Quend

Quend (IPA : /kɛ̃/) est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France. En picard, elle se nomme Tchin.

Pour les articles homonymes, voir Tchin.

Quend

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Marc Volant
2020-2026
Code postal 80120
Code commune 80649
Démographie
Gentilé Quennois
Population
municipale
1 355 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 02″ nord, 1° 38′ 14″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 29 m
Superficie 37,78 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Quend
Géolocalisation sur la carte : Somme
Quend
Géolocalisation sur la carte : France
Quend
Géolocalisation sur la carte : France
Quend
Liens
Site web https://www.villedequend.fr

    Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

    Géographie

    Géographie physique

    La plage de Quend.

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est composé pour une large part d'argile blanche mêlée au sable. On rencontre la tourbe dans les marais. On ne rencontre nulle part de craie si fréquente dans la région.

    Au XVe siècle, le territoire était encore constitué de parties submergées. Les dépôts maritimes exhaussèrent le sol et l'Authie se retira vers le nord, bien loin de son lit primitif. De nombreuses digues sont élevées qui permettent alors de lutter contre l'envahissement des marées. La craie n'est présente nulle part[1].

    Seul émerge du pays entièrement plat un îlot de sable roux et galets ronds qui culmine à 10 m : c'est la foraine, de « foras », dehors.

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'une plaine côtière dont l'altitude s'élève à une dizaine de mètres. Le littoral est composé de 15 km de plage de sable fin.

    Le cordon dunaire a été planté d'oyat et de pin noir d'Autriche pour permettre aux dunes de résister aux assauts du vent.

    Hydrographie

    La commune est bordée au nord par l'Authie. Un réseau de canaux draine les terres agricoles.

    Au XIXe siècle, des fièvres de type paludéen atteignent encore un dixième la population, à cause de l'humidité ambiante. Le creusement de canaux de dessèchement a permis d'assainir le territoire communal[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants d'ouest.

    Risques naturels

    La commune présente un risque de submersion marine[2].

    Urbanisme et aménagement du territoire

    Le territoire communal est très étendu et comporte de nombreux hameaux (situation en 1899)[1], notamment :

    • le Vieux-Quend : certainement le berceau de l'agglomération, emplacement probable de Quintovic,
    • le Marais, à 1 km du chef-lieu,
    • le Fort Mahon, près de la baie d'Authie,
    • le Royon : tire son nom des digues qui y aboutissent : les royons,
    • Routhiauville, sur l'ancien lit de l'Authie, la mer y battait encore au XVe siècle,
    • Monchaux (Monceaux) : sur le bord des dunes, siège d'un ancien échevinage,
    • le Mureau (autrefois Murel, muraille), bâti près de la foraine,
    • Froise, dont le nom viendrait de Phrudis, ancien nom du fleuve Somme[3],
    • Herre, sur la route de Rue,
    • le Bout des Crocs, à la limite des crocs (dunes), d'où son nom,
    • Pont-à-Cailloux, ainsi nommé à cause du gué qui s'y trouvait avant la construction du pont,
    • les Mollières, maisons éparses dans les dernières renclôtures (polders),
    • le Pontgerville, terre seigneuriale d'où l'académicien Sanson de Pongerville tire son nom,
    • le Donvoix, emplacement d'anciens établissements romains,
    • le Château Neuf, tire son nom de M. de Châteauneuf qui en était propriétaire en 1740,
    • Château de la Motte, sur les ruines d'un château féodal,
    • la Grande Retz, ancienne maison seigneuriale du fief de la Retz...

    Activité économique et de services

    C'est le tourisme balnéaire qui constitue l'activité principale de la commune. Outre les activités de plage et de navigation, la randonnée, le char à voile, la pêche, la chasse participent au dynamisme économique avec les commerces de proximité, l'hôtellerie-restauration etc.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par une entrée-sortie de l'autoroute A 16 Paris-Calais.

    Transports en commun routiers : la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[4].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Quend est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), prairies (28,3 %), forêts (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), zones urbanisées (4,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones humides intérieures (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1 %), zones humides côtières (0,6 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Quent en 1210, Quend en 1594[réf. nécessaire].

    Le géographe Nicolas Sanson relève Quintovic Quintus Vicus et lui attribue l'origine du nom[1].

    Histoire

    Antiquité

    Poteries, médailles, pierres indiquent une présence romaine. Des travaux d'endiguement sont probablement réalisés, différenciant alors les baies de Somme et d'Authie[1].

    Moyen Âge

    En 858, les Normands, venus par la baie d'Authie, ne laissèrent que des ruines[1].

    La commune du Marquenterre est créée par une charte communale de 1190[15]. Cette charte est accordée par Guillaume III, comte de Ponthieu.

    Marquenterre signifierait mares kienterre, la mer qui rentre dans la terre[16].

    Époque moderne

    En 1515, construction de nouvelles digues pour se protéger des assauts de la mer[1].

    En 1640, Quend-le-Jeune est la résidence du maïeur du Marquenterre. On y compte huit échevins et neuf bourgeois[1].

    Les renclôtures attirent les convoitises et cela entraîne des procès :

    • Procès (1699, 1717), avec le comte de Mailly, seigneur de la Motte et des dunes, qui réclame les mollières cédées à ses créateurs,
    • avec les religieux de Saint-Valery, propriétaires des mollières depuis 1190,
    • avec le comte de Boullainvillers,
    • avec le Guerrier de Lormoy,
    • avec le comte d'Artois...

    La Révolution mit un terme à ces procès[1].

    Époque contemporaine

    Quend est issu de la commune du Marquenterre dissoute en 1791. Cette dissolution donna aussi naissance à la commune de Saint-Quentin-en-Tourmont.

    Le 23 germinal an IX (), deux compagnies sont créées pour lutter contre les vols et brigandages mais aussi se porter à la côte pour parer à un éventuel débarquement anglais. Deux batteries sont élevées en haut des dunes[1].

    En 1815 et 1870, les Prussiens paraissent dans la commune mais seulement après les hostilités[1].

    De 1872 à 1886, la commune perd plus de 200 habitants à la suite de la mise en herbages des fermes du Châteauneuf et du Trou-à-Mouches[1].

    En 1923, une partie de la commune est soustraite pour créer la nouvelle commune de Fort-Mahon-Plage.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793   Pierre-Crépin Duvauchelle    
    1795   Jehan Aniquet    
    1797   Louis Manier    
    1800   Louis Manier    
    1800 1801 M. Lefèvre Lahouplière    
    1801 1804 M. Houbron    
    1804 1810 Elluin BARBIER    
    1810 1816 Honoré Choquart    
    1818 1830 Jean-François Harlé    
    1830 1835 Charles Lefèvre de la Houplière    
    1835 1844 Louis Manier    
    1844 1848 Augustin-Edouard Elluin    
    1848 1861 Charles Maillard    
    1861 1867 Gaspard Rivet    
    1867 1870 Jules Lefèvre de la Houplière    
    1870 1876 Charles de la Houplière    
    1876 1884 Alphonse de la Houplière    
    1884 1888 Edouard Elluin    
    1888 1902 Siméon Cazier    
    1902 1904 Édouard Maillet    
    1904 1919 Hilaire Volant    
    1919 1929 Louis Pierrain    
    1929 1930 Alfred Poupart    
    1930 1941 Basile Capet    
    1941 1944 Marcel Vasseur    
    1944 1945 Hilaire Volant    
    1945 1947 Fernand Bailleul    
    1947 1965 Hilaire Volant    
    1965 1967 Maurice Roussel    
    1967 1983 Léon Capet    
    1983 2001 Daniel Boudeville    
    mars 2001 En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Marc Volant   Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026[18],[19],[20]

    Population et société

    Évolution démographique

    D’après le recensement Insee de 2007, Quend compte 1 387 habitants (soit une augmentation de 16 % par rapport à 1999). La commune occupe le 6 990e rang au niveau national, alors qu'elle était au 7 329e en 1999, et le 55e au niveau départemental sur 782 communes.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Quend depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1872 avec 1 858 habitants.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2018, la commune comptait 1 355 habitants[Note 2], en diminution de 2,94 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6001 3201 5091 7851 6801 7461 7471 7931 712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7451 8321 8481 8581 8271 7031 6481 6761 714
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6791 7251 8241 8391 2911 2311 4521 2331 352
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 3531 3451 3151 2431 2091 2051 3781 3811 391
    2018 - - - - - - - -
    1 355--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,4 % d'hommes (0 à 14 ans = 19,6 %, 15 à 29 ans = 13,8 %, 30 à 44 ans = 19,6 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 25,5 %) ;
    • 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 17,4 %, 15 à 29 ans = 13,3 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 31,8 %).
    Pyramide des âges à Quend en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,2 
    6,5 
    75 à 89 ans
    10,1 
    18,4 
    60 à 74 ans
    20,5 
    21,5 
    45 à 59 ans
    19,4 
    19,6 
    30 à 44 ans
    18,1 
    13,8 
    15 à 29 ans
    13,3 
    19,6 
    0 à 14 ans
    17,4 
    Pyramide des âges du département de la Somme en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    5,9 
    75 à 89 ans
    9,1 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,3 
    20,6 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,8 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,3 
    19,5 
    0 à 14 ans
    17,5 

    Enseignement

    Monchaux et Quend-Plage ont possédé chacun leur école qui a fermé. La commune dispose d'une école primaire (maternelle et élémentaire)[27]. Le transport scolaire est assuré vers l'école de Quend-ville et le collège de Rue. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes.

    Manifestations locales

    Le festival du film grolandais s'est tenu tous les ans de 2005 à 2009 à Quend-Plage-les-Pins[28], mais également à partir de 2007 le festival off, appelé le Off/Short, la face B du festival du film grolandais.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La plage de cette commune, ainsi qu'une partie de celle de la commune voisine de Fort-Mahon-Plage, constituent la Réserve Authie-Somme (protection de la faune, la flore, l'environnement).
    • Le Pax : salle mythique du festival de Quend.
    • Église Saint-Vaast de Quend ; dans le vieux bourg de Quend, bâtie sur l'ancien îlot d'époque romaine. En 1797, elle servit de point de triangulation pour établir la carte de France. Son clocher, bien que limité à 35 mètres de haut, se voit de très loin.
    • Église Notre-Dame-des-Pins à Quend-Plage.
    • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours à Monchaux.
    • Oratoire à Routhiauville.
    • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, en forme de guérite, à Quend-Ville.
    • Vieille chapelle sur la route de Rue à Berck, déclassée en remise pour matériel[29].

    Héraldique

    Les armes de la commune ont été adoptées le 25 septembre 1970. Elles s'inspirent du scel aux causes (sceau aux jugements) de la « commune de Marquenterre », à laquelle le comte de Ponthieu, Guillaume II, octroya une charte de libertés communales aux habitants[30].

    Blasonnement :

    • Parti d'or et de sinople, à deux poissons nageant l'un au-dessus de l'autre, de l'un en l'autre.[31]

    Ornement extérieur :

    • Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du 11 novembre 1948 : « courageuse commune, presque entièrement détruite au cours de la guerre 1939-1945, s'est remise avec foi et ardeur au travail[31]. »

    Personnalités liées à la commune

    • Roger Noyon (1934-2019), peintre aquarelliste, ancien instituteur de l'école de Monchaux-les-Quend ; une salle porte son nom au rez-de-chaussée du cinéma de Quend-Plage[32].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Boyenval, René Debrie et René Vaillant, Répertoire des noms de famille de la Somme en 1849, éditions Éklitra, Amiens, 1972, 232 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur M. Dufételle, vers 1899, Archives départementales, Amiens.
    2. « Dossier départemental des risques majeurs - Préfecture de la Somme » [PDF], (consulté le ), p. 13/85.
    3. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, tome 1, Le livre d'Histoire, Paris, 1998, p. 6.
    4. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Frédéric Zégierman, Le Guide des pays de France : Nord, Paris, Fayard, 1999, pages 599 à 600.
    16. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 3 mars 2013, p. 2 et 3.
    17. Tableau affiché à la mairie: « Les maires de Quend », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    18. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 14 avril 2014, p. 12.
    19. « Quend : bilan, fin de mandat... et perspectives de campagne pour Marc Volant, maire sortant : Marc Volant candidat à un quatrième mandat afin notamment de finaliser les grands projets de Quend-Plage », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Évolution et structure de la population à Quend en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population de la Somme en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale ».
    28. « Festival de Quend du Film Grolandais » (consulté le ).
    29. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 22.
    30. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=628
    31. Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, F. Paillart, , p.63.
    32. « Roger Noyon, l'artiste-peintre de Quend, s'est éteint », Courrier picard, , p. 15 (lire en ligne).
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