Photographie érotique

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  Daguerreotype coloré par Félix-Jacques Moulin, c.1851-1854
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  Nu féminin allongé, Amélie par Félix-Jacques Moulin, c.1852-1853
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  XIXe siècle nude photographie de nu par un photographe inconnu.
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  Photographie du buste d'une jeune femme par un photographe inconnu.

Un allemand, Wilhelm von Gloeden, en cure à Taormina (Sicile) de 1890 à 1910.

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  Reclining Male Nude Beside Vase at the Metropolitan Museum of Art
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  Caino
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  Boy with Flying Fish
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  Boy with Gloeden's dog Nedda
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  Nu masculin

Dans les années 1900, pour détourner la loi, les photographes français ont inventé la carte postale de nu vendue plus ou moins sous le manteau dans les kiosques à journaux.

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  Nu par Jean Agélou vers 1910
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  Jean Agélou[1]
  Modèle : Fernande[2]
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  Nu féminin par Charles Gilhousen, carte postale, 1919
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  Nu par Julian Mandel
  Modèle : Alice Prin dite Kiki de Montparnasse
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  Scène inspirée de la Grèce antique avec cithare
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  Marionnette à fils.
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  Marionnette à fils.

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  Portrait par Bellocq, c.1912 (1900-1917)
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  Nue sur un divan par Julian Mandel, c.1910–1930
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  Photographie érotique vers 1910.

L'obscénité d'une photographie — le fait qu'elle puisse être montrée, publiée ou exposée — est la résultante de deux facteurs : son érotisme et son caractère pornographique.

Son érotisme est plus ou moins proportionnel aux parties du corps — fesses, seins, tétons, vulve, pénis, anus — montrées, en plus ou moins gros plan.

Son plus ou moins grand caractère pornographique — faible, moyen, grand — est facteur du nombre de partenaires participants à la scène photographiée et à l'acceptation sociétale et légale de la position et la pratique représentée.

La dimension érotique d'une photographie érotique est évaluée sur une échelle verticale à 10 degrés.

La dimension pornographique d'une photographie érotique est évaluée sur une échelle horizontale à 10 degrés inspirée de l'échelle COPINE (verticale) que, pour mémoire, nous redonnons ci-dessus :