Rue des Filles-du-Calvaire
La rue des Filles du Calvaire est une voie parisienne, situé à l'extrémité nord-est du 3e arrondissement
3e arrt Rue des Filles-du-Calvaire
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Vue depuis la rue de Turenne. | |||
Situation | |||
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Arrondissement | 3e | ||
Quartier | Enfants-Rouges | ||
Début | 94, rue de Turenne | ||
Fin | 17, boulevard des Filles-du-Calvaire et 1, boulevard du Temple | ||
Morphologie | |||
Longueur | 167 m | ||
Largeur | 14 m | ||
Historique | |||
Création | 1698 | ||
Dénomination | 1698 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 3659 | ||
DGI | 3643 | ||
Géolocalisation sur la carte : 3e arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
Elle est proche de la place de la République.
Ce site est desservi par la station de métro Filles du Calvaire.
Origine du nom
Elle porte le nom du couvent des Filles-du-Calvaire qui y était situé.
Historique
Elle fut ouverte le et reçut son nom actuel à cette occasion.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- No 9 : ici vécut de 1847 à 1855 le sculpteur Jean-Baptiste Révillon (1819-1869) et son épouse Marie Pauline Ernestine Pasquier, qui s'installeront ensuite au no 13, rue de Malte[1]. C'est en ces lieux que, le , naquit leur fils, Ernest Auguste Révillon, qui deviendra sculpteur à Barbizon.
- Dans la nuit du 13 novembre 2015, un poste médical avancé s'est tenu dans un bar de la rue des Filles-du-Calvaire pour accueillir les blessés des attentats, particulièrement ceux du Bataclan.
Références
- Généalogie de la famille Révillon sur geneanet.org.
Bibliographie
- Napoléon Chaix, Paris guide, 1807, Librairie internationale.
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de Minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117).
- Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments.
- Jean de La Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris, 1817.
- Victor Hugo, dans Les Misérables, résidence de Monsieur Gillenormand. Cette maison devient celle de Cosette et Marius au cours du Tome 5.
Sources
- Les ouvrages cités en bibliographie.
- Portail de Paris
- Portail de la route
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