Port-de-Bouc

Port-de-Bouc est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Port-de-Boucains.

Port-de-Bouc

Le fort « Vauban ».

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Istres
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Laurent Belsola
2020-2026
Code postal 13110
Code commune 13077
Démographie
Gentilé Port-de-Boucains
Population
municipale
16 569 hab. (2018 )
Densité 1 446 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 24′ 21″ nord, 4° 59′ 21″ est
Altitude 15 m
Min. 0 m
Max. 68 m
Superficie 11,46 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Martigues
Législatives Treizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Port-de-Bouc
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Port-de-Bouc
Géolocalisation sur la carte : France
Port-de-Bouc
Géolocalisation sur la carte : France
Port-de-Bouc
Liens
Site web http://www.portdebouc.fr

    Géographie

    Situation

    Port-de-Bouc est située à l'embouchure du canal de Caronte qui relie l'étang de Berre au golfe de Fos et à la Méditerranée. La commune est également le point d'arrivée du canal de navigation d'Arles à Bouc.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 11,0 12,4 15,2 17,4 21,8 26,0 29,6 29,3 25,2 20,0 14,4 11,8 19,5
    Températures moyennes (°C) 6,8 7,9 10,3 12,6 16,7 20,6 23,9 23,7 20,1 15,5 10,3 7,8 14,7
    Températures minimales (°C) 2,6 3,4 5,3 7,7 11,6 15,2 18,1 18,1 14,9 11,0 6,2 3,8 9,9
    Précipitations (hauteur en mm) 62 48 47 56 40 37 15 31 64 99 54 56 606,2
    Source : Météo France / Station d'Istres[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-de-Bouc est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[5] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,9 %), forêts (10,2 %), cultures permanentes (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %), zones humides intérieures (1,2 %), eaux maritimes (0,6 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    Port-de-Bouc est mentionnée sous la forme Portus de Boc en 1147.

    Il peut être issu d'un hypothétique thème ligure *bukk à valeur oronymique, de *ug (hauteur)[réf. nécessaire] ou du latin boca au sens d’embouchure. Dans le Trésor du Félibrige[15], Frédéric Mistral cite Port-de-Bouc à l'article bou, mot provençal qui désigne l'ouverture qui relie l'étang de Berre à la mer ainsi que d'autres lieux de même nature ; de l'ancien provençal boc, du bas-latin bucum, ouverture, même étymologie que l'italien buco.

    Le nom de la commune en provençal est Port de bou[15], l'ancien provençal boc ayant évolué et perdu sa consonne finale en provençal moderne. Le c final de la graphie française Port-de-Bouc tend à provoquer le retour de la prononciation ancienne « bouc » au lieu de « bou ».

    Histoire

    Faits historiques

    Port-de-Bouc était originellement plusieurs hameaux situés sur les communes de Fos et de Martigues.

    Napoléon Bonaparte ordonna en 1805 l'aménagement du port et de la ville, par décret impérial ; mais en 1820, seule la jetée est achevée, et les plans établis ne seront jamais réalisés. Alexandre Dumas, qui visite le site en 1834, n'y trouve que « trois maisons dont deux étaient fermées faute de locataires, et dont la troisième [était] transformée en auberge »[16].

    Le , Port-de-Bouc est devenue une commune par démembrement des communes de Fos et de Martigues.

    Embrassant la mer, la ville affirme sa vocation industrielle et maritime, elle devient terre marine. L’art des bateaux, de la transformation des énergies issues de la mer a trouvé son port d’attache.[non neutre]

    En 1850 pour le développement du port de commerce, ainsi que des activités industrielles telles que les salins, l’usine à plomb, nous sommes en 1876 pour l’installation de la sécherie de morues Cabissol de la Lèque, nous sommes en 1894 pour l’ouverture de la raffinerie de pétrole “La Phocéenne”.

    En 1899, aux portes du XXe siècle les Chantiers et Ateliers de Provence, spécialisés dans la construction navale s’implantent à Port-de-Bouc. Quelques années plus tard, deux usines de produits chimiques, Saint-Gobain et Kuhlman, choisissent elles aussi Port-de-Bouc.

    En 1944, dès la libération de la commune, la population, avec l'aide des alliés Americains effectuent la remise en état du port, et à partir de fin , Port-de-Bouc a été le premier port français en Méditerranée à accueillir les liberty ship, et avec par la suite Toulon et Marseille, un des trois Ports de ravitaillement alliés. En fin , Port-de-Bouc avait déjà accueillit 23 navires avec 37 400 tonnes de matériels et 50 740 m3 de carburants déchargés. Port-de-Bouc a été le premier port français de Méditerranée pour le déchargement de carburants facilitant une progression rapide des troupes alliés dans la vallée du Rhône. Un oléoduc mis en chantier le relia Lyon en novembre ce qui permit un ravitaillement plus rapide et libéra les voies ferrées et route pour les autres marchandises.[17]

    En 1946, l'archéologue et historien Fernand Benoit commence des fouilles sous-marines de Fos et de son golfe, et découvre les restes d'une cité engloutie qui s'étendent jusqu'aux abord de la ville de Port-de-Bouc. Cette cité a été renommée le "Fos englouti" de par le rapprochement géographique avec la ville de Fos. Il a été découvert qu'une peuplade vivait depuis le XVIe siècle grâce à l'architecture des habitations découvertes dans les restes de la cité. Pourtant, cette mystérieuse ville perdue n’a jamais été habitée, ni même construite par l'Homme. Les plongeurs trouvèrent des restes de bâtiments mais aucun objet précieux, ni poterie, ni aucune trace d’humanité. En étudiant avec minutie la composition des matériaux de construction, les chercheurs de l’équipe de Fernand Benoit n'ont toujours pas réussi à résoudre ce mystère.

    En été 1947, un événement marque à tout jamais la ville de Port-de-Bouc : 4 500 passagers de l’Exodus, survivants de la Shoah, restent parqués pendant trois semaines à bord de trois bateaux cages de la marine britannique dans la rade de Port-au-Bouc. Bras de fer entre deux nations, la France et l’Angleterre, une chaine de solidarité est organisée par les Port-de-Boucains autour des réfugiés et la France refuse de forcer les passagers rescapés des camps de concentration de la 2de guerre mondiale à descendre des bateaux, passagers qui devaient à la base rejoindre la terre de Palestine. Ces réfugiés furent transférés par les Anglais de nouveau dans des camps de déportés en Allemagne. Ce n'est qu'en 1948, après l'établissement de l'État d'Israël, qu'une première partie des passagers de l'Exodus parvint en Palestine.

    Ancien site de Saint-Gobain. En fond le quartier des Aigues douces, représentatif de l'essor de la population dans les années 60.

    Durant cette période, la population augmente et se diversifie. Elle acquiert là son statut de ville hospitalière. En 1966, la ville enregistre 14 000 habitants de tous horizons : Français, Espagnols, Maltais, Italiens, Grecs…

    Première fracture, survenue en 1966, les Chantiers et Ateliers de Provence qui ont forgé l’identité de la cité, dont les rues aujourd’hui encore portent des traces indélébiles, ferment leurs portes après faillite et dépôt de bilan. Le car-ferry Provence dernier navire construit est remorqué à La Ciotat pour finitions, malgré des ouvriers grévistes qui font tout pour empêcher son départ. Un avènement économique majeur qui déstabilise toute la ville. Deux mille emplois disparaissent alors.

    Dans les années 1970 toute la région vit dans la perspective du gigantesque complexe industriel de Fos-sur-Mer. On s’attend à la création de milliers d’emplois, des sidérurgistes lorrains arrivent dans la région, décidés à contribuer au développement promis.

    Port-de-Bouc dispose de réserves foncières, et poussé par les autorités nationales fait face à l’arrivée de 7 500 nouveaux habitants en construisant des infrastructures d’accueil. Cet espoir-là pour la ville et pour l’ensemble des familles n’aura duré que quelques années.

    La désillusion survient en 1975 avec l’arrêt du développement de la Z.I. de Fos, suivi de près par la crise de la sidérurgie qui frappe aussitôt les unités de Solmer et d’Ugine Acier.

    Le « Port Renaissance », port de plaisance qui marque l'orientation vers les activités tertiaires de la ville.

    Dernière criée publique de toute la région PACA pour la vente du poisson, la Halle à Marée doit fermer ses portes en , suivie quelques années après de la Copemart qui commercialisait le poisson bleu. Désormais, l'activité de la Pêche à Port-de-Bouc est devenue quasi inexistante.

    Voisine des activités liées à la pêche, la plaisance ; le port abrite des bateaux venus de toute l’Europe.

    La requalification urbaine entreprise depuis une dizaine d’années a donné un nouveau visage à Port-de-Bouc. Tout en améliorant le cadre de vie des Port-de-Boucains, l’attractivité de la ville s’est renforcée.

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    De gueules à l'ancre de marine d'or avec sa gumène du même, surmontée d'une trangle aussi d'or étayée aux cantons de deux bâtons du même mouvant des flancs, l'un en barre à dextre et l'autre en bande à senestre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    septembre 1866 septembre 1870 Isidore Barthélémy    
    septembre 1870 avril 1871 Léon Vidal    
    avril 1871 janvier 1881 Isidore Barthélémy    
    janvier 1881 décembre 1881 Grégoire Ferrier    
    janvier 1882 juillet 1887 Marius Vin    
    juillet 1887 novembre 1896 Antoine Landrivon    
    novembre 1896 janvier 1902 Fernand Bonnet    
    février 1902 mai 1904 Bienvenu Bondil    
    mai 1904 novembre 1919 Charles Roque    
    novembre 1919 janvier 1924 Antoine Bouc    
    février 1924 mai 1925 Joseph Couture    
    mai 1925 décembre 1940 Marcel Gaussorgues[18] SFIO  
    février 1941 août 1944 Jules Crétinon    
    août 1944 mai 1990 René Rieubon[19] PCF Ouvrier ajusteur, ancien résistant
    Député (1962-1986), maire
    mai 1990 juin 2005 Michel Vaxès PCF Conseiller d'orientation-psychologue
    Député (1997-2012), maire, conseiller général du canton de Martigues-Ouest (1988-1997)
    juin 2005 2020 Patricia Fernandez PCF  
    juin 2020 En cours Laurent Belsola PCF Douanier
    Sources : Archives communales, séries D et K

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 16 569 habitants[Note 5], en diminution de 3,71 % par rapport à 2013 (Bouches-du-Rhône : +2,07 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 3799959291 4731 4421 4791 3002 2392 602
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    3 4374 1414 3855 6956 1636 6258 55112 51014 080
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018 -
    21 42420 10618 78616 68617 52917 21116 68216 569-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Sardinades de 1986 à nos jours. Organisées par l'association Promomer du dernier samedi du mois de juin au dernier dimanche du mois d'août. L'évènement a pris une telle ampleur qu'il a largement été médiatisé notamment dans l'émission Télématin sur France 2, et plusieurs fois sur le journal télévisé de TF1. Tellement populaire que depuis sa création, il a été copié dans plusieurs villes de la région sous diverses appellations.
    • Festival des Agglos 2001-2011 (musiques actuelles). Organisé par l'association  Avec la Tête.

    Chanson

    Cinéma

    Peinture

    Footballeurs

    Joueur de pétanque

    Économie

    L'entreprise, Le Pêcheur de Carro, située à Port-de-Bouc, depuis 1976, est la seule qui conditionne la poutargue de Martigues. La production est d'environ 50 kilos par an[24].

    Sport

    Football américain

    Les Jaguars, un club permettant la découverte ou la pratique du football américain.

    Rugby à XV

    Rugby club Martigues Port-de-Bouc engagé en Fédérale 3.

    Handball

    Le CCS Handball Port-de-Bouc retrouve la Nationale 2 Féminine (4e division nationale) pour la saison 2016/2017

    Culture et patrimoine

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://climat.meteofrance.com/chgt_climat2/climat_france?68377.path=climatstationn%252F13047001
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Lou Tresor dóu Felibrige, vol. 1, p. 309 de l'édition CPM de 1979.
    16. Ville de Port-de-Bouc : Une ville, des bateaux et des hommes (Journal d'Exposition 2005)
    17. Paul Gaujac, La guerre en Provence, 1944-1945 : une bataille méconnue, Presses Universitaires Lyon, , 189 p. (ISBN 978-2-7297-0602-9, lire en ligne)
    18. https://maitron.fr/spip.php?article92495, notice GAUSSORGUES, version mise en ligne le 2 novembre 2010, dernière modification le 3 octobre 2019.
    19. https://maitron.fr/spip.php?article158709, notice RIEUBON René par Gérard Leidet, version mise en ligne le 7 mai 2014, dernière modification le 3 juillet 2019.
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Naestro, un boxeur à la voix d'or », Et Baam !, (lire en ligne, consulté le )
    24. Dictionnaire de la Provence, op. cit., p. 616.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alexandre Dumas, Port-de-Bouc : Impressions de voyage/Le midi de la France. 1834.
    • Alfred Saurel, Histoire de Martigues et de Port-de-Bouc, Marseille, 1892.
    • L. Beteille, Histoire de Port-de-Bouc, Aix-en-Provence, 1926.
    • Charles Cretinon, Contribution à l'histoire de Port-de-Bouc, Marseille, 1969.
    • Roger Cornu, Du chantier naval à la ville : la mémoire ouvrière de Port-de-Bouc : étude, Aix-en-Provence, 1984.
    • Jean Domenichino, Des Bateaux et des hommes : Port-de-Bouc, Port-de-Bouc, 1987.
    • Jean Domenichino, Un Chantier, des ouvriers, une ville : Port-de-Bouc et la construction navale, 1900-1966 : analyse du rayonnement d'une entreprise et de son collectif ouvrier, Lille, 1988.
    • Pierre Roche, Port-de-Bouc : destination santé, Port-de-Bouc, 1988.
    • Jean Domenichino, Une Ville en chantiers : la construction navale à Port-de-Bouc, 1900-1966, Aix-en-Provence, 1989.
    • Jacques Marseille (dir.), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN 2035751055)
    • Charles Cretinon, Port-de-Bouc, Saint-Cyr-sur-Loire, 2002.
    • Jo Ros, Port-de-Bouc : Pentagone, mon quartier au cœur, Saint-Cyr-sur-Loire, 2003.
    • Charles Cretinon, Port-de-Bouc : des origines à nos jours, Aix-en-Provence, 2004.
    • Jo Ros, Port-de-Bouc : l'aventure de la salle Gagarine, Saint-Cyr-sur-Loire, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

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