Olivier Merlin

Après une brève carrière d'avocat commencée en 1926, Olivier Merlin s'oriente vers le journalisme. Il est rédacteur au Temps. Pendant la guerre, il est prisonnier et reste incarcéré en Allemagne jusqu'à la Libération. Il devient chroniqueur sportif, critique chorégraphique, tout en étant chef du secrétariat de rédaction au Monde de 1945 à 1985. Il est,rédacteur en chef et grand reporter à Paris Match de 1954 à 1974.

Passionné de moto, de danse, de bel canto, de sport, de corrida, il publie de nombreux ouvrages relatant les souvenirs riches en couleurs de ses multiples activités depuis son adolescence parisienne.

Une ardeur attestée par les innombrables articles publiés sous sa signature à l'occasion des plus grandes compétitions : jeux Olympiques d'hiver et d'été, grands prix automobiles, matchs de boxe, tournois de tennis, coupe Davis, tauromachie... Olivier Merlin incarne l'exemple du sportsman en grande condition qu'aucune performance sportive ne laisse indifférent : un homme sage, généreux, amoureux de la vie et écrivain humaniste[1].

• Fangio, pilote de course, Desclée de Brouwer
• Coups de sang, Médium
• Une belle époque, Olivier Orban
• L'Opéra de Paris, Paris, Hatier, 1975 - Prix Broquette-Gonin 1976 de l’Académie française
• Tristan Bernard ou le temps de vivre, Paris, Calmann-Lévy, 1989 - Prix Roland de Jouvenel de l’Académie française

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• Olivier Merlin, un enchanté de la vie sur Le Monde.fr
• [audio] Olivier Merlin, Radioscopie (accès restreint)

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