Rue Christiani
La rue Christiani est une voie du 18e arrondissement de Paris, en France.
18e arrt Rue Christiani
| |||
Rue Christiani vue depuis le boulevard Barbès. | |||
Situation | |||
---|---|---|---|
Arrondissement | 18e | ||
Quartier | Clignancourt | ||
Début | 17, boulevard Barbès | ||
Fin | 89, rue Myrha | ||
Morphologie | |||
Longueur | 125 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Dénomination | 1864 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 2015 | ||
DGI | 2027 | ||
Géolocalisation sur la carte : 18e arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : Paris
| |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue Christiani est une voie publique située dans le 18e arrondissement de Paris. Elle débute au 17, boulevard Barbès et se termine au 89, rue Myrha.
Origine du nom
La rue porte le nom du général Charles-Joseph Christiani (1772-1840), défenseur du quartier en 1814.
- Portrait du général Christiani
- Armes du baron Christiani et de l’Empire
Historique
Cette voie, appelée à l'origine « rue des Vinaigriers », était située sur la commune de Montmartre. C'est une rue ancienne car elle apparait déjà sous forme de chemin sur le plan de Roussel, dessiné en 1730. Elle marquait la limite sud du domaine du Château-Rouge, loti à partir de 1844[1]. Après le rattachement de Montmartre à Paris par la loi du , la rue des Vinaigriers est classée officiellement dans la voirie parisienne le [2]. Mais une rue des Vinaigriers existait déjà dans le 10e arrondissement et la rue est donc renommée en 1864 en l'honneur du général Christiani.
Références
- « Les grands lotissements de 1820 à 1850 », paris-atlas-historique.fr ; « Le lotissement du Château-Rouge, l'évolution du parcellaire », paris-atlas-historique.fr.
- Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Classement de rues dans la zone annexée à Paris », p. 342.