Pressignac-Vicq

Pressignac-Vicq est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Pressignac (homonymie) et Vicq.

Pressignac-Vicq

Le village de Pressignac-Vicq.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Benoît Bourla
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24338
Démographie
Gentilé Pressignaco-Vicois
Population
municipale
431 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 46″ nord, 0° 43′ 21″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 206 ou 207 m
Superficie 17,06 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Pressignac-Vicq
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Pressignac-Vicq
Géolocalisation sur la carte : France
Pressignac-Vicq
Géolocalisation sur la carte : France
Pressignac-Vicq

    Géographie

    Généralités

    Étang alimenté par la Sérouze, en bordure de Pressignac.

    Au sud du département de la Dordogne, la commune de Pressignac-Vicq s'étend sur 17,06 km2. Le territoire communal est arrosé par deux affluents de la Louyre : la Sérouze et le ruisseau de Barbeyrol.

    L'altitude minimale, 100 mètres, se trouve à l'extrême nord-ouest, là où la Sérouze quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cause-de-Clérans et Saint-Marcel-du-Périgord. L'altitude maximale avec 206 ou 207 mètres[Note 1] est localisée au sud-est, au lieu-dit les Portes.

    Au niveau géologique, le sol se compose essentiellement de calcaires crétacés, avec quelques affleurements à l'ouest de sables, argiles ou graviers tertiaires[1].

    Le bourg de Pressignac, traversé par la route départementale (RD) 36, se situe, en distances orthodromiques, six kilomètres au nord de Lalinde et dix-sept kilomètres à l'ouest du Bugue. Celui de Vicq se situe deux kilomètres à l'est de Pressignac.

    Deux autres routes départementales, la RD 8 à l'est et la RD 8E2 à l'ouest, desservent également le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Carte de Pressignac-Vicq et des communes avoisinantes.

    Pressignac-Vicq est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 905 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Pressignac-Vicq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (35,5 %), prairies (7,8 %), terres arables (5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les communes de Pressignac et de Vicq ont fusionné sous le nom de Pressignac-Vicq en 1960[19].

    La première mention écrite connue de Pressignac a été relevée dans un pouillé du XIIe siècle, sous la forme Prescinhac[20]. Le nom du lieu évolue ensuite dans sa version latine en Prescinhacum en 1382, puis sous la forme fautive Presingnhac dans un acte notarié de 1582[20].

    Le nom de Pressignac est dérivé d'un personnage gallo-roman, Priscinus, suivi du suffixe -acum[21], désignant ainsi le « domaine de Priscinus »[21].

    Le nom de Vicq apparaît pour la première fois en 1382 sous la forme Vicus[22]. En 1648, l'église ou la paroisse, Saint-Sauveur-de-Vicq, est notée parmi les bénéfices de l'évêché de Périgueux[22]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Vic[23].

    L'étymologie de Vicq dérive du latin vicus signifiant « village, bourg », que l'on retrouve dans Neuvic[21].

    Histoire

    Stèle à la mémoire des personnes tuées par les Allemands le .

    Le territoire communal a été occupé par des humains aussi bien au Paléolithique qu'au Néolithique[21].

    Vers la fin de la seconde Guerre mondiale, des combats, destructions et massacre de Résistants par la 11e Panzerdivision de la Wehrmacht, se déroulent à Mouleydier et Pressignac, le [24].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[25].

    Le , les communes de Pressignac et de Vicq fusionnent sous le nom de Pressignac-Vicq[19].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Pressignac a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Lalinde dépendant de l'arrondissement de Bergerac[26].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton qui devient bien plus étendu[27].

    Intercommunalité

    En 2002, Pressignac-Vicq intègre la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[28],[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1959 1989 Jean Augeyrolles    
    1989 1993 François-Régis Bourla    
    1993 2001 Christiane Labasse    
    mars 2001 juin 2011 Jean-Marie Philippo[Note 6] SE[30] Retraité
    juillet 2011 avril 2014 Patrick Breton    
    avril 2014[31]
    (réélu en mai 2020[32])
    En cours Benoît Bourla    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Pressignac-Vicq relève[33] :

    Démographie

    Jusqu'en 1960, les communes de Pressignac et de Vicq étaient indépendantes. En 1960, Vicq fusionne avec Pressignac, qui devient la commune de Pressignac-Vicq.

    Démographie de Pressignac, puis de Pressignac-Vicq

    Les habitants de Pressignac-Vicq se nomment les Pressignaco-Vicois[34].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 431 habitants[Note 7], en diminution de 9,45 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    370665552617555596571604532
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    583536524487501474442426393
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    413408405280282271277259243
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    313341341349385448453475440
    2018 - - - - - - - -
    431--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 200 personnes, soit 44,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-quatre) a diminué par rapport à 2010 (trente-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-cinq établissements[39], dont vingt-trois au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    De part et d'autre de la commune, deux zones boisées sont protégées en tant que zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II.

    Au sud-est, sur environ 10 % du territoire communal, la Combe de Foulissart[45],[46], est une forêt de chênes pubescents (Quercus pubescens) de 460 hectares, refuge de la grande faune et de plusieurs espèces de rapaces[47].

    Au sud-ouest, près de Bareyroux, sur près de deux hectares, une infime partie du territoire communal se situe en forêt de Liorac, refuge de la grande faune[48],[49].

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1) d’azur aux trois besants d’argent ordonnés en orle, au 2) de gueules aux trois roses d’or ordonnées en orle ; sur le tout taillé de sinople et de sable[50].
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux données contradictoires selon l'IGN : 207 mètres sur la carte de randonnée 1936 O, et 206 mètres pour l'ancien site de l'Institut géographique national (archive).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Démissionnaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pressignac-Vicq et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Commune de Vicq (24578), Insee, consulté le 30 mars 2017.
    20. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Pressignac », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 30 mars 2017.
    21. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 275.
    22. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Vicq », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 30 mars 2017.
    23. Carte 71 Bergerac, site cartocassini.org, consulté le 30 mars 2017.
    24. prisons-cherche-midi-mauzac.com Histoire pénitentiaire et Justice militaire - Juin 1944 : Mouleydier, un Oradour-sur-Glane en Périgord.
    25. [PDF] Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945, Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), p. 14-15.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
    29. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
    30. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
    31. Anne-Marie-Sopkowitz, Un nouveau président à l'intercommunalité, Sud Ouest édition Dordogne du 13 mai 2014, p. 20h.
    32. Anne-Marie-Sopkowitz, « Le mai est planté », Sud Ouest édition Dordogne, 10 juillet 2020, p. 26.
    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 31 mars 2017.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Dossier complet - Commune de Pressignac-Vicq (24338) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Commune de Pressignac-Vicq (24338) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
    41. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 184.
    42. Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1), p. 38-40.
    43. « Église Notre-Dame de la Nativité », notice no PA00082773, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 30 mars 2017.
    44. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 186.
    45. Combe de Foulissart, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.
    46. Carte de localisation de la Combe de Foulissart sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
    47. [PDF] Combe de Foulissart sur le site de l'INPN, consulté le 30 mars 2017.
    48. Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.
    49. Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
    50. OLDJP La banque du blason 2, consulté le 30 mars 2017.
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