Number One (film, 1973)
Number One est un film italien réalisé par Gianni Buffardi (it) et sorti en 1973.
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Titre original | Number One |
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Réalisation | Gianni Buffardi (it) |
Scénario | Sandro Continenza |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Sant'Ignazio (Italie) |
Pays d’origine | Italie |
Genre | Film policier |
Durée | 95 min |
Sortie | 1973 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Le Number One, une boîte de nuit célèbre de Rome, est au centre d'un grand scandale en 1971 : un trafic de cocaïne qui impliqua des noms de la jet set internationale. C’est la découverte, dans une villa romaine, d’une jeune Américaine morte d’overdose, qui conduisit les policiers à enquêter dans les milieux interlopes de la capitale. Le film commence par la découverte d'un cadavre d'une femme nue (Josianne Mariet). Un playboy américain (Paolo Malco) retrouve sa femme décédée avec son ami (Guido Mannari). Elle est allongée sur le lit, très sexy, avec une main sur l'un de ses beaux seins et l'autre sur son vagin. Les hommes et un troisième homme apprécient le beau vue, mais malheureusement la femme est déjà morte et on découvrira qu'elle est morte d'une overdose. La police a commencé à enquêter, car peu de temps après, une autre touriste américaine (Isabelle de Valvert) a été abattue sur les rives du Tibre. Une enquête est alors ouverte, menée par la police et les carabiniers ensemble sur un certain groupe de personnes dont le point de rencontre est une célèbre boîte de nuit romaine, Number One. En enquêtant sur un vol d'images, les enquêteurs ont raison de soupçonner qu'un gang de voleurs d'art est également impliqué dans le trafic de drogue. Des policiers (dont Renzo Montagnani, Luigi Pistilli) enquêtent actuellement sur le trafic de drogue, le trafic de femmes et les affaires avec des call-girls. Une Française (Claude Jade) enquête également sur la boîte de nuit "Number one", où elle gagnera la confiance d'autres playboys (Chris Avram, Venantino Venantini). Mais à chaque fois que les témoins s'avancent, ils disparaissent... Parallèlement, alors qu’ils sont sur la piste de voleurs d'œuvres d'art, les policiers découvrent que ces voleurs sont également mêlés au trafic de drogue.
Commentaire
Ce film offre l'occasion à Gianni Buffardi (it) de réaliser une radiographie de la Rome nocturne et secrète.
Fiche technique
- Titre : Number One
- Titre d'origine : Number One
- Réalisation : Gianni Buffardi (it)
- Scénario : Sandro Continenza d’après une idée de Gianni Buffardi
- Musique : Giancarlo Chiaramello
- Direction de la photographie : Roberto D'Ettorre Piazzoli
- Cadreur : Adolfo Bartoli
- Montage : Maurizio Mangosi
- Pays d’origine : Italie
- Langue de tournage : italien
- Producteur : Gianni Buffardi
- Société de production : Sant'Ignazio (Italie)
- Format : couleur par Eastmancolor — son monophonique — 35 mm
- Genre : film policier
- Durée : 95 min
- Date de sortie : en Italie
Distribution
- Luigi Pistilli : inspecteur de police
- Renzo Montagnani : inspecteur de police
- Claude Jade : l’enquêtrice
- Chris Avram : un playboy
- Venantino Venantini : un playboy
- Guido Mannari
- Paolo Malco
- Massimo Serato
- Emilio Bonucci
- Andrea Aureli
- Isabelle de Valvert
Autour du film
- Claude Jade[1] : « Je partis de mon côté pour Rome, où l’avocat Claudio Giglioli, correspondant de l’agence Marceline Lenoir, m’avait trouvé deux films. Je descendis à l’hôtel de la Ville, via Sistina, et je demandai à maman, qui était à la retraite et qui avait du temps, de m’y rejoindre. Le premier des films s’appelait Number One, du nom d’une boîte de nuit qui avait servi de cadre à un scandale, mettant en scène des call girls. Ce n’est pas exactement le rôle que je jouais ! Je crois que j’étais une jeune femme détective, ou quelque chose dans ce genre. Très vite je me suis demandé ce que je faisais là et pourquoi Giglioli m’avait trouvé ce personnage. Gianni Buffardi, le producteur, avait de très beaux bureaux et collectionnait les œuvres d’art, mais c’était aussi un escroc, et je ne fus jamais entièrement payée. Mon pseudo-agent, qui était son copain et qui défendait ses intérêts, ne fit rien pour moi ; je renonçai à lui faire un procès… Grâce à Jacques Dufilho, je fis la connaissance d’une jeune femme, Francesca Saxon-Mills, qui fut amenée à remplacer l’avocat romain qui ne me paraissait pas très net. »
Notes et références
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- (en) AllMovie
- (en) Internet Movie Database
- (de) OFDb
- (mul) The Movie Database
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