Relations entre l'Algérie et la France
Les relations entre l'Algérie et la France sont des relations internationales s'exerçant entre un État d'Afrique du Nord, la République algérienne démocratique et populaire, et un autre principalement européen, la République française. Elles sont structurées par deux ambassades, l'ambassade d'Algérie en France et l'ambassade de France en Algérie.
Relations entre l'Algérie et la France | |
France Algérie | |
Ambassades | |
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Historique
Les évènements d'Algérie entraînent la chute de la Quatrième république et la proclamation de la constitution de la Cinquième république, encore en vigueur à ce jour. En 1962, le général de Gaulle conclut avec le FLN les accords d'Evian, et l'indépendance est acquise par référendum.
Depuis l'indépendance algérienne
Les tensions entre les deux pays existent depuis des décennies, et sont liées au passé colonial et à la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962). En France comme en Algérie, cette histoire partagée est un sujet sensible pour une frange importante de la population[1]. Ces tensions sont accentuées par le fait que l’exaltation de la lutte anti-française comme seule et unique « révolution » a été longtemps la principale justification de la position du Front de libération nationale (FLN) en tant que parti unique durant des décennies[2] et de la mainmise de l’Armée nationale populaire sur les organismes dirigeants de la Révolution et ensuite de l’État[3]. Elle est une constante du discours officiel algérien, régulièrement utilisé pour disqualifier toute forme de contestation radicale[4]. Très longtemps, le pouvoir en Algérie s’est légitimé par le recours à la séquence de la guerre d’indépendance contre la France et non par les urnes[5].
D'après Jean-François Daguzan, il existe une « farouche volonté française, qui dure depuis 1962, de ne jamais renoncer à cette coopération si spéciale en dépit des avanies, voire des humiliations que la partie algérienne sait lui faire subir à date régulière et que les contrats économiques n’expliquent pas seulement. En effet, l’existence d’une très forte communauté algérienne ou d’origine algérienne en France est le pivot de cette relation spéciale[6] ».
La France comme l'Algérie se rencontrent depuis 1990 dans le cadre du Dialogue 5+5 et sont membres depuis 2008 de l'Union pour la Méditerranée. L'Algérie n'est pas membre de l'Organisation internationale de la francophonie et bien que le français y soit couramment parlé, seuls l'arabe classique et le tamazight y sont reconnus comme langues officielles.
En Algérie, la fin du « parti-unique » en 1989 pour le FLN ne met pas fin à la rhétorique politique anti-française, le principal parti d'opposition, le Front islamique du salut (FIS), s'appropriant le discours nationaliste; durcissant la thématique contre le « parti de la France » et se posant comme le gardien de la « pureté nationale » algérienne. De perpétuelles accusations d'« ingérence » et de « complot » sont prononcés à l'égard d'intellectuels ou d'hommes politiques français[5]. Peu à peu, dans la perception algérienne, la question de repentance s’impose progressivement comme une revendication mémorielle majeure devant être satisfaite avant la signature de tout « traité d’amitié » avec la France[7].
Durant la guerre civile algérienne, le Groupe islamique armé (GIA) s'en prend régulièrement aux ressortissants français. La décennie est notamment marquée par l'assassinat en août 1994 de trois gendarmes et de deux agents consulaires à Alger, par la prise d'otages du vol Air France 8969 en décembre de la même année[5], par l'assassinat des moines de Tibhirine et par l’inscription de l’Algérie sur une « liste noire » des pays à haut risque terroriste[7].
Années 2000-2010
Le couple Abdelaziz Bouteflika-Jacques Chirac fonctionne de façon harmonieuse en dépit d’un mauvais départ dû aux conditions de l’élection du président algérien. Entre les deux chefs d’État, existait une solide entente qui contribue à dissiper certains malentendus empoisonnant de façon cyclique la coopération entre les deux pays. Avec sa politique de « casser les tabous », Bouteflika s’est très vite engagé dans une politique de normalisation avec la France. De son côté, Chirac, qui cohabitait avec Lionel Jospin, était convaincu de la nécessité de relancer la coopération avec l’Algérie[7].
Leurs visites respectives à Paris en juin 2000 et à Alger en mars 2003 s’efforcent de mettre en place un processus de refondation des relations bilatérales qui est marqué notamment par la réouverture du consulat et du centre culturel français d’Alger en 2000, la signature de la Déclaration d’Alger par les deux chefs d’État en 2003 et l’organisation de l’Année de l’Algérie en France[7].
La reconnaissance par la France de la guerre d’indépendance algérienne et l’ouverture des archives militaires françaises permettent de franchir un seuil, ce dont l’Algérie prend acte[7]. Néanmoins, l’espoir d’une refondation des rapports entre les deux pays est très vite altéré par les aveux d’anciens officiers français admettant avoir participé à la torture en Algérie. En même temps, la fermeté de la position algérienne constituait une aubaine pour les adversaires de la normalisation des relations algéro-françaises. La loi du 23 février 2005 qui reconnaît le rôle positif de la colonisation, notamment en Afrique du Nord, met fin à cette lune de miel entre l’Algérie et la France au moment même où les diplomates s’employaient à un rapprochement. La loi est publiquement dénoncée le par le président algérien, qui la qualifie de « cécité mentale confinant au négationnisme et au révisionnisme »[8]. Une de ses conséquences est le report sine die de la signature du traité d'amitié qui avait été négocié entre les deux pays (qui n'a toujours pas été signé) et ensuite le dépôt par un groupe de députés algériens du parti El Islah d'une proposition de loi incriminant la colonisation[9].
Rejetant toute idée de repentance, Nicolas Sarkozy se démarque de la position de Jacques Chirac, en souhaitant mettre l’accent sur les projets concrets de coopération bilatérale. De son côté Abdelaziz Bouteflika persiste dans son exigence de demander un mea culpa à la France. En raison de ces divergences, la période 2005-2010 se solde par la résurgence des dossiers qui fâchent et l’éclatement de crises cycliques entre les deux pays, lesquelles atteignent leur point culminant en 2010 avec une proposition de loi criminalisant le colonialisme français et la vive polémique qu’elle suscite[7]. Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, déclare alors que les relations algéro-françaises ne pourront être normales tant que la génération de l’indépendance sera encore au pouvoir en Algérie ce qui provoqué un nouveau tollé au sein d’une partie de la classe politique algérienne et de certains médias[7].
Au cours de l’été 2009, le rebondissement de l’affaire des sept moines trappistes assassinés en 1996, qui voit François Buchwalter, un général en retraite qui était attaché militaire à l’ambassade de France à Alger au moment des faits, soutenir que c’est l’armée algérienne qui aurait commis « une bavure » ayant coûté la vie aux sept moines, trouble à nouveau le climat politique entre la France et l’Algérie[7]. Enfin, l’inscription par la France début 2010 de l’Algérie sur la liste des pays à risques pour la sécurité intérieure est perçue par les autorités algériennes comme une offense[7].
Sous la présidence de François Hollande
En 2012, le Président de la République algérienne démocratique et populaire, Abdelaziz Bouteflika, et le Président de la République française, François Hollande, signent la déclaration d'Alger sur l'amitié et la coopération entre la France et l'Algérie. À cette occasion, deux comités sont mis en place: le comité intergouvernemental de haut niveau et le comité économique franco-algérien. Les ministres chargés des Affaires étrangères et de l’Économie de chaque pays se rencontrent régulièrement.
Les relations franco-algériennes sont généralement jugées meilleures sous la présidence de François Hollande que sous celle de Nicolas Sarkozy[10]. En juin 2015, Le Figaro observe : « Basée sur le pragmatisme, la relation tissée entre Paris et son ancienne colonie dans le domaine de la défense a atteint des niveaux d'intimité jamais vus depuis l'indépendance[10] ». La France et l'Algérie font en effet front commun contre un ennemi commun, le terrorisme islamiste[10].
L'Algérie et la France partagent un vif intérêt pour la guerre du Mali. Des consultations algéro-françaises sur le Mali et le Sahel ont eu lieu à Alger en 2017. Afin de combattre le terrorisme au Sahel et de tarir ses sources de financement, la France et l'Algérie échangent leurs analyses, partagent leur expertise et coordonnent leurs opérations dans le cadre offert par une commission mixte.
Sous la présidence d'Emmanuel Macron
En accord avec les déclarations d'Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle de 2017 sur la colonisation française en Algérie, le huitième Président de la République française manifeste à l'Algérie sa volonté d'avancer ensemble sur la question mémorielle. Emmanuel Macron appelle également à davantage d'ouverture dans l'économie algérienne, et annonce le 6 décembre 2017 sa volonté de créer un fond bilatéral d'investissement. Sous sa présidence, la France et l'Algérie concluent également et ratifient une convention d'entraide judiciaire et un accord permettant aux jeunes professionnels algériens de travailler en France et aux jeunes français d’effectuer des Volontariats internationaux en entreprise (VIE) en Algérie[11].
Néanmoins, lors de l'élection présidentielle algérienne en 2019, le discours anti-français demeure un « fonds de commerce électoral ». Même si pour la première fois, aucun candidat à la présidentielle n’a combattu pendant la guerre de Libération, l’exécutif comme le Hirak rivalisent de véhémence dans le dénigrement anti-français pour ranimer la flamme nationaliste[12].
Par la suite, le nouveau président algérien Abdelmadjid Tebboune félicite la décision de la France de restituer les crânes de 24 moudjahidine décapités par les forces françaises lors de la colonisation de l'Algérie[13]. Dans un entretien accordé le à France 24, le président algérien voit en cette restitution l'occasion d'aller « loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de la mémoire »[14].
Malgré les échanges directs qu’il a eus avec Emmanuel Macron à ce sujet, Abdelmadjid Tebboune est contraint de s’aligner, le , par la voix d’Abdelmajid Chikhi, son « conseiller pour la mémoire nationale », sur les positions du chef d’état-major Saïd Chengriha. D’après Jean-Pierre Filiu, ce dernier est soucieux de relancer la guerre des mémoires pour conforter un statu quo favorable depuis la fin de la guerre d'Algérie aux généraux algériens, et ce a contrario des revendications du Hirak, dont l’une des exigences est celle d’un gouvernement pleinement civil, émancipé de la tutelle militaire[4]. Moins d’un mois plus tard, Abdelmadjid Chikhi, directeur des Archives nationales, présenté comme étant un « homme proche du régime des généraux », affirme à nouveau que la France, après 1830 a « éliminé les personnes qui lisaient et écrivaient. Il s’en est suivi l’ère du pillage »[15].
En mars 2021, la visite du Premier ministre français Jean Castex en Algérie est annulée, officiellement pour raison sanitaire, mais plusieurs événements précédant la visite pourraient avoir joué un rôle dans ce report. Le ministre algérien du Travail et de la Sécurité sociale, El Hachemi Djaâboub, lançait devant le Sénat une virulente attaque contre la France, qualifiée d’« ennemi traditionnel et éternel », le même jour, La République en Marche, parti d’Emmanuel Macron, annonçait ouvrir une antenne politique à Dakhla, dans le Sahara occidental, un territoire réclamé par le Maroc, un geste « qui ne pouvait qu’être mal interprété » par le gouvernement algérien qui, dans le passé, a soutenu les revendications du Front Polisario[1].
Données économiques
La Chambre de Commerce et d'Industrie algéro-française est l'un des piliers des relations commerciales, industrielles et technologiques entre les deux pays. La France et ses entreprises soutiennent l'Algérie dans son projet de réindustrialisation, avec un intérêt particulier pour la dimension sociale et environnementale[réf. nécessaire].
La France est l'un des plus importants partenaires économiques de l'Algérie. En 2014, la France est le deuxième fournisseur de l'Algérie, après la Chine[16] et absorbe plus de 22 % des exportations françaises en Afrique. Les principaux produits importés en Algérie sont les produits pharmaceutiques, les céréales, les voitures et les carburants[17],[18]. CMA-CGM est en tête sur le marché maritime algérien. En dépit d’une hausse régulière du montant annuel d’exportation, la part de marché française a été divisée par plus de deux entre 2000 (alors à 24 %) et 2020. L’Algérie reste, en 2020, le 1er marché des entreprises françaises en Afrique et le 20e au niveau mondial[18].
L'Algérie est le premier partenaire commercial de la France en Afrique[11].
Les importations françaises de biens algériens s'élèvent à 4.195 milliards d'euros en 2019 et sont composées à 95 % d’hydrocarbures (pétrole brut, gaz naturel et carburants). Elles évoluent largement en fonction du cours du baril de pétrole. En 2019, la France est devenue le 1er client de l’Algérie (3e en 2018), conséquence d’une hausse de ses achats de pétrole brut et de carburants (en volume)[18].
En 2020, l’ambassade de France estime à près de 450 le nombre d’entreprises et d’entrepreneurs français implantés en Algérie, employant environ 40 000 salariés et générant plus de 100 000 emplois indirects[18]. La France serait également le 1er investisseur hors hydrocarbures, les entreprises françaises étant présentes dans les secteurs des transports, de l’automobile, de l’agroalimentaire, de la banque/assurance, de la pharmacie et des hydrocarbures[18]. En 2016, le stock d’IDE (Investissement direct étranger) français en Algérie était évalué à 2,15 milliards d'euros[19].
De plus, 440 000 retraités touchent une retraite française en Algérie[19].
Éducation et culture
En 2015, 22 000 étudiants algériens étudient en France, ce qui représente 90 % des étudiants algériens poursuivant leurs études à l'étranger[19].
Domaine judiciaire
Une convention d'extradition entre l'Algérie et la France[20] est promulguée en mars 2021 (pour la France) et en mai 2021 (pour l'Algérie). Selon cette convention, les parties « s’engagent à se livrer réciproquement, selon les règles et sous les conditions établies par (cette) convention, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes ». Elle stipule que « l’extradition est refusée si l’infraction pour laquelle elle a été demandée est considérée par la partie requise comme une infraction politique ou connexe à une infraction politique. ». Elle contient également une garantie de non-application de la peine de mort en Algérie, pays où elle n'est pas abolie.
Données démographiques
La France est le pays qui accueille la plus importante diaspora algérienne (entre 2 et 5 millions d'individus), loin devant l'Espagne (64 000 à 300 000), qui occupe la deuxième position.
Entre 2000 et 2013, 840 000 Algériens ont quitté le pays portant le nombre d'Algériens expatriés à 1 770 000 en 2013. 82 % des émigrés algériens se trouvent en France. Cette émigration a pour conséquence une « hémorragie grave dans l'encadrement et les élites universitaires »[21]. Elle touche également les médecins : selon le président du Conseil de l’ordre des médecins, entre 500 et 1 000 médecins algériens s’exilerait annuellement, notamment en France où le Conseil de l’ordre des médecins français recense, en 2021, 15 000 médecins algériens[22].
Santé
Les faiblesses du système de soin en Algérie a pour conséquence que de nombreux Algériens viennent se faire soigner notamment en France. Ce sentiment qu’il existe deux « collèges » pour les soins est renforcé par l’habitude prise par les dirigeants algériens de se faire soigner à l’étranger. Les fréquents séjours du président Bouteflika dans des hôpitaux en France ou en Suisse pour des soins sont perçus comme la preuve de l’échec de la réforme sanitaire[23].
En 2018, la dette cumulée par les ressortissants algériens, estimée à 29 millions d’euros, auprès de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) est de loin la plus importante parmi les patients étrangers. Les patients en provenance d’Algérie sont en effet les plus nombreux à être accueillis à l’AP-HP (2 400 en 2014). L’AP-HP a été confrontée à des problèmes récurrents de recouvrement auprès de la CNAS (la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés algérienne). Pour cette raison, un texte est voté par l’Assemblée nationale prévoyant que les patients algériens dont la prise en charge en France est déjà fixée, règlent leurs soins à l’avance[24].
Missions diplomatiques résidentes
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- Consulat d'Algérie à Grenoble
Références
- Pourquoi la visite de Jean Castex en Algérie a-t-elle été annulée ?, nouvelobs.com, 9 avril 2021
- Gilbert Meynier, Histoire intérieure du FLN. 1954-1962, Paris, Fayard, 2002, 812 p. (Préface de Mohammed Harbi), compte-rendu, Jacques Frémeaux, Revue d’histoire moderne et contemporaine, 4/2003 (no50-4), p. 205-206
- Abdelkader Yefsah, L'armée et le pouvoir en Algérie de 1962 à 1992, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, Année 1992, 65, pp. 77-95
- Jean-Pierre Filiu, « Les généraux algériens relancent la guerre des mémoires avec la France », sur lemonde.fr, 4 avril 2021.
- Benjamin Stora, Conflits et champs politiques en Algérie, Politique étrangère, Année 1995, 60-2, pp. 329-342
- « Les relations franco-algériennes ou la perpétuelle leçon de tango », Maghreb - Machrek, 2009/2 (no 200), 136 pages, (ISBN 9782916722603) DOI : 10.3917/machr.200.0091, Éditeur : ESKA, retranscrit sur Cairn.info (lire en ligne)
- Aomar Baghzouz, Les relations algéro-françaises depuis 2000 ou la quête d’une improbable refondation, L’Année du Maghreb, VI, 2010, p. 507-526, https://doi.org/10.4000/anneemaghreb.956
- Bertrand Romain, « La mise en cause(s) du « fait colonial ». Retour sur une controverse publique», Politique africaine 2/2006 (no 102), p. 28-49
- Mokrane Ait Ouarabi, « Une loi pour incriminer la colonisation », El Watan, 13 décembre 2005 (lire en ligne)
- Isabelle Lasserre, « La lune de miel franco-algérienne », sur Le Figaro, .
- « Relations bilatérales »
- Présidentielle en Algérie : le discours anti-français, un fonds de commerce électoral, jeuneafrique.com, 5 décembre 2019
- « La France remet à l’Algérie vingt-quatre crânes de résistants décapités au XIXe siècle et entreposés à Paris », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Le président algérien Abdelmadjid Tebboune croit à un « apaisement » de la situation avec la France », sur france24.com, (consulté le )
- Henri Vernet, «La France coloniale a œuvré pour répandre l’analphabétisme» : nouvelle sortie critique en Algérie, leparisien.fr, 18 avril 2021
- « Exportations en Algérie : la France de nouveau dépassée par la Chine », sur Le Monde, .
- « Business/ L’Algérie absorbe plus de 22% des exportations françaises vers l’Afrique », sur Algérie Focus, .
- Les relations économiques, dz.ambafrance.org, 7 juin 2020
- Viviane Forson, Coopération - Algérie-France : les chiffres pour comprendre, lepoint.fr, 8 avril 2016
- Convention d'extradition entre l'Algérie et la France, journal officiel algérien du 9 mai 2021.
- 840.000 Algériens ont quitté le pays sous Bouteflika contre 110.000 dans la décennie 90, huffpostmaghreb.com, 20 septembre 2014
- Younès Djama, Exode des médecins algériens : « Il y a un « canal » principal vers la France », tsa-algerie.com, 4 mars 2021
- En Algérie, la santé a mauvaise mine, jeuneafrique.com, 16 avril 2018
- En 2018, les patients algériens soignés en France devront régler leurs soins à l’avance, francetvinfo.fr, 2 janvier 2018
Annexes
Bibliographie
- France-Algérie. 50 ans d'histoire secrète, Naoufel Brahimi El Mili, Fayard, 2017
- Dominique Lagarde, « France-Algérie: 50 ans d'une relation compliquée », lexpress.fr, 19 décembre 2012.
Articles connexes
Liens externes
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