée sur un mont cousu de sinople et surmonté d'un soleil d'or[39].
Commentaires : Ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie). |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Sère-Rustaing sur le site de l'Insee
- Communauté de communes du Pays de Trie
- Sère-Rustaing sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Sère-Rustaing », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sère-Rustaing et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sère-Rustaing et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Sère-Rustaing », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Castelvieilh - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sère-Rustaing et Castelvieilh », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Castelvieilh - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sère-Rustaing et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Sère-Rustaing », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours amont du Bouès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sère-Rustaing
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307), p. 314..
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie de Sère-Rustaing en 1887
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sère-Rustaing en 1828
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Sère-Rustaing », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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