Peintures murales en Côtes-d'Armor

Cette liste recense les peintures murales réalisées en Côtes-d'Armor dans la région Bretagne, avec classement non exhaustif dans l'ordre chronologique, puis alphabétique.

XIe siècle

  • Saint-André-des-Eaux, ancienne église Saint-André (XIe siècle) : Saint-André-des-Eaux était une ancienne enclave de l'évêché de Dol[1] et probablement une ancienne trève de Plouasne[2]  son porche datant du début du XVe siècle , [3] dans laquelle figurent d'importants vestiges de peintures murales romanes[4]. Abandonnée vers 1893 et aujourd'hui ruinée, elle a longtemps servi de carrière.  Classé MH (1990)[5],[6],[7]. Les peintures murales, soumises aux intempéries depuis que l'église est abandonnée et tombée en ruine ont presque disparu. Il n'en reste plus que quelques lambeaux dans l'édifice actuel[8]. Le musée des Monuments français en avait fait faire des photographies et des relevés aquarellés par Charles Chauvet au début du XXe siècle[9].
Selon l'analyse archéologique, les premières peintures murales dateraient de la même époque que le bâtiment lui-même[8]. Elles ont été peintes à fresque ou à sec sur un mortier de couleur beige. Les motifs géométriques peints s'inspirent d'éléments architecturaux à l'abord des ouvertures. De part et d'autre de l'arc diaphragme (côté nef) et sous celui-ci, les motifs associent motifs circulaires, dents de scie, losanges, et feuilles de fougères[10]. Ce sont les seuls décors qui ont résisté aux intempéries. Une reconstitution de ce décor est visible dans l'article de M. Dupuis dans le Bulletin monumental[2].
Ce premier décor a été recouvert ensuite par la crucifixion (œuvre disparue)[11],[12],[13]. La scène est surplombée par une représentation symbolique de la lune et du soleil. Y figurent saint Jean, la Vierge Marie et deux autres personnages : le centurion perçant le flanc du christ et le porte-éponge, selon Mathias Dupuis[3]. Cette œuvre, proche des crucifixions romanes du Val de Loire, pourrait être datée entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle[8]. L'aspect allongé des visages et le drapé des vêtements rapprochent notamment cette œuvre des peintures romanes de Saint-Aignan datées de 1200[14].
Les murs auraient ensuite été recouverts par deux autres campagnes de peinture, l'une à l'époque moderne et la dernière au XIXe siècle. Elles représentent des motifs architecturaux simples imitant un appareillage de maçonnerie (faux appareil).

XIIe siècle

  • Langast, église Saint-Gal de Langast :  Classé MH (1981)[15]. Sous l'enduit, des fresques romanes exceptionnelles ont été découvertes à l'intrados des grandes arcades, ainsi que des fresques gothiques et du XVIIe siècle[16]. Les peintures romanes représentent des figures d'anges et de saints en pieds accompagnées d'inscriptions au milieu d'un décor géométrique et végétal, et notamment une très rare représentation d'un saint Michel psychopompe. Elles sont sans équivalent de par leur style et ne semblent influencées par aucune autre école régionale, contrairement aux autres peintures murales qui subsistent en Bretagne. Réalisées avec une gamme très réduite de pigments, elles sont très stylisées et rappellent par de nombreux égards les sculptures des chapiteaux romans bretons, notamment ceux de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Fouesnant[17]. Leur datation fait débat, allant du IXe au XIIe siècle. Xavier Barral i Altet y voit un rare exemple de fresques du début du XIe siècle.[18]. L'analyse des inscriptions accompagnant certaines figures et celle des vêtements les font dater du XIIe siècle pour d'autres spécialistes[19].
  • Lamballe, église Saint-Martin : une arcade, un pilier et le mur du clocher roman comporte des peintures murales de facture médiévale : un moine et calice sur un pilier roman à proximité du chœur ; le Christ entouré de rinceaux au dos d'une arcade romane ; sainte Radegonde sur le mur de l'ancien clocher de l'église romane[20].  Classé MH (1907).
  • Morieux, église Saint-Gobrien : des scènes de la vie du Christ (Nativité, Présentation au Temple, Baptême, Tentation au Désert, Crucifixion) furent peint aux XIIIe et XIVe siècles dans la nef sur le mur sud et l’arc diaphragme. Sur le mur nord figure le Couronnement d’épine, la Mise au tombeau et la Descente aux Enfers du XVIIe siècle. Le chœur est décoré au XVe siècle sur le thème de la Passion (Lavement de pieds, Cène, Jardin des Oliviers, Flagellation). Cette architecture simple est magnifiée par les fresques des XIIe et XIIIe siècles, et des XVe et XVIIe siècles qui couvrent les murs, remarquablement bien conservées, avec des motifs décoratifs et des frises soulignant l’architecture, ainsi que des scènes figuratives. De nombreuses scènes illustrent la vie de saints  martyres de sainte Lucie et de saint Étienne dans la nef, saint Christophe dans le bas-côté sud, saint Michel dans le chœur  et un calendrier agricole du XIVe siècle orne l’intrados de l’arc triomphal dans des pigments rouge et jaune[21].  Classé MH (1995).

XIIIe siècle

  • Créhen, château du Guildo : en 2005 fut découvert dans les parties subsistantes d'une chambre basse, à proximité de la grande salle nord, les vestiges de peintures murales d'un décor de faux appareil en polychromie inversée à joints blanc dédoublés sur fond d'ocre rouge avec un décor de merlettes dans le centre sur les murs nord et sud, et d'une fleurette stylisées sur le mur est. Des pièces de monnaies découvertes dans la même couche stratigraphique permettent une datation de la fin du XIIIe siècle[22],[23].
  • Léhon, abbaye Saint-Magloire : il est un des rares témoins des réfectoires de cette période encore aussi bien conservé avec de grandes baies gothiques à remplages trilobés, des chapiteaux aux motifs de feuilles du XIIIe siècle, des peintures murales aux tons ocre et des fleurs dans les embrasures des baies. « [le ]décor d'arcades à fines colonnettes déterminant de fausses lancettes terminées à leur sommet par un arc trilobé est comme transposé dans les trumeaux des baies du mur d'en face, du côté du cloître, associé à un faux appareil, dans les deux tons d'ocre rouge et jaune »[24].
  • Paimpol, abbaye de Beauport : traces de peintures murales, restaurées après 1992[25],[26]. Classé MH (1862).

XIVe siècle

XVe siècle

Fresque de l'église Notre-Dame-du-Tertre à Châtelaudren-Plouagat.
  • Châtelaudren-Plouagat, église Notre-Dame-du-Tertre  Classé MH (1907)[28] : plafonds lambrissés polychrome du XVe siècle[29].
  • Fréhel, chapelle du Vieux-Bourg : ancienne église paroissiale de Pléhérel-Plage, elle est le vestige d'un édifice vraisemblablement construit au cours du XIVe siècle et amputé de sa partie occidentale à la fin du XIXe siècle en raison de son état de délabrement très avancé. Vestige d'un édifice de plan rectangulaire allongé à vaisseau unique construit en grès rose, granite et poudingue, comprenant une aile en équerre au sud et une sacristie accolée au chevet. Un arc-diaphragme épaulé de contreforts extérieurs soutient un ancien clocher-peigne à deux baies. Elle renferme 12 statues polychromes, et une voûte peinte en bleu étoilé avec des têtes d'angelots au-dessus de nuages, peintures restaurées en 2003 et 2004[30].
  • Merléac, chapelle Saint-Jacques de Saint-Léon : chapelle ayant bénéficié en 1861 de restaurations, elle fut  Classé MH (1862). Elle fut dotée de ses décors par la famille de Rohan. Depuis 2010, elle fait l'objet d'importantes restaurations, ayant permis de redécouvrir les peintures murales et les lambris peints de la nef. À la voûte peinte de la nef figure la Genèse. Les décors héraldiques furent étudiés par Laurent Hablot, qui indique que le surlignage des arcades par la polychromie se transforme en décor héraldique faisant alterner les macles de la maison de Rohan, avec les hermines bretonnes peintes en ocre rouge au lieu d'êtres noires[31],[32]. Le lambris peint a fait l'objet d'un colloque pluridisciplinaire le [33].  Classé MH (1908).
  • Plouha, chapelle de Kermaria an Iskuit, ou Kermaria an Isquit : située dans le hameau de Kermaria, elle se dresse au milieu de la campagne. La voûte est à deux travées, décorée d'anges peints a fresco.  Classé MH (1907)[34].
La chapelle de Kermaria est, avec l'église de Kernascléden (Morbihan), le seul sanctuaire de Bretagne à posséder une fresque représentant ce thème de l'art macabre du Moyen Âge. Cette fresque comportant 47 figures d'environ 1,3 m de haut. Recouverte de badigeon au XVIIIe siècle, elle est remise au jour en 1856 par Charles de Taillart. La réalisation de cette fresque est située entre 1488 et 1501.
À Kermaria, la farandole macabre est située en hauteur, de part et d'autre de la nef principale, au-dessus des arcs séparant les bas-côtés de la nef. Elle commençait par le personnage de l'acteur (ou l'auteur), aujourd'hui disparu, situé près du chœur côté épître, chargé de rédiger les sentences morales de huit vers chacune, tracées sous chaque personnage. Après l'acteur, la chaîne comprend, séparés par des squelettes au rire sardonique : le pape ; l'empereur ; le cardinal ; le roi ; le patriarche ; le connétable ; l'archevêque ;le chevalier ; l'évêque ; l'écuyer ; l'abbé ; le bailli ; l'astrologue ;le bourgeois ; le chartreux ; le sergent.
Dans le bas-côté nord, face à la chapelle privative, une frise de m de long à l'origine représentait, également a fresco, un Dit des trois morts et des trois vifs, dans les tons de grisaille sur fond ocre rouge.
Un groupe de quatre sujets non séparés par des squelettes : le médecin (avec sa fiole de potion), la femme accrochée aux bras de ses voisins, l'usurier et le pauvre ; l'amoureux, portant pourpoint et poulaines ; le ménétrier, dont le biniou est à terre ; le laboureur, avec sa serpe et son hoyau à l'épaule ; le cordelier ; l'enfant. La réalisation est dans les tons clairs pour les personnages, marqués par un trait léger, sur fond ocre rouge-brun. Le décor de la farandole est une galerie séparée par des colonnettes, dans les travées desquelles évoluent les personnages[35],[36],[37],[38].


XVIIe siècle

  • Le Quillio, église Notre-Dame : en 2014 est entrepris la restauration des peintures de Raphaël Donguy datant du XIXe siècle. Sous la toile représentant saint Jean apparaît un saint en pieds dans un cadre architecturé. De l'autre côté, au dessus de saint Corentin apparaît un décor de motifs végétaux et de rinceaux. En 2017, les monuments historiques déposent les toiles de Donguy afin de mettre au jour les peintures sur lambris qui représentent un ensemble de dix saints en pieds du XVIIe siècle. Le décor s'ordonnance comme celui peint par Donguy, à l'exception de l'inversion de saint Jean et saint Joseph et du remplacement de saint Jacques le mineur par saint Jacques le majeur. Chaque saint est représenté dans une niche faite de motifs continus de feuilles dorées et surmontés de pots à fleurs, avec au-dessus des niches un décor de rinceaux en grisaille et camaïeu d'ocre imitant l'or et ces rehauts d'or. Figure l'inscription « Cette voute a este ». Cette inscription confirme l'attribution au peintre Louis Le Corre, sieur Dupont (avant 1670-après 1710)[39]. Sous certaines parties furent découverts des fragments de peintures du XVe siècle[40].

XIXe siècle

  • Berhet, église Sainte-Brigitte (1850) : décorée par le peintre Raphaël Donguy. La peinture de la voûte est restaurée en [réf. nécessaire].
  • Le Fœil, château de Robien : peintures murales à l'intérieur de l'édifice par le peintre Joseph Gouézou (1821-1880). Édifice  Inscrit MH (1946)[41].
  • Kérity, église Saint-Samson : les décors peints, rinceaux et arabesques en 1862 sont l'œuvre de Raphaël Donguy.
  • Le Quillio, église Notre-Dame : Raphaël Donguy décore l'ensemble de la voûte de la nef en du chœur en 1860, de la chapelle nord en 1865 et de la chapelle sud en 1869. Il réalise son décor sur bois pour la nef et le chœur, mais opte pour des toiles clouées, non marouflées pour le décor de la chapelle sud et y représentant cinq portraits de saints en pieds de chaque côté de la voûte[42].
  • Plouézec, église Saint-Pierre ou Notre-Dame-du-Gavel : les travaux de construction ont commencé en et l'église a été consacrée le par l'évêque de Saint-Brieuc. Le décor de la voûte réalisé en 1863, est du peintre Raphaël Donguy.
  • Plounévez-Quintin, chapelle Notre-Dame de Kerhir (XVIe siècle)[43] : les décors de la voûte polychrome et dorée de 165 m2 sont réalisésa fresco par Raphaël Donguy.  Inscrit MH (1964) [44],[45].
  • Pouldouran, église Saint-Bergat : Christ bénissant, 1864, peinture sur toile dans l'oculus au-dessus du maître autel et décoration de la voûte, 1864, peintures sur toile par Raphaël Donguy.
  • Quessoy, église Saint-Pierre (1837-1840) : édifice construit sur l'emplacement d'une ancienne chapelle seigneuriale des de La Cornillière. Elle renferme deux fresques réalisées en 1850 du peintre Raphaël Donguy, La Vierge au Rosaire avec l'Enfant Jésus et Sainte Anne apprenant à lire à la Vierge Marie.
  • Quintin, basilique Notre-Dame-de-Délivrance : le peintre Jules Dauban (1822-1908) y réalise de 1898 à 1901 de grandes toiles marouflées sur les parois du chœur et retraçant l'épopée de la précieuse relique du fragment de la ceinture de la Vierge. Sur le mur sud figure Le Seigneur Botrel apporte la précieuse relique à son château de Quintin, et le clergé, les notables, et le peuple vont au-devant de la relique (1898). Sur le mur nord figurent Le Patriarche de Jérusalem remettant à Botrel, seigneur de Quintin, la ceinture de la Vierge et La Ceinture retrouvée miraculeusement après l'incendie de la trésorerie en 1600 (1899). En 1901, les toiles marouflées sont complétées au fond du chœur par deux panneaux représentant au nord un ange portant couronne et fleurs de lys avec le saint Esprit au-dessus, et au sud un ange portant le Sacré-Cœur dans une couronne d'épines[46].
  • Saint-Brieuc:
    • basilique Notre-Dame-d'Espérance : Raphaël Donguy y a peint a fresco dans le triforium, ainsi que sur les voûtes de l'église.
    • cathédrale Saint-Étienne : la chapelle d'axe est badigeonnée d'ocre jaune en 1844 et pourvue d'un décor polychrome entre 1863 et 1866, qui sera de nouveau badigeonné en 1870, puis entièrement décapé en 1882. Des travaux de restaurations en 2010 permirent de découvrir la trace d'un badigeon jaune sur le fenestrage. En examinant le triforium, d'autres traces apparurent. Des traces de fragments de décor au revers de l'autel majeur, dans le déambulatoire apparurent également, vraisemblablement plus ancien. En , il fut décidé de restituer le badigeon ocre, les chapiteaux romans en ocre rouge, ainsi que le décor néogothique de la chapelle d'axe. La restitution des décor achevé en 2017[47].  Classé MH (1906).
    • collège Anatole-Le-Braz : les voûtes de la chapelle furent décorées a fresco par Raphaël Donguy en 1863.
    • place Saint-Guillaume, chapelle Saint-Guillaume : construite de 1852 à 1856, elle abrite deux grandes toiles marouflées du peintre briochin Joseph-René Gouézou peintes en 1876 et représentant Saint-Brieuc prêchant la morale chrétienne en Bretagne et Saint Guillaume consolant et écoutant son peuple[48].
    • église Saint-Michel  Inscrit MH (2014) :
      • L'Assomption de la Vierge, 1864, huile sur toile d'après Nicolas Poussin ;
      • peintures murales sur toile marouflée, 1864-1874, de Raphaël Donguy[49].
    • chapelle Notre-Dame-de-Joie des Filles du Saint-Esprit : décorations d'Alphonse Langlamet (1881-1958) en 1933-1934[50].

XXe siècle

  • Le Quillio, église Notre-Dame : fresque de Victor Boner (1871-1951) évoquant l'histoire de Bretagne avec la représentation de 24 saintes et saints bretons, peinte en 1936[51].
  • Trémargat, église Notre-Dame : croix et cimetière,  Inscrit MH (1927)[52]. Peintures murales a fresco d'Hubert de Sainte-Marie (1923-1991) du début des années 1950. Il s’agit de scènes d’une frise en partie disparue qui illustrent la Passion du Christ réinterprétée à travers le prisme de la Résistance à l’armée d’occupation nazie[53].

Notes et références

  1. Lemasson, Auguste, abbé, Les paroisses et le clergé du diocèse actuel de Saint-Brieuc de 1789 à 1815. 1, Histoire du pays de Dinan, ancien archidiaconé de ce nom et paroisses doloises, Rennes, J. Pichon et L. Hommay, 1925-1927, 297 p. (lire en ligne)
  2. Dupuis, Mathias, Société Française d'Archéologie, 171 (3), pp. 〈halshs-00904677v2〉, « Les premières peintures murales de l'église de Saint-André-des-Eaux (Côtes-d'Armor) : analyse archéologique d'un ensemble ornemental roman. », Bulletin Monumental, no 171 (3), , p. 195-206 (lire en ligne)
  3. Dupuis, Mathias, « Saint-André-des-Eaux (Côtes-d’Armor) : nouveaux éléments sur l’église et sur ses décors peints », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA, no 13, (DOI 10.4000/cem.11220, lire en ligne).
  4. Mathias Dupuis, « Saint-André-des-Eaux (Côtes-d’Armor) : nouveaux éléments sur l’église et sur ses décors peints », Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no 13, 2009 (en ligne).
  5. Notice no PA00089580, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  6. Notice no IA00004825, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  7. Ancienne église paroissiale Saint-André, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  8. Dupuis, Mathias , Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA [En ligne], 12 | 2008, mis en ligne le 09 juillet 2008, consulté le 01 octobre 2016. URL : http:// cem.revues.org/7072 ; DOI : 10.4000/cem.7072, « Saint-André-des-Eaux (Côtes-d’Armor) : étude archéologique d’une église paroissiale et de ses peintures murales », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA, (DOI 10.4000/cem.7072, lire en ligne)
  9. « Liste des notices pour la commune de Saint-André-des-Eaux », base Mémoire, ministère français de la Culture.
  10. « Motifs ornementaux », notice no APPM015065, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  11. « Crucifixion », notice no APPM015063, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  12. « Crucifixion (détail) », notice no APPM015064, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  13. Reproduction d'une planche de Frotier de la Messelière, 1923, sur le site de l'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne.
  14. Gordine, Alexandre, Peintures murales romanes de l'Ouest, Arles, Errance, coll. « Promenades archéologiques », , 247 p. (ISBN 978-2-87772-534-7), p. 40.
  15. « Église Saint-Gal », notice no PA00089245, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  16. Anne Autissier, La sculpture romane en Bretagne, XIe – XIIe siècles, Presses Universitaires de Rennes, , p 278.
  17. Marc Déceneux, La Bretagne romane, éditions Ouest-France, , p 55 et 120.
  18. Xavier Barral i Altet, Art roman en Bretagne, Gisserot, , p 29-30.
  19. « «Corpus des inscriptions de la France médiévale : Côtes-d’Armor, Finistère, Ille-et-Vilaine, Morbihan, Loire-Atlantique et Vendée» [monographie], Vincent Debiais. (collaborateurs : Robert Favreau, Jean Michaud Cécile), Treffort, 2008 ».
  20. Sainte Radegonde : fondatrice de l'abbaye de Sainte-Croix de Poitiers, elle tient une miniature de l'abbaye dans sa main droite.
  21. J-J Rioult, op. cit., p. 81.
  22. Fouilles dirigées par Laurent Beuchet[réf. nécessaire].
  23. Rioult, op. cit., pp. 82-83.
  24. Jean-Jacques Rioult, « Peintures monumentales de Bretagne », Actes du colloque organisé par le Groupe de recherches sur la peinture murale, PU de Rennes, 2021, p. 83.
  25. Michel Lec'Hvien, « Chronique de l'abbaye de Beaufort », sur Amis de Beauport, (consulté le ).
  26. Ballini 2015, p. 227.
  27. Rioult, op. cit., p. 83.
  28. « Église Notre-Dame du Tertre », notice no PA00089061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Marc Thibout, « Notre-Dame-du-Tertre de Châtelaudren », Congrès archéologique de France. 107e session. Saint-Brieuc. 1949, Société française d'archéologie, 1950, pp. 216-226.
  30. Le Télégramme, .
  31. Christine Jablonski, Redécouverte de deux cycles de peintures monumentales à la chapelle Saint-Jacques de Merléac, La Passion, la Genèse, pp. 243-253.
  32. Jean-Jacques Rioult, « Magnifier l'architecture », in: Christian Davy, Didier Jugan, Christine Leduc-Gueye, Christine Jablonski, Cécile Oulhen, Peintures monumentales de Bretagne, Presses universitaires de Rennes, 2021, p. 84 (ISBN 978-2-7535-8082-4).
  33. « Merléac, Ut Pictura Genesis », sur calenda.org (consulté le ).
  34. Notice no PA00089487, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Lucien Bégule, La chapelle Kermaria-Nisquit et sa Danse des morts, H. Champion, Paris, 1909, 52 p.
  36. Marc Thibout, « La chapelle de Kermaria-Nisquit et ses peintures murales », in: Congrès archéologique de France. 107e session, Saint-Brieuc, 1949, Société française d'archéologie, 1950, pp. 70-81.
  37. Tania Lévy, « La chapelle Kermaria-an-Isquist. Les peintures murales », Congrès archéologique de France. 173e session. Monuments des Côtes-d'Armor. « Le Beau Moyen Âge », Société française d'archéologie, 2015, pp. 303-311 (ISBN 978-2-901837-70-1).
  38. Félix Soleil, La Danse macabre de Kermaria-an-Isquit, Dijon, Éditions Nielrow, 2020, 30 p. (ISBN 978-2-490446-16-2).
  39. Louis Le Corre et Jean-Baptiste Le Corre dit Dupont. Ces deux derniers font partie d’une dynastie, fondée par Louis, qui se perpétua sur quatre générations et dont la spécialité fut les lambris peints encore très nombreux dans la région (cf. Maud Hamoury, La peinture religieuse en Bretagne aux XVIIe et XVIIIe siècles, 3 vol., thèse d’histoire de l’art, dir. Marianne Grivel, université Rennes 2 Haute-Bretagne, 2006.
  40. Hamoury, op. cit., pp. 108-112.
  41. Émile Bellier de La Chavignerie et Louis Auvray, Bellier et Auvray, vol. 1, (lire en ligne), p. 678.
  42. Maud Hamoury, « Un décor XVIIe siècle sous des toiles de Raphaël Donguy », in: Christian Davy, Didier Jugan, Christine Leduc-Gueye, Christine Jablonski, Cécile Oulhen, Peintures monumentales de Bretagne, Presses universitaires de Rennes, 2021, p. 107 (ISBN 978-2-7535-8082-4).
  43. Descriptif par l'association Sauvegarde de l'Art français.
  44. Notice no PA00089512, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. fr-academic.com.
  46. Philippe Bonnet, Peintures monumentales de Bretagne, PUR, 2021, pp. 333 et 339.
  47. Christine Jablonski, « Étude préalable et diagnostic. Comment prendre en compte les peintures murales? », in: Christian Davy, Didier Jugan, Christine Leduc-Gueye, Christine Jablonski, Cécile Oulhen, Peintures monumentales de Bretagne, Presses universitaires de Rennes, 2021, pp. 131-133 (ISBN 978-2-7535-8082-4).
  48. Philippe Bonnet, op. cit., pp. 332 et 333.
  49. Bonnet, op. cit., p. 333.
  50. Geneanet[réf. incomplète].
  51. Hamoury, op. cit.
  52. « Eglise Notre-Dame », notice no PA00089726, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. Sauvegarde de l'art français.

Bibliographie

  • Christian Davy, Didier Jugan, Christine Leduc-Gueye, Christine Jablonski, Cécile Oulhen, Peintures monumentales de Bretagne, Presses universitaires de Rennes, 2021, 384 p. (ISBN 978-2-7535-8082-4).
  • Geneviève Reille Taillefert, Conservation-restauration des peintures murales de l'Antiquité à nos jours, Paris, éd. Eyrolles, , 382 p. (ISBN 978-2-212-12269-5, lire en ligne).
  • Marcel Stephanaggi, Les techniques de la peinture murale, Champs-sur-Marne (France), (lire en ligne).
  • Xavier Barral i Altet, « Décor peint et iconographie des voûtes lambrissées de la fin du Moyen Âge en Bretagne », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 131e année, no 3, 1987, pp. 524-567.
  • Henri Frotier de La Messelière, « Nos primitifs bretons », La Bretagne touristique, 3e année, no 33, .
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