Royaumeix

Royaumeix est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est[2].

Royaumeix

Le centre-bourg.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Tony Chenot
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54466
Démographie
Gentilé Royaumeixois, Royaumeixoises [1]
Population
municipale
381 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 44″ nord, 5° 52′ 16″ est
Altitude Min. 224 m
Max. 257 m
Superficie 21,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Royaumeix
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Royaumeix
Géolocalisation sur la carte : France
Royaumeix
Géolocalisation sur la carte : France
Royaumeix

    Géographie

    Fig1 .Royaumeix (Ban communal)

    Géologie, reliefs, hydrologie

    Royaumeix est un village perché sur un plateau de 250 m d’altitude à proximité de la forêt de la Reine.(Fig 1- ban communal)

    D’après les données Corine land Cover[3], le ban communal de 2 178 hectares comprend en 2011, plus de 12 % de terres arables, 7,7 % de prairies, 72 % de forêt, 3 % de surfaces en eau et seulement 1,4 % de zones urbanisées.

    La commune est aujourd’hui traversée par la route départementale 904 (ex-route nationale 404) mais les chroniques archéologiques signalent un ancien chemin traversant la commune du nord au sud pour relier Toul à Pannes vers Bavay (parfois nommé Chemin Brabant car ce dernier a fait partie de la Lotharingie) ainsi qu'un ancien chemin des Romains vers Trondes.

    Le domaine communal s’étend sur une forme complexe dont il semble à la vue des cartes qu'une grande partie ait été amputée au profit de la commune de Ménil-la-Tour (fig 1), voire d'autres communes pour ce qui est de la forêt de la Reine.

    C'est justement sur une de ces parties amputées de la commune de Ménil-la-Tour, près de l’étang Colnait , que se situait une tuilerie exploitant au XVIIIe siècle les ressources en argile Callovien de la contrée[4].

    Le territoire est arrosé par 14 cours d'eau[5] :

    Ruisseau d'Esch(e) 1.036 km
    Ruisseau la Rehanne 4.954 km
    Ruisseau de Woevre 3.531 km
    Ruisseau de l'Etang Bezoilles 1.513 km
    Ruisseau de l'Etang Colnait 0.889 km
    Ruisseau de l'Etang de Bailly 1.442 km
    Ruisseau de l'Etang de la Grande Naue 2.016 km
    Ruisseau de l'Etang des Souches 1.985 km
    Ruisseau de l'Etang Naue 2.805 km
    Ruisseau de l'Etang Neuf 2.526 km
    Ruisseau de Mafroneau 1.315 km
    Ruisseau de Rosiere 0.66 km
    Ruisseau de Vassenaux 0.86 km
    Rupt de Bagneux 0.897 km

    La forêt de la Reine

    R . DEGRON[6] explique dans une étude l'histoire et la formation de ce massif

    «La forêt est inscrite au centre du grand massif de la Reine, qui recouvre également plusieurs bois communaux et particuliers L'histoire de l'abbaye de Rangéval nous apprend que la forêt de la Reine s'appelait au XIIe siècle le bois de "Weuivre" (Woëvre). Lors de sa création en 1152, la communauté religieuse avait été dotée par la comtesse Hadwide d'Apremont d'un important domaine situé principalement au sommet des côtes de Meuse avec, en plus, un important droit d'usage sur la vaste forêt qui s'étendait alors dans la dépression argileuse[7]. Au XIIIe siècle, de nombreux travaux et défrichements furent entrepris dans le vaste bois de Woëvre . De nombreuses communes, aujourd'hui voisines de la forêt, se seraient particulièrement développées à cette période.

    Pendant le Moyen Âge, la région fut le théâtre d'un important essor démographique avec, en corollaire, une intense activité agricole . Pour que la mise en valeur des terres défrichées soit bonne, l'assainissement des sols humides de la plaine argileuse était nécessaire . II y eut donc à la même époque la formation de nombreux étangs, censés drainer les eaux de ruissellement qui avaient bien sûr pour autre fonction la production piscicole ; la vidange et l'assèchement étaient suivis d'une mise en culture et d'un pâturage des troupeaux. Dans le cadre d'un cycle triennal, les habitants des communes voisines profitaient donc des fonds d'étangs fertiles, moyennant redevance auprès du comté d'Apremont ou de l'abbaye de Rangéval[7]

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Royaumeix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,8 %), terres arables (12,1 %), prairies (7,7 %), eaux continentales[Note 3] (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones urbanisées (1,4 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    Rouaumez (1290) ; Ruaumeix (1299) ; Ruameix (1385) ; Rualmeix (1441) ; Rouwaulmeix (1485) ; Rouaulmey (1551) ; Renouaumey (XVIe siècle) ; Rouaumeix (1602) ; Royaumaix ; Libremeix (à la Révolution) sont les différentes graphies rencontrées[15].

    Royaumeix dériverait du latin Regalis hortus, qui aurait évolué vers Regia mansio, pour devenir Royaumaix puis Royaumeix en vieux français, selon une première théorie[16].Le toponyme n'apparaît que vers 1275 (1290 ? selon CHENOT[2]) sous la forme Rualmeis ou Ruaimeis, le meix de Rouauld (anthroponyme d'origine germanique)[17] d'après A WIRTH.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Libre-Meix.

    Anecdote

    Le toponyme Royaumeix présente la particularité de contenir une seule fois chacune des six voyelles (particularité que l’on retrouve dans d’autres communes comme Nyoiseau, Chaouilley, ou Pouillenay).

    Histoire

    Les sources historiques et archéologiques[18],[19] indiquent qu'une voie ancienne, dite chaussée de Brunehaut (parfois chemin Brabant), venant de Bernécourt ou de Royaumeix, allait vers Pannes.(Fig 1)

    Préhistoire

    Olry[18] précise qu'en 1868-69 M. Benoit instituteur, a recueilli, des haches, des pointes de lances, de dards et de flèches, en silex.(cf.galerie d'image)

    Antiquité

    J Beaupré[18] indique :

    «Le bois de Royaumeix s'appelle forêt de la Reine (fig. 1) ; on y rencontre, en plusieurs endroits, des ruines d'établissements sidérurgiques, un des cantons s'appelle même Forges à fer

    C Husson et P Benoit rapportent [19]:

    «Au sud du village, on a recueilli des monnaies, des armes, des poteries et un Bacchus en bronze. Aux lieux-dits Au Haut du Fossé, aux Ouillons (Fig 1), au Haut de Marbouché, au Coin du Ménil, au Grand Jardin, à la Chèvre et, à proximité de l'Etang-Véry, substructions avec débris de tuiles plates, de poteries, de meules, de pierres plates striées et des monnaies romaines (E. OLRY, p. 324-325. — B. R., p. 125. — B. E., p. 135). Au lieu-dit Au Haut du Fossé, mise au jour de substructions romaines avec hypocaustes. Les fouilles ont procuré quelques objets de fer, des clous, une clé, un couteau en forme de serpe, une clé en cuivre, des débris de poterie, d'amphores, de vases, d'ossements d'animaux, des fragments de mosaïque, etc[20]»

    Moyen-âge

    À Royaumeix (En fait sur le territoire de Ménil-la-Tour), lieu-dit le trou d'Enfer (Fig 1), une vingtaine de squelettes étaient alignés sur le chemin, entre Andilly et Royaumeix, à 25 cm de profondeur. Dans un champ attenant à ce chemin, reposaient huit autres squelettes dont les têtes s'effritèrent quand on voulut les prélever. Il semblerait que ce terrain ait été rempli de cadavres à une époque très reculée[21].

    La reine Clotilde (v. 475 - 545) y fit bâtir un palais protégé par une épaisse forêt. C’est sans doute ce palais qui appartint, par la suite, à la reine Brunehaut, à Clotaire II et au roi Dagobert Ier, roi d’Austrasie qui le donna entre 632 et 638 à Theudefried, 15e évêque de Toul.

    C’est à la période qui s’écoula, de la mort de Charlemagne (814) à l’an 1000 qu’il faut faire remonter la ruine des établissements de la Forêt de la Reine et sans doute du village situé aux Ouillons (Fig 1). Le bourg fut à nouveau détruit au XVIIe siècle probablement pendant la guerre de Trente Ans, puis une autre fois en 1710.

    Le 1er bataillon du 32e régiment d’infanterie territoriale relevé par les Américains

    Le secrétaire d’État à la Guerre Baker en tournée d'inspection sur le secteur de Royaumeix (photo à Menil-la-Tour)

    Le , le premier bataillon du 32e RIT rassemblé à Groslay et Montmagny, s'embarque en gare de Pantin, à destination de Toul. par décision du général commandant la première Armée française , le bataillon passe en entier à la 88e division d'infanterie, à Royaumeix, où le bataillon arrive le 18. Les compagnies s'installent au cantonnement : la première à Mesnil-la-Tour, la seconde à Bouconville, la troisième à Aussonville, la quatrième à Boucq et Royaumeix avec la section de mitrailleuses et sont immédiatement employées à divers travaux du secteur (exploitation de forêts, réfection des voies de 0,60, creusement de boyaux, déchargement de matériel)

    À partir du , une brigade (2 régiments) et la totalité de l'artillerie de la 1re DIUS américaine sont intégrées à la 1re armée française. Elle relève la division marocaine dans le secteur de Ménil-la-Tour, Royaumeix.

    Les vignobles, 12 hectares avant 1914, ont maintenant totalement disparu[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jacques Harrouard PS  
    mars 2008 2014 François Contat SE  
    2014 mai 2020 Patrick Flabat    
    mai 2020 En cours Tony Chenot [23]    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 381 habitants[Note 4], en augmentation de 10,12 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    274343366350368424426420454
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    408408398390385386395365353
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    360310272257235220220297253
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    229234250254279325332338346
    2018 - - - - - - - -
    381--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole, au XIXe siècle :

    « Surf. territ. : 592 hect., dont 300 en forêts, 80 en prés et 12 en vignes, dont les produits sont médiocres, et 100 en terres labourables, le reste en étangs.»[7],[15]

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du ministère de l'Agriculture (Agreste[28]), la commune de Royaumeix était majoritairement orientée [Note 5] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 442 hectares (surface cultivable communale) stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 407 à 180 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 12 unités de travail[Note 7].

    Culture locale et patrimoine

    Le village a longtemps été organisateur et hôte du festival Courant d'Art.

    Lieux et monuments

    • Présence gallo-romaine : substructions à hypocaustes trouvés en 1883.
    • Nécropole mérovingienne du Trou d'Enfer fouillée depuis 1963.
    • Château XIXe.
    • Tombes napoléoniennes à côté de l'église.

    Édifice religieux

    Église Saint-Léon
    • Église Saint-Léon néo-gothique 1860.

    Existence Religieuse

    • Abbé Maitresse
    • Abbé Dardaine
    • Abbé Forin
    • Abbé Tshimanga

    Héraldique

    Blason
    Blasonnement : parti, au 1er coupé d'azur à une tour d'argent maçonnée de sable surmontée d'un rat passant d'argent et d'azur à trois fasces ondées d'or ; et au 2ede gueules à une épée renversée d'argent mise en pal.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Chénot, Gilbert (1925-....) Royaumeix [Texte imprimé] : regalis hortus / Gilbert Chénot... - [Saint-Max] : G. Chénot, impr. 2005 (95-Domont : Impr. Dupli-print). - 1 vol. (218 p.-[10] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., fac-sim., couv. ill. en coul. ; 30 cm. En appendice, choix de documents, dont certains avec transcription en vieux ou moyen français. - Bibliogr. p. 217-218. - DLE-20051028-49602. - 944.382 (21) . - (ISBN 2-9524977-0-2 et 978-2-9524977-0-1) (br.). Royaumeix (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
    • G. Hamm, Carte archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. (fr + fro) Gilbert Chenot, ROYAUMEIX Regalis Hortus, Royaumeix, , 220 p..
    3. http://sigesrm.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=54466
    4. https://www.etudes-touloises.fr/archives/70/art4.pdf
    5. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau d'Esche (A71-0200) ».
    6. La Revue forestière française, « Editorial », Revue forestière française, no 1, , p. 5 (ISSN 1951-6827 et 0035-2829, DOI 10.4267/2042/26728, lire en ligne, consulté le ).
    7. http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/26743/RFF_1996_3_261.pdf?sequence=1 Dumont (1856) consacrée à l'histoire de l'abbaye de Rangéval : Les comtes d'Apremont étaient les propriétaires de ce vieux bois de Woëvre depuis le XIIe siècle, date à laquelle l'évêché de Metz leur avait donné en fief l'Apremont (Parent, 1928)
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    16. http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/26743/RFF_1996_3_261.pdf?sequence=1
    17. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 978-2914554435).
    18. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 124-125.
    19. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Comité du Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 121.
    20. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 108.
    21. Emile Delort, « XVIIe Circonscription », Gallia, vol. 6, no 1, , p. 233–241 (lire en ligne, consulté le ).
    22. E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 405.
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    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
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