Pézènes-les-Mines

Pézènes-les-Mines est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Pézénols.

Pézènes-les-Mines

Le château de Pézènes-les-Mines.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Alain Bozon
2020-2026
Code postal 34600
Code commune 34200
Démographie
Gentilé Pézénols
Population
municipale
239 hab. (2018 )
Densité 8,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 24″ nord, 3° 15′ 09″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 501 m
Superficie 26,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pézènes-les-Mines
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Pézènes-les-Mines
Géolocalisation sur la carte : France
Pézènes-les-Mines
Géolocalisation sur la carte : France
Pézènes-les-Mines

    Géographie

    Casdastre napoléonien : tableau d'assemblage (1826)
    Carte

    La commune de Pézènes-les-Mines est située à dix kilomètres à l'est de Bédarieux, vingt kilomètres à l'ouest de Clermont-l'Hérault et environ trente kilomètres au nord de Béziers. La commune est composée du village de Pézènes-les-Mines et de cinq hameaux (les Vignals, la Braunhe, les Montades, le Mas Bousquet, Taussac) et deux domaines (Pouzes et Roudanergue). Elle est entourée par les communes de Brenas, Mérifons, Valmascle, Montesquieu, Fos, Roquessels, Faugères, Bédarieux et Carlencas-et-Levas.

    Le cœur du village est situé entre Bédarieux et Fos. Le centre-village est d'origine moyenâgeuse. Il s'entortille autour d'un château féodal du XIe et XIIe siècles. Le château est situé sur une colline au-dessus du village et le domine. Dans la vallée coule la rivière Peyne, qui se jette dans l'Hérault près de Pézenas après avoir traversé le barrage des Olivettes près de Vailhan. La Thongue et le ruisseau Courbezou passent également à Pézènes-les-Mines. Les vieilles maisons qui s'élancent vers le ciel dominent les ruelles et escaliers montant vers le château. Le village est situé dans une vallée boisée entre les collines des vignobles de Faugères et à proximité du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    À proximité de la commune se trouvent le lac du Salagou, un lac de barrage dans le paysage roux (ruffes) du bassin permien de Lodève et au sud du lac le cirque de Mourèze. Il s'agit d'un cirque dolomitique où l'érosion a façonné un paysage ruiniforme, aux formes extraordinaires.

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 990 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bedarieux », sur la commune de Bédarieux, mise en service en 1991[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 008,6 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 41 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : « le Salagou »[14], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[16] : le « plateau agricole de Maussades » (309 ha), couvrant 3 communes du département[17] et le « plateau dolomitique de Levas » (655 ha), couvrant 4 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[16] : le « plateau de Carlencas-et-Levas » (6 239 ha), couvrant 11 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Pézènes-les-Mines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,9 %), prairies (7,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    La région semble avoir été habitée dès le Néolithique (8000-2000 ans av. J.-C.). Le dolmen du lieu-dit le Puech témoigne de la présence d’hommes. Les Romains y ont laissé des traces. On trouve ainsi un pont romain derrière l’église ; en 1985, un pressoir à vin romain a été découvert au Mas de Pommier. De plus, l'église de l’Épiphanie-du-Seigneur, récemment rénovée et aujourd'hui salle de rencontre et d'exposition est d'origine romaine.

    Au VIIIe siècle, Charlemagne aurait (d’après les récits des anciens) choisi Pézènes pour préparer une bataille contre les Sarrasins aux lieux-dits « Champs de Rassemblements » et « Champs de Rencontre ».

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire » en l’an II[26]. Le décret du modifie le nom de la commune de Pézènes qui devient Pézènes-les-Mines[27].

    Économie et géologie

    Le supplément de nom « les-Mines » est dû à la bauxite exploitée dans les alentours (La Braunhe, Peyreblanque, Uston) pour en extraire l’aluminium. Ce minerai est exploité dans la région de Bédarieux, La Tour-sur-Orb, Carlencas et Pézènes-les-Mines depuis le début du XIXe siècle. La bauxite de l’Hérault correspond à des roches argileuses qui contiennent jusqu’à 65 % d’aluminium oxydé. Elles sont accompagnées d'oxyde de fer, qui leur donne une couleur rouge. Un grand nombre d'autres minéraux sont également présents dans le sol de la commune en petites proportions. Ce sont des roches généralement marron, rouges ou roses, parfois blanches, rarement jaunes. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les mines de bauxite ont été exploitées par l'occupant allemand qui avait un besoin urgent d'aluminium pour sa production aéronautique. Depuis les années 1980, des écologistes et des géologues s'occupent des anciennes mines de bauxite et les protègent. Chaque année, ils proposent des tours guidés. En 1999 et 2000, des habitants se sont opposés avec succès à l’exploitation de certaines carrières de bauxite.

    La commune et ses alentours sont connus chez les géologues qui y trouvent des espaces géographiques délimitables : le calcaire en bancs lités du Dévonien (à Pézènes-les-Mines) ou les orgues basaltiques (à l'ouest des Montades).

    Cette richesse géologique, liée à l’influence des altitudes, s’ajoute au climat méditerranéen. Ainsi se compose un éventail de conditions naturelles où s’épanouissent les plantes les plus variées. Les spécialistes ont dénombré en pays d’Orb les deux-tiers des espèces de la flore française. La pivoine sauvage, le pin de Salzmann poussent ainsi sur le territoire de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1796 Michel Benezech    
    1796 1797 Antoine Coubert    
    1797 1798 Antoine Bové    
    1798 1800 Michel Benezech    
    1800 1801 Antoine Bové    
    1801 1805 Antoine Couberc    
    1805 1816 Jean-Jacques Pierre Couberc    
    1816 1818 Pierre Bouvé    
    1818 1822 Pierre Baumel    
    1822 1848 Jean-Jacques Pierre Couberc    
    1848 1852 Antoine Marie Jésus Baumel    
    1852 1853 Eugène Coubert    
    1855 1862 Antoine Marie Jésus Baumel    
    1862 1879 Julien Achille Baumel    
    1879 1881 Ferdinand Baumel    
    1881 1889 Auguste Couderc    
    1889 1892 Félix Abbes    
    1892 1904 Auguste Couderc    
    1904 1908 Antonin Jeanjean    
    1908 1908 André Couderc    
    1908 1912 Albert Poujol    
    1912 1915 Zéphirin Calvet    
    1915 1921 Joseph Rességuier    
    1921 1925 Paul Calmette    
    1925 1944 Jules Parado    
    1944 1959 Gaston Gayraud   Président du Comité local de Libération jusqu'en 1945
    1959 1971 Éloi Villemagne    
    1971 2001 Guy Villemagne    
    mars 2001 2020 Jacques Arbouy SE Retraité de la Fonction publique territoriale
    2020 En cours Alain Bozon    

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 239 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    440474508544551549517506529
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    503467471479503410424411403
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    383422342296260271279197181
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    178151150180207172185244244
    2018 - - - - - - - -
    239--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Vitraux de Verena Barthes à l'église

    Lieux et monuments

    Le baron R.M de Gobert de Sardans a durant les dernières décennies du XXe siècle acheté et rénové plusieurs habitations de cette commune. Connu pour ses restaurations de constructions médiévales, il donna l'impulsion au début des années 1970 à un mouvement de restauration du patrimoine du village. A trouvé une partie de la bibliothèque dont les annales de Tacite de Pierre-Maurice-Emmanuel. Capitaine Infanterie. Chevalier de Saint-Louis. Pézennes au diocèse de Béziers. Érigé en marquisat en 1750.

    Monuments:

    • Église romane de l’Épiphanie-du-Seigneur, restauré en 2010, aujourd'hui salle d'expositions ;
    • Pont romain traversant la rivière de la Peyne ;
    • Château féodal XIe et XIIe siècle (privé) ;
    • Chapelle de Notre-Dame-d’Ourgas aux Montades.

    Héraldique

    Les armoiries de Pézènes-les-Mines se blasonnent ainsi :

    De sable au pairle losangé d'argent et d'azur. Supports : 2 lévriers, couronne Marquis, un buste de maure en cimier.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Bedarieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Pézènes-les-Mines et Bédarieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Bedarieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Pézènes-les-Mines et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pézènes-les-Mines », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pézènes-les-Mines », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « plateau agricole de Maussades » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « plateau dolomitique de Levas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « plateau de Carlencas-et-Levas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 415.
    27. Journal officiel de la République française, 1926, 181-8854
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albert Fabre, Histoire de Bédarieux et des communes du canton : Camplong, Carlencas et Levas, Graissessac, Faugères, Latour-sur-Orb, Pézènes, Le Pradal, Saint-Étienne-Estréchoux, Nîmes, C. Lacour, , 123 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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