Royer (Saône-et-Loire)

Royer est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Royer.

Royer

L'église.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais - Tournugeois
Maire
Mandat
Catherine Gabrelle
2020-2026
Code postal 71700
Code commune 71377
Démographie
Population
municipale
130 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 24″ nord, 4° 49′ 31″ est
Altitude Min. 235 m
Max. 422 m
Superficie 5,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tournus
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tournus
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Royer
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Royer
Géolocalisation sur la carte : France
Royer
Géolocalisation sur la carte : France
Royer

    Géographie

    Localisation

    La commune est entourée de bois. A l’ouest, sur la Montagne, se trouvent les bois du Mont Prevers, de Larry, du Champ-Caillet et de la Rougie. Au Nord, la petite et la grande Chassignole. Au Nord Est se situent les bois de la Délie (rive gauche du ruisseau de Chanot) et de la Fa (rive droite). A l’Est, en forte pente, prend place la côte ouest du bois d’Outry, et au Sud les bois du Naz et de la Dame[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Paléogéographie

    Royer se situe sous la mer pendant tout le début et le milieu de l’ère primaire. Le village est émergé à l’époque du carbonifère, sous forme de terrains cristallins avec la chaîne hercynienne. La mer permienne a pu exister mais n’a pas laissé de traces actuellement visibles. L’existence des mers est certaine lors du trias, jurassique et probablement la première moitié du crétacé supérieur (jusqu’au santonien). Un lac d’eau douce recouvre les lieux durant la première partie de l’ère tertiaire (éocène, oligocène). Les terres sont totalement émergées depuis cela (miocène, pliocène, pléistocène)[2].

    Tectonique

    Après les dépôts des mers secondaires, les mouvements orogéniques donnant au Mâconnais son relief définitif sont une conséquence des plissements alpins. Ils s’étagent à différentes périodes de l’ère tertiaire. Leur résultat est la formation de plissements parallèles orientés N.N.E-S.S.O.  Sur le territoire de Royer, ces chaînes sont recoupées de trois à quatre failles[2].

    Stratigraphie

    Au sommet du bois de la Montagne (colline du côté ouest de Royer) apparaît la partie supérieure du Jurassique inférieur. Puis se succèdent Bajocien, bathonien, callovien, Oxfordien et Kimméridgien. Le bathonien occupe la plus grande superficie du territoire de Royer[2].

    Paléontologie

    Le sol royat dispose d’une riche faune invertébrée fossile. Il présente un faciès liasique profond à ammonites, un faciès peu profond du bajocien et bathonien à crinoïdes, térébratules, pectens, huîtres et ammonites, et un faciès profond callovo-oxfordien à oursins réguliers et irréguliers, gastéropodes, bélemnites, ammonites, térébratules, rhynchonelles et trigonies[2].

    Relief

    Royer se situe entre deux plissements parallèles, atteignant 422 mètres d’altitude pour celui de l’ouest et 336 pour celui de l’est. Le village est à environ 260 mètres d’altitude, mais sa hauteur est assez variable : il est en effet construit sur la pente sud du monticule de la Crâ, prairie parsemée de buis culminant à 310 mètres[1].

    Hydrographie

    Le sol calcaire perméable à la suite de fissures a entraîné la formation de sources rares (trois ou quatre) mais intarissables[3]. Royer possède la source du ruisseau de Chanot qui se jette dans la rivière Natouze sur la commune de Mancey[1].

    Climat


    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la route départementale D182, et est le point de départ de la route départementale D482. Une partie de sa frontière avec la commune de Mancey est matérialisée par la route départementale D215, dans un col appelé Col des Chèvres. Y passe aussi une partie du GR76A, appelé Chemin des moines[1].

    L'autoroute la plus proche est la A6 autoroute du Soleil »), avec l'entrée-sortie n° 27 « Tournus » à 6,8 km à l'est[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Royer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tournus, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), zones agricoles hétérogènes (43 %), cultures permanentes (10,7 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 96, alors qu'il était de 90 en 2006[11].

    Parmi ces logements, 68.8 % étaient des résidences principales, 26 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100.0 % d'entre eux des maisons individuelles.

    Risque sismique

    La totalité du territoire de la commune de Royer est situé en zone de sismicité no 2[12].

    Toponymie

    Le village de Royer fut désigné sous les noms Rogiacum en 876, Rogiaco en 976 et Rouyer en 1443.

    Ce nom est d’origine gallo-romaine. Il est composé d’un nom de personne (sans doute celui d’un gros propriétaire, fondateur de la villa ou d’une exploitation agricole romaine), suivi du suffixe –acus ou –acos qui indiquait la propriété. Le nom propre primitif à l’origine du nom Royer (en latin Rogiacum) peut être Rocius ou Roscius, noms qui ont pu produire Rogius au moment où, dans certains cas, sous l’Empire Romain, le c prit un son adouci pour devenir le g des latins. Royer pourrait donc s’entendre : Rociacum, le village de Rocius. La lettre finale –r ne serait, comme dans Boyer découlant de Boiacum, qu’une orthographe fautive de Royé, les noms en –acus donnant –é dans le Mâconnais (Solutré, Azé, Chaintré)[13].

    Histoire

    Moyen Age

    La seigneurie de Brancion, ruinée par les croisades, forma à la fin du XIIIème siècle une châtellenie ducale dont dépendait Royer. Elle était administrée par deux officiers : un capitaine châtelain et un maître forestier. Le premier était nommé par le Maréchal de Bourgogne ou par le bailli de Chalon. Le second était chargé de la surveillance des étangs et des bois. Les habitants avaient à supporter de nombreuses charges : péage, redevances, blairie. Celle-ci comprenait Brancion, La Chapelle-sous-Brancion, La Montagne, Martailly et Royer[14].

    Au XVème siècle, la guerre civile entre les Bourguignons et les Armagnacs affecta beaucoup le Mâconnais, et notamment les alentours de Brancion. Après s’être emparés de la ville de Tournus dans la nuit du 22 au , malgré la résistance de la garnison de l’abbaye Saint-Philibert, les Armagnacs se répandirent dans la région où de grands dégâts furent commis. Ne réussissant pas à s’emparer du château de Brancion, ils incendièrent les villages, rançonnèrent les habitants et les voyageurs. Le traité d’Arras, signé en 1435, mit fin aux longues guerres des Bourguignons et des Armagnacs[15].

    Mais la région, dès l’année suivante, fut la proie d’incursions des Écorcheurs. Ils commirent de tels pillages que plusieurs villages de la châtellenie de Brancion furent abandonnés par les habitants. La misère était si importante que les recettes de la châtellenie, pour l’année 1443, s’élevèrent seulement à la somme de 44 livres, contre 260 à 280 lors des années ordinaires[16].

    En 1477, la Bourgogne s’unit à la Couronne de France. La châtellenie ducale devient ainsi une châtellenie royale dont dépendaient, en 1530, les villages de Brancion, La Chapelle-sous-Brancion, Collonges, Martailly, Balleure, Charculbe, Mancey, Royer, Nogent, Ouxy, Dulphey, Fragne, Chissey, Chavy, Messey, Cruzille, Etrigny, Talant et Boyer[17].

    Temps modernes

    Au XVIème siècle, les guerres de religions causèrent de nombreux dégâts dans la région. Tournus et son abbaye furent saccagées par Poncenac, un capitaine Huguenot. Aucune pièce d’archive ne mentionne les dégâts potentiellement occasionnés à Royer[18].

    L’hiver 1572-1573 fut extrêmement froid : des charrettes circulaient sur la Saône gelée. Les récoltes de l’année 1573 furent alors catastrophiques, les fruits ayant gelé, et on excommunia même des chenilles dans les champs de Brancion. La peste fit des ravages l’année suivante.

    D’abord châtellenie ducale, puis royale, la terre de Brancion fut aliénée, à partir de 1548, à des seigneurs engagistes. Ils permirent à Royer de se remettre de la misère causée par les guerres de religions et les catastrophes naturelles. Mais en 1633 le village connut un important tremblement de terre et en 1636 une violente tempête.

    En 1658, un procès entre les villages de Royer et de Dulphey fut engagé pour délimiter les confins du bois de la Délie[19].

    Deux famines importantes eurent lieu à Royer en 1693 et en 1709[20].

    Époque contemporaine

    En 1921 est inauguré le monument aux morts sur la place de la mairie.

    Le , vers 5 h 30 du matin, le village fut cerné par les troupes allemandes engagées contre les maquis sévissant en Tournugeois et Haut-Mâconnais. Les Allemands fouillèrent les maisons, rassemblèrent la population dans un pré. L'infirmerie installée dans le village par les FTPF fut investie. Un homme, Georges Souillot, fut capturé dans une grange voisine de l'infirmerie ; torturé par les Allemands, il fut finalement fusillé par la milice devant la population du village. À la fin de la journée, après que des granges et la salle des fêtes aient été incendiées, les FTPF et l'Armée secrète dénombraient respectivement quatre et six morts.[21]


    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 juin 1995 Edmond Dubois    
    juin 1995 mars 2008 Jean Meunier    
    mars 2008 en cours Catherine Gabrelle app. MoDem Présidente de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 130 habitants[Note 3], en augmentation de 1,56 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442463497440445421427433423
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    364380369351384346301266234
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    217225190160154164167173151
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    129105100103106120126129132
    2018 - - - - - - - -
    130--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Economie

    Emploi

    En 2016, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 75 personnes, parmi lesquelles on comptait 85,3 % d'actifs dont 77,3 % ayant un emploi et 8,0 % de chômeurs.

    On comptait 17 emplois dans la zone d'emploi, contre 16 en 2011. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 60, l'indicateur de concentration d'emploi est de 28,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi pour quatre habitants actifs.

    Entreprises et commerces

    Au , Royer comptait douze établissements : quatre dans l’agriculture-sylviculture-pêche, deux dans la construction, cinq dans le commerce-transports-services divers et un était relatif au secteur administratif.

    Culture locale et patrimoine


    Lieux et monuments

    Le clocher de l'église de Royer.

    Eglise

    L’église de Royer fut constamment l’objet des préoccupations de la commune qui y consacra, à partir du XVIIème siècle, une grande partie de ses revenus tant pour son agrandissement que pour les réparations les plus urgentes. L’édifice était trop petit pour contenir tous les paroissiens, ce qui entraîna de nombreux travaux au cours du temps.

    En 1782, le seigneur de Royer et le curé décident d’abandonner l’ancien chœur et en construisent un nouveau.

    Le neuf , une croix est posée au sommet du clocher par le maire Claude Dupré. Elle pèse environ 73 kg sans le coq, qui y sera ajouté bien plus tard.

    En 1835, l’église est si abîmée qu’un architecte de Mâcon, M. Roch, est chargé de la réparer. Le projet consiste à reconstruire le clocher à l’ouest de l’édifice et l’élever de deux mètres pour que le son de la cloche puisse être entendu dans toute l’étendue de la commune, à placer un grand vitrail à œil-de-bœuf sous le clocher pour éclairer la tribune, et à ce que le nouveau chœur soit de plus grandes dimensions.

    Cimetière

    L’ancien cimetière se trouvait près de l’église. Mais, étant trop petit et situé sur un rocher, il provoquait de nombreuses réclamations de la part des habitants qui en demandaient le transfert. Le , le Conseil municipal décide donc d’utiliser un terrain joignant l’ancienne maison curiale afin de créer le nouveau cimetière, en justifiant ainsi ses choix :

    « Le cimetière existant actuellement se trouve de beaucoup trop étroit, ce qui oblige de relever les corps tous les quatre à cinq ans ; il est situé sur un rocher ; les bières ne sont qu’à trois pieds de la surface du sol et se trouvent plus élevées que les rues qui l’environnent. Ce cimetière se trouve au milieu des habitations dont les propriétaires ne cessent d’en réclamer l’éloignement ; étant tout autour de l’église et au midi, il la rend malsaine. »

    En 1862, une somme de 4300 francs fut votée pour la création de la clôture[26].

    Monuments commémoratifs

    Sur la salle des fêtes : plaque commémorative rappelant la journée du .

    Équipements culturels

    Le village possède une bibliothèque.

    Flore

    Les sous-bois de Royer sont caractérisés par l’omniprésence du buis. Malheureusement, l’arrivée de la pyrale du buis, et surtout de sa chenille, a eu un effet dévastateur rapide sur la plante et a tué de nombreux pieds. Les bois se composent essentiellement de chênes, mais comportent aussi des hêtres.

    La commune de Royer possède de nombreuses prairies calcicoles : des pelouses sèches poussant sur une terre calcaire. D’origine agropastorale, elles tendent à diminuer en superficie au fil du temps, remplacées naturellement par des forêts. La plupart sont des mésobromions, des pelouses calcaires mésophiles, peuplées principalement de hautes graminées telles que le brome dressé. On y retrouve aussi grand nombre d’orchidées : l’ophrys abeille (Ophrys apifera), l’orchis pourpre (Orchis purpurea) ou encore l’orchis bouc (Himantoglossum hircinum).

    Faune

    Royer, grâce à ses nombreux bois et un bocage encore assez préservé, bénéficie d’une faune riche. La commune abrite de nombreux mammifères communs tels que le chevreuil, le sanglier, le renard et le lièvre. En outre, la présence du chat forestier sur le territoire de la commune est assez probable puisqu’il fut observé sur la commune de La Chapelle-sous-Brancion[27], dont la forêt est limitrophe de celle de Royer. La faune aviaire comprend la buse variable, le milan noir, le faucon crécerelle, l’épervier mais aussi la huppe fasciée et la tourterelle des bois.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Charles Dard, Royer, monographique historique, , 80 p..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. Dard 1929, p. 4.
    3. Dard 1929, p. 5.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tournus », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Insee - Statistiques locales », sur statistiques-locales.insee.fr (consulté le ).
    12. « Rapport | Géorisques », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    13. Dard 1929, p. 6-7.
    14. Dard 1929, p. 9-10.
    15. Dard 1929, p. 13-14.
    16. Dard 1929, p. 14-15.
    17. Dard 1929, p. 15.
    18. Dard 1929, p. 15-16.
    19. Dard 1929, p. 19.
    20. Dard 1929, p. 20.
    21. Source : Lieux de résistance 1940-1944 en Saône-et-Loire/Bourgogne-du-Sud : sentiers de la mémoire Mâconnais-Tournugeois, livret édité par Les Amis de la Résistance ANACR avec la participation de l'ancien résistant Séraphin Effernelli, 20 pages.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Dard 1929, p. 69.
    27. « Les Carnets de Bords « Petits Carnivores » Saône-et-Loire (71). Bilan 2007 et analyse entre 1999 et 2007 », .
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