OneWeb

OneWeb (connue antérieurement sous le nom de WorldVu) est un projet de constellation d'environ 600 satellites de télécommunications circulant sur une orbite basse pour fournir aux particuliers un accès à Internet à haut débit dans les régions non desservies par des liaisons terrestres à partir de 2022. Jusque-là, les constellations de satellites comprenaient quelques dizaines de satellites. OneWeb est le premier[source insuffisante] des nombreux projets de méga-constellations (quelques centaines à quelques milliers de satellites) à être partiellement déployé. Ce projet est développé par la société américaine OneWeb (en), créée dans cet objectif et basée à Arlington en Virginie. Il est dirigé par l’américain Greg Wyler créateur de la constellation de satellites O3b Networks.

Un exemple visuel animé de la constellation GPS à 24-satellites, avec rotation de la Terre. Le nombre de satellites visibles d'un point donné de la surface terrestre change en fonction du temps.

La constellation doit comprendre 648 satellites de 150 kilogrammes placés sur une orbite polaire de 1 200 kilomètres. Il s'agit de la plus grande constellation de satellites jamais lancée en orbite depuis le début de l'ère spatiale. Pour réduire l'ampleur de l'investissement et rentabiliser le projet, une usine a été édifiée en Floride pour construire en série 600 satellites (dont des satellites de réserve). Les concepteurs du projet espéraient initialement par effet d'échelle abaisser le coût de fabrication de chaque satellite à 500 000 US$. Compte tenu de la taille de l'investissement (entre 3 et 6,5 milliards US$) et des incertitudes sur le marché visé (concurrence d'autres constellations ou des réseaux terrestres), le projet présente de grands risques financiers.

Six satellites prototypes de la constellation sont placés en orbite le par une fusée Soyouz décollant depuis le pas de tir de Sinnamary en Guyane. Après une phase de mise au point, les autres satellites devraient être déployés jusqu'en 2021 par des fusées Soyouz emportant chacune 32 satellites et des lanceurs aéroportés légers LauncherOne dont le vol inaugural est planifié en 2020.

Après trois vols en février et mars 2020 la société OneWeb dépose son bilan en se plaçant sous la protection du chapitre 11. La société est reprise par un consortium, dont le leader est le groupe Bharti Enterprises (PDG Sunil Mittal) associé à l'État britannique qui injecte un milliard de dollars. La reprise des lancements est programmée fin 2020.

Historique du projet

Le projet WorldVu

WorldVu est créé, début 2014, avec l'objectif de fournir aux particuliers un accès à internet à haut débit grâce à une constellation de près de 1 000 satellites. Un des points majeurs de l'architecture du système est le recours à des satellites de petite taille dont le coût est largement abaissé grâce à l'effet d'échelle découlant du nombre d'engins commandés[réf. souhaitée]. La cible commerciale est constituée par les centaines de millions d'usagers potentiels d'internet vivant dans des régions trop isolées pour bénéficier du réseau terrestre à haut débit. En , WorldVu rachète les droits de bande passante détenus par SkyBridge tombé en faillite en 2000 et qui avait un projet similaire.

Initialisation du projet OneWeb

O3b Networks, qui dispose d'une constellation de satellites ayant le même projet initial mais s'est finalement reconvertie dans le BtoB, est rachetée par Google en 2013. Plusieurs cadres de O3b quittent en cette société pour rejoindre WorldVu. Parmi ceux-ci, l'Américain Greg Wyler, qui a créé quelques années auparavant la constellation de satellites O3b Networks, prend la tête du projet. Des échanges informels ont lieu la même année entre WorldVu et SpaceX pour la construction d'une usine commune afin de fabriquer les satellites puis les lancer. En , WorldVu lance un appel d'offres auprès des constructeurs de satellites pour la construction de 900 satellites ainsi que celle d'installations au sol. L'objectif de coût de production d'un satellite est de 500 000 US$. En , Virgin Group et Qualcomm décident d'investir dans la société rebaptisée OneWeb LTD.

Partenariat avec le constructeur aérospatial Airbus

En , OneWeb signe un contrat avec Arianespace pour la mise en orbite d'un premier sous-ensemble de satellites par 21 lanceurs Soyouz. Airbus Defence and Space est sélectionné pour la construction des satellites. Ceux-ci seront assemblés par Airbus-Oneweb-Satellite, une coentreprise fondée à cet effet par Airbus d'une part et OneWeb d'autre part. L'usine d'assemblage se situe à Exploration Park près du Centre spatial Kennedy en Floride. Les dix premiers exemplaires sont fabriqués dans l'usine de Toulouse du groupe Airbus pour mettre au point le processus de production[1].

Le , Intelsat annonce son intention de fusionner avec OneWeb[2]. En , Intelsat renonce finalement à cette fusion[3].

Vers une extension de la constellation ?

L'organisme de régulation des télécommunications américain (FCC) a assoupli la réglementation concernant la durée du déploiement des constellations de satellites, qui passe de six ans à neuf ans. Cette décision ayant été prise après l'autorisation accordée par la FCC à OneWeb, cette dernière demande en de déployer 1 260 satellites supplémentaires faisant passer le nombre total à 1 980 satellites. Ces satellites auraient les mêmes caractéristiques que ceux en cours de fabrication. Le nombre de plans orbitaux occupés passerait de 18 à 36 et le nombre maximal de satellites circulant sur un plan orbital passerait de 40 à 55[4].

Réduction du nombre de satellites de la constellation initiale

OneWeb annonce en que, compte tenu des performances des satellites supérieures à celles constatées durant les tests sur Terre, le nombre de satellites construits pour créer la constellation initiale sera réduit de 900 à 600[4].

La position paradoxale des responsables russes

L'industrie spatiale russe est une des grandes bénéficiaires du projet, qui repose sur l'utilisation de plus de 20 fusées Soyouz (un contrat de un milliard US$) ainsi que la production en masse de propulseurs à effet Hall de type SPT-50M fourni par la société russe Fakel. Mais les responsables russes redoutent les conséquences de la disponibilité d'un accès à Internet à haut débit pour des utilisateurs russes (particuliers, mais également écoles, villes et autres institutions) situées dans des régions périphériques de la Russie qui n'ont jusque-là qu'un accès très limité à ce réseau. Le projet fait l'objet de discussions aux niveaux les plus élevés de l'État sans qu'une position claire ne se dégage. Les fréquences utilisées par OneWeb sont allouées en 2016 par la Commission d'État russe pour les radiofréquences (en) à l'opérateur des satellites Gonets, qui a dans ses cartons un projet de constellation de satellites de télécommunications en orbite basse non démarré début 2019. En 2017, OneWeb, pour contourner cet obstacle, crée une coentreprise avec l'opérateur des Gonets, baptisée OOO OneWeb, pour commercialiser ses services en se conformant aux contraintes russes. Mais la mise à disposition des fréquences reste au point mort début 2019. Par ailleurs, les responsables russes semblent envisager la construction d'un système de contrôle d'accès à Internet sur le modèle chinois. Le gouvernement russe a fait un premier pas dans ce sens en prenant le contrôle (prise de participation à hauteur de 51 %) de la coentreprise OOO OneWeb. Fin 2018, les services de sécurité russes attaquent frontalement OneWeb en accusant la société de mettre en place un outil favorisant l’espionnage. La construction des six stations passerelles nécessaires sur le territoire russe est remise en question, bien que leur absence ne permettra pas de bloquer le système sur une large portion du pays (en particulier la partie européenne), grâce aux stations situées dans les pays limitrophes[5].

Faillite et reprise par un consortium

Les trois premiers lancements de satellites de la constellation ont lieu entre et . Mais le , le Financial Times et l'agence Bloomberg rapportent que OneWeb a déposé son bilan la veille aux États-Unis, se plaçant sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites[6],[7]. En , OneWeb sollicite la mise en place d'une ligne de crédit de 75 millions USD minimum dont dix nécessaires dans l'immédiat pour assurer le fonctionnement courant de l'entreprise[8]. En , le tribunal des faillites de New York choisit, pour se substituer à Softbank et reprendre OneWeb, un partenariat public-privé, consortium dont le meneur est le groupe Bharti Enterprises (PDG Sunil Mittal) associé à l'État britannique ; chacun des deux partenaires y investit 500 millions de dollars. Cette opération obtient l'accord du Department of Justice (DoJ) américain et des autorités fédérales[9].

Viabilité financière du projet

L'effet d'échelle

L'investissement le plus important requis pour mettre en place le système OneWeb est la fabrication et le lancement des satellites. Pour abaisser les coûts la société a misé sur l'effet d'échelle obtenu en construisant 600 satellites identiques (à titre de référence, il s'est lancé en 2017 155 satellites de plus de 50 kg la plupart différents les uns des autres). L'industrie aérospatiale aujourd'hui[Quand ?] construit des satellites à l'unité ou en très petites séries et dans ce dernier cas souvent sur des périodes étalées sur de nombreuses années. Le projet OneWeb repose sur l'optimisation du processus de fabrication des satellites et la commande de grands volumes de composants permettant d'abaisser leur prix d'achat. Un coentreprise entre OneWeb et Airbus Defence and Space baptisée OneWeb Satellites est chargée de l'assemblage des 600 satellites. Une usine consacrée à leur assemblage et d'une superficie de 13 900 m2 est aménagée à partir de . Elle été inaugurée en 2018 près du centre spatial Kennedy en Floride. L'usine devrait construire en pointe un à deux satellites par jour[4].

La rentabilité en question

Les projets de constellation de satellites de télécommunications présentent un risque financier car ils nécessitent des investissements très importants pour mettre en place le réseau de satellites et les stations terriennes alors que les premières rentrées financières n'interviennent que plusieurs années après le lancement du projet. Fin 2018, OneWeb est confronté à plusieurs problèmes potentiels. Le coût unitaire du satellite fixé initialement à 500 000 US$ serait passé selon certaines sources non officielles à 900 000 US$. Le premier lancement a pris six mois de retard par rapport au planning initial. OneWeb a réussi à mobiliser environ 1,7 milliard US$ de fonds pour financer la construction et le lancement des satellites mais la somme totale nécessaire serait comprise entre 3,5 et 6 milliards US$. Or, l'établissement de crédit à l'export français Bpifrance, fortement impliqué, attend des engagements plus précis de la clientèle potentielle avant de prêter les sommes nécessaires. Par ailleurs, des projets concurrents comme celui de SpaceX pourraient entraîner une guerre des prix qui augmenterait le seuil de rentabilité[10].

Prestations assurées par la constellation OneWeb

OneWeb permet d'assurer la liaison entre le réseau internet à grand débit terrestre avec des utilisateurs individuels utilisant des postes fixes ou des petits récepteurs mobiles et avec des petits réseaux. La couverture est planétaire. Le débit maximal est de 50 mégabits par seconde et le temps de latence minimal est de 50 millisecondes[4].

Segment spatial

Le système repose sur le déploiement en orbite d'une constellation de 600 satellites identiques :

Caractéristiques des satellites

Maquette d'un satellite en 2017.
Données générales
Organisation OneWeb
Constructeur Airbus Defense and Space
Domaine Internet par satellite
Nombre d'exemplaires 648 (48 en réserve)
Constellation oui
Statut en cours de déploiement
Lancement 2019-2021
Lanceur Soyouz, LauncherOne
Durée 7 ans
Caractéristiques techniques
Masse au lancement ~150 kg
Contrôle d'attitude stabilisé 3 axes
Orbite
Orbite orbite polaire
Altitude 1 200 km
Inclinaison 87,9°

Le segment spatial de OneWeb comprend dans un premier temps 648 satellites identiques en orbite (600 opérationnels et 48 en réserve). Ce sont des microsatellites de forme approximativement cubique dont les dimensions sont de 1 × 1 × 1,3 m et la masse de 147,7 kg. Le satellite est stabilisé 3 axes à l'aide notamment d'un viseur d'étoiles. L'énergie est fournie par des panneaux solaires orientables avec un degré de liberté. Le satellite utilise un propulseur à effet Hall de type SPT-50M fourni par la société russe Fakel pour atteindre puis en cours de vie corriger son orbite[11]. Ce modèle de moteur est une version optimisée (durée de vie, coût) d'un moteur déjà mis en œuvre sur des satellites opérationnels (Canopus-V). Il génère une poussée de 14,8 millinewtons en expulsant du xénon avec une impulsion spécifique de 930 secondes et en consommant environ 220 watts[12]. Le satellite dispose de six antennes paraboliques : deux en bande Ku pour communiquer avec les utilisateurs finaux, quatre en bande Ka pour communiquer avec les stations passerelle qui assurent la liaison avec le réseau internet terrestre. L'envoi des données aux utilisateurs est réalisé à travers l'émission de 16 faisceaux couvrant globalement une surface au sol de forme elliptique dont le grand axe mesure environ 1 500 km. Chaque faisceau utilise la bande de fréquence Ku en TDMA/FDMA. Le débit global par satellite est de huit gigabits par seconde. Un récepteur GPS permet de déterminer la position du satellite à quelques mètres près. La durée de vie d'un satellite est au minimum de sept ans[13],[4],[11].

Charge utile secondaire

L'opérateur commercialise par ailleurs l'emport d'une charge utile secondaire dont la masse peut s'élever à 60 kg et qui disposera de 200 watts et d'un panneau tourné vers la Terre d'une superficie de 750 × 850 mm2[4].

Orbite

Les satellites sont placés sur une orbite polaire (inclinaison orbitale 87,9°) à une altitude de 1 200 km. À cette altitude, chaque satellite assure une couverture de 1 080 × 1 080 km. Cette altitude peu élevée a été choisie pour que le temps de réponse internet soit très faible. La constellation de satellites circule au-dessus de la région la plus encombrée par les débris spatiaux (600–1 050 km). 648 satellites sont répartis initialement sur 12 puis sur 18 plans orbitaux. Les satellites restants sont soit stockés au sol, soit mis en réserve en orbite, pour pallier les défaillances des satellites opérationnels[4],[14].

Segment terrestre

Le segment terrestre du projet comprend deux stations de contrôle et 50 stations terriennes réparties à la surface du globe terrestre pour assurer la liaison entre les satellites et les réseaux de télécommunications terrestres.

Stations passerelles

Plus de 50 stations terriennes réparties à la surface de la Terre mettent en relation les utilisateurs et le réseau Internet terrestre via la constellation OneWeb. Les communications entre les satellites et les stations s'effectuent en bande Ka. Les équipements de ces stations passerelles sont fournis par Hughes Network Systems[15].

Stations de contrôle

Les satellites sont contrôlés par deux stations de contrôle, l'une située à Washington DC (États-Unis), l'autre au Royaume-Uni[16].

Terminal utilisateur

Pour se connecter, l'utilisateur final utilisera un terminal comportant de manière typique une antenne réseau à commande de phase mesurant 36 × 16 centimètres qui devrait permettre de disposer d'un débit d'environ 50 mégabits par seconde. La connexion pourra se faire en utilisant les protocoles 3G, LTE, 5G et Wi-Fi[17].

Déploiement

Lanceurs

Le déploiement en orbite de la constellation OneWeb est effectué grâce à une soixantaine de vols[4][réf. non conforme] :

  • 21 fusées Soyouz emportant chacune 32 satellites sont lancés depuis le cosmodrome de Baïkonour ou la base de Kourou à une cadence d'un tir toutes les trois à quatre semaines. Les lancements sont organisés par Arianespace.
  • 39 tirs sont effectués par le lanceur aéroporté LauncherOne de Virgin Galactic. L'avion porteur largue la fusée, qui emporte un à deux satellites, au-dessus de l'Océan Pacifique. L'utilisation de ce lanceur est essentiellement prévue pour le renouvellement des satellites défaillants.

Lancement des prototypes

Six des dix prototypes construits dans l'usine d'Airbus située à Toulouse ont été placés en orbite le par un lanceur Soyouz ST-B qui décolle depuis la base de lancement de Kourou. Les quatre autres engins spatiaux doivent rester au sol et seront éventuellement utilisés comme pièces de rechange. Les prototypes en orbite doivent permettre de vérifier le fonctionnement du système. Une fois la phase de recette achevée, le déploiement des satellites opérationnels doit débuter en 2020[18].

Mise en fonction des satellites et fin de vie

Les satellites sont déployés par leur lanceur à une altitude de 450 à 475 kilomètres. Chaque satellite utilise ensuite sa propulsion électrique pour rejoindre progressivement, en décrivant des spirales, son altitude opérationnelle à 1 200 kilomètres d'altitude. En fin de vie, le satellite utilise sa propulsion pour rejoindre une orbite basse située à 250 kilomètres d'altitude qui garantit une rentrée atmosphérique rapide au cours de laquelle le satellite est détruit (à cette altitude l'atmosphère résiduelle est suffisamment dense pour rapidement dégrader l'orbite du satellite). Le déroulement de cette phase est conçu pour que la rentrée atmosphérique ait lieu au maximum cinq ans après la fin de vie opérationnelle du satellite[4].

Controverses

En démultipliant le nombre d'objets en orbite, les projets de mégaconstellations de fournisseurs d'Internet par satellite soulèvent des inquiétudes et critiques à travers le monde. De quelques milliers en 2020, ces objets seraient en effet plusieurs dizaines de milliers à terme[19],[20],[21].

Débris spatiaux

La multiplication des satellites lancés fait craindre la multiplication de fait du nombre potentiel des débris spatiaux susceptibles d'être générés par ce type de projet[22]. En effet, au risque de collision des satellites en fonctionnement s'ajoute celui de pannes, qui rendraient incontrôlables les satellites, risque d'autant plus élevé qu'ils sont nombreux[20]. Dans le pire des cas, un syndrome de Kessler rendrait les orbites basses totalement impraticables.

Pollution lumineuse du ciel nocturne

Cette multitude de satellites rejoint l'ensemble des projets en cours de déploiement (12 000 satellites voire 42 000 pour Starlink de SpaceX[20], 3 250 pour Kuiper d'Amazon[23], 650 à 2 000 pour OneWeb[20],[24], etc.), qui pose le problème de la pollution lumineuse spatiale du ciel nocturne. Celle-ci s'ajoute à la pollution lumineuse terrestre (issue de l'éclairage à la surface).

La magnitude apparente des satellites est de 7,5[25], ce qui est moins que les satellites de Starlink. Celà signifie que les satellites ne sont pas visibles à l'oeil nu, mais sont quand même aussi brillants que Neptune.

Cette pollution perturbe beaucoup le travail des astronomes, professionnels et amateurs, ainsi que des photographes de paysages de nuit qui doivent filtrer ces sources indésirables de lumière[20], quand cela est possible.

Notes et références

  1. « OneWeb Satellites finalise son organisation industrielle », sur space-airbusds.com, Airbus Defence and Space, .
  2. « Mariage en orbite entre Intelsat et OneWeb », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
  3. (en) Jessica DiNapoli et Aishwarya Venugopal, Intelsat says it expects $14 billion OneWeb merger deal to fail, Reuters, .
  4. (en) « OneWeb 1, ..., 900 », sur eoportal.org, Agence spatiale européenne, .
  5. (en) Anatoly Zak, « Russia's love-hate relationship with OneWeb », sur russianspaceweb.com, .
  6. « Le crash pour la constellation satellitaire OneWeb ? », La Tribune (consulté le ).
  7. « OneWeb en cessation de paiement », sur Air et Cosmos (consulté le ).
  8. « En faillite, OneWeb sollicite un prêt financier dont SoftBank est leader », sur Agence Ecofin (consulté le ).
  9. « OneWeb sauvé par l’indien Bharti et l’État britannique », sur https://www.lefigaro.fr, (consulté le ).
  10. (en) Chris Forrester, « The Forrester Report: OneWeb’s “Valley of Death” », SatMagazine, .
  11. (es) Daniel Marin, « Primer lanzamiento de la megaconstelación de satélites OneWeb », sur Eureka, .
  12. (en) P. Saevets, D. Semenenko, R. Albertoni et G. Scremin (8–12 octobre 2017) « Development of a Long-Life Low-Power Hall Thruster » (pdf) dans The 35th International Electric Propulsion Conference, x: 11 p...
  13. (en) Gunter Krebs, « OneWeb 1, …, 900 », sur The Gunter's Page (consulté le ).
  14. « Internet pour tous : le projet de constellation OneWeb », Sciences et Avenir, .
  15. (en) « In Support of OneWeb's LEO Constellation, Hughes Network Systems to Partner in Ground Network System Development », sur Satnews.com, .
  16. Agence nationale des fréquences, « Résumé de la demande d'autorisation soumise par OneWeb LTD pour l’exploitation d'assignations de fréquence pour un système satellitaire basé sur une constellation non-géostationnaire » [PDF], sur anfr.fr, .
  17. (en) Chris Bergin, « OneWeb kick starts massive constellation with Soyuz ST-B launch », sur nasaspaceflight.com, .
  18. (en) Stephen Clark, « First six OneWeb satellites launched from French Guiana », sur spaceflightnow.com, .
  19. « Combien y a-t-il de satellites au-dessus de nos têtes ? », sur Ça m'intéresse, (consulté le ).
  20. Fabrice Mottez et Lucas Gierczak, « Starlink, un cauchemar pour les astronomes », Pour la science, no 509, , p. 7 (lire en ligne).
  21. Pierre Barthélémy, « Le casse-tête croissant des débris spatiaux », sur Le Monde, (consulté le ).
  22. Remy Decourt, « Les centaines de satellites OneWeb ne produiront pas de débris spatiaux », sur Futura, .
  23. « Amazon va envoyer des milliers de satellites en orbite pour fournir un accès internet partout sur Terre », Le Journal du geek, 2019-04-06 consulté le=2019-05-26.
  24. (en-US) « OneWeb weighing 2,000 more satellites », sur SpaceNews, (consulté le ).
  25. Anthony Mallama, « The Brightness of OneWeb Satellites », arXiv:2012.05100 [astro-ph], (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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